Troisième Rencontre Échangiste : Le Studio

Nous ne parlions pas de nos deux premières rencontres espacées d’un bon mois. Comme un peu toujours dans notre vie, Caroline semblait considérer que je n’avais qu’à proposer et elle à décider. Et justement, quelques semaines plus tard, un couple nous proposa de les rejoindre chez eux pour une « soirées à plusieurs couples ». En fait ce couple aisé avait même investi dans l’achat d’un studio pour recevoir leurs amis libertins loin de leurs s. Ils étaient assez beau, la quarantaine entretenue mais assez curieusement petits tous les deux : lui pas plus d’1m65, elle 1m55. Leurs autres amis étaient un couple mixte la quarantaine également, lui black, très beau, elle blanche grande et très sexy dans sa guêpière rouge, un autre couple plus jeune, 35 ans environ, elle très belle mais avec la spécificité de posséder un fessier très conséquent qui plut beaucoup au beau black, et lui très grand, aux yeux bleus délavés assez remarquables pour autant qu’on puisse le dire dans la semi-obscurité du studio.
Nos hôtes, Marie-Christine et Thomas, nous avaient prévenu, ils n’aimaient pas les « mises en bouche à rallonge ». Je ne fus donc pas surpris de le voir s’approcher relativement vite de Caroline pour la caresser et lui proposer de « dévoiler sa superbe poitrine » dont il s’empressa de lécher les tétons à la grande satisfaction de l’assistance. Je ne vous en ai pas ment déjà parlé mais Caroline possède l’une des plus belles poitrines qu’il m’ait été donné de voir, et Dieu sait que j’en ai vu beaucoup depuis le temps que nous fréquentons les cercles libertins ! Haute, ferme, opulente – 95 D – sans être énorme, elle représente une « forme de perfection au sein du peloton des plus belles poitrines du circuit », nous certifia Steevy, l’ami black que nous rencontrions pour la première fois ce soir-là et qui devint ensuite l’un de nos meilleurs camarades de débauche.
Mais pour l’instant c’était Thomas qui faisait bénéficier Caroline d’une science du doigtage qui faisait sa réputation.

Sa femme étant aux prises avec Steevy, la compagne de Steevy avec le grand blond, je décidais de m’occuper de la femme de ce dernier. Virginie était assez timide et ne prenait aucune initiative autre que de me laisser la déshabiller pour révéler une très jolie poitrine – quoiqu’assez menue – et un fessier que je m’empressais d’embrasser avant d’aller fouiller une intimité qui s’humidifia rapidement. Pendant ce temps Thomas avait confortablement installé Caroline en levrette, sa position préférée, et commencé à la prendre. Tout en se faisant sucer par la femme de Thomas, Steevy en profitait pour soupeser la poitrine de Caroline avant que le grand blond, je ne me souviens plus de son nom, entreprit quant à lui de se faire sucer par Caroline tout en léchant la compagne de notre hôte, debout devant lui. Un beau tableau que j’aurais volontiers pris en photo tant le mélange des corps était étonnant dans ce petit studio.
Pour ma part j’entrepris assez vite de prendre la compagne du grand blond et pris plaisir à la voir gémir de plaisir puis, une fois en levrette, à la voir s’approcher de Caroline, un peu délaissée, dont elle prit l’initiative de lécher le sexe. Je n’avais jamais vu ma femme avec une autre femme et jugeait la chose tellement excitante que je tardais pas à jouir sur l’imposant fessier. « Te voilà à sec mon pauvre, rigola notre hôte, tu vas nous laisser profiter de ta femme sans rien pouvoir faire. » Et il ne fallut en effet que quelques secondes pour que Steevy prenne son relais pour prendre ma belle Caroline. Première fois avec une femme, première fois avec un black, les premières se succédaient et, à voir l’expression de Caroline, avec succès.
Pour un temps moins actif je regardais Steevy prendre ma femme avec grand plaisir tant on sentait chez lui l’expertise de l’homme à femmes qui savait leur faire prendre du plaisir comme pas uns. Arrosant régulièrement les fesses de Caroline de petites claques, lui flattant les seins puis lui prenant fermement la croupe il ne lui laissait aucun répit pour lui donner le plus de sensations possibles et y réussissait formidablement si l’en crois les cris qu’elle lançait, et que je ne lui avais jamais entendu lancer chez nous… Après Steevy ce fut au tour du grand blond de l’honorer et enfin à mois.
Et cette fois-ci elle gémit vraiment de plaisir…

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