Notre Notaire Confisque Ma Petite Culotte (Episode 3)

Je savais bien à quoi je pouvais m'attendre en me présentant à ce rendez-vous.
Depuis la veille, je n'avais pas arrêté d'imaginer ces deux vieux pervers profitant de moi. Nous étions Samedi et l'ancienne étude de mon grand-père était fermée.
Ils auraient le champ libre pour tout me faire, me posséder complètement et même prendre mon pucelage s’ils le souhaitaient.
Je voulais leur montrer que j'étais prête, capable.
Pour ma tenue, j'avais pensé me présenter tout simplement en costume d'écolière bien sage.
Je voulais les exciter sans paraître vulgaire. Je passais une partie de l'après-midi à rechercher sur le net le genre de tenues que pouvaient porter les jeunes écolières des années 60-70.
J'avais bien un déguisement « Fasnacht » mais il n'était pas question de faire vulgaire avec une jupette écossaise qui m'arrivait au ras des fesses.
Le seul élément convenable de cet ensemble était une paire de chaussettes blanches juste au dessus du genoux qui allait très bien avec une paire de chaussures retrouvée au fond de mon placard : des derbies style écolière japonaises avec un petit talon.
Pour le reste, une fois de plus je trouvais mon bonheur dans le dressing de ma mère : un chemisier blanc légèrement transparent et une jupe portefeuille écossaise plissée assez évasée, courte mais pas trop.
J'optais sans hésiter pour une culotte blanche en coton épais et à taille haute qui me couvrait jusqu'au dessus du nombril et un soutien gorge bandeau blanc on ne peut plus austère.

Depuis la gare, le métro me laissait à Drancy, puis, quelques minutes de marche et je me retrouvais directement avenue du Servan.
Malgré mon agitation, j'avais terriblement envie de faire pipi, je constatais que ma tenue si l'on excepte les regards intéressés de deux vieux papys, restait finalement assez passe partout.
Une grande porte, l'entrée de la cage d'escaliers sur la droite, je connaissais bien les lieux : une solide bâtisse art déco prés de la piscine.


Je montais directement au premier étage.
Maître Berney sans un regard me conduit rapidement dans la grande pièce. Tout juste si j'ai le temps d'apercevoir, assis dans un coin, un vieux Monsieur que je suppose être Maître Imbert.
Tout va très vite. Je ne peux esquisser le moindre geste et déjà je suis courbée en deux sur le grand bureau, jupe retroussée et fesses exposées.
Je n'en reviens pas, je suis à peine arrivée et voilà que j'encaisse une bonne fessée.
Maître Imbert s'est levé, je le distingue à peine sur le côté, mais je peux voir qu'il photographie ou filme la scène avec son mobile. Les claques sur mon derrière rebondi sont très sonores. J'en suis à m'inquiéter de la fenêtre grande ouverte qui me fait face, lorsque Maître Imbert qui s'est rapproché baisse ma culotte et déclare que mes belles fesses ne sont pas encore assez rouges.
Il saisit une grande règle plate en plastique sur le bureau et se met lui aussi à me corriger.
« Voilà ce qui arrive aux jeunes filles qui ne sont pas capables de suivre les directives les plus simples. »
Il a une petite voix aigrelette très désagréable qui, pour moi, colle parfaitement au gros personnage répugnant qui est en train de me fesser cul nul. Je pousse maintenant des petits cris à chaque coup bien appuyé. Ce vicieux sait y faire, il casse le rythme et réussit à me surprendre. Je sais que d’entendre ce petit cri aigu qui suit immédiatement chaque claquement le rempli d'aise, mais je ne peux l'éviter.
Sous les coups, j'avais presque oublié mon envie, mais elle est toujours là, de plus en plus forte.
Plaintivement je murmure :
« Mais, j'ai fais tout ce que vous m'avais demandé et j'ai très envie de faire pipi. Pitié arrêtez Monsieur. Je n’arrive plus à me retenir.»
Dans le même temps je réalise alors que j'ai oublié d'apporter mon violon comme cela était convenu.
Je rajoute sans trop réaliser ce que je suis en train de dire :
« Je vous assure que je n'oublierais pas mon violon la prochaine fois, je vous en supplie, j'ai mal, mais maintenant, je m'en rappellerai.

- C'est bien ma chérie, approuve Maître Berney qui intervient à son tour, bon, allez, viens là maintenant et montre à notre ami ce qu'une petite dévergondée a osé faire sur le bord de la route. »

Je me redresse, me rajuste, remonte ma culotte et me plante au milieu de la pièce.
« Non pas comme ça. Enroule ta jupe autour de la taille et accroupie toi.
Je fais ce qu'il me dit.
« Allez maintenant montre comme tu as fait pour me la sortir en te léchant les babines. »
Je m'exécute toujours sans un mot.
J'entends à peine les explications de Monsieur Vincent qui raconte à quel point je suis une dévergondée qui s'est mise à uriner sous son nez pendant que je le débraguettais.
Il bande comme un cerf et j'ai du mal à tout dégager.
Je ferme les yeux, ouvre grand la bouche, respire profondément.
Je me saisie de ses deux grosses couilles et je les tire vers le bas comme pour les traire.
Il pénètre lentement en moi me bloquant immédiatement la respiration. Je suis à sa merci, sa queue me remplie complètement la bouche, il se retire enfin me laissant inspirer. J'ai à peine le temps de souffler. Il se renfonce lentement et une fois au fond de ma bouche il colle ma tête contre sa bedaine..
"Vas-y suce moi petite chienne"
Moi qui pensait être en bout de course, je sens le gland passer ma luette puis continuer jusque dans ma gorge.
J'ai littéralement les dents plantées dans le ventre de Maître Berney. Je suffoque.
Son membre est devenu énorme, J'ai de plus en plus de mal à reprendre mon souffle entre deux enfournées. Dès que je tente de relever la tête, il me la replante sur son pieu.
Je prends plaisir à sucer ce porc et je ne me rebelle pas quand il m'empêche de reprendre mon souffle, au contraire, je me sens presque coupable de ne pas réussir à le prendre plus en bouche.
Pendant ce temps, Maître Imbert a recommencé son trafic dans mon dos, j'aperçois un plug posé sur le bureau et il finit d'installer une petite caméra.

« Bonne qualité d'image et son parfait » affirme-t-il.
Il recommence à me filmer et veut me faire répéter des cochonneries. Je m'exécute trop heureuse de pouvoir enfin respirer librement.
Je dois d'abord me présenter en donnant mon nom complet et mon adresse puis déclarer que je suis lycéenne, très vicieuse et que j’aime sucer les vieux messieurs et être fessée lorsque je suis vilaine. Je dois ensuite donner le nom de mon établissement scolaire.
Tout en me faisant répéter ces cochonneries Maître Imbert s’est rapproché, il est maintenant tout prés, je le sens dans mon dos et je vais pour me retourner lorsque Monsieur Vincent me la remet une fois de plus bien profond jusqu'aux couilles. Je suis toujours accroupie mais j'ai pu remarquer que le plug a disparu ainsi que la grosse poire noire qui était également sur la table. Je n'ai pas le temps de me poser plus de questions sur ces objets, agenouillé derrière moi, Maître Imbert vient d'écarter délicatement les bords de ma culotte et il me l'enfonce dans le derrière.
Ma position s'y prête, le plug se met en place sans que je ne puisse rien y faire,
Maître Imbert s'est redressé et il frotte maintenant lubriquement son sexe dans mon dos. Je réalise qu'il a baissé son pantalon et lorsqu'il commence à presser la poire, je voudrais protester ou crier. Je ne sais plus où j’en suis. Je commence à suffoquer. J'ai la mâchoire toujours bloquée par le gros sexe de Maître Berney.
Je viens enfin de comprendre à quoi pouvait bien servir la poire. Je sens le plug devenir très gros dans mon derrière, je frissonne, je perds pied, impossible de me retenir davantage. Si au moins je pouvais respirer. Il y a bien une solution. Comment ai-je pu l’oublier ?
J'enfonce deux de mes doigts dans le trou du cul de Maître Berney qui aussitôt se met à se répandre.
Il m'injecte son jus directement dans la gorge, plusieurs jets qui m'inondent jusqu'à remonter dans ma bouche et déborder de mes lèvres.
Il se retire, je peux enfin respirer.
Une onde de plaisir me parcours, je soupire plusieurs fois, laisse échapper un Mon Dieu et commence à faire pipi dans ma culotte.
C'est délicieux même si je fais tout mon possible pour me retenir en hurlant que je dois absolument aller très vite aux toilettes.
Maître Imbert lâche alors la poire et s'allonge entre mes jambes. Ma culotte est toute trempée et un filet de pipi se met à couler sur le gros ventre poilu du vieux notaire.
Maître Berney vient de s'écarter pour lui laisser le champ libre, il en profite pour se disposer plus confortablement de manière à ce que je me soulage directement sur sa queue et ses couilles que je découvre pour la première fois.
Ce petit homme replet au crâne luisant l'a encore plus grosse que celle de Maître Berney .
Alors que je ne l'avais encore jamais vu une demie heure auparavant, ce vieux Monsieur a baissé ma culotte, il m'a photographiée et filmée en train de sucer, il m'a godée, il m'a exhibé sa grosse queue et voilà que maintenant je suis en train de lui pisser dessus. Comment puis-je ?
Je vois une flaque s'agrandir sur le parquet de l'ancien bureau de mon grand père. Un dernier sursaut de pudeur, je dois partir, arrêter.
Une série de claques sur les fesses et deux trois pressions sur la poire qui pend maintenant librement entre mes cuisses me ramènent à la réalité.
« Qui t'as dit de t'arrêter ? Continue de pisser dans ta petite culotte, que tout le monde voie bien quelle salope tu fais ma petite Camille à te laisser filmer en train de te soulager sur un papy qui te dilate le cul. »
Vaincue, j'écarte ma culotte et termine d'uriner à gros bouillons sur sa verge et ses grosses couilles.
Maître Imbert est maintenant debout, moi agenouillée à ses pieds. Je l'entends soupirer d'aise puis progressivement ses traits se durcissent.
Il considère maintenant le spectacle d'un air dégoûté, ma culotte blanche et mes chaussettes sont complètement trempées et je sens que mes chaussures sont également souillées. J'entends les commentaires des deux hommes.
Maître Imbert :
« Maintenant Camille, tu vas me nettoyer tout ça, Vincent tu avais raison cette jeune fille est une vraie cochonne. »
Maître Berney
«Oui, une nymphette bien vicieuse. Cela fait un bon moment que j'attendais ça. »
Maître Imbert s'est rapproché et m'intime de commencer.
Ecoeurée mais totalement soumise, je m'acquitte consciencieusement de ma tâche et me met à agiter et à faire glisser dans tous les sens ma langue sur sa queue, son ventre et ses bourses poilues souillées par ma pisse.
Voyant que je suis partie prenante pour cette opération dégoûtante, il veut que nous nous disposions tête bêche, allongés sur le plancher de manière à profiter au mieux de mes aptitudes à la lèche. Il me demande aussi de passer entre ses fesses. Je m’exécute. Je suis au-dessus. La position est très incommode et du fait de son gros ventre je me retrouve le nez dans sa toison toute imbibée de mon pipi. Je lui lèche ses grosses couilles tant bien que mal.
Lui, s’est remis à sucer et à mâchouiller ma culotte toute humide ce qui le fait rebander de plus belle. J'ai peur de deviner ce qu'il va vouloir maintenant, sa queue est très épaisse, il va m'.
Mais au lieu de ça, il me demande de me mettre à quatre pattes. Je n'ai pas le temps de dire ouf que déjà, il m'a baissé culotte.
Je réalise alors que Maître Imbert qui ne bande plus se tiens maintenant derrière nous et regarde mon derrière.
Il se penche, me retire le plug, et me crache plusieurs fois dans l’anus.
Je sens ses yeux fixés sur mon trou de cul qui ne s'est pas encore complètement refermé.
« Ma petite Camille, tu m’as bien vidé et tu as tout bien avalé comme une bonne fille et voilà que maintenant j’ai une autre grosse envie, un besoin naturel dont je veux également te faire profiter. Mais patience, il faut qu’on te dilate encore un peu »
Aussitôt dit, aussitôt fait, il me renfourne sans ménagement le plug dans le cul, puis s’adressant à son associé :
« Vas y Robert; occupe toi bien d’elle, moi je vais essayer de me retenir, il faudrait que cette petite pute reste ouverte une vingtaine de seconde, exactement le temps de lui en mettre un demi litre… »

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