Je Suis Une Femelle Salope 57 - Une Bonne Correction

JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 57 - UNE BONNE CORRECTION
Pendant ma période de soumission, je voyais régulièrement ma Maîtresse, une belle blonde, pour qu’elle me domine et au final qu’elle me fiste. C’était une experte en la matière et à chaque fois, je prenais un pied colossal. Elle savait aussi manier le martinet et j’en faisais à chaque fois l’expérience mais c’était plus un épisode pendant nos séances que le plat de résistance.
C’était un rituel bien rôdé, j’arrivais chez elle, on se faisait la bise, puis, une fois nu, elle redevenait la Maîtresse sévère. Elle me corrigeait au martinet ou à la fessée, quelquefois elle m’urinait dessus, le plus souvent elle me faisait prendre par un autre de ses soumis et le final consistait toujours en un fist, mon régal et le but réel de mes visites.
Un jour cependant, j’ai décidé de varier les plaisirs. Depuis quelques jours, je fantasmais sur des récits que je lisais et relisais, il était question de soumis livré à une domina, attaché, fouetté jusqu’au sang, et ces récits tournaient en boucle dans ma tête. Je m’imaginais à la place de ce soumis, je ressentais presque la douleur des coups, et j’avoue que cela me faisait bander. Ma femme était en déplacement pour une quinzaine. Un matin, n’y tenant plus, j’étais alors à mon travail, je me rends dans une pièce tranquille, je décroche le téléphone et j’appelle ma domina attitrée. Les salutations faites, je lui demande si je peux la voir le jour même et je lui explique mon désir d’être corrigé. Je fixe la dose à une cinquantaine de coups de martinet, je lui demande d’être très dure avec moi et je raccroche, tout émoustillé par avance. Inutile de dire que la journée de travail passe rapidement.
Avant de la rencontrer, je fais une provision d’orties et j’arrive chez elle en banlieue. Je me déshabille et elle rentre tout de suite dans le vif du sujet. Elle a un air féroce que je ne lui connaissait pas, elle a revêtu une combinaison de cuir, le martinet à la ceinture, je sens que je vais déguster.


Elle fixe des colliers à chien à mes poignets et relie ceux-ci à un crochet au plafond à l’aide de chainettes. Je me retrouve nu, les bras en l’air, pouvant juste tourner sur moi-même.
Je lui rappelle mon souhait de ne pas être frappé sur le ventre car je marque facilement. Elle acquiesce. Elle ouvre le sac et en retire les orties. Sans me laisser le temps de respirer, elle commence à me cingler le corps avec, ça brûle partout, ma peau devient rouge, je la supplie d’arrêter mais bien sûr elle ignore mes suppliques.
Puis elle prend son martinet.
« Tu compte à haute voix et tu ne te trompe pas sinon je recommence au début ! Et que je t’entende bien ! »
Et la fête commence. Elle me frappe d’abord doucement, un peu partout, sur les fesses, sur les cuisses, je compte les coups docilement. Puis elle appuie ses coups, je commence à bien avoir mal, je gigote au bout de mes liens mais elle continue immuable.
J’ai très mal à présent et la série n’est pas terminée. Mes gémissements, mes demandes d’arrêter ont l’effet inverse sur elle, elle frappe plus fort ! On arrive à la fin de la série,
« 48, 49, 50 », et j’entends une voix, ma voix, lui hurler :
« Encore Maîtresse, encore 50 coups, s’il vous plaît ! »
Et là, je déguste. Elle se déchaîne, ses coups de martinet deviennent vraiment violents, tellement que je me débat, je tourne sur moi-même pour tenter d’éviter ses frappes. Et là, elle frappe presque à l’aveugle, elle ne se contrôle plus, et les coups pleuvent, sur les fesses, les cuisses, le ventre, les jambes, la poitrine, car je me gigote
tellement que je deviens une cible mouvante, offerte. Je continue à compter mais c’est plus un réflexe car en fait je sanglote à grosses larmes, j’ai mal, terriblement mal, et en même temps c’est bon, terriblement bon.
« 97, 98, 99, 100… »
Le martinet s’arrête et elle me détache. Je suis en larmes, tout mon corps me brûle. Je me regarde dans une glace, j’ai le torse zébré de traces rouges.
Ce sont des traces superficielles mais ayant la peau très blanche, elles ressortent bien et je me demande si elles auront disparues au retour de ma femme…
Au bout d’un moment, je me calme, elle étend une serviette sur le canapé et elle me fait allonger dessus sur le dos, puis elle enfile un gant. Les choses sérieuses vont pouvoir commencer !
Elle me met du gel sur mon petit trou, le masse doucement puis elle me rentre un doigt. Elle le retire puis m’en rentre deux, puis trois. Les brûlures de mon corps cessent d’un coup et je m’occupe uniquement des sensations de mon anus. Elle remue les doigts en moi, elle m’élargit, puis elle rajoute un quatrième doigt. Je suis aux anges, je commence à me caresser.
Elle retire sa main puis elle revient en moi en rajoutant le pouce. Elle rentre peu à peu en moi en tournant sa main. Arrivé presque à la jointure de ses doigts, elle s’immobilise. C’est à moi de prendre le relais, elle me connaît bien… Je commence à bouger le bas ventre, allant à la rencontre de sa main. Je pousse comme i j’allais à la selle, et doucement, je m’empale sur sa main que je sens rentrer peu à peu en moi.
Une fois bien calée dans mon ventre, elle reste immobile quelques instants puis elle entreprend un mouvement de va-et-vient, tout en faisant pivoter ses doigts, comme pour me fouiller à l’intérieur. La sensation est indescriptible, seules les personnes ayant subi un fist peuvent comprendre ce que je ressens.
Peu à peu, elle accélère ses mouvements, sortant de mon cul, y rentrant à nouveau, tantôt la main en pointe, tantôt poing fermé. En même temps, je me branle de plus en plus rapidement, comme dans un état second.
A présent, elle me pistonne de manière régulière, je suis complètement ouvert, je ne suis plus qu’un cul qu’on défonce, rien d’autre ne m’intéresse.
En général, je viens assez lentement, surtout quand je suis dilaté, et cette fois-ci encore, c’est le cas. Elle continue à me défoncer méthodiquement et moi à me branler la queue.
Et puis, d’un coup, je pars, je crache mon foutre sur mon ventre en hurlant tandis qu’elle me pistonne toujours.
Puis c’est le silence et le calme. Je reprends mes esprits tandis qu’elle reste fichée dans mon ventre, sans bouger. Et puis, doucement, tout doucement, elle retire sa main. Je sens que je me vide sur la serviette mais en fait c’est dans ma tête, rien ne sort à part une bonne coulée de gel.
Elle m’essuie superficiellement les fesses, je me relève et vais me laver dans la salle de bain. Je la remercie du bien qu’elle m’a fait. Puis je me rhabille et je rentre chez moi. Par curiosité, je me regarde dans la glace, j’ai tout le corps zébré de rouge.
Les jours suivants, je me regarde régulièrement dans la glace pour voir l’évolution des dégâts mais fort heureusement, lorsque ma femme rentre de voyage, tout est redevenu normal.

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