Les Vacances Prennent Une Tournure Inattendue...

Cet été, entre autres vacances, nous sommes partis en famille en Bretagne, dans un petit camping rural un peu vétuste mais sympathique et bien situé, dans lequel nous avons quelques habitudes.
Mais cette année, pour la première fois, nous sommes accompagnés par ma belle-sœur, sa fille (3 ans) et ma belle-mère. Mon beau-frère ne viendra pas, il y a de l’eau dans le gaz entre eux deux et, d’après ma femme, cela fait bien longtemps qu’il ne se passe plus grand-chose dans le lit conjugal…
Ma belle-mère n’est là que pour donner un coup de main à ma belle-sœur pour s’occuper de sa gosse. Voilà le tableau posé.
Quant à ma belle-sœur, il suffira de dire qu’elle ressemble à ma femme mais en plus jeune et en bien plus athlétique et sportive. Corps plus fin, plus mince, plus musclé, plus souple… J’ai toujours fantasmé sur elle, surtout depuis que la fréquence de nos rapports (avec ma femme) a bien diminué. Savoir qu’elle est elle-même certainement en manque ne fait rien pour arranger l’affaire et je me branle souvent en pensant à elle, en pensant à son corps nu et si sexy (j’ai souvent eu l’occasion de la voir en maillot de bain mais j’ai aussi eu l’occasion de la voir nue dans la salle de bain, par mégarde, pour quelques délicieuses secondes…)
Bref… Arrive un jour où, le matin, je pars faire un petit jogging comme j’en ai l’habitude en vacances. Il fait chaud et la randonnée de la veille m’a épuisé, je décide de rentrer plus tôt que prévu. Personne à la tente (elles doivent être dans la salle commune ou Dieu sait où…) Je prends mes affaires et m’en vais prendre une douche dans les locaux communs.
Ceux-ci sont déserts. Il n’y a pas grand monde au camping et, vue l’heure, tout le monde doit être au marché local ou en excursion. Du coup, avec l’eau chaude, je commence à imaginer des choses… Et je me retrouve bientôt à me caresser doucement.
C’est alors que j’entends un bruit des claquettes bien reconnaissable : ma belle-sœur arrive pour prendre sa douche et entre dans la cabine voisine de la mienne… Je l’entends se déshabiller, se rincer, se savonner… Et je bande comme un fou, me branlant de plus en plus vite en prenant soin de ne pas faire de bruit.


Au moment de jouir je ne peux toutefois m’empêcher de pousser un petit gémissement. Alors qu’un flot abondant de sperme s’écoule de ma queue encore raide, je constate avec horreur que l’eau entraîne mon jus vers la cabine voisine en passant sous la cloison pour se diriger vers la seule évacuation des douches (le camping n’est pas cher mais un peu vétuste comme je l’ai déjà dit).
Je ne sais pas si elle a entendu mon gémissement ou bien si elle a vu mon sperme mais ma belle-sœur s’exclame « mais c’est dégueulasse ! pervers ! » Comme elle s’était douchée rapidement alors que je prenais mon temps, elle finit de se préparer avant moi et sort de sa douche, quitte furieuse les sanitaires en éteignant toutes les lumières.
Je me retrouve à devoir me rincer, me sécher, m’habiller dans un noir presque complet… Je décide finalement de tenter une sortie pour allumer la lumière vu qu’il n’y a personne d’autre. Elle est là, souriante, à m’attendre dans le noir. En réalisant qui je suis, son air satisfait d’avoir piégé ce « pervers » laisse place à de la surprise, de l’étonnement, de l’incompréhension… De mon côté, je ne peux dissimuler ma gène mais je tente de dissimuler ma nudité avec ma serviette, n’osant pas disparaître dans la douche avant d’avoir réglé cette affaire…
_ Je peux savoir ce que tu fiches ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Tu fais ça souvent ?
_ Non, non, je t’assure… Je… Je me caressais déjà quand tu es arrivée, je pensais être seule… Tu dois bien savoir ce que ça fait, non ?
_ Je suis presque divorcée, moi. Toi tu es marié, c’est pas la même chose. Et pourtant je ne fais pas n’importe quoi de mon côté !
_ Je ne suis pas sur le point de divorcer, c’est vrai… Mais avec ta sœur… Enfin bref… C’est plus comme avant et pourtant ma libido est loin d’avoir baissé de mon côté.
_ Mouais… C’est quand même dégueulasse de se branler comme ça dans des douches publiques.
_ J’avais oublié que ça coulerait dans ta douche, excuse-moi… Promets-moi de ne rien dire à ta sœur…
_ Promis parce que c’est toi.

Là-dessus, elle s’en va. Elle ne dira rien à ma femme visiblement puisque je suis reçu sans ombrage à mon retour. Les relations avec ma belle-sœur sont un peu moins naturelles que d’habitude mais tout va bien finalement.
Les jours passent… et arrive le dernier jour des vacances.
Nous sommes sur la plage. Nous nous sommes baignés puis nous avons pique-niqué. Ma nièce dort sous une petite tente que nous apportons pour la protéger du vent et du soleil. Ma femme veut aller faire une promenade, accompagnée de sa mère et de mes filles. De mon côté, je préfère rester sur la plage pour profiter une dernière fois de la mer. Ma belle-sœur reste bloquée à surveiller sa fille sur la plage.
L’eau est froide, je ne reste pas longtemps avant de revenir aux serviettes. Elle est assise à l’entrée sur le sable, à l’entrée de la tente, admirant sa fille endormie. Le groupe de promeneurs n’est pas rentré.
_ Assieds-toi dans la tente. Ca te réchauffera.
Comme je grelotte, je m’exécute en prenant soin de ne pas réveiller ma nièce. Je ne suis pas totalement dans la tente mais elle me réchauffe bien tout de même en coupant le vent. Ma belle-sœur est en face de moi. Elle me dévisage, me regarde de haut en bas…
_ Ca va ? Demandai-je.
_ Oui. J’aimerais qu’on parle un peu de l’autre jour. J’ai l’impression que ça a un peu cassé quelque chose entre nous et je n’aime pas ça…
_ Je sais. C’est de ma faute, j’en suis désolé.
_ Non, c’est de la mienne. J’aurais pas dû réagir comme je l’ai fait. Après tout, c’est vrai que je comprends la situation… A vrai dire, je ne la comprends que trop bien.
_ C’est-à-dire ?
_ J’ai passé le reste de mes vacances à y penser… Je suis « chaste » de force depuis plusieurs mois maintenant. Je suis convaincue que ce n’est pas son cas à lui… Il doit bien me tromper je pense. S’il n’est pas venu avec nous, c’est certainement pour passer du temps avec une salope quelconque.
_ Je suis désolé…
_ Non, faut pas… J’ai longuement pensé à ce qu’il faisait de son côté, à ce que tu faisais sous la douche… Tout ça m’a excité et je me suis senti bien bête.
Du coup, si tu veux tout savoir, j’ai décidé de faire la même chose moi aussi.
_ Tu vas le tromper ?
_ Non, t’es bête… Je me suis… (elle était rouge pivoine à ce moment-là) donné du plaisir tous les jours, sous la douche, depuis ce jour-là…
_ Oh ! Et bien… Euh… Ravi que cela t’ait au moins procuré du plaisir. Y’a pas de mal à se faire du bien, hein.
_ Même hier, quand tu étais sous la douche, à côté de ma cabine. (Rire)
_ Je ne t’ai pas entendue hier…
_ J’avais ôté mes claquettes.
_ Et donc tu t’es… enfin… juste à côté de ma cabine. Ce que tu me reprochais en fait. Tu n’as pas honte ?
_ Si. Terriblement. Du coup, je me disais que je devais faire quelque chose pour me faire pardonner. Et je crois que j’ai trouvé.
_ Ah ? Et quoi donc ?
_ Ca.
A ce moment-là, elle s’est penchée en avant après avoir jeté un œil aux alentours pour s’assurer que la plage était bien déserte dans ce coin, et elle a plongé sa main vers mon entre-jambe, la mettant carrément dans mon maillot pour caresser ma queue.
Celle-ci se raidit instantanément. Alors que j’allais protester, elle mit un doigt sur mes lèvres :
_ Chut ! Ta nièce dort encore. Et puis ne t’inquiète pas, je ne vais rien faire de méchant ici.
Elle commença alors à me masturber doucement. Elle savait exactement doser la pression de sa main, ses caresses étaient divines. Comme nous manquions de toute évidence de temps, je ne fis rien pour me retenir. Elle sentit que j’allais venir et se pencha au-dessus de mon gland, la bouche ouverte.
J’éjaculais dans sa bouche alors qu’elle finissait de me branler, sans que ses lèvres n’effleurent ma bite. Quand elle m’eut bien vidé, elle se contenta de nettoyer mon gland d’un unique coup de langue gourmand.
_ Voilà… Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu… « ma dose ». J’adore ça, ça me manquait…
Elle rangea mon engin dans mon maillot.
_ Tu ferais mieux de te rhabiller ou de débander plus que ça, elles reviennent.

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