Mon Voisin, Mon Amant

La première que j’ai vu Selim, j’ai senti un regard pesant. La quarantaine bien entamée, il venait d’emménager dans l’appartement d’en face de chez moi avec sa femme. Il était brun, grand et avait un cou de rugbyman, un cou magnifique qui m’a fait fantasmer dès que je l’ai vu. Je voyais déjà ma langue le lécher. Vous devez vous dire que je suis une nympho et c’est un peu le cas. A dire vrai, j’ai 21 ans, j’étudie l’architecture, je vis chez mes parents, je suis fille unique, j’ai un petit copain qui est beau-gosse mais qui a un sacré défaut avec sa bite –il éjacule avant même que j’ai pris le temps de sentir son petit pénis en moi. Vous comprenez donc pourquoi je fantasme sur tout et n’importe quoi, n’importe qui ! J’ai le teint clair, les cheveux châtains coupés au carré, les yeux verts. Je fais un 1, 70m pour 54 kg, et j’ai une grosse poitrine (surtout pour ma taille), un 90 D. Elle a toujours été développée mais je l’ai beaucoup aidé avec mes caresses, mes masturbations et mes relations avec les hommes et les femmes, car je suis bisexuelle.
Je reviens donc à Selim, le beau Selim au cou magnifique. Le Selim marié qui me faisait de l’effet et à qui je crois je faisais de l’effet aussi.
Les jours passent, et Selim et sa femme se rapprochent de mes parents. Ils deviennent très amis et viennent souvent chez nous. Assise en face de lui lors d’un dîner où je portais un mini short en jean et un top blanc sans soutif, Selim n’a pas enlevé ses yeux de moi et de ma poitrine. Assurément, je lui faisais de l’effet. Clairement, et avec un peu d’aide et de persuasion, il allait finir en moi.
Cette aide, je l’ai reçue du hasard, du sort, du maktoub. Mes parents étaient partis pour une semaine et je me suis retrouvée seule à la maison. Le premier soir toute seule, je vais frapper à sa porte, sa femme m’ouvre, je lui raconte que j’ai un problème avec la télévision et que j’avais besoin de l’aide de son mari. Avec le sourire, elle me dit qu’elle me l’envoie dès qu’il sortira de la douche.


Cinq minutes après, Selim arrive chez moi. Il avait les cheveux encore mouillés, portait une chemise blanche et un pantalon en lin blanc qui lui tombait magnifiquement sur les hanches. Sexy !! Pour ma part, je portais une robe minuscule bleue à bretelles et n’avait aucun sous-vêtement.
- Bonsoir Yasmine. Un problème ?, me demande-t-il.
- Oui, je ne trouve plus les chaînes du câble. J’ai besoin d’aide.
Il entre, se dirige vers le salon, allume la télévision et procède à une recherche des chaînes (que j’avais enlevées pour trouver mon prétexte).
- Tu veux boire quelque chose ?, lui demandé-je. Et j’ajoute : J’ai du vin blanc si tu veux ?
- Oui, pourquoi pas !, répond-il en souriant.
Je ramène une bouteille de vin blanc, deux verres et m’assoit à côté de lui sur le salon. Je nous sers. Après une première gorgée je laisse trainer une main sur sa cuisse. Il regarde ma main puis me regarde, alors je caresse sa cuisse et remonte jusqu’à sa queue. Il prend ma main et me dit :
- Arrête de faire ça, ce n’est pas bien.
- Arrêter quoi ? Et qu’est ce qui n’est pas bien.
- Ta main...arrête. Tu es trop jeune pour moi.
- La bonne réponse, dis-je, aurais été que tu me dises que tu es mariée et non que je suis trop jeune pour toi.
Il ne dit mot alors je reprends :
- Je ne te plais pas ?
- Ce n’est pas la question.
- Je sais comment tu me regardes et je sais ce que ça veut dire...
Je ne le laisse pas terminer. Je m’assois sur ses genoux à califourchon et je lui lèche les lèvres.
Sa respiration s’arrête, il ferme les yeux, il essaie de reprendre ses esprits. Il les rouvre, il me trouve en train de le fixer. Je lui caresse le cou, y dépose quelques baisers puis le lèche (comme dans mon fantasme). Là, il me prend la tête entre ses deux mains et m’embrasse avec ardeur. Un baiser mouillé où nos langues se croisent, se lient et se délient.

Je déboutonne sa chemise, l’enlève, lui dépose des baisers sur l’épaule, sur le torse, je titille ses tétons, je remonte vers son cou, sa bouche, je retrouve sa langue. J’ai envie de lui. Maintenant.
- J’ai envie de toi, dis-je en le regardant dans les yeux.
Sur ces mots, il me porte jusqu’à ma chambre, me jette sur mon lit, se met sur moi et me dépose des baisers fougueux partout. Partout. Il délivre ma poitrine de ma robe, prend un sein dans une main puis le lèche, le mord, le titille du bout des doigts, le mord encore et souffle dessus. Il s’occupe du deuxième et fait la même chose. Je deviens folle sous ses caresses et ses baisers. Je sens de plus en plus sa queue qui grossit sur moi, je le sens excité et je le suis aussi. Puis je le repousse et lui dis :
- Ta femme t’attend, tu devrais rentrer.
- Rentrer ? Maintenant ? Non j’ai envie de toi.
- Ça attendra demain.
Il se relève, remet sa chemise et rentre chez lui. Frustré. Moi aussi je suis frustrée mais je me gode avant de dormir, ce qui me soulage un peu mais ça ne vaut pas sa queue en moi. Je vais quand même le laisser mijoter un peu avant de lui donner vraiment ce qu’il veut.

Le lendemain, je me lève à 10 heures, je vais en cours, je rentre vers 16 heures à la maison et sur le chemin du retour, je lui demande de venir passer la soirée avec moi et de s’arranger donc avec sa femme. Ce soir on va baiser ! Il lui propose d’aller dormir chez ses parents qu’elle n’a pas vue depuis longtemps prétextant qu’il travaillera tard. On aura une soirée rien qu’à nous et pourra même dormir avec moi.
Il sonne à ma porte à 18h, je lui ouvre et voit que je suis toute nue. Il ne dit mot, rentre, m’embrasse violemment (frustré depuis la veille le pauvre chou), me colle au mur du couloir, me dit lui avoir fait vivre un enfer durant la journée, et m’embrasse à nouveau. Il s’installe dans le salon, et je le rejoins avec du vin rouge cette fois, nous sers et m’allonge sur lui.
Ses mains effleurent mes cheveux, me caressent le nombril, les seins, et je sens son érection. Je me redresse, déboutonne son pantalon, retire son boxer et là, apparaît devant de moi la plus belle et la plus gourmande des bites. Je me mets à genoux face à lui et la prend par la bouche. Je l’enfonce au fond de ma gorge et la ressors et refait le même mouvement plusieurs fois, puis je fais tourner ma langue autour de sa queue tout en l’empoignant. Je fais un tour sur ses bourses, les suce, les lèche, les titille avec mes dents, les bouffe... Tellement bon ! Je reviens à sa queue et le suce. Il encourage mon geste en me tenant par la tête et en me caressant les cheveux. J’entends ses râles et ça m’excite davantage. Je le suce comme une dingue jusqu’à ce qu’il explose dans ma bouche. Son foutre un peu salé et chaud réchauffe ma gorge. Je suis pleine de son foutre, pleine de lui !
Je vais dans la salle de bain pour me laver et me rafraîchir, je retourne dans le salon, prends une gorgée de vin rouge, allume une clope que nous partageons puis il me fait asseoir sur mes genoux et commence à jouer avec mes seins comme la veille. Mais ce soir, je ne peux lui résister, surtout après goûté à sa queue merveilleuse. Il me retourne et me prend en levrette. Mais avant d’introduire sa bite en moi, il enfonce son visage dans mon cul, mon vagin, me lèche l’anus, la raie du cul, le vagin, le clitoris. Il m’introduit un doigt et me donne une fessée. Ce qui m’arrache un petit cri de plaisir. Avec surprise, il s’introduit en moi et fait des mouvements de va et vient qui me font grimper au rideau, crier son nom lorsque je jouis en même temps que lui et qu’il retombe sur moi. Il reste en moi, je veux encore me sentir pleine de lui, et m’embrasse dans le dos.
- Tu as déjà pratiqué la sodomie ? me demande-t-il.
- Oui. Tu veux bien m’enculer ? Et j’ajoute : j’adore les mots cochons et le dirty talk donc n’hésite pas.
- D’accord ma petite cochonne ! Je vais te baiser alors comme une salope !
Ces mots m’excitent drôlement.
Il se met derrière moi, me lèche l’anus un bon moment pour me le lubrifier et introduit même sa langue dans mon trou, ce qui me rend dingue ! A quatre pattes, par terre, je me fais sodomiser par ce voisin, ami de mes parents, marié et qui a le double de mon âge. Mais c’est surtout un très bel amant, à l’écoute, attentif, sexy, pervers. Ce soir-là il m’a encore baisé deux fois, puis le lendemain matin, il m’a fait un cunnilingus dans mon lit et m’a fait pénétrer sur une chaise. Nous baisons, nous faisons l’amour encore aujourd’hui, deux ans après cette histoire. Et j’ai même initié sa femme aux amours lesbiennes puisque je lui ai fait sa fête à elle aussi.

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