Ma Femme Et Le Le Marchant De Légumes (2) :

J’ai fait un grand tour en ville pour me calmer et m’éclaircir les idées. Au fond, c’est ma faute. Pour la première fois, j’ai laissé ma femme d’abord s’habiller en montrant et le sillon de ses seins et ses jambes et cuisses en public. Puis j’ai accepté ses contacts assez éloquents avec un jeune homme dont le corps poilu était pour elle une vraie provocation sexuelle.
Elle a pris sa totale liberté pour me faire cocu et dans sa chatte et dans sa terma. Le jeune marchant la faisait jouir par devant et par derrière dans sa chatte chaude et douce mais il a aussi réussi à la convaincre pour la sodomiser et jouir de sa terma. Maintenant c’est elle qui prenait plaisir à masturbe sa terma sur le zob du jeune homme et criait sa jouissance librement.
Elle n’était habituée qu’au toucher de mon corps imberbe, et seulement dans l’obscurité de notre chambre. Fourailler ses doigts sur une poitrine velue, sentir une sorte de toison fauve, et devant un corps d’homme totalement nu, c’était certainement une excitation supplémentaire pour ma femme, une explosion de désir sexuel, une invitation d’abandon total de son corps aux plaisirs de la chair.
J’ai laissé le temps à ma femme de retourner à la maison et comme d’habitude je suis rentré à huit heures pour les infos. Pendant toute la soirée, j’ai observé ma femme mais rien, absolument rien ne semblait anormal dans ses attitudes et ses conversations. J’ai farfouillé dans ses vêtements mais seul son slip aurait pu me signaler le sperme de sa chatte et de ses fesses.
Mais il était déjà dans la bassine de la salle de bain, lavé et étendu sur le fil. On s’est couché, en pyjama et sans faire l’amour comme de vieux époux et elle s’est vite endormi, certainement épuisée par les prouesses du jeune marchant.
Et ainsi, pendant toute le seconde semaine suivante, chaque après midi, je suis allé les espionner et ils faisaient l’amour, toujours avec vigueur et conviction. Ils ont utilisé d’autres positions pour baiser, à la levrette, face à face et sur le coté.

Et même assis sur une chaise, avec ma femme bien calée sur le zob de l’homme et qui remuait du cul et de la chatte tout en embrassant son amant, avec passion sur la poitrine velue et en fin de séance, pour lui sucer le zob.
Il l’a baisée et sodomisée plusieurs fois sous mes yeux et chaque fois, ma femme semblait jouir pleinement. Elle a sucé et léché à plusieurs reprises le zob et les couilles du marchant et je l’ai vu aspirer et avaler son sperme. Elle a tout essayé et l’homme, jeune et résistant, la contentait chaque fois sans hésiter. Que lui faut-il de plus maintenant !
Autre chose, avec ce jeune homme, j’ai pu constater que ma femme pouvait avoir trois à quatre orgasmes durant chaque baise. Avec moi aussi, durant nos premières années de mariage, elle pouvait avoir un et parfois deux orgasmes. Mais, après qu’on a eu des s, puis les soucis de leur éducation et enfin leurs mariages et ensuite les problèmes de leurs propres s, on s’est perdu dans la gestion exclusive de nos affaires familiales et oubliés nos vies personnelles.
Alors, on a diminué nos relations sexuelles, et quant on y allait, je n’étais pas sur qu’elle arrivait jusqu’à l’orgasme durant nos brefs ébats, et pour finir, on a totalement arrêté durant ces dernières années. Et aujourd’hui, elle jouit pleinement de sa chatte et de son cul et c’est tant mieux pour elle.
Le jeudi matin, dès le petit déjeuner, ma femme est sortie pour faire quelques achats, disait-elle. Comme je commençais à ne plus croire totalement ses paroles, je l’ai suivie, juste après. Elle se dirigea vers le marché mais de l’autre coté de l’étalage de son amant habituel. Le marché étant en cercle presque fermé, elle était donc totalement invisible de son marchant algérien, d’autant plus qu’il y avait beaucoup de monde.
Elle s’arrêta devant l’étalage tenu par deux blacks, un jeune très svelte et qui s’occupait des clients et l’autre plus âgé, trente à quarante ans, et nettement plus trapu, et qui tenait la caisse et aidait parfois le plus jeune.
Ma femme se dirigea directement vers le plus âgé et lui tendit la main qu’il serra et lui fit un large sourire.
Ma femme lui rendit son sourire et ils discutèrent un peu. Ma femme semblait désirer quelque chose, un fruit peut-être. Après quelques paroles, l’homme s’adressa au jeune vendeur qui opina de la tête et pris la boite-caisse.
Ensuite, ma femme contourna l’étalage et avec l’homme, ils se dirigèrent vers la porte de la caravane, juste derrière, copie conforme de celle du marchant algérien. Ils entrèrent dans la caravane et fermèrent derrière eux. Ce n’était pas possible, ma femme aurait-elle déjà un autre amant dans ce marché ? L’un pour la matinée et l’autre dans l’après midi ! Mais elle est insatiable ! C’était donc un fruit spécial qu’elle était venue chercher, la salope !
Il fallait que je confirme mes soupçons. Alors, je suis passé derrière le marché et j’ai repéré la caravane du black. Elle avait aussi une petite fenêtre ouverte à l’arrière, mais son rideau était tiré. Mais j’entendais ce qui se disait à l’intérieur.
Déjà ma femme, comme à son habitude, ne pouvait s’empêcher de parler « haya habibi ! hatli dhik e’r’zama a’l’kahla ! e’n’douk’ha fi souti ! » (Allez viens mon ami ! donnes moi ce pieu noir ! pour l’enfoncer dans ma chatte ! ». Ils ont déjà eu le temps de se déshabiller, les salops !
Et l’homme « hili f’khadak ya qahba ! » (Ouvres tes cuisses ! putain ! ». Puis un grand remue ménage et soudain un râle mortel, un souffle de ma femme qui m’annonçait que le zob dr l’homme s’est enfoncé avec puissance dans sa chatte affamée.
Puis une série de halètements précipités et entremêlés et des « hans » rauques du black lors des vas et viens de son zob dans les entrailles de la putain. Comme ils étaient très occupés, j’ai eu l’idée de pousser le rideau de la fenêtre et petit à petit, j’ai réussi à les voir.
Et encore une fois, j’ai eu droit au même tableau d’une saillie sauvage. Ma femme était couchée le dos sur le lit, les cuisses, largement ouvertes, les jambes croisées sur le dos de l’homme qui pilonnait sa chatte.

Je voyais nettement son zob noir qui transperçait la chatte blanche de ma femme. L’homme n’était pas poilu, et son corps puissant brillait dans la clarté de la caravane. Son dos et ses cuisses étaient musclés et ses coups de reins devaient donner une plaisir fou à ma femme qui gémissait d’une voie étouffée par la jouissance. Soudain, elle cria un grand coup « doukkou !doukkou ! hahi jatni ! jatni ! ahhh ! » (Enfonces le ! enfonces le ! elle arrive ! j’arrive ! ahhh !). Elle a du avoir un puissant premier orgasme pour crier ainsi.
L’homme grogna un rire sourd et lui dit « mazal ! mazal zébi e’mtine ! mazal e’n’jib’ha’lak zouj wa tlatha ! ya qahabti ! » (Encore ! encore ! mon zob est encore gonflé ! je te donnerais deux et trois autres orgasmes ! ma putain !).
Et je voyais qu’il accélérait ses coups et chaque fois qu’il enfonçait son zob, il y allait avec un « ya zébi ! houk ! habbal e’soua lahloua ! » ( ô mon zob ! frottes ! affoles la douce chatte ». Ma femme gémissait et on dirait qu’elle pleurait d’émotions et parfois elle lançait un cri d’hystérie. Et par deux fois encore, je l’ai entendu hurler de jouissance, comprenant ainsi qu’elle venait d’avoir deux autres orgasmes grâce à ce gros zob black.
Et l’homme, formidable de puissance et de résistance, continuait à pilonner la chatte de ma femme. Je voyais même qu’il oscillait parfois des fesses pour tournoyer son zob à l’intérieur de la chatte, puis il se relevait presque complètement et soudain, il s’enfonçait en puissance dans ma femme qui hurle de jouissance.
Et comme à son habitude, elle exprimait ses sensations par la parole « Rah zebek akhchine ! e’ch’3al fi souti e’naar ! » (Ton zob est gros ! Il a mis le feu dans ma chatte !). Et l’homme «Ma t’khafich ! ya qahabti ! e’n’tafiha b’za’n’nat clawya ! hahi jaya ! jaya !» (Ne crains rien ! putain ! je vais l’éteindre avec le sperme de mes couilles ! ça viens ! ça vient).
Et effectivement, dans une crispation de tout son corps, le black s’enfonça encore mieux dans ma femme puis éjacula en force plusieurs jets de sperme pour remplir les entrailles de sa proie.
Ma femme ne put s’empêcher de crier sa jouissance en recevant dans ses entrailles le plaisir de l’homme qui la semençait. « a’chourbi ! ya es’soua el’qahba ! e7’lib zébi ! e’chourbi ! » (Bois ! ô putain de chatte ! le lait de mon zob ! bois! » .
Après quelques instants, j’au vu l’homme se retirer de ma femme et s’étendre à ses cotés. Nu, cet homme est un vrai géant, un athlète, un animal sexuel. Mais c’est surtout, à ce moment la, que j’ai pu observer son zob en entier.
Il était plus gros que celui du marchant Algérien et nettement plus long, même très long à ne pas croire. Il a du s’enfoncer jusqu’au ventre de ma femme et son jus devait être la bas, tout au fond de son vagin. Chaque fois qu’il faisait ses vas et viens, j’étais sur qu’elle a du gouter sa grosseur, sa dureté mais surtout sa longueur incroyable.
Elle a eu raison, ma femme, d’avoir dragué ce type, une nouvelle expérience pour elle et qui me rend encore plus cocu qu’avant. En effet, si je pouvais comparer, sans honte, mon zob, lorsqu’il se gonflait à fond lors de mes masturbations, avec celui du marchant Algérien, il n’y a aucune commune mesure avec celui de ce black.
Son zob énorme brillait de sperme et restait gonflé, pratiquement à la verticale. J’étais même un peu ému et si je ne me connaissais pas, je dirais que, moi aussi, j’avais envie de ce gros zob ! Oui, je l’avoue, je ressentais, à cet instant, quelques frissons au bas ventre et, plus grave, quelques démangeaisons agréables au cul. Serais-je amateur de sodomies à la vue de ce bel étalon black et surtout de son gourdin charnel qui doit certainement affoler et attirer femmes et hommes ?
Enfin, je repris mes esprits et je continuais à espionner le couple. Ma femme restait sur le lit, elle a même étendu ses jambes, je pense qu’elle doit être exténuée après ses trois orgasmes et les derniers coups d’éjaculation de l’homme. Soudain, il se redressa et secoua ma femme « noudhi ya qahba ! hatili teremtek el baydha ! zébi mazal e’mta’n’nane » (lèves toi putain ! donnes moi ta blanche terma ! mon zob est toujours gonflé ! ». Mais ma femme réagissait trop lentement, alors il l’empoigna et la retourna sur le lit, presque avec violence. Ma femme a protesté légèrement, mais elle a obéit aux désirs de son nouvel amant.
En effet, elle aplatit ses seins sur le lit et dégagea vers le haut son derrière tout en écartant les jambes et les cuisses. J’avais compris, l’homme voulait la sodomiser et ma femme se plaçait pour l’opération. L’homme était debout, et la aussi, je constatais sa grande silhouette musclée et son long et énorme zob qui pointait à l’horizontale. Et la aussi, curieusement, j’en ai eu une envie confuse.
Il se plaça, à moitié debout, au dessus des fesses de ma femme, sa main droite tenant son zob et l’autre farfouillant la terma, cherchant l’anus de sa proie. Rapidement, il trouva l’entrée et enfonça son gros zob dans l’anus de ma femme qui émit un petit gémissement de douleur « bi ch’wya ! qari mazal jédid ! » (Doucement ! mon cul est encore tout nouveau !).
Malgré sa jeune expérience avec le zob du marchant Algérien, le cul de ma femme rencontrait un gourdin d’une autre dimension. Puis, je l’entendais dire « Ah ! ch’7aal zebek wa3ar ki i’hil qari ! wa me’n ba3ad ch’haal e’dakhla zebek h’louwa ! » (ô ! que ton zob m’ouvre difficilement le cul ! mais ensuite ton zob entre avec jouissances ! ».
D’abord l’homme exécuta quelques vas et viens assez lents dans la terma de ma femme, puis il accéléra. Ses coups de zob devinrent violents et je voyais tout son corps qui se soulevait puis s’abattait sur ma femme. Elle gémissait de plaisir au lieu de se sentir agressée par les coups violents de ce géant. Je devinais que la violence augmentait sa jouissance car ses cris de plaisir amplifiaient au même rythme.
A cet instant, le même sentiment de gène qui me prenait chaque fois que j’admirais ce gros zob, recommençait à chatouiller mon cul et mon bas ventre. Si cette sensation allait continuer, il faudrait que je trouve une explication nette et une solution pratique.
Soudain, j’entendais l’homme qui hurlait sa victoire, son plaisir et ma femme l’imita dans sa jouissance. « ah ! zébi ! faraq e7’libek fi termet qahabti ! faraq ! » (Ah ! mon zob ! verses ton lait dans la terma de ma putain ! verses !). Il se tenait debout, tendu à l’extrême, le zob planté entièrement, vu sa longueur, dans la terma de ma femme, je voyais ses grosses couilles qui cachaient complètement la chatte de ma femme, et il devait être en train d’éjaculer.
En effet, son corps a été secoué trois ou quatre fois et chaque fois, il donnait un coup de rein supplémentaire, comme pour évacuer tout le contenu de ses couilles. Puis il se sépara du corps de ma femme qui restait, le cul en l’air. Je voyais distinctement son cul qui pulsait de sperme blanc et qui coulait sur sa chatte.
Elle lança sa main derrière elle, récupéra un peu de sperme et le ramena vers elle, elle doit certainement le gouter. Elle ferait mieux de sucer ce gros zob, mais elle ne l’a pas fait. Sucer ce beau zob noir, voila encore une pensée gênante qui me vint à l’esprit.
J’ai essayé de me branler derrière la caravane mais ça ne venait pas. Juste pour confirmer certaines de mes pensées gênantes, comme j’étais seul, j’ai mis la main sur mon derrière, et je ai un peu caressé et rudoyé mes fesses, mais le pantalon me gênait.
Alors, j’ai glissé une main sous mon pantalon et mon slip, et j’ai caressé la chair de mes fesses avec. C’était doux et grisant d’érotisme pour moi. Ensuite, avec ma main fouineuse, j’ai un peu écarté une de mes fesses et poussé un doigt vers mon anus et j’ai poussé en soufflant.
Le bout du doigt est entré dans mon anus et ce fut une sensation formidable à cause de mon intention sexuelle. J’avais un peu honte mais j’étais dans une ambiance très érotique et de liberté sexuelle, causée certainement par les frasques de ma femme et tout ce que je faisais paraissait possible. Ma bite se redressait en même temps que l’enfoncement de mon doigt dans mon cul.
Alors, j’ai insisté avec mon doigt et par de légers vas et viens, j’ai frotté l’entrée sensible de mon sphincter. C’était osé et grisant, je commençais à être étourdi de plaisir. J’ai fermé les yeux et, tout de suite, j’ai vu, en esprit, l’image de ce gros zob black et brillant qui rentrait et sortait de la terma de ma femme. Ma bite s’est vite redressée au rythme des vas et viens de mon doigt dans ma terma.
Alors, j’ai osé continuer et effectivement j’ai trouvé dans mes attouchements beaucoup de sensations agréables, à tel point que mon doigt s’est glissé et enfoncé complètement dans mon cul et mes frottis devinrent entiers. Et soudain, mon bas ventre a réagit et le plaisir est monté dans ma bite et j’ai éjacule trois fois sur la caravane.
Satisfait, j’ai récupéré mon doigt et fermé ma braguette. Mais, j’ai eu la sensation que mon cul était un peu mouillé et continuait à me démanger légèrement. Je voudrais analyser ma situation personnelle, mais ce sera pour plus tard, pas maintenant, quant je serais loin de cette ambiance charnelle et de ces relations bizarre entre ma terma et ma bite.
Après quelques minutes, j’ai repris mon souffle et j’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre. Les deux amants s’étaient rhabillés et l’homme ouvrait déjà la porte. Mais, avant de laisser ma femme sortir, il l’a fortement serré contre lui, l’a embrassé et lui a chuchoté quelque chose à l’oreille. Cela a fait pouffer ma femme « bien sur habibi ! kifah na’n’ssa zebek lekhchine ! rani nassa’n’naah 3ala e’jmar fi souti wa fi teremti » (Bien sur mon chéri ! comment puis-je oublier ton gros zob épais ! je vais l’attendre avec des charbons ardents dans ma chatte et ma terma !). Il lui a tapé gentiment la terma et ils sont sortis..
Dehors, ma femme s’est vite dirigée vers l’extérieur du marché et l’homme a repris sa place à coté de son jeune compagnon. Alors, moi aussi, j’ai rejoins la maison, assez loin derrière ma femme pour ne pas me faire repérer. L’absence de ma femme n’a pas duré plus d’une heure et demi. Et le reste de la matinée s’est déroulée normalement jusqu’au déjeuner vers 13h. Ensuite, comme à mon habitude, je suis sorti pour aller au café. Mais, dehors, je me suis caché pour voir si ma femme allait encore retrouver son premier amant Algérien.
Presque aussitôt, elle est arrivée vers le marché désert, mais, comme ce matin, elle l’a contourné et elle a cogné la porte de son nouvel amant black. Il lui a immédiatement ouvert et elle est entrée en éclatant d’un rire sonore que j’ai pu entendre de ma position. Aussitôt, j’ai vu le jeune aide vendeur sortir et se diriger vers le centre de la ville. Ils l’ont chassé pour baiser tranquille.
Immédiatement, j’ai rejoins mon observatoire et j’ai constaté que déjà, ils étaient nus. A cette vitesse, ils devaient chauffer de désir et ma femme de dire « souti raha e’skhouni ! wa 3atchana ! e’dawar 3ala neika harra ! a’hla mine n’ta3 e’s’bah ! » (Ma chatte est chaude ! et assoifée ! elle désire une forte baise ! plus jouissante que celle de ce matin !). Et l’homme de répliquer « ma t’khafich ! zébi rah e’m’ta’n’nane ! wa e’m’3amar !gadmili soutak ! gadmi ya qahabti ! » (Ne craint rien ! mon zob est gonflé ! et rempli de désir ! approches ta chatte ! approches putain !).
Et, comme ce matin, ils plongèrent sur le lit, et la danse de l’amour charnel démarra avec des secousses de la caravane, des gémissements de plaisirs et des halètements communs bruyants. Comme je n’avais plus rien à apprendre de nouveau, j’ai essayé de me branler, mais ce fut difficile, mon zob refusait de bander.
J’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre car je désirais voir le gros zob noir qui entrait et sortait dans la chatte de ma femme. Et en effet, à sa vue, mon bas ventre frissonna de nouveau et mon érection fut immédiate. Ce n’était pas la vue du sexe de ma femme ni la baise, mais seulement la vue de cet énorme zob, brillant des liquides de la chatte mouillée, qui m’excita.
Alors, comme ce matin, j’ai glissé une main sous mes vêtements et plongé un doigt dans mon anus. Et par des masturbations d’une main de ma bite d’une part et des vas et viens de mon doigt à l’intérieur de mon cul d’autre part, je me grisais de plaisir. Je jouissais par devant et par derrière et pour amplifier mes sensations, j’ai allongé le cou pour voir l’intérieur de la caravane.
Ainsi, je pus bien observer les mouvements du gros zob. J’entendais même un peu les clapotis et sussions de ses vas et viens dans la chatte de ma femme. Les deux amants gémissaient et leurs respirations devenaient rauques et précipitées, affolées par le plaisir qui montait dans leurs sexes. Moi aussi, petit à petit le plaisir montait dans mon bas ventre. Et lorsqu’j’ai entendu ma femme crier son premier orgasme, son cri a fouetté ma bite et j’ai éjaculé fortement sur le mur de la caravane.
Et, chose inédite, j’ai aussi constaté qu’à chacun des trois jets de mon sperme, mon anus se contractait et se détendait agréablement sur mon doigt. Ça doit être certainement la même chose que faisait la chatte de ma femme sur le zob de son amant. Vu leurs cris affolés, ça doit leur donner certainement un plaisir formidable. Et, pour moi, si je remplaçais mon doigt au cul par un zob comme celui du black, quelles sensations pourrais je obtenir ?
Ensuite, un peu las et fatigué, je suis parti vers le café de la place, laissant les deux amants jouir de leurs corps au maximum. Ainsi donc, ma femme a trouvé un autre zob, un autre amant, un marchant black, qui a l’air d’être plus performant que le premier, puisque il la baise et la sodomise une fois le matin et certainement plusieurs fois l’après midi.
Certainement, elle doit lui plaire tellement, que le matin, il abandonne son étalage à son adjoint pendant toute une heure pour la baiser et la sodomiser et l’après midi, il lui consacre plusieurs heures de plaisirs charnels. Ma femme s’est libérée d’abord, avec un amant jeune et poilu, ensuite avec un second black plus âgé et qui est vraiment d’un gabaria spécial et que vat-il-se passer pour la suite avec elle ?
Pour moi aussi, beaucoup de choses ont changés. Je crois être déjà, en voie de libérations contre mes anciens blocages traditionnels et cela, grâce au gros zob du black. Pourtant, je ne l’ai jamais touché mais seulement vu à l’œuvre sur la chatte et la terma de ma femme. En effet, à chaque fois que je le voyais, bien tendu et gonflé, beaucoup de choses se passaient dans mon corps et dans mon esprit. Non seulement je fantasmais librement mais, avec mes deux masturbations aidées de mon doigt au cul, je suis passé à l’acte. Et je ne sais pas, moi aussi, ou cela va me conduire.
Une chose est certaine, c’est que tous ces événements, pour ma femme et pour moi, qui étaient effectivement interdits dans notre monde traditionnel, nous ont fait passer d’agréables moments et donnés des jouissances sexuelles que nous voulons, à tout prix continuer et approfondir.

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