Laure Sa...Pée
Confessions de Laure
Un jour Laure décida de me raconter certains épisodes de sa vie érotique. Son récit est entrecoupé de caresses, de longs baisers. Tout cela un soir chez elle. Nous nous baisâmes toute la nuit qui suivit.
Laure était une collègue dhistoire dans un lycée de proche banlieue. Brune, belle, aux formes généreuses (sans être grosse), musclée, sportive et sensuelle en diable. Elle transpirait le sexe, les envies de caresses, de baise. Elle aimait ça. Elle savait être très salope. Elle plaisait autant aux hommes quaux femmes, aux jeunes quaux vieux.
« Je vais te dire, jétais jeune encore 24 ans, jeune diplômée dhistoire, peu dexpériences érotiques, quoique très intéressée. Je rencontre un type dune quarantaine, séduisant. Coup de foudre. On baise le soir de la rencontre. Il me plait. Je suis prête à tout pour lui. Il est habile, progressif. Je me laisse dominer. Et jai tout à découvrir côté sexe. Je découvre progressivement le monde du sexe. Jaime ça (toujours encore !)
Tout se passait bien avec F. Je vivais chez lui, jenseignais, javais du succès parmi les hommes mais je lui restais fidèle.
Un jour, surprise, il me demande de mettre ma super mini en cuir, petit string blanc, bottines, pas de soutien-gorge, décolleté. Pourquoi pas ? Il me dit que va passer un copain pour boire un coup. Je suis surprise. Pourquoi en cette tenue assez pute ?
Le type sonne, je vais lui ouvrir. Un super beau mec qui me déshabille du regard. Je commence à mouiller dans mon string. F. et lui discutent. Je maffaire, sers des verres et autres petites nourritures. Le type me reluque, il ne me déplait finalement pas de lui montrer ce quil y a sous ma jupette. F. doit se retirer quelques minutes pour faire une course. Je suis seule avec linvité. Il se jette sur moi, membrasse, nos langues se mêlent, nos mains vont à lessentiel. Il a une superbe queue bien tendue que je ne résiste pas à me mettre en bouche.
En fait, cest F. qui avait tout manigancé. Il me dit être fier que je sois une vraie pute et quil allait faire mon éducation. Cela mexcite et minquiète un peu, je suis encore un peu timide.
Voyant que je suis finalement assez ouverte aux expériences multiples, il va samuser à faire de moi sa pute épisodique. Ce que jaccepte.
Il moffre à des types chez lui (des gros, des moches, des beaux, des blacks, des petites bites, des grosses
) moyennant finance. Je suce, baise, trois, quatre types durant les week-ends. Jy prends goût. Lui, il assiste. Avec le fric je machète des fringues.
Je deviens une vraie débauchée. Je mépanouis, sexuellement parlant. Mais F. avait dautres envies, dautres projets pour moi. Il parlait peu de ça. On sentendait bien, il était très intello lui aussi.
Il aimait que je pisse dans mes petites culottes, cela ne me gênait aucunement. Pourquoi ne pas mouiller ses culottes ? Ca lui plaisait, ça me plaisait aussi, sentir un linge bien trempé sur son intimité est agréable.
Jacceptais donc, rien là de bien méchant. Et puis il me traitait de sa « petite pisseuse », ce qui, bien entendu, mexcitait et mincitait.
Je mouillais donc mes petites culottes. Etant très propre, je me lavais tous les soirs et remettais mes culottes plus ou moins sèches le matin et je les badigeonnais de pommades bien onctueuses et parfumées. Jaimais ces sensations ! (Je portais avant tout des robes, jupes ou pantalons en cuir !)
Un jour, au lycée, je devais surveiller un devoir sur table de ma classe de terminales. Jétais en jupe (aux genoux, juste un peu au-dessus). Pour mieux surveiller, je me suis assise sur le bureau, croisant, décroisant et gardant les jambes toujours plus ou moins ouvertes.
Bien des fois il mobligeait dêtre à la maison seins à lair, mini en jean ou en cuir, bottines
Il aimait me voir ainsi. Jaimais aussi, bien sûr.
Mais, parfois, il arrivait que quelquun sonne à la porte et je devais aller ouvrir en cette petite tenue
Un ou deux types, ou un couple que je ne connaissais pas! Jétais gênée au début, puis je me suis habituée et je voulais faire plaisir à F. A dire vrai jaimais ça en véritable petite apprentie salope. Caresses, tripotages, mots cochons, léchages et parfois, souvent - pas assez à mon goût - bonnes baises (devant, derrière, fellation
) F. jouissait à me voir agir ainsi, je devenais comme il souhaitait. Assez pute, débauchée, libertine, de plus en plus pouffe. De plus en plus accroc au sexe (aux bites, aux culs, aux chattes
)
F. avait beaucoup didées, ce nest pas un reproche, loin de là. Des idées quautrefois jaurais trouvées bien cochonnes mais qui à être mises en pratique savéraient très excitantes.
Des exemples ?
Un jour, en fait un soir, en petite tenue décrite plus haut, il me demande de me tourner et dexposer ma croupe (certes fort appétissante), il y avait un type, il écarte ma culotte et je sens quelque chose qui glisse le long de la raie de mes fesses : un uf ! Froid, gluant. Le type vient me triturer et lécher cette omelette crue qui avait séjourné dans mon sillon. Jai dû garder ma culotte souillée toute la soirée. Ca me faisait penser à du Bataille !
Souvent, le vieux pervers, aimait me badigeonner de miel, de Nutella et autres confitures quil léchait ou donnait à lécher à ses amis. Parfois un alcool fort (vodka ou autre) venait menflammer la chatte. Cétait chaud, irritant, jouissif
Un jour il avait invité un ami pour un petit repas.
Bien dautres anecdotes à raconter si je trouve des lecteurs intéressés.
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