Les Jeux De Flo

Elle sonne à la porte à l’heure dite. Ils ne se sont jamais vus. Premiers regards. Leurs bouches se rencontrent, leurs langues se mélangent, leurs salives se mêlent. Il lui passe la main sous la courte jupe qu’elle a accepté de revêtir pour le rejoindre. Sa petite culotte est toute mouillée. Bon signe !
Ils vont manger les petits mets qu’il a préparé et boire quelques boissons qui échauffent.
Ils font connaissance. Ils semblent se plaire.
Ils décident, sans plus tarder, de passer aux choses sérieuses.
Allongés sur sa couche, ils commencent à se caresser. Il lui dénude la poitrine, les bouts de ses tétons sont érigés de plaisir. Il les mordille. Il bande, elle continue à mouiller. Son visage descend le long de son corps. Elle écarte les cuisses. Il aime l’odeur de ses humidités. Il plonge dans ces zones. Sa langue lape, ses doigts fouillent, explorent. Il remonte vers son visage. Sa main a commencé à branler son sexe bandé.
Ils se retrouvent tous les deux en petites culottes. Vident encore un verre. Ils se susussurent des obscénités. Elle adore, il aime, en redemande. Il a envie folle de la foutre. Il fait monter le désir, les envies. Il lui fout une banane dans la chatte. Il l’épluche, la bouffe après avoir joué avec elle comme un jouet. Elle lui fourre un puis deux doigts dans son petit trou. Elle veut le rendre fou.
Ils sont soif de luxure. Elle lui suce la bite, lui malaxe les couilles.
Il la fout. Elle jouit.
Fin de premier acte.

*
Deuxième acte.

Après un petit repos (douce collation, boissons échauffantes…)
Ils recommencent à s’occuper des choses sérieuses que requièrent leurs présences. Leurs bouches ont faim, leurs sexes désirent (l’un mouille, l’autre bande…) Ils ont folle envie de poursuivre leurs premières découvertes, aller plus loin dans l’exploration de l’inconnu de leurs chairs.
Elle est allongée sur le lit. Yeux clos, jambes ouvertes.

Il s’approche d’elle et à l’aide d’une plume de corbeau vient lui titiller ses tétons qui se dressent. Elle ne peut retenir des gémissements de plaisir. La plume descend, fait une halte à l’ombilic, descend encore vers le sexe qu’il dévoile en écartant le linge mouillé qui le recouvre. Il lui écarte les nymphes et la plume vient exciter le petit bout dressé qu’elles recouvraient. Pour attiser le feu il asperge ces régions de deux trois giclées de vodka. Elle se tortille, retient mal quelques cris. Pour éteindre l’incendie il la badigeonne de plusieurs cuillères de miel et sa langue vient, telle celle râpeuse d’un gros matou, la laper. Elle ne se contient plus. Elle balbutie des mots obscènes. En redemande.
Elle a envie de lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle lui badigeonne couilles et vit de miel qu’elle lèche goulûment.
Ils déclarent quasi simultanément avoir envie de pisser.

*
Troisième acte

Ils se rendent dans la salle de bains. Vite, ils entrent dans la douche et, enlacés, bouches embouchées, langues emmêlées, mains qui farfouillent entre les hémisphères charnus de leurs êtres, ils soulagent leurs vessies bien pleines. Leurs liquides chauds se mêlent. Ils sont excités et joyeux comme des s jouant des jeux interdits. Petite pisseuse et vieux pisseur soulagés.
Ils s’essuient avec une serviette (ils gardent leurs dessous mouillés). Il met plusieurs couches de serviettes douces sur le lit. Elle s’allonge, cuisses ouvertes. Il vient faire le ménage avec sa langue sur la zone compissée. Il ne peut s’empêcher de se branler alors qu’il soupe entre les cuisses de sa salopeuse.
Il se relève, elle l’attire à lui, le touche. A elle de faire le ménage ! Elle s’applique, elle n’est pas plus dégoûtée que lui. Elle suce, lèche, bouffe ses couilles.
Ils se calment. Se reposent, enlacés tendrement. Prêts à d’autres aventures.

*
Quatrième acte

Ils passent une tendre nuit enlacés l’un à l’autre.

Après des ablutions matinales (ils remettent leurs petites culottes qui sont sèches mais bien enrichies de leurs excès divers), ils petitdéjeunent heureux de se retrouver et prêts pour de nouvelles tribulations.
Elle devait rentrer chez elle, reprendre le train. Mais elle n’en a pas envie. Elle se débrouille pour passer une nouvelle journée et une nouvelle nuit. D’autant qu’il lui avait promis quelques excès qui l’émoustillaient fort, malgré une certaine peur de se voir livrer aux débauches.
Elle aurait fait la putain s’il lui avait imposé.
Elle portera une mini jupe en cuir, assez large, pour sortir avec lui (bottines, petit haut sans soutif). Elle est très bandante. Elle est un peu gênée mais elle n’en peut plus de mouiller tant la situation lui plait. Il lui demande, quelque soit le lieu, de garder toujours les jambes un peu ouvertes et de les ouvrir un peu plus lorsqu’un voyeur la mate. Ils vont boire un verre en terrasse d’un grand troquet. Il lui impose d’ouvrir les jambes. Un type la reluque. Elle lui confie qu’il lui convient, qu’elle a envie.
Elle va aux toilettes. Le type la suit. Elle ne revient que dix ou quinze minutes plus tard. Elle lui raconte, honteuse et joyeuse ce qui s’est passé avec ce vieux pervers dans les chiottes.
*
Cinquième acte

Elle lui tend un billet de 50 euros. « C’est ce qu’il m’a filé pour me baiser. Je suis une vraie pute. Ca te plait, je crois ? »
Elle me rassure, elle ne l’a pas sucé et il a mis une capote.
Elle lui dit qu’elle a envie encore de jouer les salopes pour lui faire plaisir.
Ils retournent chez lui. Longues scènes très chaudes.
Ils s’excitent. Elle mouille comme jamais, elle a tellement envie de devenir très salope pour lui plaire. Il a tellement envie de la voir jouer les salopes pour lui. Pour elle.
Ils ont rendez-vous chez des « amis » vicelards : un couple qui a invité deux autres couples et un type. Tous sont là pour s’amuser, forniquer, baiser…
Elle fait fort impression dans sa mini en cuir…
La maîtresse de maison l’aborde.
Elle la prend dans un coin et lui dit, lui passant la main sous sa jupette, qu’elle aurait envie qu’elle s’occupe de son vieux viceloque de mari. Elle lui glisse quelques obscénités aux oreilles continuant à la tripoter.
Elle se retrouve face au vieux mari. Elle se laisse faire même s’il n’est pas du tout son genre. Il l’embrasse goulûment. Ses mains viennent la fouiller au plus intime. Elle lui ouvre la braguette et commence à le branler. Sa queue demeure assez flasque malgré ses efforts. Elle joue avec, elle aime ça.
Elle se retourne, se penche en avant son cul offert. Il le caresse, fourre les doigts dans son petit trou (elle adore ça) et commence à la lécher. Elle se trémousse. Les voyeurs se rincent l’œil à ce spectacle d’une belle jeune livrée aux caprices d’un vieux fornicateur mou de la tige…

*
Sixième acte

Après cet épisode, elle a envie d’autre chose. Elle avise un type séduisant. Il lui plait. Il est vêtu d’un mini short en jean (sans rien en dessous, ça se voit) et d’un gilet en jean également qui montre sa belle anatomie. Ils échangent un verre, des paroles et leurs envies sont évidentes. Elle s’enhardit, l’embrasse sur la bouche, sa main venant soupeser ses belles balloches qui débordent de son short. Sa queue se dresse, grosse, bien raide, elle la fait sortir de sa braguette alors qu’il a fourré ses doigts sous sa jupette.
Elle se penche, se baisse et ni tenant plus lui suce sa grosse bite parfumée à la délicieuse odeur de foutre. Se faisant, elle sent que l’on est venu s’occuper d’elle par derrière. Elle frétille sous les doigts qui s’affairent, lui élargissent le petit trou. Puis elle sent quelque chose qui n’est pas un doigt venir s’immiscer entre ses hémisphères. Ce qui l’incite à sucer le type de façon de plus en plus acharnée tandis qu’elle se fait limer. Elle se sent très salope. Elle y prend goût, elle espère que son ami jouit du spectacle qu’elle offre. Elle a envie de pisser, de jouir. Elle malaxe les roustons de son mec, les pétrit.
Il va jouir. Il ne tarde pas à lâcher sa purée épaisse, onctueuse, crémeuse.
Libérée elle pousse un râle animal.
Elle ne sait pas qui l’a enculée.

*

Septième acte

La soirée bat son plein. Les échanges et mélanges vont bon train.
Elle exprime ses désirs de continuer malgré les réticences de son type.
Il lui donne permission.
Elle a envie, pour terminer la soirée, de gouiner avec une femme d’un certain âge qui lui plait. Elle est en culotte, seins nus, bottines. Très excitante. Son mari la surveille car il aime participer à ses jeux, le salopard.
Elle l’aborde. Elles s’embrassent follement. Se touchent la poitrine, se mordillent les tétons. Leurs mains vont fouiller leurs minous trempés. Elles échangent quelques obscénités.
Elle se met à quatre pattes, respire son entrecuisse. Odeurs de mouille, de pisse, de foutre mêlées. Elle écarte le tissu et lape, mordille son bouton dressé qui émet des jets de jus huileux. Elle sent une main qui vient lui caresser entre les fesses et deux puis trois doigts qui viennent lui dilater le petit trou. Elle n’en peut plus, ravie d’être tellement salope.
Elle rejoint son ami. Ils partent. Elle est souillée. Elle lui demande de lui raconter ce qu’il a fait durant toute cette folle soirée.

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