Sexe À L'Hôtel 5

Aujourd'hui en rentrant chez moi je suis allée directement dans la salle de bain.
Je me lave abondamment le sexe avec du citron puis j'applique une pommade afin de resserrer les tissus mais ce n'est pas suffisant pour que rapidement l'orifice qui a été très sollicité se referme suffisamment.
Vu ce que ma chatte a subi ce matin avec les deux très grosses verges qui l'ont défoncée il va falloir on certain temps pour qu'elle revienne à des dimensions normales.

Je vais donc narrer ce qui s'est passé ces trois derniers jours.

Le dimanche matin dans l'hôtel ou je travaille pour la saison estivale j'avais noté que deux chambres étaient occupées depuis la veille par deux blacks.
Le samedi dans l'après-midi en me promenant le long de la plage principale je les avais remarqués.
Ils ont environ trente ans, grands, bien bâtis, certainement des sportifs.
Mais surtout ce qui a attiré mon regard c'est la déformation à l'avant de leur caleçon de bain.
Ils semblent bien montés les bougres.
Je me suis dit: je ne voudrais pas avoir des engins comme ça dans le vagin et surtout pas dans l'anus, ce sont des défonce-cul.

Mon travail terminé je quitte l'hôtel.
En passant dans la salle je les vois qui déjeunent, la patronne qui est en train de leur donner des renseignements m'appelle.
<<Laure ces messieurs veulent visiter ce lieu mais je ne sais pas leur expliquer ou c'est et comment y aller>>.
Elle me tend un dépliant que je regarde. Une chance je passe devant l'endroit qu'ils cherchent de temps en temps en me promenant.
<<oui je connais et je peux vous donner les renseignements pour vous y rendre en vous montrant sur la carte qui est affichée devant la gare>>.
Ils me suivent et arrivés devant le panneau je leur explique sur la carte ou c'est et par ou ils doivent passer.
Nous parlons un moment puis ils veulent m'offrir un verre pour me remercier.


J'accepte et nous nous installons à la terrasse d'un bar.

Ils se présentent: Aimé et Vivien.
Nous discutons pendant un moment des attraits de la ville.
Ensuite ils me parlent d'eux, de leur pays d'origine bien qu'ils soient nés en France, ils sont cousins nés à un an d'intervalle.
Puis la conversation commence à dévier sans que j'en sois responsable pour une fois.
<<on voudrait profiter des vacances pour goûter à certains fruits qui doivent être bien mûrs avec le soleil en cette saison>>.
Jouant l'ingénue je leur dis qu'ils trouveront ce qu'ils veulent dans les magasins de la ville ce qui les fait rire.
<<c'est des femmes que nous parlons>>.
Ils continuent à parler de sexe et évidemment une fois lancée je ne suis pas avare pour les répliques sur le sujet, je deviens leur cible.
<<vous trouverez ce qu'il faut sur les plages, il y a beaucoup de femmes seules dorées à point>>.
<<on n'a peut être pas besoin d'aller chercher si loin, vous êtes appétissante et on pourrait passer de bons moments ensemble>>.
Je me doutais bien qu'ils allaient en arriver là.
<<ce n'est pas mon truc le sexe avec des clients de l'hôtel et mes employeurs n'apprécieraient pas>>.
<<on ne va pas ameuter tout l'hôtel, c'est entre vous et nous que ça va se passer>>.
Mon but c'est de ne pas céder trop vite.
<<tout se sait, je risque ma place>>.
<<la discrétion ce n'est pas un problème>>.
<<on verra, je vais réfléchir>>.
Je rentre chez moi en me demandant si je vais accepter de faire l'amour avec eux car ils risquent de me défoncer avec leurs énormes queues.

Le lendemain matin je frappe à la porte de la chambre de Vivien, peronne ne répond.
Soulagée j'entre et je constate qu'il n'est pas là, je fais tranquillement mon travail.

Je sors de la chambre et me rends dans la suivante ou j'ai la surprise de trouver Aimé allongé sur le lit uniquement vêtu d'un caleçon.

A ma vue rapidement la bosse qui déforme l'avant du sous-vêtement grandit jusqu'à devenir énorme.
<<je t'attendais>>.
<<ce n'était pas nécessaire, je peux faire la chambre même si tu n'es pas là>>.
<<laisses tomber ton travail, je préfère que l'on s'amuse un peu tous les deux>>.
Je n'avais pas prévu ça et je suis un peu désorientée.
<<ce ne serait pas convenable que je couche avec des clients pendant mes heures de travail>>.
<<ça restera entre toi et moi, je ne vais pas crier dans tout l'hôtel que nous avons fait l'amour dans ma chambre>>.
Il se lève et m'enserre dans ses bras musclés.
Il plaque ses lèvres contre les miennes et sa langue pénètre dans ma bouche.
Me voilà coincée.
Je ne résiste pas longtemps et ma langue se mêle à la sienne, il m'embrasse avec fougue.
Rapidement il déboutonne ma blouse avant de m'en débarrasser puis il s'attaque à mon maillot et à mon soutien-gorge.
Il caresse et pétrit mes seins.
Ma jupe se retrouve à mes pieds suivie de ma culotte.
Une de ses mains est sur ma poitrine, elle descend sur mon ventre avant de se glisser entre mes cuisses.
<<tu es mignonne, tu me plais, viens sur le lit on va passer un bon moment>>.
Pendant que je gagne le lit il retire son caleçon et ce que je vois me donne des frissons, c'est énorme.
Il s'allonge à côté de moi.
Je caresse lentement sa poitrine,son ventre, ses cuisses puis c'est ma langue et ma bouche qui passent aux mêmes endroits que mes mains.
J'évite de toucher à son sexe ce qui l'énerve.
Enfin je décide qu'il a assez attendu, à genoux entre ses jambes je caresse doucement sa queue puis ma langue remplace ma main.
Je lèche son énorme membre partout en n'oubliant pas un morceau de peau tput en malaxant ses testicules.
Ma bouche suce le gland pendant un moment, il se trémousse énervé.
J'ouvre au maximum ma bouche et introduis son pénis à l'intérieur.

Je lui fais une fellation en engloutissant ce que je peux de la verge pendant les va-et-vient de ma bouche, je le masturbe en même temps.
Le résultat est plus rapide que je ne le pensais. Sa queue augmente encore de volume dans ma bouche distendue, elle tressaute en envoyant de grandes giclées de sperme dans ma gorge.
J'avale ce que je peux pendant que du liquide coule sur mon menton.
Je vais me rincer et essuyer la bouche dans la salle de bain, j'en profite pour enduire ma chatte de sperme.

De retour sur le lit il me prend en position du missionnaire, j'ai le souffle coupé quand sa queue s'enfonce avec difficultés dans ma chatte en repoussant les chairs.
Il donne des coups de reins et me défonce (c'est le mot juste), je ressens fortemeny les aller-retour du pénis en moi.
Il ne se passe pas longtemps avant que son corps ne se raidisse pendant qu'il éjacule dans mon vagin.
Il bande toujours et me demande de me mettre à genoux, je creuse les reins pour bien lui présenter mon cul, sa queue coulisse maintenant plus facilement dans ma chatte qu'il défonce à grands coups de reins.
Il me besogne plus longtemps, le plaisir monte dans mon ventre, il arrose de nouveau ma grotte.

A genoux entre ses jambes je le masturbe puis comme rapidement il a une érection je suce comme je peux son pénis gluant, je commence à avoir la mâchoire douloureuse.
Je me mets à califourchon sur lui mes jambes de chaque côté de son cprps et j'introduis sa grosse queue dans mon intimité, elle vient cogner au fond de mon vagin pendant que je fais bouger mon corps avec des mouvements verticaux pour que me chatte fasse des aller-retour sur son pénis.
De nouveau le plaisir monte dans mon ventre et comme il est plus long à venir je suis prise de spasmes et je jouis, de la cyprine sort de mon vagin arrosant sa queue et son ventre.
<<elle te fait du bien ma grosse bite>>.
Comme je cesse pendant un instant de donner des coups de reins il enserre ma taille avec un bras et me retourne, je me retrouve sous lui sans que sa verge n'aie quitté mon intimité.

Il donne de grands coups de reins, ses testicules claquent contre mes fesses. J'essaye de l'accompagner avec des mouvements de mon bassin mais le plaisir ne baisse pas et je jouis encore avant qu'il n'éjacule dans mon corps.
Il est toujours en érection et continue à me défoncer longtemps, les aller-retour de sa verge dans na chatte sont loin de camer le plaisir qui est à son maximum et je jouis de plus en plus rapidement ce qui lui fait dire:
<<c'est bon la grosse bite d'un noir, tu as l'air d'aimer ça>>.
Enfin il arrose encore mon vagin de son sperme.

Je récupère un peu pendant qu'il s'allonge à côté de moi puis je me lève et vais me laver.
Il ensiste pour que je reste encore mais je prends pour excuse que j'ai encore du travail et que je ne dois pas dépasser un certain horaire.

Le matin suivant quand je viens faire la chambre de Vivien je le trouve allongé sur le lit nu comme un ver, sa queue imposante pend entre ses cuisses.
<<je t'attendais, aujourd'hui c'est mon tour de faire l'amour avec toi>>.
Je reste à le regarder surprise.
<<déshabilles toi, viens ici>>.
Il m'est difficile de refuser, comme une automate j'obéis tout en restant silencieuse.
Je n'ai pas le temps d'arriver jusqu'au lit que je vois sa grosse queue grossir et se dresser.
Même si elle est unpeu moins imposante que celle de son cousin c'est un beau gabarit.
<<elle te plait ma grosse bite>>.
J'évite de répondre.
Il m'embrasse et me caresse rapidement la poitrine, le ventre puis entre les jambes.
Il entre vite dans le vif du sujet, je me retrouve couchée sur le dos les jambes écartées pendant qu'il se met sur moi.
Sa verge bute contre mon sexe, avec une main qui n'arrive pas à l'enserrer entièrement je la positionne à l'entrée de mon intimité et quand il pése de tout le poids de son corps elle me pénètre difficilement puis je la sens coulisser à l'intérieur repoussant les chairs au passage et venant buter au fonde de mon vagin.
Je ferme les yeux pendant qu'il s'active, je ressens fortement les va-et-vient de la queue en moi.
Rapidement son membre s'agite et déverse une bonne quantité de sperme dans mon vagin.
En essayant de maintenir fermé mon sexe avec une main je vais me nettoyer.

Quand je reviens il est debout, je me mets à genoux au bord du lit pendant qu'il se positionne derrière moi et me prend en levrette puis il me défonce à grands coups de reins les mains agrippées à mes hanches.
Il ne met pas beaucoup de temps avant d'arroser de nouveau mon intimité.

Il s'allonge sur le lit et me réclame une pipe.
Après avoir pris sa verge dans ma bouche je le masturbe en même temps que je lui fais une fellation qui dure un bon moment.
Ma mâchoire supporte difficilement le traitement qui lui est infligé et je commence à avoir des crampes quand enfin la queue augmente encore de volume et tressaute dens ma bouche envoyant des jets de sperme dans ma gorge.
Son membre a tendance à ramollir mais comme je continue la fellation et la masturbation, il grossit assez vite.

De nouveau couchée sur le dos il est sur moi et me pénètre puis me défonce à grands coups de reins.
Je fais bouger mon bassin pour remuer en cadence avec lui.
Le plaisir commence à monter dans mon ventre et finit par devenir insupportable quand il éjacule dans mon vagin.

Je lui fais une nouvelle fellation et surtout je le masturbe énergiquement ainsi il bande de nouveau sans trop de peine.
Il me prend de nouveau dans la position du missionnaire et nous bougeons ensemble.
Notre accouplement dure un bon moment et il donne des coups de reins de plus en plus violents se qui fait remonter le plaisir en moi. Comme il continue pendant un bon moment les sensations deviennent intolérables.
Prise de spasmes j'ai un orgasme ce qui ne l'empêche pas de continuer à me défoncer puis il se soulage encore dans mon vagin.
Une fois qu'il s'est retiré je me lève et vais me laver.
Il veut continuer nos ébats mais je lui dis que je ne peux pas rester plus longtemps.
Je me rhabille et je quitte la chambre.

Le surlendemain quand j'entre dans la chambre de Vivien j'ai une nouvelle surprise.
Ils sont là tous les deux en short et torse nu assis sur le lit à discuter en buvant un verre.
<<aujourd'hui ça va te plaire, nous allons te faire l'amour tous les deux en même temps>>.
Ce n'est pas une bonne nouvelle, un c'est déjà bien mais deux ça fait beaucoup et je crains de ne pas être en bon état à la fin des ébats.
<<vous deux ensemble ça va faire trop pour moi>>.
<<mais non, tu vas aimer et avoir beaucoup de plaisir>>.
Ils ne me laissent pas le choix.
Ils se lèvent et s'approchent de moi.
Pendant que l'un m'embrasse l'autre me déshabille puis ils caressent mon corps s'attardant sur mes seins et surtout entre mes cuisses.
Vivien s'assoit sur le lit, je me mets à genoux entre ses jambes et je commence à lécher sa queue pendant que Aimé se positionne derrière moi et me prend en levrette.
C'est terrible ce que je ressens quand son monstre s'enfonce dans mon intimité qui n'est pas préparée à le recevoir.
Il me défonce à grands coups de reins pendant que je fais une fellation et que je masturbe en même temps Vivien.
Mon vagin se fait abondamment arroser un peu avant que ma gorge ne soit envahie de sperme.
Vue la quantité de semence je fais un passage dans la salle de bain, le temps que j'arrive dans celle-ci le liquide coule sur mes cuisses bien que je plaque une main sur ma chatte.

A peine de retour sur le lit je me retrouve avec le pénis de Aimé dans la bouche, je le suce pendant que celui de Vivien pénètre dans ma chatte. Ils mettent un peu plus de temps avant d'arroser ma gorge et mon vagin.

Ensuite je dois m'allonger sur le dos et écarter les jambes.
Ils se contentent de défoncer mon intimité chacun leur tour.
Je ressens fortement les va-et-vient de la queue qui est en moi, pendant ce temps j'ai le pénis de celui qui est en attente dans une main à le masturber ou dans la bouche à le sucer.
Le plaisir monte rapidement dans mon ventre et le corps secoué de spasmes j'atteins l'orgasme.
Comme ils n'arrêtent pas de me besogner en se relayant je jouis encore avant que chacun leur tour ils n'éjaculent dans mon intimité.

Ils continuent et se relaient toujours dans ma chatte, celui qui attend que la place soit libre met sa queue dans une de mes mains, je la caresse et la masturbe doucement ou vigoureusement selon qu'elle bande toujours correctement ou qu'elle aie perdue de sa vigueur.
Ils me défoncent longtemps n'arrosant mon intimité de leur sperme que quand il ne sont plus en mesure de retarder leur jouissance. Mon plaisir est intense et mes orgasmes sont de plus en plus rapprochés.
Je suis comme un pantin subissant leurs assauts, plus très lucide.
Je mouille beaucoup, de la cyprine coule dans la raie de mes fesses et tâche les draps.
Les va-et-vient de pénis dans ma chatte sont accompagnés de clapotis et je dois me retenir pour ne pas être trop bruyante.
Les testicules claquent contre mes fesses.
Enfin une dernière verge se déleste dans mon vagin du sperme qui lui reste.

J'ai du mal à récupérer.
Je prends une douche en faisant varier la température de l'eau puis je me rhabille pendant qu'ils commentent nos ébats.
Sans avoir changé les draps, Vivien dormira dans des draps souillés de sperme et de mouillure, la démarche mal assurée je quitte l'hôtel par une porte de service pour ne pas me faire remarquer.

Il leur reste plusieurs nuits à passer dans l'établissement, je sais qu'ils ne me laisseront pas de répit.
Je sais également qu'ils ne se contenteront pas de me faire l'amour l'un un matin et l'autre le lendemain et qu'ils se mettront de nouveau ensemble pour me prendre et me laisseront encore dans un triste état après des jouissances répétées.
Deux énergumènes montés comme ça c'est bien mais c'est usant.
Heureusement qu'ils ne vont pas rester longtemps.

A chaque tentative j'ai systématiquement repoussé de la main le pénis qui s'approchait trop près de mon anus, refusant de me faire sodomiser car j'ai trop peur qu'il me déchirent le cul.

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