Elina Organise Elle-Même Une Soirée Gang-Bang (6)

Résumé : Chloé, mère de famille et commerciale en déplacement, vient de connaître la dépravation lors d’un gang-bang organisé par des hommes inconnus avec qui elle joue en ligne sous le pseudo d’Elina (Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne 1,2,3,4). Elle y a rencontré un homme qui l’intrigue, l’attire mais qu’elle cherche à oublier ce soir : l’Inaccessible. Elle l’imagine car elle ne l’a pas vu, vivant ses orgies les yeux bandés. Pour se libérer de son influence, elle a séduit dans un hôtel trois hommes avec qui elle a commencé la soirée mais qui se révèlent être plus rudes que prévu (Elina organise elle-même une soirée gang-bang 5).



Je suis restée à genou, les bras toujours derrière la tête attachée en croix à cette poutre inconfortable. Jérémy, Ludovic et Romain doivent être sur le lit en train de fouiller encore dans mon sac et mon téléphone où ils ont trouvé les éléments de mon histoire de double vie et des photos de mon orgie de la veille.

Je n’écoute pas les injures qui fusent, j’entends les rires, les quolibets, les lazzis.

- Ecarte les cuisses qu’on voit ta chatte Chloé… pardon Elina… Enfin on n’sait plus trop avec toi !!! Haha !!!

Je m’exécute, j’écarte mes cuisses, m’efforçant de rendre apparente mon intimité qui, depuis que je les ai longtemps pompés, léchés, aspirés, est gonflée de désir. Mon bouton est largement décapuchonné, le sang afflue.

- Redresse-toi salope !

Il faut dire que mes bras sont tétanisés dans cette position, écartelés autour de cette lourde barre de métal et que je me suis quelque peu avachie.

- J’ai ce qu’il faut pour arranger cela dans les affaires que tu as apportées Jérém’, dit avec sa voix faussement suave et inquiétante, Romain.

Il se lève, fouille dans une boîte et s’approche de moi.

- Elle sera plus sexy avec ce magnifique corset pour autant qu’il soit bien ajusté.
Lève-toi.



Tant bien que mal, je lève un genou, puis l’autre, soulevant la barre qui pèse sur mes épaules. Aucun des trois hommes ne m’aident. Mes muscles sont tétanisés. Je grimace et montre des signes de blocage ce qui fait rire Jérémy et Ludovic.

Je suis ceinte d’un corset de velours à baleines rigides qui soutient la poitrine mais laisse les seins visibles.

Romain tire méticuleusement le lacet à l’arrière du corset et je me doute qu’il ne me laissera pas d’aisance ni de confort.
Une fois le corset serré, il reprend le lacet œillet par œillet pour que le serrage soit optimal.
Le ventre complètement rentré, la poitrine complètement soulevée et mise en évidence, j’ai le souffle coupé et le dos très cambré. C’est très douloureux mais je me sens offerte aux regards car désormais aucun d’eux ne rit des photos trouvées sur mon téléphone.

Je n’ai pas oublié les consignes données précédemment par Romain :

- Merci Monsieur.
- Bien… dit-il doucement, on dirait que tu commences à comprendre comment ça fonctionne trainée… Ecarte tes cuisses qu’on te voit bien…

J’entends un cliquetis métallique et je ne suis pas surprise quand je sens simultanément des pinces aux dents acérées me mordre les tétons. Les pinces sont reliées entre elle par une chainette à laquelle est fixé un poids. Je ressens une violente morsure mais en même temps une vague de plaisir grouille dans mon sexe.

- Merci Monsieur.

Il rit en m’électrisant le clitoris. Je sursaute, retiens mon cri de douleur comme j’ai désormais appris à le faire.
Il glisse son majeur dans mon vagin, fais quelques aller-retours rapides, il ajoute un autre doigt, puis un autre et avec ses trois doigts il me branle durement dans des bruits flic-floc.

- Vous entendez les amis, une salope, ça mouille quoi qu’on lui fasse… Je vous l’envoie.
Avance jusqu’au lit, putain… dit-il en accompagnant ses mots d’une décharge sur mes fesses.


J’avance délicatement pour ne pas perdre l’équilibre et monte à genou sur le lit, cuisses ouvertes, chatte offerte.

Jérémy, éternel premier, passe derrière moi. Il se colle à moi, je sens son sexe dur entre mes fesses. Il se masturbe ainsi, imprimant des mouvements de haut en bas dans ma raie, il se saisit de ma taille devenue très fine entre ses deux mains et serre encore.
Continuant à se frotter, il glisse un doigt dans ma bouche, je l’accueille, je l’aspire et le suce, il en glisse un autre, essaie de m’attr la langue, me fait baver quand, brutalement, il me plaque la tête en avant, sur le membre érigé de Ludovic qui accroche ses mains à ma tête pendant qu’il fourre sa queue dans ma bouche d’un coup. Il appuie ma tête pour que le membre entre complètement et reste fiché ainsi au fond m’empêchant de respirer.
Quand il me libère après de longue secondes sans air, j’en profite pour reprendre mon souffle. Il recommence la manœuvre plusieurs fois.

Durant ce temps, Jérémy ne reste pas inactif, après s’être bien branlé entre mes fesses tout en me serrant la taille pendant que Ludo me baise la bouche, il m’a bien écartée, désireux de me pénétrer.

La guêpière me contraint à me cambrer au maximum, elle fait ressortir mes fesses, j’en suis tellement excitée que je suis comme suspendue, écartelée quand il me pénètre d’un coup. Je suis ouverte, offerte et pour montrer mon plaisir, je gobe avec plus d’énergie encore le membre de Ludovic. Mon plaisir s’exprime par sa bouche pendant qu’il s’applique à ficher son dard au plus profond de ma gorge durant de longues périodes.

La grosse bite de Jérémy m’imprime des mouvements de va et vient puissants et la pièce est remplie du bruit qu’elle produit dans ma chatte en eau, quand ses couilles claquent contre mes fesses et des feulements de Ludo qui sent chaque moment de mon plaisir à travers la force de ma succion.

Ludo exprime son envie de me baiser à son tour et Jérémy se retire juste avant que j’aie joui, me laissant folle d’excitation malgré la situation inconfortable, le corset me coupant la respiration, les bras toujours en croix, accrochés à la barre.


On me fait me tourner et m’asseoir sur la queue de Ludo.
J’allais m’asseoir face à lui quand Romain a estimé qu’on ne baise pas de face une truie comme moi.

- Les truies, on les baise par derrière…

Je suis donc assise sur Ludo, dos à lui, et lui aussi est fasciné par la finesse de ma taille. Malgré la fatigue, j’éprouve tellement de désir que je monte et descends promptement, ressentant dans mon vagin le membre large qui coulisse avec facilité tant l’endroit est ruisselant.

Je rêve d’un doigt qui me masserait le bourgeon mais, désormais, je sais que cela n’arrivera pas car ces trois mecs ne sont pas intéressés par mon plaisir. Je ne suis qu’un jouet vivant pour eux, mais ne l’ai-je pas cherché ? N’en avais-je pas envie depuis la première bacchanale que j’ai vécu sous le pseudonyme d’Elina ?

Perdue dans mes pensées, je suis ramenée à la réalité quand Ludovic change la règle du jeu en me faisant redescendre. Surprise, douloureuse, je pousse un cri : il m’a enfoncé son large pieu dans mon anus. D’un coup, sans préparation… Bien que je sois habituée voire fan de sodomie, je ne peux réprimer cette expression du mal qu’il me fait. Je reste un moment assise sur sa queue mais comme il sert ma taille, je reprends le mouvement de montée et de descente et très vite mon sphincter s’assouplit et je prends plaisir à faire coulisser son cylindre dans mon rectum.

Jérémy se manifeste à son tour, proposant une double pénétration maintenant que je suis bien prête.

- T’es chiant Romain avec ton histoire de pas la regarder… Comment veux-tu qu’on s’y prenne à deux ?
- Mouais… dit-il en réfléchissant… Z’avez qu’à lui mettre la tête sur le lit et lui mettre le dos à verticale, les orifices en l’air ; vous pourrez vous la faire sans être face à la truie, haha !!!
- Haha !!!
- Haha !!!

Ainsi est-il fait : j’ai le cou plié, le dos à la verticale, les fesses en l’air. La position est tellement inconfortable que je désespère de pouvoir jouir ainsi.


Pour changer, c’est Jérémy qui m’encule le premier et Ludovic se positionne devant lui pour entrer dans mon con. L’un a une queue large, l’autre a une bite longue. Malgré la position improbable, je me sens remplie, les queues se touchent à travers la mince cloison.

Quand Jérémy me lime, Ludo reste immobile et ils alternent tour à tour.

J’aurais voulu être allongée ou à quatre pattes avec ces deux mâles mais Romain a veillé à ce que je ne prisse aucun plaisir. Du plaisir, j’en ressens, mais je sais que je n’irai pas jusqu’au bout et que je n’aurai pas LE plaisir, que je n’aurai pas d’orgasme.

- Et je vous préviens les gars, je ne veux pas de foutre partout… Laissez-la moi bien propre…

Une fois encore, Romain a parlé doucement mais il montre bien comment, même s’il passe le dernier, il est le leader. Un leader sinistre.

Ils me liment longtemps car ils avaient vidé leur premier jet dans mon arrière gorge plus tôt dans la soirée ; pour cette seconde fois, ils sont plus endurants.

La position n’est pas confortable, ma nuque à angle droit me fait un mal de chien, la pression exercée sur ma colonne vertébrale est douloureuse.

J’aime sentir leurs membres m’emplir complètement, coulisser dans mes orifices. Malgré l’inconfort, je suis brûlante ; malgré le feu, je ne sens toujours pas poindre le bouquet final car aucun des deux hommes ne se soucient de mon plaisir : ils se servent.

Après un certain temps, Jérémy, toujours premier, se retire de ma croupe, s’agenouille, porte sa queue à ma bouche pour que j’accueille, en bonne chienne, le jus de son plaisir. Il est moins abondant que lors de la première éjaculation, mais aux grognements qu’il profère et à la violence saccadée des gestes de sa main droite, je devine que sa jouissance est extrême.

Il est suivi, rapidement, de Ludovic qui me fait, lui aussi, avaler sa semence avec de grand cris de délivrance, ce qui laisse mes orifices propres pour Romain.

Les deux s’affalent sur le lit, épuisés pendant que Romain me tire par la barre qui me maintient les bras et m’amène, chancelante, jusqu’au bureau de la chambre.

Il me replace face au bureau, il me fait me pencher en avant, croupe bien en arrière, corps et jambes formant un angle à quatre-vingt-dix degrés, les bras posés sur le bureau, cuisses bien écartées. Je suis excitée d’avoir le dos bien droit et la taille bien fine, d’avoir le cul si rebondi grâce à la guêpière qui pourtant me bloque la respiration. Penchée en avant, le poids de la chainette tire douloureusement sur les extrémités de mes seins mais j’en ressens un brouillard de sensations confuses dans le bas-ventre.

Il n’a pas proféré un mot, il m’a mise en place avec un pied, une main, je me suis contentée de suivre les indications silencieuses, en accentuant la cambrure des reins, l’écartement des cuisses.

Je suis une offrande à cet homme. Offerte telle une femelle au male.

Il se positionne derrière moi et me sodomise d’un coup rapide, jusqu’à ce que ses couilles tapent sur mes fesses. Ses mains serrent ma taille de guêpe. Il reste fiché ainsi quelques instants et entreprend de lents mouvements de va et vient alors qu’une de ses mains se détache pour tirer sur la chaine.

J’écarte encore plus mes cuisses en signe de soumission. Il apprécie et place deux doigt dans ma bouche et les enfonce pendant que je les suce avec avidité.

Satisfait de mon attitude, il accélère le rythme et l’intensité, il me pilonne et s’accroche à moi comme un forcené. Je ressens malgré les entraves une puissance excitation et j’accompagne chacun de ses mouvements, décuplant son plaisir.

Dans un feulement rauque, il décharge dans mon cul son plaisir et sa jouissance, accroché à mes cheveux, me criant des injures. Il reste là de longues secondes en silence à récupérer avant de se détacher de moi.

Puis, je les entends discuter à voix basse, se rhabiller, rassembler quelques affaires et ils me crient quelques dernières blagues et au revoir salaces truffés de noms exprimant ce qu’ils pensent de moi : « bonne salope, espèce de pouffiasse, sale chiennasse, trou à bites, boite à sperme » puis ils sortent de la chambre, goguenards, et me laissent debout, seule, avec tous mes liens.

Epuisée, je cherche le lit dans le noir, je m’y installe péniblement sur le dos à cause de mes bras entravés.

Je suis effrayée en pensant à la manière dont je vais me sortir de ce mauvais plan : j’ai les yeux bandés, les bras attachés, un corset me serre la taille et la poitrine, je suis presque nue et les pointes de mes seins ont en leur bout des pinces effilées. Que penseront les femmes de ménages quand elles ouvriront la porte demain matin ?

Malgré ces questions, mes peurs, mes pleurs et mes douleurs, la fatigue l’emporte, alors je ferme les yeux et me laisse glisser au pays des songes.

Quand je me réveille, je sais que je n’ai pas dormi très longtemps. J’ai toujours mon bandeau sur les yeux qui m’empêche de regarder s’il y a un réveil dans la chambre mais, à ma grande surprise, mes bras ne sont plus attachés et je peux les retirer aisément de la barre, le corset n’est plus serré et je peux respirer. Je peux donc retirer les pinces de mes bouts de seins qui sont probablement bleus depuis le temps qu’ils étaient soumis à si rude épreuve.

Je sens une présence à côté de moi, j’entends une respiration et je porte une main à mes yeux pour enlever le foulard afin de savoir qui est là. L’un des trois mecs de cette nuit serait-il revenu, pris de remords ?

Mais une main – main d’homme – m’en empêche, et sans un mot, je comprends que je dois garder le bandeau. Mes membres commencent à se détendre après tant d’heures d’immobilité. L’homme me fait me lever et me guide vers la salle de bain, fait couler l’eau dans la baignoire sans doute pour que je lave le sperme séché que Romain a laissé en et sur moi.

En introduisant le premier orteil, je reconnais la signature : l’eau est glaciale. C’est LUI. L'Inaccessible. Le bain ne sera pas un moment de douce détente mais un simple moment d’hygiène. Il me donne le savon et en claquant des dents, je me savonne partout et surtout entre les cuisses, je lave mon sexe et mon anus qui ont beaucoup servi. Je me rince et je relève. Il me tend une serviette. Je sors de la baignoire. Il me ramène, toujours sans un mot, sur le lit et m’y allonge.

Malgré le froid, Sa présence me fait brûler le bas du ventre. Il écarte sans difficulté mes cuisses, Il introduit 3 doigts dans mon vagin déjà humide de mon désir de Lui et entreprend de me ramoner. De Son autre main, Il met en marche un stimulateur clitoridien et me masse le clitoris. Ce dernier se met à gonfler très rapidement, devient dur et prend la taille d’un sexe de bébé garçon.

J’aime les queues, j’aime les grosses bites, j’aime quand on m’encule, j’aime quand on me prend à deux, à trois, j’aime me sentir pleine mais j’ai par-dessus tout besoin que l’on masse mon bouton d’amour sans quoi je peine à jouir. Quand on se sert de moi, je ne jouis pas si l’on ne cherche pas à me donner du plaisir et Il l’a bien compris.

La situation n’est ni romantique ni follement sexe et je me contente de trois doigts et d’un appareil mais après quelques minutes de ce régime, surtout après mes frustrations de la nuit, je ne retiens pas longtemps mon plaisir et je me cabre en hurlant l’orgasme tant attendu.

Il se lève et toujours silencieux, ouvre la porte et sort.

Je retire mon bandeau et regarde l’heure : 5h20…

Il a laissé une lettre dactylographiée à mon intention.

« Chloé,

Désormais, tu ne pourras plus te passer d’être Elina régulièrement, tu l’es jusqu’au plus profond de ton bas ventre. Mais tu t’en es aperçue, vivre ça toute seule est dangereux. Cela pourrait se finir mal pour toi ou cela pourrait interférer avec la vie de Chloé.

Appartiens-moi sans réserve et je te propose d’être Elina deux jours par semaine. Tu viendras chez moi, j’organiserai tes soirées, tu n’y seras pas seule ni en danger.

Mes conditions :

- Tu viens quand je t’envoie un SMS, débrouille-toi, je te donne 24 heures ;
- Je ne te parlerai jamais ;
- Tu auras les yeux bandés durant les 36/48 heures ;
- Je ne te baiserai jamais ;
- Je n’entrerai jamais dans la vie de Chloé ;
- Je ne pense pas que les hommes à qui je te présenterai penseront beaucoup à ton plaisir mais je ne dédommagerai manuellement ;
- Tous les profits financiers sont pour moi et ceux qui veilleront à ta sécurité ;
- Je suis marié, et tu respectes ma femme ;
- Tu ne sauras jamais rien de moi, même pas mon nom, tu ne me verras jamais, je ne te parlerai jamais ;
- Et dernièrement, tu n’es rien pour moi.

Tel est le contrat, et rien n’est négociable. Rentre chez toi. Je te contacterai dans quelques jours. »

(à suivre)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!