Paiement En Nature

Je venais d'emboutir une Mercedes avec ma vieille Fiat pourrie . Refus de priorité. C'était pas mon jour... c'était pas mon jour; depuis pas mal de temps déjà, en fait !
Après une période de chômage de 22 mois, mes finances étaient dans le rouge. Les factures impayées s'accumulaient et je venais de recevoir un recommandé de l'assurance qui me signifiait qu'ils résiliaient mon contrat auto.
Une nana, genre bourge, la quarantaine, descend de la berline et me fusille du regard. Elle constate les dégats ; sa portière arrière est bien amochée. Ma voiture n'a pas grand chose, juste une cabosse de plus parmi d'autres.
Mon vrai problème c'est que je ne suis plus assurée et que je n'ai pas de quoi rembourser les dégâts. La nana me regarde de haut. Elle est aussi bien sapée que je suis minable dans ma petite jupe un peu trop moulante.
Comme je sais pas mentir, je lui dis tout de suite que j'ai pas d'assurance. Aussitôt elle me menace d'appeler les flics. J'aurais mieux fait de me taire. Je la supplie de me laisser un peu de temps pour rembourser les dégâts. Elle me demande ma situation. Encore une fois j'aurais mieux fait de la fermer... mais on ne se refait pas. Elle pige vite que je suis pas prête de pouvoir lui payer quoi que ce soit.
On commence à remplir le constat. Elle me fait la morale. Les larmes coulent sur ma joue, bêtement. A la fin, juste avant de partir, elle me tend sa carte de visite en me disant :
- Soyez à cette adresse demain à 8h. Si vous venez bosser pour moi pendant 15 jours, j'oublie le constat. Si vous êtes absente une seule fois, j'envoie le constat et porte plainte à la police.
Je lui dis merci du bout des lèvres, je ne cherche même pas à savoir ce que sera ce travail. Elle est déjà remontée dans sa voiture, et moi je reste bêtement en train de la regarder s'éloigner.
Le lendemain, j'arrive devant chez elle, une belle villa, un peu avant 8h. Je sonne. Elle me dit d'entrer à l'interphone pendant que la porte s'ouvre automatiquement.

J'arrive sur le perron. Elle me détaille de la tête au pied. J'ai mis ma plus belle tenue, et subitement, sous son regard, je me sens un peu godiche dans ce tailleur qui me sert pour mes entretiens d'embauche.
Pas un sourire, à peine un bonjour. Elle me demande pourquoi je suis là. J'ai l'impression qu'elle ne me remet pas. Mais non, en fait elle prend juste plaisir à ce que je relate l'accident d'hier, ma faute, et sa proposition d'emploi pour la rembourser.
- Suis-moi
Pendant que je suis ses pas, elle me confie : mon aide ménagère est hospitalisée et sera absente une quinzaine de jour. Tu la remplaceras.
- D'accord...
- Ici, on ne dit pas "d'accord". On répond "Oui Madame" ou "Bien Madame"
- D'accord Madame... enfin euh... Oui Madame
La maison était vaste, luxueuse et bien meublée. Je me sentais petite, minable. On venait d'arriver dans une chambre. Il y avait des habits posés sur le lit.
- Change toi !
- Ici ?
- bah oui, qu'est ce que t'attend ? fait pas ta chochotte. j'ai pas que ça à faire !
- Je.... bien Madame.
- Je n'osais pas la contrarier et ôtais mes vêtements. J'étais en sous vêtements dépareillés devant elle : La honte. J'enfilais la jupe et le chemisier présentés sur le lit. Des vêtements de soubrette. Une jupe droite noir et un corsage blanc. Les vêtements étaient une taille trop petite pour moi. Ils me serraient un peu trop. Elle s'approcha de moi, rectifia ma tenu et constata aussi que la jupe était très serrée.
- Ca ne va pas. Enlève là !
J'obtempérais, puis elle dit :
Enlève ta culotte et remet ta jupe !
- Mais...
- Discute pas mes ordres. qu'est ce t'as, t'es pas faite comme les autres femmes ? Cette jupe doit être portée avec un string, pas une culotte, sinon cela fait des marques.
- Oui... mais...
- Y'a pas de mais ici. Où tu obéis sans discuter où tu t'en vas et j'envois le constat à l'assurance !
Instinctivement je me retourne pour baisser ma culotte et remettre ma jupe, comme une petite fille honteuse.
Faut dire que n'ayant pas de petit ami, je me suis laissée un peu aller. Ma toison pubienne n'a pas été entretenue depuis plusieurs mois.
- Ne te détourne pas. Que me caches-tu ?
Je me retourne lentement vers elle en baissant les yeux, n'osant la regarder en face.
- Alors, c'est quoi ton problème ?
- ....
- Répond quand je te parle
- ... J'ai honte de ma toison, Madame.
- Tu peux, en effet. Allez enfile ta jupe.
Elle me contourne une fois rhabillée et constate que c'est mieux ainsi, qu'on ne voit plus de marque, et pour cause !
- Par contre, ton soutif bleu se voit sous le chemisier. Cela fait très mauvais effet. Enlève le aussi.
- Je....
- Mon p'tit, va falloir apprendre à obéir sans discuter.
- ... bien Madame
J'ôte le chemisier. Puis dégraffe mon soutien-gorge. Ma poitrine j'en suis assez fière. Elle ne se prive pas de la regarder. Je remets le chemisier. Il est toujours aussi serré au niveau de ma poitrine.
- Pas la peine de boutonner plus. C'est bien comme ça ! Regarde toi, il y a un miroir par ici.
La coupe de la jupe met mes fesses en valeur. Le chemisier est plus transparent que je ne l'avais imaginé. On devine les aréoles de mes seins à travers. Ce n'est pas ce que j'appelle une tenue pour faire le ménage !
Elle me demande ensuite de la suivre jusqu'à la cuisine. C'est la seule pièce de la maison qui est en désordre. Vaisselles sales dans l'évier et sur la table, quelques taches sur le sol. Sans doute les restes de la soirée d'hier.
- Tu as 2h pour faire le nettoyage de cette pièce de fond en comble. Tout ce qu'il faut est dans le cellier juste à coté. Je viendrai inspecter moi-même minutieusement. Allez, au boulot !
Elle repartit, me laissant seule au milieu du chantier. J'inspectais rapidement, récupérait dans le cellier ce dont j'avais besoin et me mettait au travail. Ma tenue ne me facilitait pas la tâche, mais je parvins à terminer dans les temps.

Elle revint à l'expiration des 2 heures, me demanda si j'avais terminé (ça se voyait pourtant) et me dis qu'elle allait procédé au contrôle. C'est à ce moment là que je compris que nous n'avions pas la même notion de "faire le ménage". Elle commença par m'inspecter, moi !
- Tu as fais une tache, ici !
Elle montrait sur mon chemisier blanc une très discrète tache un peu au dessus de mon nombril.
- Tu n'es qu'une petite souillon. Enlève ton corsage, tu iras le nettoyer après !
Le ton de sa voix ne me donna même pas envie de protester, et j'ai commencé à l'ôter avec beaucoup de lenteur. Comment en étais-je arrivée là ?
Pendant ce temps elle sortit de sa poche une paire de gants très fins, d'un blanc immaculé et les enfila. Elle passa ensuite ses doigts un par un en différents endroits : le fond d'une casserole que je venais de laver, la table de cuisson, le dessus de la porte, le sol... Quand elle revint vers moi, j'étais seins nus, et n'osais même pas relever la tête pour regarder ce qu'elle me montrait.
- Regarde mes doigts : Rien n'est propre. On est pas dans une porcherie ici. tu es vraiment une incapable. Pas étonnant que tu ne trouves pas de travail. Allez, Recommence !
- ...
- J'ai rien entendu !
- ...euh, Bien Madame.
- Et n'oublie pas de laver ton corsage. Il y a une bassine et de la lessive dans la buanderie, 2 portes plus loin.
Elle repartit, me laissant seule, les seins à l'air. Je me remis au travail. Mes seins ballottaient lorsque j'astiquais les casseroles et passait une troisième fois la serpillière. cela me faisait une drôle d'impression. Je me sentais humiliée, mais je faisais, malgré moi, ce qu'on m'avait ordonné. Je ne l'ai pas revue avant 12h30. Mon chemisier était lavé mais encore mouillé. Impossible de le remettre. Je tournais en rond, ne sachant que faire. Bref, je rêvassais sur une chaise de la cuisine, heureuse de pouvoir me reposer un peu. Je ne l'ai pas entendu arriver.

- Tu te crois où ? T'as préparé à manger au moins ?
- Euh... non Madame.
- Dépêche-toi de nous préparer un repas. Et puis remets ton corsage, c'est indécent !
- Il est mouillé Madame
- Ce n'est pas mon problème. Faillait pas te tacher ! Je reviens déjeuner dans 15mn. Et épate moi, je veux pas des nouilles !
J'ai commencé par remettre le chemisier. C'était froid sur ma peau. Mes seins pointaient. Le tissus mouillé était transparent. Je restais totalement indécente et elle le savait ! J'ai fouillé les placards, le cellier et fait le bilan du frigo. J'ai réussi à faire une salade composée et à mettre la table avant qu'elle ne revienne.
Elle n'a fait aucun commentaire sur ce que j'avais préparé. Pendant le repas, elle m'a posé tout un tas de questions sur ma vie, mes amours. Certaines étaient très indiscrètes. Elle les enchaînait si vite que mentir m'était impossible. Elle ne se privait pas pour me juger, me dire ce que j'aurais dû faire. Je me sentais inconsistante devant elle.
Elle me donna les règles de la maison. Veiller à ce que le repas soit prêt à 12h30 tous les midi. Faire le ménage du rez de chaussée, tous les jours, faire la vaisselle, laver à la main les vêtements délicats qui se trouvaient dans un bac spécifique à la buanderie. Elle me donna une clef qui me permettait d'entrer le matin. Je ne devais jamais chercher ou appeler Madame, jamais monter à l'étage, ignorer les autres personnes que je pourrai croiser de temps en temps. Je devais être là à 8h précise le matin mais attendre dehors si j'étais en avance. Je devais être partie à 16h45 précise, même si je n'avais pas terminé mes tâches.
J'étais presque heureuse quand le repas fut terminé. Je pouvais ainsi me remettre au travail, ne plus me trouver face à elle. En fait cette femme me fascinait et me faisait peur en même temps. J'enviais son assurance, sa position sociale, sa maison. Mais elle me renvoyait une bien piètre image de moi-même. Je sentais qu'elle me cachait quelque chose aussi.
A peine la vaisselle finie, une sonnette retentit. Je pris soudain conscience de ma tenue encore transparente et j'allais dans la buanderie pour être sûr de ne pas me retrouver nez à nez avec une tierce personne. Mais Madame m'appela soudain et je fut obligée de me rendre dans l'entrée. Une femme s'y tenait debout avec une valise à ses pieds. Madame lui parlait à voix basse mais haussa le ton lorsque j'arrivais.
- Tenez, la voilà ! Peu importe le temps que ça vous prendra. Mais je veux qu'elle soit aussi glabre que moi dès aujourd'hui.
- Si elle est aussi poilue que vous me l'avez dit, il faudra au moins 2 séances.
- Montre ta chatte à l'esthéticienne !
Je n'en croyais pas mes oreilles. J'ai hésité une seconde de trop...
- Et fait pas ta sainte nitouche ! Trousse ta jupe immédiatement.
J'ai relevé ma jupe. La honte m'a de nouveau submergée. je regardais mes pieds comme une petite fille en faute.
- C'est effectivement la forêt vierge ! Il faudra trois séance minimum. Mais rassurez-vous, Madame, elle sera lisse dès aujourd'hui.
- Parfait. Mettez-vous au travail. Vous pouvez vous installez sur le fauteuil électrique du petit salon.
On s'installa dans le petit salon où je dû me déshabiller entièrement avant de m'asseoir dans le fauteuil. L'esthéticienne actionna la télécommande pour que le dossier s'incline vers l'arrière et me fit poser les jambes sur les accoudoirs. Ainsi positionnée, cuisse écartées, j'offrais une vue directe sur mon entrejambe.
L'esthéticienne, ne me demanda pas mon avis, et à l'aide d'une paire de ciseaux, elle commença à tailler ma toison pubienne. Elle y allait sans précaution, attrapant ma toison d'une main sans ménagement, et coupant de l'autre. Parfois elle me faisait mal en tirant mes poils. Madame, restait là, silencieuse, à me regarder.
Mais le plus dur restait à venir. Car une fois débroussaillée, elle sortie de sa valise les bandes de cires pour m'épiler le sexe. Elle m'annonça que ça allait faire mal, mais c'était bien pire que je ne l'imaginais. Je ne pus m'empécher de gémir de douleur devant Madame, qui semblait amusée de m'imposer cela.
Alors que je croyais la séance terminée, l'esthéticienne, armée d'une pince à épiler, ôta un à un les poils rebelles, ceux les plus proches de mon sexe, et je dus encore souffrir. Quand ce fut enfin terminé, mon pubis était tout irrité et je me sentais plus nue que jamais. L'esthéticienne me passa une crème qu'elle étala sans complexe de mon anus à mon nombril. Elle mit dans son geste beaucoup de douceur, alors qu'elle avait été jusque là plutôt ferme. La crème apportait de la fraîcheur à ma peau irritée et j'ai soudain ressenti comme une onde intérieure à mon bas ventre. Madame remarqua aussitôt mon émoi et dit à l'esthéticienne d'arrêter.
- Repars à tes occupations maintenant que tu es présentable.
Elle tendit quelques billets à l'esthéticienne qui la remercia et partit rapidement.Je me rhabillais et retournais à la buanderie.
Il y avait du linge à laver dans le bac : 3 ensembles de sous-vêtements particulièrement soyeux. En les prenant je remarquais que l'un des strings était humide à l'entrejambe, très humide même. Ces dentelles représentaient tout ce que je n'étais pas. Leur douceur, leur richesse me grisaient. Sans m'en rendre compte, je jouais avec, laissant le doux tissus frôler mes mains, glisser entre mes doigts. Je n'ai pas résisté à l'envie de me caresser avec, en portant contre ma joue, ces écrins de soie. Le contact à mon visage était si agréable, que j'en oubliais qu'ils avaient été portés par Madame. Ce n'est que lorsque la petite culotte à l'entrejambe encore humide, frôla mes narines, quand les effluves de l'intimité de cette femme me pénétrèrent, que je pris conscience de l'absurdité de mon comportement.
Je rouvris les yeux, que j'avais un temps fermés pour mieux me laisser transporter. Madame était là, à quelques mètres de moi, le visage dur. Immédiattement sorti de mon rêve, je redevenais la petite fille prise en faute, honteuse. La soie brûlait soudain ma peau, comme si j'avais été prise en flagrant délit d'usage d'un stupéfiant. Mais je ne pouvais me résoudre à lacher ces trésors. Je restais immobile, pétrifiée. Madame s'approcha de moi, se saisit des sous-vêtements.
- Que faisais-tu ?
- ...Rien, Madame.
- Ne me mens pas !
- J'admirais vos dessous Madame
- Comment les admirais-tu ? Tu avais les yeux fermés !
- ... par leur douceur contre ma peau, Madame
- Et, qu'as tu ressentis ?
- Je...
- Accouche !
- J'ai senti votre odeur intime Madame
- Comment était-ce ?
- Je ne sais pas dire Madame. Je...
- Tiens !
Elle me tendit la culotte encore humide.
- Renifle-là !
- Je ne...
- Tais-toi. Respire mon odeur de femme !
J'ai approché le tissus doucement à mes narines. De nouveau, les effluves ont pénétrés mes narines. Ce parfum agréable contrastait avec le sentiment de honte lié à la situation, au regard sévère de Madame sur moi.
- ça te plait de me sentir ?
- ... J'ai honte Madame
- De quoi as-tu honte ?
- D'aimer votre odeur... De m'être faite surprendre...
- Crois-tu que tu devrais être punie ?
- Je ne sais pas Madame.
Elle m'a repris le doux tissus des mains.
- Tourne toi...Prends appui avec tes mains sur ce meuble...
Je m'exécutais en silence. Puis après un long moment, j'ai senti qu'elle me troussait la jupe. Je la sentais proche dans mon dos. Elle me souffla tout doucement à l'oreille.
- Je ne veux pas que tu bouges.., je ne veux pas t'entendre.... Ecarte les cuisses !
Je m'exécutais, puis n'osais plus bouger. Je l'entendis farfouiller dans un placard. Puis, de nouveau, le silence. L'attente devenait stressante. J'avais peur, mais désirais qu'il se passe quelque chose.
Puis soudain, j'ai perçu un mouvement, et presque aussitôt senti sur ma fesse, les lanières qui claquaient. Elle n'y avait pas été de main morte et la douleur d'abord superficielle se répandit en moi. Elle posa sa main sur mon postérieur, avec douceur, comme pour apaiser la douleur. Elle me parla de nouveau à l'oreille. C'était un chuchotement, mais il était dur et humiliant.
- Alors petite cochonne, on renifle les culottes des femmes. N'as-tu pas honte de te comporter ainsi. Je vais t'apprendre à respecter les convenances.
Le martinet cingla de nouveau mon postérieur, à plusieurs reprises, parfois espacées et entrecoupées du contact de sa main, parfois rapprochées. Je sentais une douleur fulgurante à chaque coup, puis une chaleur s'installer, rayonner en moi. La sensation était troublante. Je redoutais mais me résignais à chaque nouveau coup. La correction dura ce qui me parut être une éternité.
Puis elle reposa le martinet et vint une nouvelle fois se placer dans mon dos.
- Que ressens-tu ?
- ...ça me chauffe Madame.
- Où cela ?
- Mes fesses Madame
- Et à ta chatte ?
- Non Madame, mais...
Je sentis subitement sa main descendre le long de ma raie des fesses, puis atteindre mon sexe. Je compris à ce moment là que j'étais trempée. Elle me le fit remarquer.
- Qu'est ce qui t'excite ?
- Je ne sais pas Madame
- Te fous pas de moi. Ce sont les coups de martinet ?
- Je... j'ai si honte Madame.
Elle ôta les doigts de mon sexe et les présenta devant ma bouche.
- Lèche ta mouille sur mes doigts, grosse cochonne!
Je ne pouvais me résoudre à ouvrir ma bouche. Alors ses doigts forcèrent mes lèvres et pénétrèrent ma bouche. Comment en étais-je arrivée là en quelques heures ? Je me détestais d'être si docile. Je détestais mon corps qui réagissait ainsi.
Sans ôter ses doigts de ma bouche elle m'ordonna de me mettre à genou et accompagna mon mouvement. Car j'admets lui avoir obéit, sans même discuter ! j'avais maintenant le visage à la hauteur de son ventre. Elle souleva sa jupe. Elle portait une culotte soyeuse, dont l'entrejambe était marquée d'une auréole humide. Elle posa sa main derrière ma tête et m'attira à elle :
- sens-moi puisque ça t'excite !
Son odeur, plus intense envahit mes narines. Je restais quasiment immobile. Elle me maintenait fermement la tête et frottait son pubis contre mon visage. Le doux tissu était à présent imbibé de sa mouille. Elle pressa plus fort ma tête. Mon nez se trouvait juste au niveau de son sexe, le pénétrant à travers la soie. Elle se crispa soudain et relâcha la pression quelques instants plus tard.
- Rentre chez toi et sois là à 8h précises demain matin !
Elle disparut, me laissant honteuse et excitée. Je remis rapidement les vêtements que je portais en arrivant le matin et ressortis de la maison pour rejoindre mon appartement. J'avais une boule au ventre, une chaleur intérieure, un feu à éteindre en moi. J'ai roulé plus vite qu'à l'ordinaire. En arrivant chez moi, je suis allée directement dans ma chambre, j'ai enlevé mes habits avec précipitation comme si ma vie en dépendait. Dans le miroir de l'armoire j'observais mon corps nu, mes fesses encore marquées de stries rouges, m'envoûtaient. Je me laissais tomber sur le lit. J'ai mis ma main droite entre mes cuisses. Mon sexe était glissant, gonflé, sensible au moindre effleurement. Ma main gauche aggripa l'un de mes seins fermement. Mes doigts s'agitèrent frénétiquement sur mon sexe tandis que les images humiliantes de cette journée défilaient dans ma tête. Mon corps entier s'arc bouta lorsque je revis, en pensées, les coups de martinet qui s'abattaient sur mes fesses. Un orgasme violent me secoua le corps, et me laissa vidée, pantelante, incapable de me relever.
Je m'endormie sans réussir à comprendre ce qui m'arrivait, pourquoi mon corps avait réagit ainsi, pourquoi ma tête acceptait ces traitements humiliants, pourquoi je me lèverais le lendemain pour rejoindre Madame, la servir, lui obéir encore, la satisfaire...
--------------
Note de l'auteur :
Je dédis ce récit à Nathalie, femme qui a découvert et pris goût progressivement à la soumission et aux corrections de sa Maîtresse. Je lui souhaite, et souhaite à toutes celles qui lui ressemblent, d'avoir trouver dans ces lignes une part de leurs fantasmes ou de leur vécu.






Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!