La Video Surveillance

Quelques semaines après mon déplacement sur Vichy, nous étions convoqués à une assemblée générale présidée par Daniel et pendant laquelle nous devions valider les dépenses du trimestre précédent notamment l'installation de la vidéo-surveillance que le club avait sous-traité à mon mari. Nous avions prévu d'être tous les 2 présents cette assemblée, et je finissais de me préparer arborant une jupe printemps-été mi-longue multicolore avec des compositions florales bleu et rouge, une coupe crayon mettant en valeur mes hanches plantureuses, le tout d'une grande élasticité. J'avais mis un pull débardeur sans manches avec un décolleté col en V plongeant. Pour les sous-vêtements, mon mari avait insisté pour un porte-jarretelles noir en dentelle avec soutien-gorge corbeille mettant en valeur ma volumineuse poitrine. Je savais que j'allais encore bouleverser et exciter Daniel que j'avais volontairement ignoré depuis notre déplacement en bus ne répondant que très rarement à ses textos et de manière très courte. J'avais décidé de lui faire ressentir mon mépris au travers d’une attitude arrogante et dédaigneuse, en réponse à ce qu'il m'avait fait subir pendant notre voyage, mais aussi dans la perspective de lui montrer que j’étais aux commandes. Mon ton était parfois très sec. Il ne pouvait en aucun cas me comparer à une de ces vulgaires maîtresses qu’il avait pour habitude d’utiliser comme bon lui semblait. Alors que je terminais de me maquiller, je sentais Richard me tournant autour de moi, reconnaissant les prémisses d’une envie lubrique de sa part. Pris par le temps, je le repoussais gentiment, et nous descendions tous les deux au garage pour prendre la voiture. J’activais l’ouverture automatique, et alors que la porte se levait, je sentis Richard derrière moi me pousser contre le capot de sa voiture.
- Richard, on n’a pas le temps.
- Tu m’excites trop ma salope, j’ai trop envie de te fourrer. Relève ta jupe, et penche-toi contre le capot.

..
- Ohhh Richard, ferme la porte du garage, sinon tout le monde va nous voir.
Le garage était situé au bout de l’allée de notre maison, à une vingtaine de mètres du portique, et partiellement visible de la rue. Il stoppa la porte à mi-ouverture, me poussa en levrette contre la Jaguar, et remonta ma jupe, laissant apparaître mes portes-jartelles et mon string en dentelle noir. Sans se préoccuper de mes protestations, il écarta la petite ficelle de mon string et me pénétra d’un coup sec. Il était en moi et me pilonnait les fesses contre sa voiture, s’accrochant d’une main à mes portes jarretelles, alors que sa main droite, il me tenait par les cheveux, comme une jument qu’on est en train de dompter. Il coulissait en moi, alors que mon visage, maintenu sur le capot, me permettait de voir l’extérieur, et notamment le facteur qui venait d’arriver. Debout, derrière moi, Richard ne voyait rien, masqué par la porte à demi ouverte.
- Richard!!! Arrête le facteur vient d’arriver, il va nous voir...
- Bouge ton gros cul, salope, il devrait apprécier le spectacle d’une grosse pute qui se fait grimper dessus. Ce seront ses étrennes.
Il m’appliqua une grande claque sur mes grosses fesses, déclenchant un cri de stupeur, qui attira l’attention du facteur, me scrutant avec ses yeux écarquillés de surprises. Nos regards se croisaient, et il ne perdait pas une miette de cette bourgeoise prise en levrette dans son garage.
- Oui, vas-y bouge ton cul ma pute. Dis-moi que tu aimes ça !!!!
- Ohhhhhh, Ouiiiiiii, Richard, tu es fou, tu me rends folle....
- Ahhhh, t’es trop bonne, je vais te donner en pâture aux membres du comité cet après-midi, quand penses-tu ?
- Ohhhh, Nonnnnn Richard, je ne veux que toi, jouis sur mon gros cul... Gicle sur mes fesses de pute.... Je suis ta salope, ta cochonne, ta morue….
- Ohhhh, tu vas me faire jouir salope, ça m ‘excite trop quand tu te fais mater pendant que je te baise.... Ohhhhhh Ouiiiiiiiiii.
.....
La scène n’avait duré que quelques minutes, mais suffisamment pour exciter mon mari, qui gicla sur mes fesses et ma jupe, toujours sous les yeux ébahis du facteur. Alors que je reprenais mes esprits et remontais me changer, il me poussa vers la voiture.
- Reste comme ça, je veux que tu gardes mon sperme dégoulinant sur ton corps.
- Ohhhh Richard, tu es vraiment un petit vicieux.
- Et toi une grosse salope qui vient de me faire jouir, et que je vais donner en pâture à Daniel après la réunion...
- Ohhhh, jamais, tu sais que je déteste cet homme.
- Justement, ça va m’exciter encore plus de le voir te baiser...
Il prit le volant, et la direction du club, faisant un petit signe amical au facteur qui était sur le trottoir d’en face me matant avec envie. L'assemblée générale dura 2 bonnes heures. J'étais assise à gauche de Daniel, qui gérait son ordre du jour d'une main de maître, laissant ses pieds et ses jambes se frotter contre mes escarpins sous la table. Je lui avais adressé un salut froid à mon arrivée continuant avec la même stratégie, alors que je savais que mon mari avait en tête de m'offrir à ce rustre avant la fin de l'après-midi. Cette AG marquait aussi la fin de la saison confirmant la bonne position sportive du club ainsi que la situation financière assainit. Il ne restait toutefois qu’un match pour confirmer notre place dans le top 3. L’installation de la vidéo-surveillance fut rapidement discutée, nécessitant notamment une intervention des équipes de mon mari afin de procéder à quelques réglages. Richard se proposa de vérifier s'il pouvait le faire lui-même et alors qu'il se rendait dans le bureau, nous nous rendions au bar afin de partager une coupe de champagne. Une fois de plus Daniel se permettant des gestes intimes à mon égard que je continuais de repousser systématiquement. Nous étions debout autour du Bar, quand il posa sa main sur mes fesses, malaxant fermement ma croupe, mise en valeur dans ma jupe multicolore.
Particulièrement mécontente, je lui chuchotais à l'oreille :
- Arrêtez ça immédiatement, si vous ne voulez pas que je crie au scandale.
- Allons ma belle ne fais pas ta mijaurée, je sais que tu adores avoir ma main sur ton cul
Alors qu'il continuait à me palper les fesses, il consultait son téléphone qui venait de vibrer. Avec un grand sourire, il me tendit l'appareil pour me faire lire le texto. Il venait de recevoir une photo de mon mari qui avait fait une capture d'écran de la vidéo-surveillance montrant la main de Daniel en train de me peloter le cul, accompagnée d'un message :
@Daniel « emmène ma femme du côté des vestiaires elle est toute à toi »
- Je crois que le message est suffisamment clair ma salope, tu vas partir en premier et m'attendre devant les vestiaires. Tu as lu les instructions de ton mari, il va falloir que tu sois bien sage et bien gentil avec moi ma petite poulette.
- Je ne suis pas votre poulette.
- Je crois bien que si, tu es bien ma petite poulette et tu vas être encore bien d'autres choses.
Je partis dans la direction des vestiaires, obéissant aux instructions de mon mari, le sachant en train de me mater au travers de la vidéo-surveillance, il allait pouvoir jouer les voyeurs alors que j'allais me faire prendre en direct par le président du club. Même si ce n'était pas la première fois, je détestais me savoir piégée par cet homme. J'ouvrais la porte qui donnait accès aux escaliers permettant de rejoindre les vestiaires, ultime endroit où les caméras étaient encore légalement autorisées. Je patientais quelques minutes quand Daniel arriva. Sans une parole, il me prit par les cheveux et m'embrassa avec passion plongeant sa langue profondément entre mes lèvres. Il s'était mis dans l'axe de la caméra permettant à mon mari de ne pas perdre une goutte de cette scène qui allait sûrement être très torride. Il se glissa derrière moi poussant mon corps face à la vidéo-surveillance, attrapant mes gros seins par-derrière, ses deux mains s’étant accrochées à ma poitrine pulpeuse qu'il malaxait avec gourmandise.
Il glissa sa main sous ma jupe qu'il remontait lentement faisant apparaître mon porte jarretelle et mon string encore immaculé du liquide de mon mari.
- Dis donc tu es tout sale, tu ne te serais pas fait baiser avant notre réunion grosse pute.
- Laisse-moi tranquille, tu me dégoûtes dépêche-toi qu'on en finisse.
- Ce n’est pas ce que tu disais la dernière fois dans le bus quand tu avais ma bite dans ton petit cul. Avoue que tu mouilles quand tu y repenses. Je suis sûr que tu t'es doigtée en pensant à mon gros sexe dans ton petit anus.
- Ohhhhhhhh, Ohhhhhhh, tu es un salaud. Ohhhhh mon Dieu que fais-tu ???
Il avait plongé son majeur entre mes cuisses me doigtant le vagin, déclenchant une violente et immédiate réaction orgasmique. Alors que sa main gauche palpait mes gros nichons, sa main droite me doigtait le vagin avec violence tout en continuant à me susurrer des atrocités dans l'oreille.
- Tu lui as raconté à ton mari ce que je t'ai fait dans le bus la dernière fois ? Tu lui as dit que tu avais sucé mes deux joueurs, et que je t’avais fourré ton gros cul de sperme et que pour finir tu m’as encore sucé dans ta voiture.
- Ohhhhhhh, Oui continue tu vas me faire jouir salaud !!!! Ohhhhhhh Ouiiiiiii, encore....
- T’aimes que je te raconte comment je t’ai baisé ma belle, dis-moi que tu en veux encore...
- Oui, continue, s’il te plaît, tu m’excites, Ohhhhhhhh, Ouiiiiiiii, ohhhhhh ta mainnnnnnn entre mes cuisses !!!!!!
- Tu aimes te faire attacher et violer, ça t’a plu la dernière fois avoue le ...
- Oui, j’aime ça, oui continue, tu me fais jouir….
- Mets-toi à genoux maintenant, je veux que tu me branles avec tes belles mamelles.
Il me poussa à genoux devant lui, toujours faisant face à la caméra, et me poussa à prendre son sexe entre mes seins. Je lui branlais son gros sexe avec mes mamelles laiteuses, alternant parfois avec mes lèvres afin d’avoir le goût de son gros sexe dans ma bouche. Je jouais avec son membre, alors qu’il me tenait par les cheveux. Il avait fermé les yeux se laissant aller à cette caresse mameleuse et buccale. Je continuais à le sucer et à le branler pendant plusieurs minutes, accélérant volontairement la pression, afin de le faire jouir rapidement. J’avais repris l’ascendant, et il était maintenant entièrement sous mon contrôle. Bien que je savais qu’il voulait me prendre, et que j’en avais également envie, j’accélérais mes caresses afin de le faire jouir au plus vite. Lui l’homme viril, ne pouvant maîtriser son éjaculation !!! Ne pouvant plus se contrôler, il me gicla rapidement dessus, sur mes gros seins et sur mon pull en grognant. Il vida son liquide sur moi, en m’insultant...
- Grosse pute, tu l’as fait exprès salope, tu m’as fait jouir trop vite pétasse
- Désolé, Cher Ami, mais faut apprendre à mieux se contrôler...
Je voyais à son regard qu’il éructait intérieurement. Furieux de s’être fait manipuler tel un adolescent, ou un jeune puceau, et encore plus de subir mes moqueries. Il prit son téléphone et composa un numéro.
- Oui Quentin, c’est Daniel, viens me rejoindre aux vestiaires avec Antoine, j’ai une surprise pour vous...
- Quoi, mais que fais-tu ????
- Ton mari a dit « Elle est toute à toi », et je ne crois pas qu’il se contente d’une petite pipe rapide... En attendant, nettoie-moi avec ta bouche...
- Tu me dégoûtes.
Il me recolla son sexe flasque dans la bouche me forçant à nettoyer et à avaler tout le sperme qui dégoulinait. Il me plaqua ensuite contre le mur, se collant à moi pour m'embrasser avec gourmandise, plongeant une fois de plus sa langue entre mes lèvres alors que ses mains se promenaient partout sur mon corps. Bien que venant de jouir quelques minutes auparavant, il était surexcité, et s'il ne pouvait pas me posséder une seconde fois, il allait se rincer l'œil en regardant les deux beaux jeunes bellâtres s'occuper de cette belle bourgeoise mature que j'étais. Ils rentrèrent dans le vestiaire s'exclamant à la vue de mon corps soumis et recouvert de sperme.
- Mais, elle est toute sale notre belle Patricia
- Oui, je dois avouer que je n'ai pas eu le temps de bien la nettoyer et comme en plus je n'étais pas le premier il y a déjà des traces du matin. Madame, c’est donnée en spectacle devant le facteur.
- Ohhh, tu n’as pas honte ?
- Oui quelle vilaine fille, exciter les postiers
- Le pauvre facteur, il va sûrement repasser. Tu connais la chanson... Le facteur n’est pas passé... Dring Dring...
- Maintenant, occupez-vous d'elle, et maintenez-la bien devant la caméra que son mari puisse en profiter.
- Ah, en plus, c'est un spectacle en live.
Ils prirent la place de Daniel, chacun d’un côté posant leurs mains sur mon corps déjà défait. Mes gros seins, recouverts de sperme, étaient pétris entre leurs mains jeunes et puissantes, alors qu'ils me couvraient de baisers, passant leurs langues sur chacune des parties de mon corps. Quentin plongea sa main entre mes cuisses alors que la langue d’Antoine jouait avec mes tétons libres et offerts. Ils allaient m'utiliser sous les yeux de Daniel et de mon mari qui devait se masturber de l'autre côté de l'ordinateur regardant sa femme offerte se faire prendre comme une vulgaire putain. Sans plus attendre, Antoine me prit par les cheveux poussant mon visage vers son sexe libre, qu'il me fourra dans la bouche. Il enfourna son membre entre mes lèvres, me forçant à sucer son dard bien dur. Alors que je m’activais à cette fellation, je sentis le sexe de Quentin se frayer un passage entre mes cuisses m'ayant basculée en levrette. Il avait écarté la ficelle de mon string pour fourrer sa grosse bite entre mes cuisses. J'étais entre ces 2 hommes, utilisée de toutes les façons possibles sentant le plaisir se répandre dans mon corps et la jouissance m'envahir. Je laissais faire mes 2 amants qui multipliaient les positions infamantes, tantôt me claquant mon gros cul, tantôt me tirant par les cheveux, me tenant les mains contraintes de subir ces viols multiples donc j'étais l'actrice principale. Daniel n'en perdait pas une miette et je pouvais l’observer masturber son membre flasque commentant ma performance ainsi que celle de ses joueurs. Ils alternaient leurs positions se faisant sucer à tour de rôle ou me baisant la croupe comme des prédateurs.
- C'est bien ma belle, tu es une bonne suceuse montre-leur que tu es la meilleure des butineuses. J'adore te voir te faire prendre ton gros cul. Claque-lui ses grosses fesses, je veux entendre le bruit de tes mains sur son gros derche. Allez la ménagère bouge ton corps, montre que les femmes au foyer bourgeoises sont les meilleures baiseuses.
Sans ménagement, Quentin entreprit de me prendre par la croupe. Me soulevant de la seule force de ses deux bras, il me pénétra par-derrière en amazone. Mes bras accrochés au tour de son coup pour me tenir en équilibre, il me maintenait à son bassin au rythme des va-et-vient. Bien que la pénétration n'était pas très aisée, elle se révélait néanmoins très profonde surtout parce que j’avais les jambes relevées, qu’il tenait fermement. Il me pilonnait dans cette position de cerf en rut étant suffisamment musclé pour supporter mon poids alors que je tendais ma croupe le plus généreusement possible à mon amant. Il me reposa enfin, laissant la place à Antoine, alors que j’avais perdu toute pudeur me comportant comme une courtisane dont le seul souhait était de se plier aux caprices de mes deux amants. Il me souleva également et j’enroulais mes bras et les jambes autour de son torse puissant, et de ses fesses. Il me pénétra, verrouillant son bassin à ma croupe. Je me laissais faire dans un abandon langoureux, recevant avec délice, son sexe qui envahissait mon fourreau soyeux. Les contractions de mon vagin intensifiaient les sensations de plaisir. Tous mes sens étaient en éveil. J’accueillais cette jouissance dans cette posture dominante, qui lui procurait une forte excitation, et dont il imposait le rythme, avec force. Il me tenait de des grosses mains, mes gros seins collés contre son torse augmentant son plaisir. Nos bouches étant proches des oreilles, il suçotait mes lobes, tout en me parlant à voix basse des mots crus, bousculant mon statut de bourgeoise convenue.
- T’es en train de jouir, grosse truie. Ça te plaît de te faire démonter par deux jeunes étalons. Une grosse bite dans la chatte, et tu passes de bourgeoise à nymphomane....
Ils finirent par me redresser sous les conseils de Daniel.
- Mettez-lui vos deux queues dans sa chatte. Je veux la voir jouir pendant que vous lui faites une double vaginale
- Non non non non non Daniel s'il te plaît les garçons je vous en prie
Sans se préoccuper de mes protestations, ils me redressèrent. Nous étions face à face, debout. Quentin me saisissant la jambe gauche de son bras droit, sous le genou m’obligeant à avancer mon bassin pour faciliter sa pénétration, nous formions ainsi un trépied instable. Chaque mouvement qu'il initiait, soulevait légèrement ma jambe droite favorisant la seconde pénétration d’Antoine qui était derrière moi. Cette position chancelante me faisait voguer entre deux points d'équilibre, permettant à mes partenaires de me caresser mes fesses suspendues. Ils m’avaient pénétré tous les deux, poussant leurs deux sexes dans mon vagin, et me défonçant la chatte avec gourmandise. Je gémissais de plus en plus fort sous la pression de leurs coups de reins et les orgasmes multiples qui me transperçaient le corps faisant de plus en plus de bruits. Ils me baîllonerent de leur main afin d'atténuer les bruits de mes gémissements et d'éviter d'attirer l'attention des membres du comité.
- On va t’enculer maintenant.
- Désolé les garçons, mais interdiction de la sodomiser son petit trou est réservé pour le monsieur derrière la caméra.
Ils continuèrent à me défoncer la chatte toujours debout dans ce couloir sous les yeux de mon mari, alors que j'avais perdu toute notion de réalité et que je m'abandonnais à ces orgasmes qui continuaient de me ravager le corps. Bien que les instructions de Daniel étaient claires, je sentis le doigt d’un de mes deux amants, se frayer un passage dans mon trou interdit. Il plongea en moi, me sodomisant, alors que les deux grosses bites continuaient à me détruire le vagin...
- Continue de la bâillonner, pendant que je lui doigte son gros cul, de cet angle, ils ne verront rien...
Ces deux jeunes mâles étaient excessivement endurants, et jouèrent avec mon corps pendant plus de 10 minutes. J’étais au bord de l’évanouissement, sous la pression et le rythme de leurs membres. Je m’abandonnais, juste réceptive aux orgasmes multiples qui me traversaient le corps. Je repris mes esprits au contact du sperme abondant qui me recouvrait le visage et mes gros seins. Je ne m'étais même pas aperçu qu'il m'avait accroupie dans ce couloir et qu’ils étaient en train de se masturber pour finir de se vider sur mon corps défait.
- Parfait emmenez la dans le vestiaire et nettoyez-la. Faites là moi toute propre pour la rendre à son mari, je pense qu'il va vouloir rentrer à la maison pour s'occuper du petit trou de Madame.
Le nettoyage fut tout à fait relatif me laissant de multiples traces de sperme partout sur mes habits et sur mon corps sous prétexte que ça allait exciter encore plus mon mari qui m'attendait à la sortie des vestiaires. Alors que je pensais que nous allions rentrer à la maison, il proposa à Daniel d'aller déjeuner au restaurant. Je protestais sous prétexte de mon état déplorable.
- Pas de discussion ma chère femme, reste comme ça, tu es magnifique.
Une fois de plus soumise à mon mari, j’obtempérais et acceptais de les accompagner au restaurant dans mon état déplorable, et cela, avec une dizaine de membres du comité. Le déjeuner dura jusqu'à 15h30 heure à laquelle Richard décida de rentrer à la maison.
- Tu sais de quoi j’ai envie ma belle maintenant...
- Richard, je suis épuisée et puis je dois prendre une douche.
- Ta petite vidéo m'a bien excité. En tout cas, ils t’ont fait bien jouir... Avoue que tu as aimé...
- Oui, j’ai adoré, tu le sais bien...
- J'espère que le facteur n’est pas passé qu'il puisse profiter du spectacle quand je vais t'enculer dans le garage.
- Richard, tu es vraiment un véritable pervers, laisse-moi prendre une douche, je serai tout à toi.
- Non, je veux te baiser comme une grosse pute recouverte de sperme contre le capot de ma bagnole.
Une fois arrivé à la maison, il rangea sa voiture dans le garage en marche arrière, descendit la porte à mi-hauteur, et m’invita à sortir. Il se colla à moi contre la voiture et m'embrassa avec passion, posant ses mains sur toutes les parties de corps sur lesquelles on pouvait voir encore les traces de sperme nombreuses qui me recouvrait. Il baissa mon décolleté, libérant mes gros seins avec lesquels il joua pendant quelques minutes suçant les tétons avec passion.
- Dis-moi que tu as envie que je te sodomise.
- Oui, vas-y prends moi, mais emmène-moi dans la chambre.
- Dis-moi que tu veux que je t'encule ici dans le garage.
- Non, Richard, s'il te plaît, emmène-moi en haut.
- Avoue que ça t'as excité de te faire baiser ce matin alors que le facteur te regardait.
- Oui, mais maintenant, il va me prendre pour une vraie nymphomane.
- Mais c'est ce que tu es ma salope, une grosse truie, une grosse pute, remonte ta jupe.
Je remontais ma jupe dévoilant mes sous-vêtements tachés. Il me poussa en levrette contre le capot de la voiture, sortit son sexe bien dur, écarta la ficelle de mon string et poussa son membre dans mon anus.
- Mais tu es déjà dilatée, je suis sûr que tu t’es fait doigter le cul pendant qu'ils te baisaient en doublette. Avoue-le ?
- Oui, ils m'ont doigté mon anus chacun leur tour. Je ne pouvais pas protester, car il m'avait bâillonné.
- Tu as joui. Dis-moi que tu as joui.
- Oui, j'ai joui. J'ai joui comme une folle maintenant prends-moi le cul, j'ai envie que tu m'encules
Il poussa son sexe dans mon cul profondément, accroché à mes hanches et me pilonnait l'anus avec force et détermination, continuant à m'insulter de tous les noms.
- T'es une grosse truie t'es la pire des salopes une bourgeoise cochonne voilà ce que tu es. Tu vois que ça te plaît de te faire défoncer ton petit trou comme la reine des putes.
- Ouiiiiiiiii, Ohhhhhhhh, Ouiiiiiiiii, Richard…. Encore, Ouiiiii Plus fort !!!!!!
- Crie plus fort le facteur va revenir, et comme ça, il pourra participer et se vider les couilles dans ta bouche de pute.
- Ouiiiiiiiii, Ohhhhhhhh, Ouiiiiiiiii,
Il continua à me sodomiser pendant plusieurs minutes, multipliant les claques sur mes grosses fesses qui résonnaient dans le garage, et continuant à me dire des mots les plus cochons les uns que les autres. La taille de mes fesses, mes gros seins laiteux, tout y passait. Il jouit enfin sur ma croupe, me recouvrant de sperme pour la 4e fois de la journée. J'avais vécu une fois de plus une journée sexuellement dense et folle, pendant laquelle j'avais joui à de multiples reprises. Je ne voulais pas imaginer le lendemain et la suite dans cette escalade et spirale infernale de débauche dont j’étais l’actrice principale.

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