La Récompense

Brassant l’air chargé d’une odeur de vieux mur un peu moisi. J’étais seul dans ma garçonnière. C’était là où j’aimais me réfugier pour m’isoler. Quelques revues de cul pris au hasard dans la table de nuit de mon frère ouverts devant moi sur des clichés affriolants. Sur la table de fortune, composée de bric et de broc un cahier sous mes yeux. Là-même ou je rédigeais mon aventure avec ma tante lors des dernière vacance.
ça faisait deux heures que je me trouvais sur place, faisant travailler mes neurones fusillés à bout portant par les pensées de ma relation avec Christiane.
J’avais dans un premier temps perçu seulement qu’un faible froissement. Puis s’en était suivi comme des imperceptibles chuchotements, des frôlements, et tout cela près de moi, du côté de la cave jouxtant celle-là même où je me trouvais.
Puis je distinguais distinctement des voix. Entrecoupées de vagues bruits de lutte étouffés. Très vite des protestations féminines plus aigues se détachaient de voix de mâles.
- Non, pas ici. Vous êtes fou ! Si quelqu’un venait !
Les réponses sourdes des hommes étaient confuses. Je dirai deux ou trois mecs, dont le débit précipité, fiévreux disait assez ce qu’ils étaient en train d’essayer d’obtenir.
- Par ici ! Supplia la fille. N’importe où mais pas ici.
Sa conviction du début faiblissait très nettement. Les mecs parlementèrent avec un peu moins de précipitation. Ils devaient commencer à sentir que c’était presque gagné avec la fille.
- Bon ! Dépêchez-vous alors ! Laissa-t-elle enfin tomber.
Il y eu un peu de remue ménage, avant que je l’entendait elle dire : .
- Ça va ! Pas la peine de me brutaliser, je ne vais pas changer d’avis. Lâchez-moi que j’ai l’impression de faire ça de mon plein gré.
Doucement je me levais, abandonnant ma place pour très lentement me déplacer, avec la ferme intention de tout faire pour en voir plus. Et cela jusqu’à toucher les lattes de bois qui me rendaient invisible à leurs yeux.

Et là je jetais un œil entre les interstices. Et très vite je reconnu Béatrice.
Une chaudasse à peine sorti de l’adolescence, habitant le quartier voisin et pour ne pas se faire prendre par sa mère venait jusqu‘à chez nous exercer ses forfaits. En prenant mille précautions, je dévorais des yeux la croupe de la fille que je trouvais à mon goût. Dommage qu‘elle ne s‘intéressait pas à moi.
Elle avait les cheveux longs, noirs tombant sur les épaules. Elle était grasse et fine en même temps. Grasse de poitrine, des fesses et des cuisses. Fine partout ailleurs c’est-à-dire de la taille, des épaules, des jambes.
Les mâles en nombre de deux, étaient en extase devant la Béatrice. L’un était blond avec une chevelure abondante. L’autre un basané.
- Attends ! On est copains, Flip et moi. Fit le blond. Pourquoi on ne ferait pas ça ensemble, hein ?
Flip c’était le basané. Je vis les doigts de Béatrice se bloquaient sur son tee-shirt de couleur rouge qu’elle prenait plaisir à soulever. Déjà un sein apparut, avec un mamelon magnifique. Que même Christiane aurait pu se coucher devant. Avec son aréole brune orangée et la pointe rouge au milieu. Longue et dure comme un crayon.
- Ça ne vas pas ? Fit-elle. Vous êtes malades !
- C’est que tout ce que tu nous montre est magnifique !
Il en profita après ses paroles, de s’emparer de ses lèvres. Le compère, lui était passé par-derrière. Elle avait bien essayer de protester, mais avec la bouche occupée comme elle avait avec sa langue du copain il était difficile de parler. Et cela pour le plus grand plaisir des mains de Flip, qui purent en toutes innocences opérer en toute tranquillité. D’abord la ceinture tressé, puis le jean dont il fit sauter les boutons. Béatrice ne pouvait plus rien contrôler de ce qui se passer en bas de son corps. Cela ne l’empêcha pas de passer les bras autour du cou du blond. Et, d’instinct, ondula des hanches et creusa le ventre pour laisser le deuxième larrons descendre le zip de son pantalon.
Ce qu’il fit très lentement sans pour autant prendre la peine de lui caresser le ventre. Sa main faisant très vite connaissance avec les poils de sa toison. Où elle s’enfouissait, épousant la courbe du pubis.
Collé à la cloison immobile, retenant mon souffle, hagard je ne parvenais pas à m’arracher du spectacle qui m’était offert. Béatrice s’était très vite retrouver à demie-nue. Son jean tirebouchonné à ses pieds. Son tee-shirt remontait sous son menton.
Brusquement, elle se détacha du blond et prenant appui sur une poubelle, s’éleva à quelques centimètres du sol, les jambes ouvertes à angle droit.
- Léchez-moi ! Commanda-t-elle. J’adore cela !
Tête renversée, yeux révulsés, elle offrait son entrejambe ouvert à qui le voulait. Une fourrure rêche et épaisse qui remontait haut entre ses fesses, voilant de son ombre ses reins.
La tête du blond et celle de Flip se rencontrèrent presque à l’intersection de ses cuisses. Bouches perdues dans la broussaille que j’imaginais très très odorante. Où lors salive se mêlaient à l’humidité de la fille. Le basané s’était enfoui dans le profond sillon de sa croupe dans laquelle il cognait de la tête comme s’il avait voulu y disparaître tout entier.
Béatrice se mit à pousser de petits cris de souris qui finissaient en roucoulement. J’avais l’impression que mes yeux allaient tomber par terre. Le ventre de Béatrice se creusait et se gonflait alternativement comme une vague dans l’orage. Son nombril rentrait et sortait. Ondulant comme dans une étrange danse lascive.
Elle se dégagea, sauta à terre et saisissant le blond par le cou, le fit tomber à la reverse sur le sol de terre battue. Et très vite elle se retrouva sur lui, ses fesses volumineuses, arrondissant leurs demies sphères blancs au-dessus du membre du blond.
Elle eut un mouvement de croupe qui la suréleva un instant. Le temps de passer la main entre les deux ventres pour y saisir de ses doigts arrondis l’argument viril du copain qu’elle caressa furtivement.

Puis, le maintenant pointé dans la bonne direction, elle s’abaissa lentement et se vissa à lui. Comme un ajustement parfait de pièces faites pour s’emboiter. Elle commençait alors un aller et retour sur lui avec de grands soupirs qui secouaient ses seins dans un mouvement bercé, élastique. Puis la vue se braqua sur ceux qu’exhiber le copain. Un véritable pieu. Une lance de chair démesurée couleur bronzé. Luisante de sueur.
À genoux, il s’installa derrière Béatrice. Posément il la saisit par les fesses de manière à les écarter le plus qu’il le pouvait. Instinctivement, la fille creusa le dos pour présenter le puits froncé avec une obscénité totale et tranquille. Elle eut un feulement quand la masse du basané commença à palpiter à son entrée. Elle s’arrêta même un instant d’aller et venir sur le blond, alors que le copain poussait toujours. D’une main sur la nuque de la fille, il lui baisser la tête, jusqu’à ce qu’elle soit couchée, joue contre joue avec le blond, prosternée, docile et matée. Celui-ci voyant son compagnon hésiter, saisit à son tour les fesses de Béatrice et les écarta encore un peu plus. Distendant par ce geste, le passage, la livrant totalement sans résistance possible à l’épieu qui l’empalait.
Elle eut une sorte de rire rauque monté du fond de son ventre. Les deux mecs qui l’emplissaient se remirent sans résistance, bouche ouverte. Elle n’était plus qu’un corps possédé, abandonné, comblé.
Pensant que j’en avais assez vu je retournais jusqu’à mon sommier de maille, où je m’offris une petite récréation, et cela jusqu’à ce que le silence revienne du côté du trio. Ce fut l’instant que je choisis pour sortir, et rejoindre la surface. Sur le sol se tenait un bracelet. Sans doute appartenait-il à Béatrice. Je m’en suis saisis. Cela ferait le bonheur d’une de mes sœurs. Mais pas le temps de choisir à laquelle je lui donnerai que Béatrice déboula, et se planta devant moi en me voyant en possession de son bien. Arriva alors Jeannette, une autre fille habitant dans la quartier voisin.

Un sourire sournois s’étaient dessiné sur leurs lèvres respectives, en me voyant.
- Et bien en voila une surprise. Si je m’attendais à cela. C’est mon jour de chance. À ce que je vois tu as trouvé mon bracelet. Et je devine que tu t’apprêtais à me le remettre, c’est ça Alain. C’est gentil de ta part, tu mérites une récompense. N’est-ce pas Jeannette, qu’il mérite une récompense ?
- Si tu le dis !
Sans perdre un seul instant, Béatrice s’empara à travers mon pantalon de ma verge. Qu’elle se mit à me tordre. À y enfoncer les ongles. J’étouffais un cri de douleur. De peur d’ameuter toute la gage d’escalier, elles m‘entrainèrent jusqu‘à l‘endroit où avait eu sa relation avec ses deux copains. D’un croche pied elle m’envoya au sol. Puis me sauta dessus. Immobilisant mes bras au sol. Pendant ce temps là, Jeannette ôtait sa culotte. Et après avoir retroussé sa jupe, elle s’assit carrément sur mon visage. Il m’était pourtant facile d’un coup de reins de l’envoyer promener, mais je n’en fis rien, heureux de sa situation. Impatient d’en connaitre la suite, qui ne ce fit pas attendre longtemps.
Par contre ce que je savais c’était que je respirais difficilement. Ma bouche étant collé aux lèvres vaginales odorantes de la fille. Ma bouche à hauteur de son fessier. Auxquelles, elle imprimait un mouvement de va-et-vient. L’anus dégageait une odeur âcre. Le périnée et la chatte sentaient la pisse, la sueur. Aussi étrange que cela puisse vous paraître au lieu que cela me repousse cela me fit l’effet d’un aphrodisiaque, à me faire bander dur.
Pendant ce temps là, Béatrice m’abaissa le pantalon et saisit ma pine.
- Je suis sûr quand t’a jamais fait ce que je m’apprête de faire !
Et sans attendre une réponse, elle mit ma verge dans sa bouche. Qu’elle taquina agréablement de sa langue, faisant aller et venir le prépuce sur le gland. Comme l’avait fait si bien ma tante, d’une manière qui en disait long sur son expérience sexuelle.
Il me fallut que peu de temps avant que j’éjacule dans sa bouche. Après m’avoir but jusqu’à la dernière goutte, elle ordonna à son amie de se redresser. Après s’êtes parler quelques mots, elles s’accroupirent synchroniquement au-dessus mon visage, jusqu’à unir leurs lèvres intimes aux miennes. Me roulant un patin que je définirais au goût salé.
Puis après s’être données du plaisir de la sorte, elles se redressèrent pour placer leurs jambes de part et d’autre de mon corps.
- Je suis sûr que tout cela t’a donné soif. Je me trompe ?
Et tout de suite je pris un déluge de pisse. Béatrice placer devant sa copine, visa la bouche.
- Cela est à ton goût ? Me fit-elle.
Une fois s’être soulagé, elle prit la même position que Jeannette plus tôt, et me lança :
- Maintenant tu vas me nettoyer ! J’espère que tu as été bien récompenser, ajouta-t-elle en collant son sexe à ma bouche sous les rires joyeuses de sa copine.
De nombreuses gouttes perlaient à ses poils. Je passais et repasser la langue le long de la fente. Et à ce petit jeu elle fut très vite parcouru de soubresauts de jouissance.

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