Un Après Midi À La Piscine Chap. 1

Un après midi à la piscine chap. 1

Un bel après midi pendant l'été indien, Sophie 18 ans, assez petite, elle faisait 1 m 54 pour ses 50 kilos. Elle était tranquillement allongée sur son transat au bord de la piscine un maillot 2 pièce motif floral. IL y avait encore du monde qui en profitait. Il faut dire aussi que l'hiver allait bientôt arriver et que le retour au gros pull et au doudoune était inéluctable. Tout était bien sauf qu'elle devait garder sa nièce Frédérique pendant quelque jour chez elle. Ce n'est pas qu'elle n'était pas gentille, mais elle était particulière. Elle avait décidée de prendre son imper en plastique catimini partout ou elle allait.

Sa mère avait demandé à Sophie d'essayer de la persuader de le jeter. Parce qu'elle devenait trop grande mais l'ampleur de la tâche allait être grand. Sophie était sa marraine avec qui Frédée s'entendait bien et elle y tenait énormément. Elle avait dans l'idée de le prendre pendant qu'elle s'amusait à la piscine et d'aller le jeter dans la poubelle des toilettes. Elle était allongée la sur son transat, le transat de sa nièce à coté d'elle vide pour l'instant, un autre transat libre a coté d'elle. L’imper de sa nièce traînant par terre.

Arrivait alors une fille un peu type asiatique, 18 ans comme Sophie, une poitrine petite mais bien faite, des yeux vert en amande, arrivait à sa hauteur et lui demandât alors si le transat à coté d'elle était libre. Il était libre et la fille s'installait à coté. Elles firent connaissance toute les 2. Elle s'appelait Thuy, elle était vietnamienne et elle était magnifique. Son sac de piscine posé par terre, un détail attirait l’œil de Frédée, vu quelque chose de brillant dans son sac, il s'agissait d'un morceau de plastique, elle ne pouvait dire ce que 'était exactement

T:tu a vu quelque chose ?
S: oui je me demandais ce qui brillait la dans ton sac, la en rose
T: ah, tu veux parler de mon imperméable rose transparent
S: hein, ton imperméable ? Tu a pourtant le même age que moi ?
T: oui mais j'aime porter cela.

Toi aussi d'ailleurs non ?
S: hein de quoi tu parle ?
T: l'imperméable qui traîne la par terre à coté de ton transat. On dirait un imper catimini. Le motif ne m'est pas étranger
S: ah mais ce n'est pas à moi. C’est à ma nièce
T: ah dommage. J’aurai bien voulue te voir dedans. tu serait mignonne avec
S: tu ne te moque pas de moi la ? (demandait elle étonnée)
T: non pas du tout
S: (elle rougit) eh bien merci a toi mais sa mère m'a demandé de le jeter
T: et tu va le faire ?
S: oui je comptais le faire la avant que tu n'arrive. Ma nièce devient trop grande pour porter cela
T: tu veux un conseil ? Ne le fais pas et je te récompenserais comme tu ne peux pas l'imaginer
S: ah comment ?
T: viens je vais te montrer. Et prend l'imper de ta nièce avec toi il devrait encore t'aller

Thuy emmenait alors Sophie en emportant alors son imper rose et l'imper que Frédée avait laissé traîné par terre. Dans l'une des cabines Thuy mit son imper direct par dessus le maillot et mis l'imper catimini sur Sophie directement aussi sur son maillot et commençait à l'embrasser et a la caressée tendrement. Au début elle fut gênée de porter son imper plastique, mais assez curieusement elle sentait la chaleur et le bien être envahir son corps. Thuy n'était d'ailleurs pas étrangère à ce sentiment. Elle arrivait à lui transmettre son plaisir et à animer les zones érogènes de Sophie. Et l'imper plastique qui était logiquement un obstacle devenait un accessoire dans leur petit jeu.
Après cette petite partie de caresse moi si tu peux, Sophie était bien détendue.

T: alors ai-je fait une bêtise en te faisant garder cet imper ?
F: euh non. Mais la mère de Frédée risque de m'en vouloir.
T: pourquoi t'en voudrait elle ?
S: parce qu'elle m'avait demandé quelque chose concernant ma nièce et que je ne le ferais pas
T: si tu parle de jeter l'imper de ta nièce, tu ferais une erreur
S: oui mais elle est presque ado quand même
T: petite question, est que la petite t'aime et t'apprécie ?
S: oui beaucoup même.
Elle ne quitte son imper des yeux que très rarement
T: donc si elle te la laissé à toi c'est qu'elle te fait confiance
S: oui effectivement
T: alors laisse lui mettre tant qu'elle veut et parle à sa mère. D'ailleurs, tu l'a toujours sur toi son imper
S: je n'avais pas fait attention à cela tiens.
T: tu aime donc encore les impers en plastique malgré ce que ton cerveau peut te dire
S: oui je ne vois que cela. Mais pourquoi m'a tu choisie ?
T: je ne sais pas. Quelque chose en toi me disait que tu étais quelqu'un d'exceptionnel
S: merci a toi
T: de rien. Maintenant si nous sortions et n'oublie pas d'enlever l'imper de ta petite cousine
S: je n'ai plus envie. Mais comment réagirait-elle si elle me voyait avec ?
T: il y a plusieurs possibilités, soit elle sera fâchée ou alors surprise agréablement et elle t'aimera encore plus. Et si tu veux j'ai le même modèle chez moi je te le donnerai

Les 2 filles sortirent de la cabine toute 2 avec leurs impers retournèrent sur le transat. Le spectacle bien que peu habituel plaisait aux 2 filles. La fillette voyant ainsi sa marraine fut étonnée au premier abord, mais elle avait l'air heureux que sa marraine mette cela encore aussi.

F: pourquoi tu a mis mon imper Sophie ?
S: parce que j'avais envie de l'essayer pour voir s’il m'allait encore.
F: mais tu es grande déjà. Et puis tu est ma marraine
S: oui mais les grandes peuvent encore porter cela tu sais
F: mais ma maman m'a dit que je devenais trop grande pour en mettre encore
S: je pensais comme ta maman avant. Mais non ma puce tu aime mettre cela ?
F: oui j'aime bien. Si tu veux je te le donne. J'en ai encore 3 dans ma valise.
S: oh ma puce tu ferais cela ? Je croyais que tu aimais cet imper
F: oui je l'aime mais mes 3 autres sont pareils. Puis tu es jolie avec et tu sera une de mes marraines avec un de mes imper
S: merci ma puce. Eh bien si tu veux je serai la gardienne de tes impers
F: oh oui chic alors
S: et puis tu peux en mettre jusqu'à l'age que tu veux.
Je m'expliquerai auprès de ta maman.

La fillette lui sautait alors au cou en lui faisant un gros bisou et en lui glissant un "je t'aime Sophie". Tu es la meilleure de mes marraines. Après elle retournait dans la piscine ou elle jouait avec un groupe de fille.

Thuy regardait Sophie :

T: alors qu'est ce que je t'avais dit ?
S: oui c'est vrai. Je n'ai pas compris pourquoi elle l'a bien prit d'ailleurs
T: parce que tu es comme elle maintenant. Elle a un modèle pour grandir. Et puis cela je pense la fera grandir mieux

Après une bonne après midi, Sophie invitait Thuy à la suivre chez elle. Cette amitié toute nouvelle allait réserver des surprises

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!