La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°998)

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°997) - Une machine infernale -

Alain ressent une impression d’un bien-être très étrange de soumission qu'il ne comprend pas encore, la verge toujours aussi droite et bandée…

- Ouvrez les yeux.

La vue du corps suspendu à côté de lui provoque un regard hagard. Alain ne croit pas cela possible, le corps de Pierre et lisse comme celui d'un nouveau-né, plus aucune trace de poils, même sur le visage et plus aucuns cheveux. Alain sent son âme sombrer une nouvelle fois, il se sent de nouveau rabaissé d'un échelon, d'une couche sociale. Même la comparaison avec un chien l'amène à comprendre que le chien possède un magnifique pelage. L'image du cochon succède alors mais celui-ci possède aussi des poils. Que lui arrive-t-il ? Que va-t-il advenir de lui ? Pourquoi bande-t-il aussi fort ? Plus d’un n’aurait aucune d’excitation mais il ne peut que constater la réalité des faits ! Cette étonnante réalité que ses deux compagnons d’infortune et lui-même incite leur nouille à se tenir droite et bandée, qu’elle n’est pas insensible à ces traitements si humiliants… Alors il commence à comprendre qu’eux trois n’ont pas été choisi par hasard pour venir au Château. Mais qui pouvait bien deviner qu’ils avaient tous les trois des pulsions si significatives de soumission forte ? Oui qui pouvait connaître leurs pulsions de soumission alors qu’eux-mêmes ne les connaissait pas ment ? Oui qui ? au vu de leurs réactions excitantes à toutes ces épreuves d’humiliations imposées. Ses pensées sans réponses sont interrompues par un claquement inconnu, suivi par un douloureux picotement sur son dos.

- Réveillez-vous, larbins, activez-vous !

Alain secoue violemment son corps, il ne comprend pas ce qu'il peut faire, les coups pleuvent et amènent son corps à se tordre, à osciller, à tournoyer. Lorsqu'il peut finalement voir Madame Marie, il constate le plaisir sadique et pervers manifeste sur son sévère visage quand le fouet siffle une fois en l'air et claque avec un bruit terrifiant une fois sur la cible désirée.

Alain peut apercevoir le corps de ces deux compagnons être progressivement libérés et il se retrouve seul bénéficiaire du vilain fouet. Lorsqu'Alain est finalement libéré, le fouet se repose. Alain retrouve rapidement son lourd et épais équipement de fer qui semble encore plus terrible sur sa chair sans plus aucune protection. Walter apparaît alors, il nous fait remercier Madame Marie pour ses bienfaits du fouet, pour cela il nous impose de se mettre en position de levrette prosternée, les bras bien en avant et le cul bien relevé offrant ainsi une vue imprenable sur trois anus ouvert et dépourvu de tout poil. Alors du bout de nos doigts nous pouvons toucher la pointe des bottes de cuir de Marie la cuisinière quand, de concert, nous sommes autorisés à dire tous les trois ensemble :

- Merci Madame Marie.

Walter replace la courte chaîne entre nous et puis, agrippant directement ma tige toujours aussi bandée, il nous emmène dehors. La sensation de ce nouveau corps glabre est incroyable, le moindre coup de vent fait frémir. Alain est attisé par sa sensibilité cutanée maintenant perçue au maximum. Alain ne sait pas si c'est cette douce caresse de la petite brise ou la ferme prise sur sa tige, mais son excitation est sans cesse renouvelée sans jamais s’affaiblir. Alain savoure cet appétit sexuel, ce profond désir de contact, de plaire et de servir...

Le groupe est amené dans une autre grande salle au fond de laquelle Monsieur le Marquis est confortablement installé sur son trône sculpté aux Armoiries des Evans. Devant lui se trouve trois autres simples sièges en bois. Les deux plus petits sont des tabourets équipés de différents anneaux et au centre desquelles se dressent une épaisse tige droite. Le troisième siège ressemble à un fauteuil droit. Pierre et Marc sont menés par deux femelles esclaves aux tétons annelés, chacun vers un tabouret. Tous deux se retrouvent s sur la luisante et rigide tige de caoutchouc et sont maintenus en place tandis que leurs chevilles sont immobilisées de chaque côté.
Même si, aux yeux d'Alain le tourment ne paraît pas trop sévère, Alain dans une première pensée est soulagé de ne pas devoir le subir mais dans une seconde pensée, il les envie presque ! Alain est conduit vers le fauteuil et ses poignets sont rapidement verrouillés aux accoudoirs, ses chevilles aux pieds du fauteuil, immobilisant son corps. Alain ne comprend pas ce qui l’attend mais cette sensation de ne plus rien diriger, de se laisser faire le rend satisfait et fier. D'autres sangles viennent immobiliser totalement Alain, le plaquant ainsi fermement contre le dossier en bois. L'inquiétude prend le dessus lorsqu'Alain sent un mouvement du siège qui se sépare en deux, écartant largement ses jambes, offrant une vue imprenable de son ancienne virilité et Monsieur le Marquis ne s'en prive pas. Alain peut voir une certaine crainte, certainement une satisfaction dans le regard du Maître et Propriétaire. Ce simple regard envoie chez Alain une image de l'avilissement dont il est le sujet et la puissance dans ces yeux bleus, profondément Dominateurs, amène encore et encore un durcissement inexplicable et un dégoulinement incompréhensible de sa verge si ce n'est l'ultime plaisir de servir et d'être humilié pour le pur plaisir du Maître.

Une fois ses jambes écartées au maximum et verrouillées, sur un claquement de doigts, deux belles jeunes chiennes-soumises font leur entrée, poussant deux gros chariots qui ressemblent à de grosses caisses de bois. Le premier est ajusté entre ses jambes et fixé à son fauteuil. Sous le regard attentif et amusé de Monsieur le Marquis, le Majordome retire rapidement le couvercle pour révéler un étrange mécanisme. C'est comme une roue à aube ou comme les ailes d'un moulin, un axe circulaire autour duquel sont plantés ce qui ressemblent à huit plaques de caoutchouc. Walter ajuste la distance en posant une de ces plaques par-dessus la base du sexe offert et toujours fortement gonflé d'Alain. Alain ne se sent pas rassuré même s'il ne comprend pas bien le mécanisme.
Son regard est de suite écarté quand l'autre caisse est arrimée derrière la première. Une fois que le Majordome a enlevé le couvercle, le but de l'installation est plus évident. Alain peut voir un long piston à l'extrémité duquel est fixé un dildo de petite taille au niveau du diamètre et de sa faible longueur, si petit qu'Alain ne s'en tracasse pas, il est plus inquiet par la plaque de caoutchouc déposée entre ses jambes. Lorsque Walter ouvre un tiroir et sort une belle collection de dildo de longueurs et de diamètres toujours plus gros. Alain commence à gémir et à se crisper, bloquant sa bouche fermée anticipativement. Il devient réellement nerveux lorsque son visage est totalement immobilisé contre l'appuie-tête et que le Majordome positionne ce petit dildo juste devant ses lèvres. Walter se recule et salue respectueusement Monsieur le Marquis.

- Que la formation commence.

Le Maître a parlé. Le Majordome se dirige vers le clavier de commande des deux machines. De suite, la plaque de caoutchouc glisse entre les jambes d'Alain. Alain ne peut rien voir avec sa tête immobilisée, mais la sensation n'est pas du tout désagréable, presque chatouilleuse. La deuxième plaque vient s'aplatir doucement sur la base de sa droite nouille et le dessus de ses couilles, puis la troisième et ainsi de suite. Le mouvement s'accélère et le plaisir semble disparaître pour laisser place à une douleur acceptable. En fait le plaisir physique disparait certes, mais celui qui est mental, lui prend le relai et exacerbe les pulsions masochistes d’Alain. Tandis que la roue continue à tourner lentement, Walter force le dildo à entrer dans la bouche d'Alain. Celui-ci peut sentir les détails du gland artificiel avec ses lèvres et sa langue. Il le lèche autant que possible pour le mouiller afin de faciliter l'inévitable pénétration buccale. Effectivement, le piston amène lentement le dildo à pleine longueur dans la bouche préparée. Derrière les deux étranges machines, Alain peut apercevoir Monsieur le Marquis qui se lève.
Le Noble prend le pouvoir sur les machines, le Maître prend possession de la télécommande et la manipule avec le contrôle de tous les mouvements, l'amplitude et la vitesse. Monsieur le Marquis fait quelques pas lents, assurés autour du corps immobilisé et soumis à ses moindres exigences. Le Châtelain se penche devant lui pour simplement lui montrer son autorité et dépose le boîtier. Sans un mot, il caresse avec douceur le corps chauve de Sa possession, la tête avec une main lente, le torse plus sensuellement sauf les petits tétons de la poitrine du soumis où deux mains plus fermes s'attardent pour tourmenter les deux pointes lisses et dressées, le ventre d’Alain qui se raffermit au contact, sa nouille bandant toujours à l’extrême… Toutes Ses caresses sont un savoureux mélange de douceur et tendresse associées à la poigne ferme de l’autorité, de l’Exigence …

Monsieur le Marquis récupère la télécommande et l'actionne, le mouvement des palettes devient plus violent, la douleur plus féroce. La main de Monsieur le Marquis vient taquiner le gland gonflé tandis que le dildo se retire étonnamment. Les nobles doigts qui caressent la pointe de la tige se dirigent vers la bouche d'Alain qui ne peut que lécher ces doigts affectueux et inquisiteurs dans sa bouche. Les doigts se retirent et Alain se prépare au retour du dildo mais ce qui pénètre sa bouche est un tube de caoutchouc beaucoup plus épais et plus long comme il peut le sentir lorsqu'il vient percuter le fond de sa gorge. Les yeux bleus, fixes et puissants de Monsieur le Marquis hypnotisent toujours les siens et Alain réalise que ce qu'il croyait être une sorte de punition à subir est un cadeau du Maître, un cadeau pour le former à servir avec efficacité, un cadeau pour lui rappeler de réaliser chaque ordre rapidement et efficacement aux moindres claquements de doigts. Le mouvement maintenant accéléré entre ses jambes devient insupportable et cette douleur vient ancrer ce désir de bien servir. Chaque fois que le Châtelain gratifie Alain avec ses nobles doigts enduits de son propre suc, un nouveau calibre est placé pour former sa bouche à n'importe quel Visiteur et plus le calibre est imposant, tant en diamètre en longueur, plus sa condition lui est rappelée par le battement impitoyable entre ses jambes. La formation dure des heures, entrecoupées par de courtes pauses afin d’abreuver Alain. À chaque pause, le plus petit des dildos est réinstaller mais le mouvement est plus violent et puis, la progression reprend. Alain ne sent plus ses mâchoires endolories, il ne sait plus si la pire est entre ses jambes ou dans sa bouche, mais il sait qu'il s'améliore. À la fin de cette première formation, Walter libère Alain tandis que Monsieur le Marquis retourne fièrement dans une impressionnante allure majestueuse sur Son trône. Alain s'écroule sur le sol, exténué. Quand le soumis entend le Maître lui ordonner laconiquement :

- Approches !

Ce seul ordre, court, clair, exprimé dans un timbre de voix sans crier et empli d’autorité naturelle ramène une énergie incroyable dans le corps d'Alain. À quatre pattes, Alain rampe rapidement aux pieds du Maître. Monsieur le Marquis écarte noblement ses jambes et Alain sait ce qui l'attend. Il patiente et attend avidement un geste, un signe, un ordre qui ne vient pas. Monsieur le Marquis se caresse l'entrejambe et Alain salive, les yeux rivés sur ce noble gonflement dans l’entre cuisses du Châtelain. Monsieur le Marquis ouvre sa ceinture, la retire et la claque plusieurs fois sur le dos et sur la croupe offerte du chien soumis. Alain ne bronche pas, son regard intensif ne faiblit pas. Monsieur le Marquis ouvre le premier bouton de son pantalon, Alain ne manque pas un seul mouvement. Lentement, progressivement, chaque bouton de la braguette est ouvert. Alain observe, il scrute chaque détail révélé. Les pans sont finalement écartés pour révéler graduellement l'objet de sa formation. Alain est-il prêt pour le premier test de cette formation buccale ? La bouche grande ouverte, les yeux écarquillés, hypnotisé, la langue tendue et la salive dégoulinant aux coins de ses lèvres tel un chien, le chien qu'il est devenu, Alain attend avidement. Lorsque ce signal tant attendu, tant espéré arrive, Alain s'avance sans précipitation vers ce présent. Sans bousculer le Maître, n'utilisant que sa tête, Alain commence à choyer cette si noble partie. Il ne brusque rien, il ne s'éternise pas non plus et trouve le bon rythme et les bons mouvements jusqu'à ce qu'il enfourne ce divin phallus jusqu'à la garde. Il reste là sans bouger, si ce n'est ses lèvres et sa langue, une éternité et lorsqu'il n'en peut plus, une main ferme est décidée à le bloquer sur place. Au lieu de paniquer, Alain prend le contrôle de son corps pour savourer cette glorieuse pénétration et remercier ainsi le Maître pour la rude mais utile formation qu'il vient de recevoir...

Pour le féliciter et l'encourager, de longs coups de fouet viennent raviver son corps. Le Majordome commence une lente flagellation du corps d'Alain comme pour accompagner la fellation du Noble Phallus et Alain en est conscient et excité. Plus les coups sont durs, plus Alain remercie Walter en agitant son corps, en lui offrant plus de parties à atteindre, en redressant même sa croupe et en écartant même ses jambes sans jamais déplacer sa tête empalée sur le Noble Outil. Le Majordome comprend immédiatement le signal voulu ou non, conscient ou non et le fouet se déplace progressivement vers ces zones offertes, insistant sur la méprisable tige tendue et dégoulinante et le sac serré d’une paire de couilles regorgeant de foutre à libérer. Alain accueille directement cette atroce douleur entre ses jambes, transposant toute cette agonie en de tendres caresses du Noble Phallus. Toute bonne chose a une fin et celle-ci est déterminée par de puissants jets qui percutent le fond de la gorge déformée d'Alain et le lent retrait progressif, pour laisser place à la divine semence et baptiser ainsi ce nouveau chien. Le soumis est maintenant réellement exténué. Une fois libéré du Royal Pieu du Maître qui le maintenait littéralement en vie, Alain s'effondre. C'est Walter, lui-même, qui le mène dans un espèce de cachot, où en son centre est suspendue par une lourde chaine une solide cage exiguë. Alain se couche en chien de fusil afin d’avoir la place nécessaire sur une simple couverture déposée sur le plancher de ladite cage avant que le Majordome referme le cadenas de la petite porte et de positionner le palan afin de garder cette cage à hauteur désirée pour un accès complet aux deux orifices du soumis … Alain se sent exténué mais heureux, jamais il a été aussi heureux … Sa nouvelle vie commence …

(A suivre …)

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