La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°987)

Olivier au Château – (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode N°982) -

Olivier était heureux, sa nouvelle vie de chien soumis lui procurait beaucoup de bonheurs car il vivait ce qu’il était au plus profond de lui. Mais son premier bonheur était avant toute chose, d’obéir et de satisfaire Monsieur le Marquis d’Evans… Le Noble discutait d’ailleurs avec ses Invités, ceux-ci allaient prendre congé en complimentant le Châtelain pour la sélection de Son Cheptel.

- Cher Monsieur le Marquis, cette idée de sélectionner Vos chiens et chiennes soumises en les testant de façon ludique est particulièrement astucieuse.
- En effet, répondis le Noble je n’ai pas beaucoup de déchets, ce chien soumis que vous avez vu tout à l’heure, vient à peine d’arriver et vous voyez déjà son attitude, il bande à volonté dès qu’il reçoit un ordre de Ma part, il a compris et ressenti que répondre à Mes Exigences lui procure une grande satisfaction, tel est le rôle du soumis face aux Maîtres … Mais pour l’instant nous allons terminer cette soirée. Chien, viens me lécher les couilles pendant que je salue mes Invités...

Olivier s’avança tête baissé et à quatre pattes, Monsieur le Marquis sorti sa verge et ses bourses de son pantalon. Ses généreux attributs étaient offerts à la langue du chien, et tel un animal de compagnie aux pieds du Maître, le soumis approcha sa langue et s’appliqua à répondre du mieux possible aux ordres du Maître des Lieux. Sa langue lécha avec application les volumineuses bourses et Olivier dut endurer les regards narquois des Invités qui remerciaient chaleureusement le Châtelain pour cette sublime soirée. Le soumis sentait qu’il devait faire mieux pour le Maître, sa bouche prit le temps d’aspirer les bourses, il devait satisfaire le Châtelain et Celui-ci devait sentir que l’esclave se donne à fond. La testicule droite fut la première à être aspiré, elle remplissait sa bouche et sa langue prenait bien soin de la titiller mais le besoin d’aspirer le deuxième testicule était une évidence, Olivier ouvrit alors sa bouche en grand pour prendre entre ses lèvres la totalité des bourses du Noble.

Il aimait sentir les bourses bien pleines du Maître dans sa bouche, il espérait ainsi que le Châtelain serait ravi de ce savoureux traitement. Olivier était un bon chien, bien obéissant maintenant. Le dernier Invité ayant salué Monsieur le Marquis, il ordonna alors au soumis de s’arrêter :

- Ca suffit maintenant soumise Véronique et toi retournez auprès de Walter, je te verrais demain matin

Véronique et Olivier tenus en laisse par Walter quittèrent le salon pour retourner au Chenil, une couche de paille les attendait. Le chien soumis fatigué mais reput se coucha, il porta sa main à son anus qu’il trouva encore légèrement ouvert par l’intromission du gode. Il était vraiment une chienne en chaleur qui avait bandé à répétition lors de cette soirée, tout cela grâce à l’expérience de Monsieur le Marquis. Il s’endormit alors en pensant à ce haut personnage à l’impressionnant charisme Dominateur et seule la satisfaction de Celui-ci devenait important et donc une priorité à ses yeux. Le Châtelain, de son côté, avait apprécié le comportement du chien soumis, il ferait sûrement une belle recrue définitive pour Son Cheptel mais pour cela il devait encore l’éprouver. Il aurait l’occasion de le tester de nouveau demain. Rien de tel que de réveiller un soumis ou une soumise pour l’enculer de bon matin, voilà ce que le Maître des lieux appréciait et pratiquait régulièrement et donc Olivier serait dès le matin, le prochain à sodomiser.... Le reste de la nuit se passa sans que le soumis fut réveillé et dès l’aube alors qu’Olivier dormait encore, un claquement sec de doigts le réveilla presque en sursaut. Devant lui se trouvait le Maître, Il était debout, une cravache à la main et la tête haute, il lui lança sur un ton sévère :

- Petite pute, dit le Noble, tu vas te réveiller et venir à Mes pieds, présente-moi ton trou, je veux me soulager en toi, j’aime profiter de mes érections matinales dans le cul d’un soumis ou d’une soumise pour commencer la journée…

Olivier encore dans son sommeil, à moitié endormi, obéit difficilement par une lenteur dans ses mouvements, ce qui provoqua d’emblée une série de coups de cravache sur ses fesses qui le réveilla pour de bon.
Alors le soumis prit la position qu’exigeait Monsieur le Marquis d’Evans qui ouvrit alors la porte de la cage. Sa noble queue en main, caressant sa hampe magnifiée par le sang qui courrait dans ses veines, gonflée de désirs, le Noble Seigneur se dirigea vers le soumis qui avait pris la position. Le Châtelain comptait sodomiser bestialement Olivier, rien de tel pour le réveiller, le chien avait son anus encore dilaté par la séance de la nuit dernière. Le gland du Marquis écarta le fessier de l’esclave cherchant son anus, le gland trouva sa place et d’un coup de reins puissant, il s’engouffra dans le trou de balle de l’esclave, Monsieur le Marquis éprouva beaucoup de plaisir à sentir l’anus du chien céder à sa pression, et malgré la douleur de la sodomie subite, le soumis attentif aux Volontés du Maître ne dit rien, ne voulant pas faire obstacle à la Volonté du Maître car seul Sa satisfaction comptait. En pensant cela, Olivier se mit à bander car le puissant plaisir mental et physique se mélangeant à la douleur était en train de prendre le dessus. Monsieur le Marquis voulant éviter cette érection pressa de sa main les couilles du chien-soumis lui provoquant un cri :

- Tais-toi chien, tu es là pour mon plaisir, donc tu la fermes, je ne veux rien entendre, pas le moindre cri, ni le moindre son de ta gueule de petit chien !

Olivier se tut et laissa faire le Maître qui commença alors à le besogner, sa main avec le rythme du va et vient pressait de plus en plus les couilles du soumis sans ménagement.

Le Noble l’encula donc d’un trait sans aucun préambule et le soumis se laissa fourrer sauvagement, acceptant les assauts vigoureux de ce bel étalon au sang chaud qu’était le Châtelain. La pénétration fut longue, profonde, fougueuse, Olivier se laissa pénétrer, saillir et pilonner en retenant ses gémissements pour ne pas émettre de son à chaque fois que la divine queue de Monsieur le Marquis se retirait pour mieux s’enfourner encore. Et quand Le Noble éjacula à grands coups de reins puissants, très profondément dans les entrailles du chien soumis et assez bruyamment en insultant l’esclave de bien des mots humiliants tout en lui cravachant les fesses.
Et ce n’est que lorsque que cette forte jouissance arriva que la pression sur ses couilles se fit moins forte. Monsieur le Marquis éjacula en abondance, il aimait ses saillies matinales quand il rendait visite à Son Cheptel. Le Seigneur se retira et essuya Sa verge sur le cul du soumis lui montrant ainsi qu’il n’était plus qu’un chien digne d’être enculé de bon matin.

- Voilà la salope, dit Monsieur le Marquis, tu vas garder Ma noble semence toute la journée, soit en digne, sache que chaque fois que tu rencontreras quelqu’un aujourd’hui, tu devras prononcer cette phrase à haute et intelligible voix : ‘’J’ai été enculé ce matin par Le noble Seigneur, Le Maître et je porte en moi les traces de Sa jouissance’’. De plus si quelqu’un te réponds qu’il veut voir, tu devras prendre la position du chien bon à être enculer à fin que l’on puisse constater cela…Et libre à chacun de t’enculer encore, selon les envies de chacun. Tu as bien compris ?
- Oui Maître, répondit Olivier soumis et heureux de l’être.

Monsieur le Marquis, sans un mot de plus, quitta la cage, une matinée de travail l’attendait. Olivier avec ce traitement bandait, sa main se porta sur son sexe, et il commença à se masturber en pensant au Noble, il sentait rapidement que la jouissance allait venir, sa main amplifia le mouvement quand tout un coup Walter apparut et interrompit tout cela en disant :

- Petite pute en chaleur qu’est-ce-que tu fais en ce moment ? Arrête tout de suite cette branlette de chien en chaleur, seul Monsieur le Marquis d’Evans peut t’ordonner de te toucher et de jouir. Tu seras lourdement puni pour cette faute grave à te branler sans y être autorisé…

Olivier s’arrêta de toucher sa nouille mais trop tard, le flux de sperme fusa de son corps, les coups de reins qu’il donnait étaient cocasses car malgré cela Olivier ne sentait pas sa jouissance à cause de la réprobation du Majordome. Walter le savait bien mais il allait punir Olivier pour tout autre chose, ce qui fit que le soumis allait subir deux punitions :

- Espèce d’esclave idiot, tu n’as pas compris ce que tu dois dire, Monsieur le Marquis a bien été clair portant après la saillie, tu devrais être content qu’il daigne t’enculer de bon matin, sache qu’un certains nombre d’esclaves du Cheptel se battrait pour bénéficier de ce privilège.
Ce manquement mérite une deuxième punition. Je veux t’entendre dire ce que tu dois dire !

Olivier se souvint alors de la phrase clé, il balbutia :

- J’ai été enculé ce matin par Le noble Seigneur, Le Maître et je porte en moi les traces de Sa jouissance.
- Bien donc tu es un petit enculé, une lopette bonne à donner son cul, mais montre-moi ?, ordonna Walter

Olivier réagit au quart de tour, se baissa en écartant les jambes, ainsi Walter put voir les traces de la sodomie qu’il avait reçu et son trou de balle avait visiblement subi un enculage par un membre de bon calibre, du sperme était encore étalé sur ses fesses. Walter souriait :

- Bien, je vois que tu respectes maintenant les ordres de Monsieur le Marquis. Sache qu’il te recevra en fin de matinée, il veut te poser quelques questions sur la soirée d’hier, pour l’instant on va devoir te laver à grande eaux, Marie va venir s’occuper de toi dans une heure. Mais je n’oublie pas tes deux punitions que tu subiras très vite dans l’après-midi, la salope …

Olivier resta dans sa cage, il connaissait maintenant le programme de la matinée, il savait qu’il allait rencontrer de nouveau le Maître des Lieux mais aussi le programme de l’après-midi avec les deux punitions à venir. Maintenant à chaque rencontre, il était intellectuellement conditionné par Monsieur le Marquis d’Evans, il attendait avec impatience ces moments de tête à tête où son corps trahissait son excitation par une belle érection comme à chaque fois où il sait qu’il a l’honneur d’être physiquement aux pieds du Maître… Marie comme d’habitude glapit en rentrant dans le chenil :

- Aller, chien soumis, debout je vais te laver à grande eau, j’ai là une brosse à crin dur qui te permettra de te nettoyer en profondeur

Olivier se leva et ce coup-ci, il n’oublia pas la phrase clé qu’il répéta avec dévotion :

- J’ai été enculé ce matin par Le noble Seigneur, Le Maître et je porte en moi les traces de Sa jouissance
- Bien, tu comprends maintenant les Règles à suivre, approche que je dirige le jet d’eau vers toi, il faut que tu sois propre comme un sou neuf ! La salope !

Olivier reçut le jet d’eau en pleine face, puis Marie visa les épaules, le ventre, enfin la nouille puis elle ordonna à Olivier de se tourner, elle commença alors par le fessier d’Olivier, elle dit alors :

- Ouvre ton cul avec tes mains que je te nettoie en profondeur, la pute ! …

(A suivre …)

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