Collection Voyage Dans Le Temps. La Disparition (4/4)

J’ai réussi à retourner dans le passé grâce à l’une des inventions de mon grand-père George décédé et incinéré qui a mis au point une machine à retourner dans le temps.
Je me retrouve en pleine Révolution Française et je permets à Marie-Antoinette, Reine de France d’échapper à son triste destin.
Elle m’enlève mon pucelage et après notre retour en août 2017, je lui fais découvrir le monde moderne.
Elle est réceptive à toute l’évolution de la vie humaine après plus de 200 ans, elle veut découvrir le train aussi nous quittons les Pyrénées pour Paris où je prends une chambre dans un grand hôtel parisien.
Nous passons une nuit torride, si ma maîtresse a été sincère, le roi a été le seul à s’occuper de sa chatte avant de se faire raccourcir, cinq mois plus tôt que le jour où je me suis retrouvé dans les jardins des Tuileries puis dans son lit, ma belle Autrichienne en veut toujours plus.
Je bande à l’unisson de cette femme, est-ce que l’accélération du temps augmente la force de notre libido, ne sommes-nous pas devenus des fous du cul ?
Ce que je sais, c’est que je suis à la porte de la sodomiser, mais j’attends un peu ayant peur de ce que je risque de déclencher.

• Julien que fait-on aujourd’hui !
• Nous allons aller à Versailles, je vais te faire visiter le château.
• Visiter, il est toujours debout.
• Les jardins, le grand bassin où tu te baignais avec tes amies le petit et le grand Trianon, tout est là ainsi que la galerie des glaces.
• Incroyable et je vais pouvoir retrouver tout cela.

Nous le retrouvons, faire la queue pour avoir des billets, lui semble incongru, n’est-elle pas chez elle ?
Dans la visite, elle retrouve sa chambre, je dois la retenir, car elle veut sauter sur son lit, elle passe rapidement dans la chambre du roi son mari semblant retrouver dans sa rétine des souvenirs plus ou moins plaisants.

• Julien, j’ai envie de faire pipi, où sont les porteurs de seau ?
• Tu as vu dans le train et à l’hôtel où nous avons dormi, nous nous sommes servies d’une salle de bains, il y avait des toilettes, tu as trouvé ça plus pratique, regarde, tu entres là où il y a un dessin d’une dame en jupe et tu te soulages.



J’ignore si elle va rester à notre époque, ce qu’il y a de sûr, c’est qu’elle aura appris à se servir de toilette.
Après la visite du château, nous revenons dans l’hôtel en prenant un bus et ensuite le métro, depuis le train, elle prend rapidement conscience que nous sommes en 2017 pour se déplacer, les gens se servant de nombre de moyens de transports différents.
À l’hôtel, on se lave mutuellement, j’adore qu’elle me caresse la bite, est-ce la différence d’âge, est-ce le fait qu’elle est d’une autre époque, est-ce parce qu’elle m'a dépucelé me faisant oublier Adeline, ma fiancée qui refuse tout rapport sexuel avant notre mariage.
Mince, pour être poli, elle devait m’appeler pour me donner la date de notre mariage, l’aventure que je vis m’a bloqué le cerveau, je l’ai entièrement zappée, je suis à Paris, je pourrais passer la voir, mais pour cela il faudrait que j’aille affronter ma future belle-mère et je n’y tiens pas.
Je la joindrais par mon portable sur son adresse Mail, je lui ferais croire que là ou je suis, les communications posent problème.

• Tu as faim, je te conduis au restaurant.

Elle me suit et nous entrons dans un petit resto sympathique.

• Faut-il manger tout ce qui est écrit sur ce carton ?
• Non, c’est une carte, tu choisis ce que tu aimes.
• Je te fais confiance, ça semble trop compliqué de choisir, dans mon palais, on savait ce que j’aimais et j’étais servi.
• Je me permets de vous conseiller, nous venons souvent dans ce restaurant Joel et moi avant d’aller passer la soirée dans le club voisin, prenez la pizza quatre saisons !
• Quatre saisons, très bien, Julien, j’en veux une.

L’épouse de Joel est du même âge que Marie-Antoinette, le couple présente bien, des bobos parisiens, on dirait mes futurs beaux-parents, mais la femme est aussi bandante que Marie et mon appétit pour le beau sexe grandit au fil des heures.
Les pizzas arrivent, j’ai choisi la même.


• Comment vous appelez-vous, moi c’est Marie-Antoinette ?
• Comme la reine, vos parents ne vous ont pas fait un cadeau, moi, ce n’est pas mieux, je m’appelle Geneviève.
• C’est joli, j’ai une de mes dames de compagnie qui s’appelle Geneviève.

Panique à bord, tant que je suis maître des conversations entre nous, j’assume, là avec des tierces personnes, la pente est glissante.

• Geneviève, tu as dit que vous alliez dans un club voisin, vous pouvez nous y emmener !
• C’est un club un peu spécial.
• J’aime ce qui est spécial, surtout depuis que Julien m’a fait connaître tout ce que j’ai appris depuis que nous sommes arrivés.

Ouf, Geneviève et Joel semblent arrêter là les questions gênantes.

• J’ai assez mangé, emmené-nous dans votre club, je veux tout connaître.
• Tu es sûr, c’est un club libertin.
• À la cour, ils sont tous où là plus part, des libertins, viens Julien, on y va.

Ce que femme veut, d’autant plus que Geneviève semble avoir des vues sur moi, nous nous levons, après que son mari eut payé les quatre repas, nous nous retrouvons devant une porte où après avoir montré patte blanche le couple nous fait entrer.

• Joel, peux-tu amener notre amie visiter les parties intéressantes du club pour une dame de la classe de Marie-Antoinette, si elle est d’accord de me prêter son ami.
• Geneviève, il est à toi, Joel, où allons-nous.

Vous n’allez pas me croire, c’est la dernière fois que j’ai vu Marie-Antoinette, après avoir baisé toute la soirée la vraie salope de Geneviève, au moment où le club a fermé, impossible de la trouver.

• La dame aux cheveux blancs, elle est partie, il y a presque une heure avec deux blacks, elle était pendue à leurs bras, c’est tout ce que je peux vous dire.

J’ai passé deux jours à l’attendre, la venue dans le temps est-ce éphémère et est-elle repartie dans son époque, a-t-elle décidé de vivre sa vie, je retourne dans les Pyrénées, je dois contacter Adeline, sauver Marie-Antoinette grâce à mon grand-père, c’est énorme, mais la vie doit reprendre sa marche normale.


• Adeline, j’ai réussi à rétablir la liaison, où en es-tu de notre mariage ?
• Les bans sont publiés, mère à réserver la salle pour le repas, l’orchestre et surtout l’hôtel où nous passerons notre nuit de noces, j’ai hâte d’être ta femme.
• Viens ici, je t’enlèverais ton pucelage.
• Arrête Julien, tu sais que j’ai horreur de certains mots, mère ne m’a pas élevée comme une vulgaire traînée.
Quand remontes-tu, le curé veut te parler, il va te rappeler le concept du mariage, je crois que tu en as bien besoin.
• Le courant déconne Adeline, je vois la lumière qui clignote, on va être coupé, beaucoup de bises sur ta chatte poilue.

C’est pratique, la conversation commençait à m’ennuyer, j’ai simplement arrêté l’ordinateur.
Dans les trois jours suivants, je travaille sur la possibilité d’aller dans le futur comme le souhaitait mon grand-père, j’arrive à mettre en place la programmation au jour et à l'heure la plus rapprochée de la réalité, aussi bien dans le futur que le passé.
Je peux même grâce à l’ordinateur que j’incorpore, envoyer la machine là où je veux dans un rayon de 1500 kilomètres, c’est à ce moment que j’ai une idée, pour mon premier voyage dans le futur.

• Adeline, tu es enfin ma femme, viens, nous allons couper le gâteau pour tous nos invités.

Nous le coupons, j’ouvre le bal avec la mariée, je fais danser belle-maman, je la colle pour lui faire voir que sa fille va avoir une belle verge dans la chatte tout à l’heure.

• Julien, avec ce que je sens, je pense qu’Adeline et vous m’offrirez rapidement de beaux petits s.
• N’en doutez pas maman.

Je m’arrête là, j’ai failli lui dire que j’aimais les vieilles, ayant été à bonne école avec Marie-Antoinette ainsi que la libertine de Geneviève, vraie salope et que si elle veut tâter de mon bâton, je suis prêt.

• Mon cœur, j’ai failli tout arrêter quand tu m’as parlé de ma chatte poilue, mais je suis à toi, viens en moi.


Je manque d’éclater de rire, quand elle parle de sa chatte poilue le passé vient de rejoindre le moment de la liaison entre nos deux époques, je la dépucelle, elle serre les dents.

• Chérie met toi en levrette, je vais te prendre dans cette position.
• Tu es fou, tu es un pervers, quand mère va savoir que tu veux que je me conduise comme une chienne, nous allons demander le divorce.

J’ai vu ce que je voulais voir, je me lève, vais à ma machine qui fonctionne impeccablement.

• Adeline, c’est moi, j’ai réussi à rétablir le courant, j’ai une demande à te faire.
• Que veux-tu me demander ?
• J’ai pris ma décision, après notre mariage, nous viendrons vivre ici, être dans la nature, tu verras ce sera super, nos s pourront vivre au grand air et courir parmi les coquelicots.
• Tu es devenu fou Julien, comment mère va venir dans un tel trou, je n’ose lui suggérer ton idée lumineuse.
• Alors entre nous tout est dit, qu’elle annule le mariage, je ne viendrais pas voir son curé.
Au fait, dit lui que j’ai apprécié quand nous avons dansés ensemble, elle est bandante, j’ai envi de la pointer.
• Tu es un pauvre malade, Julien, toi avec mère, c’est ignoble.

C’est comme ça que s’achève notre liaison quand elle coupe la liaison, si je suis venu voir les conséquences de notre mariage après la cérémonie, c’est pour éviter d’avoir une femme coincée du cul comme elle semblait l’être.

À partir de cette bonne décision, le cul, c’est facile, je prends ma machine, grâce à Internet, je connais bien des choses sur les femmes que je souhaite rencontrer et baiser, dans le futur, j’ai toujours la possibilité de partir très vite, cela m’est arrivé deux fois à cause du mari jaloux, l’un d'eux m’a trouvé en train de pilonner sa femme dans sa cuisine.

Revenons dans le passé, je suis allé à Versailles au temps où Marie-Antoinette frayait avec le Comte Axel de Fersen, j’avais apporté une caméra miniature et un micro que j’ais reliés par wi-fi à l’ordinateur de la machine à remonter le temps.
Je m’étais déguisé en porteur de seau qui permettait aux grands de ce monde d’uriner discrètement derrière les tentures des fenêtres de la galerie des glaces.
Qui peut se méfier de ce petit personnel tenant un seau d’urine ?
Je vais vous donner un scoop, celle qui a été ma maîtresse m’a menti, elle se faisait baiser par le comte, j’ai de très belles vidéos ou elle s’empale sur sa verge alors qu’il est assis sur une chaise, c’était leur position favorite.
J’ai compris un moment de l’histoire de notre belle France quand un soir le roi est entré dans la chambre de ma Reine sans se faire annoncer, la reine s’est relevée, faisant retomber sa robe avec tous ses jupons alors que le comte rentrait sa queue.
Les deux hommes se sont salués, le comte est sorti, Louis XVI est venu derrière sa femme, l’a poussée poitrine sur le lit et l’a enfilé d’un seul jet après avoir relevé ses jupons, le micro m’a fait entendre sa jouissance royale.
Quand je compare les dates avec l’encyclopédie sur Internet, j’ai certainement assisté par caméra interposée à la fécondation de ma Reine, qui neuf mois plus tard a mis au monde Louis XVII qui est mort au temple.

Je vous quitte, je repars dans le passé, j’ai rendez-vous avec mon grand-père, il faut qu’il voie qu’à nous deux, nous avons réussi à aller dans le passé, mais je veux surtout l’emmener dans le futur.

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