Laure Éduquée 2

LAURE EDUQUEE – 2

Après une nuit traversée de rêves érotiques, longue et récupératrice, un bain chaud et doux, un petit déjeuner délicieux, je me préparais pour une journée vouée aux vices, aux excès de la chair. J’organisais mon emploi du temps. Mon couple vicelard devait arriver vers 19h, j’avais quelques bouteilles en réserve, quelques nourritures au frigo. Qu’allais-je faire jusqu’à 19h ? Je me préparais, enduisais mes intimités de pommades huileuses et odorantes. Je remettais ma petite culotte gorgée de mes excès de la veille. Elle était toute sèche, pour combien de temps ? Je la parfumais, badigeonnais de crème. J’enfilais un mini short en cuir (taillé autrefois dans le pantalon qu’un ami m’avait laissé), large et indécent. Ma petite jupe en cuir pour être décente !!! Un tee-shirt sans rien dessous. Bottines. Me voilà prête. Il fait très chaud, je décide d’aller au parc à côté de chez moi pour prendre le soleil et… on ne sait jamais.
Je me trouve un petit coin tranquille sur la pelouse, je retire ma jupe, m’allonge, le soleil vient me caresser. Mes lunettes de soleil me couvrent le visage. Je me sens libre. J’ouvre les jambes, les ferme. Je suis sûre que l’on doit me mater et je sens quelques petits jets de mouille venir souiller ma petite culotte. Je me laisse aller. Je me retourne, je suis comme une saucisse sur un grill. Mon cul offert au soleil, aux regards, j’adore ! Quelques moments plus tard j’entends une voix qui s’adresse à moi. Quasi endormie j’ai du mal à savoir si c’est dans ma rêverie ou si c’est réel. Un type est près de moi. Il m’avertit de faire attention car je suis indécente et qu’il y a des vicelards dans le parc. Je le remercie pour ses conseils ajoutant que les vicelards ne me gênent pas, tant qu’ils se contentent de me regarder. On discute. Il me plait, je l’ai accroché. Il m’invite à boire un pot. On va dans un troquet, on choisit un petit coin tranquille. Il commande des boissons. On discute.

Il me plait pas mal. On commence à flirter. Nos mains s’agitent sous la table, c’est bon. Une idée me traverse : tu viens ce soir participer avec mes amis à nos débauches ? Il est d’accord (je lui dis que ce n’est pas gratuit, il comprend et me tend un beau billet). Je reçois un coup de fil de mon couple qui me dit que finalement ils seront trois, il y aura Camille en plus. Je n’ai rien contre, au contraire ! Je fais le compte : moi, le couple, la fille, P. ma rencontre actuelle… mais il manquera une bite me dis-je, salope que je suis. Je téléphone illico à F. mon salopard bien vicelard, il est libre et ok, il me dit bander déjà.
Je rentre chez moi, il est déjà 17h. Dans deux heures ils devraient tous être là. Je récapitule : trois bites, deux chattes et 250 euros… Je m’affaire pour accueillir mes invités, prépare des verres, des amuses gueules, Je me relave, me parfume, enduis mes fentes d’une petite crème parfumée. Je me rhabille en mini, me maquille. Je vais me reposer, rêver, imaginer en attendant qu’ils arrivent.
On sonne ! Il est plus de 19h. C’est mon couple de vicelards avec la jeune Camille, une jeune rousse délurée selon toute apparence. Elle me demande tout crûment s’il y aura des types ? Je la rassure. Tu verras, tu auras de quoi t’occuper. Elle me pose plein de questions. Elle a envie de savoir s’il y aura un vieux vicelard dont on lui a parlé et qu’elle aimerait rencontrer (il s’agit de F. un prof de philo). Malheureusement il ne sera pas là ce soir. On sonne à nouveau à la porte. Mes deux baiseurs arrivent en même temps. Nous sommes au complet.
Ils ont apportés des bouteilles (et bien entendu les billets de rigueur). Je suis assise à côté de C. vêtue très court, belles cuisses, sensuelle. Elle rivalise avec moi en sensualité. On boit, mange un morceau, les langues se délient, les mains aussi. Elle passe sa main sous ma jupe, elle me fouille bien à fond. Nos bouches, nos langues se rencontrent. Elle est très sensuelle. Elle me dit à l’oreille qu’elle a envie de se faire défoncer (enculer – j’ai oublié le mot exact) par P.
Pas de problème tu auras tout ce dont tu as envie. J’ai aussi envie de te lécher, te brouter la chatte, même si tu es toute mouillée, surtout si tu es bien trempée. Nos propos sont tels. Je la présente à P. Il lui convient. Ils ne vont pas tarder à baiser. Quant à moi, il me reste mon couple, elle toujours très salope, lui bien monté. Je la lèche, il me baise. On change de rôles, je le suce, elle me tripote, enfonce ses doigts partout, me lape la chatte, me mord le clito. Je jouis.
La jeune Camille revient vers moi. Elle me dit qu’elle n’a eu qu’une bite pour le moment et qu’elle a envie de me voir me faire enculer et qu’ensuite elle me lèchera tout partout alors qu’elle se fera mettre par un autre. Elle me dit qu’elle aime quand ça sent le foutre, la mouille, la pisse, que les doigts s’enfoncent dans tous les trous, sans distinction. Elle me suggère une chose que j’aime en fait : « si on pissait ? » Jouer aux sales petites cochonnes l’excite, moi aussi. Nous allons jouer les petites pisseuses.
Nous avons réalisés tous nos désirs : enculées, baisées, arrosées ‘de foutre, de pisse), avons sucé, léché…
Une très belle soirée (du foutre plein la bouche, le ventre, le cul…) de la mouille encore dans les narines, de la pisse…
Encore !

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