Après Un Service

Pour un service rendu….

Cette histoire est réelle, et de plus très récente car elle date du début juillet. Nous venons d’acquérir un appartement et jean, y a passé plusieurs jours pour y faire des travaux. L’un de ces jours, il a été sollicité par une voisine, car son père, âgé, venait de tomber. Un petit coup de main pour le relever et l’aider à regagner la voiture, et direction l’hôpital. Plusieurs jours se sont passés avant qu’elle reprenne contact et nous invite à l’apéro, pour nous remercier. Jean étant en voyage, c’est donc seule que je m’y suis rendue.
Un point rapide sur moi ; 56 ans, on me dit jolie et si comme toute femme, ma silhouette a changé, avec le temps, je peux me permettre de ne pas porter de soutien-gorge (95b) et de m’habiller en 38. Pour ce soir, je porte une jupe portefeuille assez courte et un chemisier blanc laissant deviner que mes seins sont libres de tout contrainte
En arrivant, je suis reçue par une jeune femme (environ 35 ans) souriante, assez fine, en jupe et corsage, tendu par une belle poitrine et par un homme un peu plus vieux semble-t-il, les temples grisonnants, en pantalon blanc et chemisette ; les deux ont une certaine classe et très vite, ils savent me mettre à l’aise. nous échangeons nos prénoms (ils se reconnaitront car ils vont sur le site)
Après avoir pris des nouvelles de son père( il va bien), je converse avec la jeune femme , pendant que son mari débouche une bouteille de champagne ; d’un bavardage informel, la conversation évolue doucement sur des sujets plus personnels, et effet bulle sans doute, je prends conscience que ce couple m’attire et cela se traduit rapidement par des pointes de seins saillantes sous mon fin corsage et une douce chaleur envahie mon ventre ; en face de moi Marc a posé sa main sur la cuisse légèrement découverte de sa femme, tout en fixant ma poitrine ; le champagne doit faire le même effet à Béatrice qu’à moi, car elle se laisse faire et ses jambes s’écartent , découvrant largement ses cuisses et le fin rempart de son sexe.


Nous en sommes à la troisième coupe et comme à chaque fois, mes envies m’envahissent, et pour me contenir, je croise et décroisse mes jambes, pour le plus grand plaisir de Marc car ma jupe a vite remonté et si deux ou trois fois, j’ai essayé de la redescendre, très vite j’abandonne, offrant ainsi la découverte de mon ventre, mais aussi de mon string, déjà bien mouillé et coincé entre mes petites lèvres. C’est une maladresse de ma part qui allait mettre le feu ; une coupe renversée, une jupe mouillée et Béatrice se lève pour essuyer les dégâts et ce faisant sa main se pose sur ma cuisse ; à son contact, un grand frisson me transperce et elle s’en aperçoit. Sa main s’appuie plus fermement et me regardant, elle la glisse doucement vers mon entrejambe ; ma première réaction est de resserrer mes jambes, mais très vite sous la pression de ses doigts, je les écarte, lui offrant le chemin de mon plaisir.
Alors que sa main s’infiltre entre mes petites lèvres, écartant le tissu qui la gêne, elle se penche vers moi et ses lèvres se posent sur les miennes ; d’un doux baiser, il devient plus ardent et nos deux langues se mêlent pour une fougueuse embrassade ; glissant mes fesses sur l’avant du fauteuil, je lui offre l’entrée de ma chatte et ses doigts me branle le clito ou me pénètrent profondément ; je m’offre à cette femme, à ses doigts, à sa bouche, alors que Marc s’est rapproché et nous observe ; son pantalon tendu traduit ses envies. Mais pour l’instant, c’est à Béatrice que je me livre ; mon corsage est vite ouvert, mes tétons mordillés. J’aime faire l’amour avec une femme, j’aime qu’elle me domine Béa semble en avoir envie Très vite je me retrouve nue, allongée sur la moquette livrée à ses envie Elle a quitté à son tour ses effets et en 69, elle se pose sur moi, collant sa chatte d’où perle sa cyprine sur ma bouche ; écartant mes lèvres , sa langue me fouille, lape mon plaisir ; je ne suis pas une femme fontaine, mais je mouille beaucoup et quand son doigt vient me caresser le sillon, pénétrant doucement dans mon fondement, je ne peux me retenir et ma jouissance déferle, brutale, bruyante, et mes cris envahissent la pièce.
J’essaie de lui rendre le même plaisir, mais elle me ravage et j’ai beaucoup de mal ; soudain un sexe vient frôler le postérieur de Béatrice et d’une poussée, il investit sa chatte, frottant ainsi sa queue sur mes lèvres ; il la possède puissamment et ses couilles viennent me frapper à chaque pénétration. A ce regime, Béa ne tarde pas à réagir, le visage collé à ma vulve, elle gémit de plaisir ; il faut dire que la saillie est puissante. Elle m’oublie tout offerte à son homme qui la possède. Soudain il se retire, il n’a pas jouit, et nous faisant faire un demi tour, je me retrouve sur Béa, le postérieur offert à son vit ; c’est à mon tour de me faire prendre ; l’homme est viril, bien membré et sa queue remplit ma foufoune ; accroché à mes hanches, il me possède puissamment, se retirant complètement pour mieux me percuter ; sous moi, Béa participe en me triturant le clito ; je suis à eux, je jouis sous leur emprise et même si ma bouche est plaquée sur la chatte de Béa, je suis incapable de la butiner ; la queue me possède, me remplit, me ravage ; je ne suis que jouissance et quand , plaqué contre mes fesses , il déverse sa semence, j’explose ;ses jets nombreux et chauds frappent mes parois, me remplissent le conduit, me fécondent. Quand il se retire, sous moi, Béatrice bois le trop-plein de la puissante éjaculation ; sa langue me nettoie la chatte, lapant le mélange de nos sécrétions. Je suis restée un long moment allongée, récupérant de mon plaisir intense, serrant les cuisses pour conserver sa semence, alors que tous les deux me caresser doucement.
« Comme tu es seule tu restes avec nous cette nuit » c’est Béa qui vient de parler, ce n’est pas une proposition, plutôt un ordre.
« Tu vas nous appartenir, je vais t’offrir à mon homme mais aussi te posséder ; cette nuit tu vas être notre petite femelle »
Après une petite pose restauration, la conversation est directement portée sur le sexe ; j’apprends qu’ils naviguent régulièrement sur hds et quand je leur avoue que nous aussi, ils se connectent pour y consulter nos récits ; nous nous découvrons plusieurs points communs entre autre notre bisexualité, la fréquentation des clubs libertins , ainsi que les périodes au cap.
Je découvre aussi que de leur chambre, ils nous avaient vue en petite tenue et même tout nus, ce qui leur avaient donné des envies
Il ne faut pas longtemps avant qu’à nouveau je sois leur jouet et le reste de la nuit a été plutôt hard.
A suivre



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