Histoire De Rugbyman. Chapitre 2 : Souvenir D'Un Fils 5e Partie

PARTIE 5 : Suite du flash-back Quentin «Servitude quand tu nous tient ! »

POV QUENTIN
Nous venions de signer un contrat de servitude, des clauses disaient que Marc avait tout droit sur nous, baise hard, double, fouet, fist, uro et plein d'autre choses. À cette époque, nous avions vite signé sans réfléchir aux conséquences, encore envahit par le plaisir que nous venions de recevoir. Sans nous douter, que question sexe et domination Marc était un maître et que nous allions en baver pour notre plus grand plaisir.

Il a décidé que Thibaut devait s'installer chez nous pour la semaine, durant toutes les vacances de ma mère et ma sœur. Durant cette semaine nous devions vivre nu, du matin au soir sauf pour sortir. Nos culs devaient toujours être propres et dispo pour une utilisation a n'importe quel moment et n'importe où. Que ce soit au lever, durant un repas, pendant une partie de jeux vidéo, pendant un appel téléphonique, durant un film ou encore pendant la nuit. Il nous a baisé régulièrement tout les jours au moins 5 fois chacun. Le matin au réveil, une fois dans la matinée parfois 2, pendant le repas du midi, encore une fois dans l'après-midi, plusieurs fois le soir et dans la nuit. Nos anus étaient explosé, je pouvais aisément faire entrer 4 doigts dans mon cul et cela a n'importe quel moment du jours et de la nuit. Chaque matin, il commence par nous mettre à ses pieds à genoux, on doit le supplier pour pouvoir le sucer. Au départ, c'était humiliant, mais maintenant, c'est devenu excitant. Après plusieurs implorations, il sort son engin, j'ouvre la bouche et il l'enfourne. Son gland est aussi volumineux qu'un gros champignon, j'ai la bouche entièrement remplie, je commence à sucer son bout durci avec lenteur, ce qui lui plaît. Au bout d'un moment, j'ai un peu mal aux mâchoires, car je dois la garder bien ouverte pour éviter les dents. Pendant plusieurs minutes, je m'applique à lui astiquer le gland. Parfois, il a un goût d'urine et parfois, il lui arrive de lâcher des jets d'urine dans ma bouche.

Thibaut lui s'occupe de réchauffer les testicules dans sa bouche, il s'y applique avec beaucoup de sérieux et de vigueur. S'en suis alors une vingtaine de minutes de fellation où l'on alterne entre ses testicules, sa bite et son cul.
Ensuite, il nous encule en commencent toujours par Thibaut pour son plus grand plaisir. Dans son cul, il se lâche totalement, la pénétration est toujours bestiale et sans précautions. Ce qui fait hurler mon ami, de douleurs, mais aussi de plaisir. Lorsque mon beau-père et entièrement en lui, il se déchaîne et lui gifle le cul, laissant de grosses traces rouge. La première fois, j'ai eu peur, car je savais qu'avec lui, il n'y aurait aucune préparation. Mais avec le temps, je me rends compte que mon pote adore ça.
Après, c'est mon tour, et a chaque fois sa verge prend des dimensions encore plus inquiétante.

Mon amant positionne son énorme sexe durci contre mon entrée intime et la lubrifie en frottant sa tête humide et il balance une phrase du genre "au suivant ou serres les dents salope". Puis d'un coup de reins, il s'introduit entre les miens de reins. Mon sphincter résiste quelques instants et quand la virilité pénètre en moi je hurle de douleur, une violente brûlure m'envahit, je pleure parfois, mais je sais qu'ensuite le plaisir va arriver alors je m'accroche. Avec un deuxième coup de reins, il m'enfile jusqu'à la garde, quand son corps se colle au mien, que ses poils pubiens me chatouiller le cul, je sais qu'il est complètement en moi et a moi. Mon amant reste immobile quelques instants dans mon fondement, puis il commence à bouger. Les premières fois, je continuais à pleurer et il me regardait de travers l'air inquiet et me demandait si j'avais mal. Puis il me rappeler à l'ordre ", c'est bien ce que tu voulais non !?". Alors, je me forçais à me taire et je couiné simplement. Avec le temps, je déguste ce moment de souffrance, car il se mêle au plaisir avenir.

Lui reprend de la vigueur et le voilà en train de pousser des cri de bûcherons :

- AH AH AH !!

Sans m'en rendre compte, je crie moi aussi.


- OUI, ouiiiiiiii, ooooooo, uiiiii,

- Tu vois bien que tu aimes salope.

- Oui, j'aime,

- Qui ?

- Toi,

Je reçois une énorme claque sur les fesses.

- Qui ?

- Vous

Une autre claque encore plus forte.

- Vous qui ?
- Vous mon maître, vous mon maiiiiiiiiiitre,

Thibaut vient à mon secours et commence à embrasser le maître, pour qu'il arrête de me frapper. Il se laisse prendre au jeu, mais au bout d'un moment et le jette sur le sol. Il me regarde très méchamment et dit :

- Ferme ta grande gueule petite pute et laisse-toi enculer en silence, si tu ne sais pas être respectueuse.

L'utilisation du féminin m'énerve et il le voit dans mes yeux, je suis un mec, pas une fille. Mais il essaie de m'atteindre de m'humilier pour se venger de mon manque de respect et sa marche.

- Quoi, la salope ne supporte pas qu'on parle "d'ELLE", pourtant, c'est la seule chose que tu mérites.

Je me force à rien répondre, mais mon visage parle pour moi. Si je réponds on sera corriger avec le fouet tout les deux, c'est dans les termes du contrat qu'on a signé et je veux pas faire ça à Thibaut.

- Tu veux jouer les bonhommes, OK. Je vais sortir de ton trou du cul avant de m'être complètement vidé les couilles et on va enculer à deux ta salope. On va complètement lui casser le cul. Allez prépare-toi a lui déchirer l'anus".

Pendant tout ce temps-là, il n'a pas cessé de m'enculer. Puis il sort sens prévenir att mon pote par les cheveux et le force a s'asseoir sur ma bite face à moi qui suis sur le dos au sol. J'avoue que ma bite et bien au chaud, mais ses parois anales sont larges, j'ai aucun mal a coulisser, la bite de Marc et beaucoup plus large que la mienne. Et je soupçonne Thibaut de s'enfoncer d'énorme truc dans le cul. Le chef prend sa place derrière, je sens sa bite se coller à la mienne et l'étroitesse de l'endroit.
Je vois les yeux du passif s'écarquiller et des larmes perlées. Des claques retentissent sur son visage, pour le faire aller et venir rapidement sur nous m'arrachant à chaque passage un petit cris de plaisir. Peu à peu son anneau se décontracte, la souffrance faisant place à un doux plaisir. Nos pines se mettent à aller et venir un peu plus librement dans son tunnel. Mon maître prend plaisir à sortir presque entièrement, pour la replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, mon ami ne fait plus qu'hurler de cochonnerie.

- C'est trop bon, déchiré moi, pulvérisé mon cul,
- t'inquiètes, c'est déjà le cas, de dos, il ressemble à un cratère salope
- Plus fort encore, encore
- Mais t'est vraiment qu'une traîné
- Oui maître, mais je suis votre traîné
- C'est bien, on va augmenter la cadence

Je reçois des claques sur les cuisses, pour m'exhorter à bouger mes hanches et approfondir la pénétration. Sa pastille cède complètement et nous coulissons sans gène aucune. Il rejette sa tête en arrière et les yeux clos, savoure son plaisir. À ce moment-là, je me dis que je veux aussi connaître ça, mais je n'ose pas le demander.

Au bout de quelques instants de ce traitement, nous commençons a tout soupirer fortement, et le maître s'exprime.

- Ça vient, Quentin branle ton pote !!!

Tout mon plaisir remonte, j'accélère mes coups et ma branlette sur lui, il se cambre un maximum et dans un dernier effort, j'explose dans le tréfonds de ses entrailles, je le sens lui aussi lâcher la sauce et Marc en bon dernier. Je plane littéralement, nos soupirs sont bruyants. Ils nous faut plusieurs minutes pour nous déboîter et s'allonger tranquillement. Je sombre dans le sommeil.

À mon réveil, mon amant m'annonce que vendredi sera une soirée spéciale, d'après les dire du beau-père.

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