Un Trio D'Enfer

Dans ma vie de libertin, j’ai vécu pas mal d’aventures très coquines mais jusqu’à cette soirée privée entre amis, je n’aurais jamais espéré avoir une telle chance.

A cette époque, je sortais d’une relation nouée avec la patronne d’un institut de beauté sensiblement de mon âge. Mais après les vacances, nos rencontres étaient devenues moins fréquentes et finalement, un jour que je passais à proximité de son établissement, je l’ai vue sortir au bras d’un homme bien plus jeune, genre minet. Leur comportement laissait supposer qu’ils étaient amants.
Il était inutile de vouloir s’incruster d’autant qu’elle était mariée (mais libre de prendre des amants car son mari était très souvent absent pour de longues périodes) et moi, j’étais veuf, donc libre de papillonner.

Après quelques sorties en club où je pouvais baiser librement, j’ai participé à une soirée privée organisée par un couple avec lequel je m’étais lié d’amitié quelques temps auparavant. Nous avions le même âge (la tranche des quarante ans) et nous partagions ce même goût pour le libertinage.
Nous avions fait une partie à quatre dans un club où j’avais fait l’amour avec Patricia pendant que Charles s’ébattait près de nous avec une jeune trentenaire rencontrée dans l’établissement.




Quelques semaines plus tard, quand Charles m’avait invité, il avait précisé :
- Chez nous, par convention, nous baisons sans préservatif. Fais un test HIV et tout le monde en aura fait un quelques jours avant !
Donc une semaine auparavant, j’avais fait le fameux test et j’avais reçu le résultat deux jours avant la soirée. Tout était parfait ! C’était génial, baiser sans préservatif c’était nettement plus jouissif…

Lorsque je suis arrivé chez Patricia et Charles, il y avait déjà deux autres couples également autour des quarante ans, Patrick et Vanessa et Ludovic et Sandra. Il y avait aussi deux femmes plus jeunes qui se ressemblaient beaucoup.


C’était effectivement deux sœurs, Virginie l’ainée et Caroline la cadette, âgées de 32 et 29 ans.
Les présentations faites, nous bavardions autour de plusieurs tables basses garnies de victuailles et boissons diverses. Les conversations allaient bon train et rapidement, elles ont dérivé vers le sexe… Quoi de plus normal puisque nous étions réunis pour une soirée coquine ?

Sur une musique douce venant d’une chaine stéréo dissimulée dans un angle du salon, les quatre femmes ont entrepris une danse lascive faite de frôlements et de déhanchés.
La danse s’est bientôt transformée en un striptease en règle au cours duquel elles se déshabillaient mutuellement, laissant bientôt paraitre des corps aux courbes sensuelles. Il est vrai aussi qu’elles étaient assez légèrement vêtues…

Je connaissais déjà Patricia, par contre Vanessa était une fille de taille moyenne aux cheveux châtain clair, le visage constellé d’éphélides et de grands yeux gris… Le soutif qu’elle portait masquait une poitrine assez menue en forme de pomme. Sandra quant à elle était une « belle plante ». J’ai tout de suite été subjugué par sa silhouette : une poitrine comme je les aime, à vue d’œil un bon 90 D, des hanches bien galbées sous une taille étroite ornée d’un petit tatouage. Ses lèvres ourlées étaient artistement maquillées tout comme ses yeux bordé de khôl. Une cascade de cheveux blonds ondulés et décolorés descendait jusqu’au creux des reins.

C’est naturellement vers elle que je me suis dirigé lorsque la danse a cessé. Sandra ne portait plus que son soutien gorge noir en dentelle et un string assorti des plus réduit, un serre-taille avec des jarretelles retenait ses bas fumés. Elle était perchée sur des chaussures à talons hauts démesurés qui la faisaient aussi grande que moi !
J’ai ramassé sa robe aux fines bretelles qu’elle avait fait glisser au sol tout en se déhanchant au son de la musique. Je l’ai conduite vers un profond canapé d’angle où nous nous sommes installés pour flirter un peu dans un premier temps.


Mais rapidement nous avons entrepris des choses plus sérieuses… Sandra s’est laissé glisser à mes pieds et d’une main elle a fait glisser le zip de mon pantalon et de l’autre, elle a dégrafé la ceinture. Chaussures et pantalon ôtés, ma chemise a rapidement suivi le même sort si bien que je me suis trouvé en boxer mais avec une queue bandée à mort sans qu’aucune caresse ne lui ait été prodiguée.
La bosse qui la déformais était prometteuse… tant j’avais envie de faire l’amour à Sandra. Toutes celles qui ont goûté à ma bite avaient apprécié son volume, un sexe plutôt trapu et pas très long…

J’ai fait sauter le soutien gorge qui emprisonnait cette poitrine de rêve et je suis allé agacer les tétons légèrement proéminents de la bouche et du bout des doigts. Pendant ce temps Sandra avait fait descendre mon boxer et, dans une posture plutôt acrobatique, elle avait entrepris une fellation savante, avalant mon sexe au plus profond de sa bouche et jouant de ses lèvres. Elle me préparait à ce qui n’allait pas tarder de lui arriver…

C’était une bonne pipeuse car j’ai du m’arracher de sa bouche car ce n’était pas là que je voulais m’épancher.
Je me suis assis dans le fauteuil et elle m’a enjambé pour venir s’empaler face à moi : Merveilleuse position !
Pendant qu’elle montait et descendait sur ma queue, j’avais en face de moi ses seins ronds et fermes qui se balançaient au gré de ses mouvements. Je les embrassais et les frôlais de mes mains… Deux globes de chair dont elle pouvait être fière ! J’avais été attiré par sa poitrine qui dès que je l’avais devinée sous sa robe.

Sa chatte était humide et chaude. Tout comme sa bouche, elle savait se servir de ses muscles intimes car je les sentais qui massaient mon gland quand il arrivait au plus profond. J’étais aussi tombé sur une baiseuse de première !
Jolie libertine de 40 ans, elle devait avoir du succès dans les soirées coquines.
Là, c’était à moi d’en profiter pleinement.
Je me retenais pour ne pas jouir trop vite si bien que c’est elle qui a pris son pied en premier… Quand c’est arrivé, elle s’est collée littéralement à moi et a exhalé son plaisir dans une série de râles qu’elle a étouffés contre mon épaule.
Moins de deux minutes après, c’était à mon tour de jouir et de lâcher au fond de sa chatte une belle rasade de sperme… Les deux semaines qui avaient précédé la soirée avaient été propice… J’avais des réserves ! Nous sommes restés enlacés quelques minutes pour reprendre notre souffle car çà avait été intense !
Lorsqu’elle s’est désunie, Sandra m’a dit en me faisant un clin d’œil :
• Il faut que je passe à la salle de bain ! Tu m’as littéralement inondée !

Je la regardai s’éloigner, appréciant le balancement (un peu exagéré de ses hanches, mais ne voulait-elle pas exciter les spectateurs ?) dont le roulis était amplifié par les hauts talons qu’elle n’avait pas quittés… A part le serre taille et ses bas, elle était entièrement nue, livrée à la concupiscence des participants à la soirée qui n’étaient pas occupés à forniquer dans un coin ou l’autre du salon. Soudain j’ai entendu Virginie me dire :
• Alors, on rêve ?
• Non, mais avoue qu’elle est vraiment bandante !
• Çà, tu peux le dire ! C’est une vraie mangeuse d’hommes et parfois de femmes… J’en sais quelque chose, nous avons fait l’amour hier dans son bureau à l’agence de pub qu’elle dirige.
• Et alors ?
• Elle m’a fait grimper deux fois au septième ciel en moins de vingt minutes ! Une vraie bouffeuse de chatte !

Pendant ce temps, Caroline s’était approchée de nous. Comme sa sœur, elle ne portait plus aucun vêtement à part des bas qui tenaient tout seul et des escarpins à hauts talons qui allongeaient leurs jambes déjà longues…
En fait tout le monde était plus ou moins nu car la bacchanale était bien partie !
Des groupes à géométrie variable s’ébattaient sur les canapés et fauteuils qui meublaient la pièce.
Pendant que Caroline s’approchait pour m’embrasser, Virginie a englouti ma queue au fond de sa gorge où elle a dégusté le mélange de foutre de ma précédente éjaculation dans la chatte de Sandra puis sa fellation a eu pour but de faire renaitre une bonne bandaison. Cette coquine a dit à un moment :
• Je te prépare, tu vas baiser ma sœur, tu vas voir, je suis sur que tu n’as jamais eu ce que nous allons t’offrir !

Effectivement, je n’avais jamais eu deux sœurs en même temps et je n’étais pas au bout des surprises de la soirée. Dès que Virginie a estimé qui je bandais suffisamment ferme, elle s’est tournée vers sa cadette en disant à voix haute :
• Viens Caroline ! Il est prêt ! C’est parait-il un bon étalon, alors nous allons en profiter.

J’étais flatté de ce compliment et inquiet car qui avait pu confier cela à ces deux jeunes femmes ?
Surement la maîtresse de maison que j’avais honorée une fois et qui m’avait vu à l’œuvre en club à plusieurs reprises.
Virginie et Caroline m’ont pris par la taille en disant :
• Viens, nous allons trouver un endroit pour nous trois ! Laisse-toi guider, nous savons où aller !

Nous avons quitté le salon et franchi plusieurs portes pour nous retrouver dans une chambre immense, meublée d’un grand lit rond. Les murs étaient garnis de miroirs et de gravures licencieuses comme on en faisait au début du siècle. Ce devait être la chambre dans laquelle les maîtres de lieux devaient partouzer en petit comité.

Caroline est montée sur le lit et s’est placée devant moi, elle s’est prosternée en m’offrant une vision sur ses fesses fendues pour que je la prenne en levrette. Vous le savez, c’est une position que j’affectionne particulièrement car je trouve qu’elle laisse beaucoup de latitude à l’homme pour caresser sa partenaire : Il peut titiller l’orifice étroit, faire courir sa main le long de la colonne vertébrale, aller flatter un sein…

Je l’ai déjà dit, les deux sœurs étaient très semblables. Assez grandes, elles avaient une silhouette mince, des seins en forme de pomme, pas très développés mais bien marqués et des petites fesses rebondies et fermes qui leur faisaient une jolie cambrure. Lorsque je me suis placé entre ses cuisses, j’ai fait courir mon sexe dans sa fente : elle était trempée de mouille, prête à être pénétrée !
Je n’ai pas attendu plus longtemps : d’une lente et inexorable poussée, j’ai introduit ma queue jusqu’au fond où je suis resté immobile quelques instants. Si Caroline était prête à être prise, il fallait que sa chatte s’habitue au calibre qui l’habitait tant elle était étroite...

Virginie nous a rejoints sur le lit et elle s’est placée de telle sorte qu’elle offrait son sexe à sa sœur ! Waouh deux sœurs ueuses et bisexuelles ! Aussitôt Caroline s’est saisi des cuisses de sa sœur pour la rapprocher de sa bouche et commencer le cunnilingus qu’elle attendait ! Quelle vision ! La croupe et le dos de l’une, le ventre et la poitrine de l’autre rien que pour moi ! Notre reflet se répercutait à l’infini dans les miroirs muraux mais je n’y prêtais guère attention : Je me concentrais sur la baise que j’offrais à Caroline qui poussait des petits cris chaque fois qu’étant sorti de sa chatte, j’y entrais à nouveau, de plus en plus vite, de plus en plus fort… La tête de Virginie allait de droite à gauche et inversement, signe que sa sœur lui donnait beaucoup de plaisir…

Je sentais le mien monter de plus en plus… l’étroitesse du sexe de Caroline qui enserrait ma bite comme si elle avait été dans un pertuis arrière y était pour quelque chose…
Cette dernière avait cessé de manger la chatte de sa sœur pour se laisser envahir par le plaisir qui montait en elle.
Désormais, elle venait au devant de ma pénétration et mon pubis claquait sèchement contre ses fesses. Virginie, que sa sœur avait abandonnée en chemin, se donnait du plaisir avec sa main. Elle avait introduit deux de ses doigts dans son sexe où elle les faisait aller et venir pendant que de l’autre main, elle agaçait son clitoris qui pointait entre ses lèvres vaginales.

Je n’en pouvais plus tant cette étreinte à trois était excitante…
Dès que j’ai senti que ma partenaire était sur le point de jouir, j’ai accéléré vivement mon coït et je me suis lâché au fond de sa chatte au moment où le plaisir la prenait. Les deux sœurs ont joui pratiquement en même temps, poussant l’une et l’autre un feulement rauque… çà avait été chaud mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Dès que j’ai été sorti de la chatte de Caroline, ces deux coquines sont allées cueillir le jus qui s’écoulait de leur vagin et les ont goûtés avant d’entamer une fellation à deux bouches sur ma queue qui était à peine débandée.
Couché sur le dos au milieu du lit, les deux sœurs se sont placées de part et d’autre pour mieux me sucer alternativement. Quand l’une m’avait en bouche, l’autre léchait ou caressait mes bourses et faisait rouler mes couilles entre ses doigts.
Quelques temps plus tard, j’avais la bite raide comme une barre de fer quand Virginie m’a demandé :
• Encule-moi ! J’ai envie de sentir ta grosse bite dans mon cul ! Vas-y, je suis ouverte !

Décidément, j’étais tombé sur un beau duo de salopes finies. Elles se sont mises en 6 9 sur le côté et dès que j’ai été couvert, je me suis introduit dans la raie de Virginie dont Caroline écartait les globes fessiers. Je n’avais plus qu’à entrer dans le sphincter qui s’offrait à moi…
Pendant tout le temps où je sodomisais l’ainée, les deux sœurs se mangeaient goulument la chatte, faisant aller et venir plusieurs doigts à l’intérieur. C’était tellement bon que je prenais mon temps pour bien faire monter la jouissance de ma partenaire qui était assaillie de toute part : la main de Caroline devant et ma queue dans son boyau étroit.

Virginie a joui la première mais je ne sais pas si c’est ma sodomie ou la main de sa sœur qui l’a fait partir… Puis çà a été mon tour et celui de Caroline. Nous sommes restés de longues minutes à savourer notre jouissance puis, après être passés dans le cabinet de toilette, nous avons regagné le salon dans lequel les autres participants s’ébattaient : si je me souviens bien, Sandra était prise en double par Charles et Patrick et Vanessa se faisait prendre en levrette par Patricia qui était équipée d’un gode ceinture !

Au petit matin, nous étions tous épuisés tant nous avions baisé si bien que nous sommes endormis là où nous nous trouvions et avec notre dernière partenaire. Après un petit déjeuner pris dans le plus simple appareil, nous sommes passés à la douche. Les deux sœurs sont venues avec moi dans l’immense cabine où nous nous sommes mutuellement enduits de mousse odorante mais les caresses n’y ont rien fait…
J’avais les couilles vides… pas question de faire redresser ma bite. Nous nous sommes séparés en milieu de la matinée. J’ai participé à d’autres soirées libertines chez Patricia et Charles, mais aucune n’a égalé celle que je viens de vous raconter.

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