Vacances Estivales En Camping Naturiste

Depuis que nos s sont de grands adolescents, ils ne passent plus les vacances d’été en famille… Ils sont libres de leurs mouvements… à 19 pour notre fille Agnès et à 17 ans pour les jumeaux Alexis et Armand, c’est un peu normal !

Quelques années après leur naissance, nous avions cessé de fréquenter les clubs naturistes que nous connaissions alors jeunes mariés. D’ailleurs notre rencontre avait eu lieu au Camping de la Pinède sur une des iles du Levant… J’avais 22 ans et Fabiane 19 ans…
Livrer nos corps entièrement dénudés au chaud soleil, cela nous manquait !
Si bien que cette année, nous avons réservé un bungalow dans un camping naturiste situé au bord de la Cèze.
Les renseignements que nous avions reçus à l’automne précédent quand nous avons commencé à ébaucher nos projets de vacances estivales nous avaient paru intéressants…
Bref, en février, nous avions réservé pour les trois premières semaines du mois d’août…

Avec mon épouse, nous avons un emploi de cadres de direction dans deux entreprises différentes mais proches de la zone industrielle de Rungis et nous habitons une grande maison individuelle très confortable dans l’Essonne.

Après avoir fait la route de nuit en nous relayant régulièrement, nous arrivons au camping de la Sablière en milieu de matinée du samedi… Depuis la dernière ville traversée, nous commencions à penser que nous nous étions fourvoyés et que le navigateur nous avait perdus dans la campagne… Mais non… comme beaucoup de ces établissements, l’isolement est recherché…

Après une installation rapide et des achats de nécessité à la superette du camping, nous adoptons la tenue minimum. Munis de grandes serviettes et de produits anti soleil, nous nous dirigeons vers la piscine la plus proche où il y a pas mal de monde à profiter des rayons du soleil.
L’eau bleu turquoise de la piscine nous attire aussitôt et après avoir fait quelques longueurs, ma femme m’invite à faire connaissance avec les lieux et nous descendons vers la plage de la rivière.


Les lieux correspondent exactement aux photos du dépliant et diverses descriptions… mais ce qui n’avait pas été précisé, c’est la tenue des vacanciers qui se prélassaient sur des matelas de plage au bord et dans l’eau… LA NUDITE INTEGRALE !
Rien de choquant pour nous… car en effet, en plus d’être NATURISTE, nous sommes aussi ECHANGISTE… donc, la nudité ne nous gêne absolument pas…



Dans la tranche de la quarantaine, nous n’avons pas à rougir de nos corps… Ma femme Fabiane est une grande fille brune du soleil à la peau hâlée toute l’année car elle passe au moins deux fois par mois dans un institut de beauté où elle se fait « chouchouter »… cabine de bronzage, ongles, épilation des aisselles et du bas ventre où elle ne laisse subsister qu’une mince bande de poils.
Elle a une jolie poitrine (85 B) haut placée et bien ferme malgré l’allaitement de nos trois s. Le visage ovale, les lèvres pulpeuses, un nez droit, des yeux bleus foncés et une abondante chevelure brune tombant sur les épaules complètent son portrait.
Je me prénomme Aurélien. Un peu plus âgé, je suis également d’origine méridionale. Adepte de plusieurs sports dans mon adolescence, j’ai conservé une silhouette aux muscles finement dessinés mais au fil des ans et les repas d’affaires quelque peu copieux m’ont laissé une petite brioche que mon épouse Fabiane apprécie… Les cheveux noirs mélangés de filets gris (atavisme familial) et légèrement ondulés, j’ai un visage carré et des rides d’expression commencent à apparaître au coin des yeux marron ombragés par des sourcils bien fournis. J’ai le torse garni d’une légère toison brune et une taille étroite.



Sur la plage, j’attire l’attention de Fabiane sur un couple enlacé sur deux matelas de plage… La fille est placée sur le côté en chien de fusil et son compagnon est derrière elle dans la même posture… Ils ne bougent pas mais… c’est hyper chaud…
Fabiane me répond alors :
• Où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir… Pourquoi se gêneraient-ils… Il n’y a pas d’s à proximité et… qui te dit qu’ils sont en train de se faire une gâterie ? Ils se font peut-être un simple câlin !
• C’est sur… mais la pose…
• Bof… moi çà me met la chatte en ébullition… Nous avons été trop occupés ces dernières semaines pour sortir et tu m’as quelque peu boudée au point que j’ai du me goder la chatte plus d’une fois sous la douche !
• NON ! Moi, j’ai fait des réserves pour nos vacances… Tu vas voir à la sieste !
• Ah bon ? Je te prends au mot !
Nous remontons bras dessus bras dessous jusqu’à notre bungalow et je sens avec bonheur la hanche de Fabiane heurter la mienne au gré de nos pas…
Avant de passer à table à la cafète’, nous enfilons la tenue recommandée : paréo pour ma femme et bermuda + liquette pour moi… cela pour que le personnel ne se trouve pas gêné par la nudité des estivants.

Nous prenons place à une table pour quatre et nous ne tardons pas à voir arriver le couple que nous avons remarqué sur la plage.
L’homme nous demande s’ils peuvent s’installer avec nous et précise que c’est un peu la coutume du camping, les nouveaux arrivants sont accueillis par les clients qui sont là depuis quelques jours… L’accueil officiel des nouveaux se faisant le soir du premier jour.
• Je me présente… Je suis Kurt… Avec Lisa ma femme, nous venons d’Allemagne. Nous sommes arrivés en milieu de semaine pour un peu plus de 15 jours.
• Enchantés… Prenez place, nous allons faire connaissance. Je m’appelle Aurélien et ma femme, c’est Fabiane.
Kurt s’exprime dans un français parfait quoique teinté d’un léger accent… Lisa a plus de difficultés et cherche parfois ses mots.
Si avec Fabiane nos origines méridionales sont flagrantes, celles de Lisa et Kurt le sont aussi…
Agée d’une quarantaine d’années comme nous, Lisa est blonde comme les blés, de grands yeux verts illuminent son visage… la bouche rieuse aux lèvres ourlées est légèrement fardée de rose… La silhouette est allongée… Lisa mesure au moins 1,70 mètre… et ce que je remarque d’un regard indiscret sous son T-shirt, c’est une volumineuse poitrine, ronde et légèrement tombante. Les hanches sont également larges sous une taille étroite…
En moi-même, je pense aussitôt que je la trouve TRES appétissante.
Kurt est plus quelconque et passerait inaperçu dans une foule. Grand et blond également, il a les cheveux presque rasés, des yeux gris dans lesquels brûle une flamme quand il regarde ma femme… (Oh… le coquin…)
C’est vrai que le contraste entre les deux femmes est saisissant… Une blonde aux formes callipyges et une brune très typée méditerranéenne avec des formes plus menues…
Tout en mangeant, nous faisons plus amplement connaissance. Ce couple d’allemands vient de Bavière, ils ont deux jeunes s confiés aux grands parents (pour leur plus grand plaisir…) et exercent ensemble la profession d’architecte.

Le repas est vite expédié et nous prenons congé de nos nouveaux amis… Je pense que tout comme ma femme et moi, ils se préparent pour une sieste crapuleuse.
Pour nous, elle sera bienvenue car la fatigue de la route se fait sentir… et j’ai promis quelque chose à Fabiane…
Aussitôt la porte du bungalow refermée, je la plaque contre une des parois, je dénoue son paréo qui glisse à terre. Ensuite, je lui fais sentir mon érection en frottant mon pubis contre le sien.
• Dis donc mon cochon… c’est cette allemande qui te met dans cet état ?
• Non… j’ai simplement envie de te sauter comme une chienne que tu es ! J’ai vu lors de notre dernière sortie comment tu t’étais fait prendre en double… une vraie chienne, une bite dans le cul et une autre dans la bouche !
• Et alors ? N’est-ce pas toi qui m’as entrainée dans ces lieux de perdition ?
• Si… j’en conviens… mais je préfère te voir prise en club plutôt que tu me trompes dans mon dos ! J’y trouve mon compte aussi puisque je baise aussi les femmes qui veulent bien de moi !
• Tu as raison… comme cela chacun sait que l’autre baise ailleurs…
Pendant ce temps, Fabiane m’a débarrassé de mes vêtements et s’est agenouillée devant moi pour emboucher mon sexe déjà turgescent ! Waouh… quelle bouche vorace ! Mais je ne veux pas me lâcher ainsi… Ce que je veux, c’est inonder sa chatte de ma semence…
Tout en la maintenant contre moi, je la dirige vers le coin « salle à manger » où se trouve une solide table, genre table de ferme avec un plateau épais. Après l’avoir retournée, j’allonge son buste sur le dessus de table pendant que je glisse la tranche de ma main gauche entre ses fesses et je découvre sa chatte déjà ruisselante de mouille.
• Salope ! Tu mouilles déjà ! C’est ce beau teuton qui te met la chatte en ébullition ?
• NON… c’est que… depuis le début du repas… l’idée que tu vas m’enfiler comme une bête ! Humm… j’adore !
• Tu ne crois pas si bien dire ! Je vais te baiser par derrière et tu vas sentir comme c’est bon de se faire emplir ainsi.

• Oh oui… Vide-toi en moi !
Comme je n’ai pas débandé depuis la pipe rapide de Fabiane, je n’ai pas besoin de chercher… D’un coup de rein puissant je me loge d’une seule poussée dans son sexe, faisant claquer mes cuisses contre ses fesses.
• Salaud ! Pas de préparation ! On dirait que tu me violes !
• Pas besoin… tu es assez mouillée comme çà ! Et puis, n’est-ce pas ce que tu voulais ? Un peu de rudesse ?
• Si…
• Alors… çà va être la fête à ton cul !
• Oouuuiiiiiiiiiii ! Baisse moi… ne me fais plus attendre !
Je prends la taille de Fabiane entre mes mains et je commence le va et vient d’abord doucement puis de plus en plus vite… Ma belle queue (20 cm de long pour près de 6 cm de diamètre) entre comme une bielle bien huilée dans le sexe de ma femme, laquelle a dirigé sa main droite vers son pubis pour caresser son clitoris que notre position ne stimule pas…
Je me retiens de jouir comme je le fais souvent, laissant une première jouissance emporter ma partenaire avant de reprendre le coït pour finir en apothéose, recherchant un plaisir partagé !
Lorsque j’inonde le fond de la chatte de Fabiane, celle-ci exprime haut et fort son plaisir, rugissant au point que nos voisins les plus proches doivent l’entendre…
• Tu es satisfaite ?
• Oui… allons sur le lit et faisons la sieste…Nous avons besoin de récupérer un peu de sommeil. Il nous faut être en forme pour la nuit prochaine !
• Çà marche ! Le séjour ne fait que commencer…
Curieusement, nous avons adopté la même posture que le couple d’allemands lorsque nous les avons découverts sur la plage… Fabiane loge ses fesses contre mon bas ventre et presque inconsciemment, elle met mon sexe entre ses fesses. D’une main, j’empaume un de ses seins et il ne se passe pas cinq minutes avant que le sommeil nous emporte…
Il est bientôt 17 heures quand nous nous réveillons… Nous convenons que çà va être la bonne heure pour commencer à bronzer au bord de la piscine… Le soleil chauffera moins… Fabiane me répond :
• OK pour moi, n’oublions pas la crème solaire… Mais d’abord, fais-moi minette ! Je veux que ma chatte suinte lorsque les rayons du soleil darderont entre mes cuisses ouvertes.
• T’es vraiment une salope… Tu veux attirer les mecs !
• Et alors… tu ne vas pas te priver de reluquer les gonzesses !
Je ne réponds pas car j’ai la bouche occupée dans l’entrejambe de Fabiane. Lorsque des coups sont frappés à notre porte… avant que nous ayons le temps de nous séparer et d’adopter une posture plus civilisée, celle-ci s’ouvre brusquement et Lisa entre comme en pays conquis. Elle dit avec son accent charmant :
• Oh… les coquins… je vous dérange… ich entschuldige mich [je m’excuse], trop vite entrée…
• NON… Aurélien avait fini… il voulait m’envoyer en l’air comme une grande avant d’aller bronzer…
• Envoyée en l’air… c’est quoi ?
• C’est faire jouir… en allemand on dit : Sie wollte nur mit einem in die Kiste springen !
• Ach so… Prima…[Ah bon !]
Nous sommes nus tous les trois et nous nous regardons intensément. Je suis obnubilé par les seins de l’allemande… que je jauge en moi-même : au moins du 95C ou D ! Et elle reluque mon sexe dressé devant mon pubis en sortant sa langue entre ses lèvres :
• Oh, was für ein schönes Geschlecht, sehr groß und lang…[Oh quel beau sexe, très gros et long] Je peux… toucher ?
• Bien sur ! N’attends pas… il est seulement à moitié de sa forme.
Sur ces paroles de Fabiane, Lisa s’empare de ma bite d’une main et soupèse mes couilles de l’autre. Bien évidemment, Popaul continue son développement sous les caresses de Lisa.
• Oh, il est beau ! Mon homme est plus fin. Vous venez de baiser… es ist klebrig [il est collant].
• OUI, juste avant de débuter la sieste. Il m’a baisée par derrière !
• Il t’a…. Gegen dem Tisch abgelegt und sodomiert ? [couchée sur la table et sodomisée]
• NON… Il m’a baisé la chatte ! Mais je suis aussi ouverte derrière !
• Seht interessant ! [très intéressant].
Fabiane, décidée à mettre fin à la situation car elle veut aller au solarium, demande d’un manière abrupte à Lisa ce qu’elle veut.
• Mon homme veut inviter vous pour digestif après le diner ! Nous faire fiesta avec autre couple allemand très sympa.
Cette invitation cachait à n’en pas douter quelque chose qui risquait de tourner à l’orgie… Je connais suffisamment les allemands (et les allemandes…) pour savoir que quand ils se lâchent, cela devient vite torride !
• OK… Dis nous l’heure et à quel endroit !
• 21 heures 30 et bungalow 12 près la piscine du haut.
Lisa partie, je me tourne vers Fabiane :
• Çà ressemble fort à une invitation pour une partouze !
• Bof… on verra bien quelle tournure cela va prendre ! En attendant, je vais bronzer au bord de la piscine du bas… Elle semble moins fréquentée.
• C’est comme tu veux… Je vais aller reconnaître les installations sportives après être passé à l’accueil.
• Sois sage grand coquin…
• Toi aussi ! Garde des réserves… je suis en manque et cette soirée qui s’annonce… humm !
• Si j’ai bien compris ce qu’a dit Lisa, on sera à égalité : trois femmes pour trois hommes !
• Ne me dis pas que tu as déjà l’esprit mal tourné… Tu sais bien qu’être naturiste ne veut pas ment dire échangiste !
• Je sais… Il m’a fallu plus de 15 ans pour te convaincre d’aller dans un club coquin et encore au moins deux ans pour que tu acceptes de baiser avec un autre que moi !
• Je sais… que de temps perdu… Depuis j’ai pris un certain nombre de coups de queue dans ma chatte et dans mon cul… Soit-dit en passant, heureusement que tu as su me préparer à la sodomie car certains de ces messieurs ne sont pas très doux !
• Tu vois… ce n’est pas si terrible !
• Mais ce que je préfère avant tout, c’est quand tu me baises la chatte ou la bouche et que tu te déverses tout au fond… Sentir les giclées buter contre la capote, c’est moins jouissif !
• Hélas, on ne sait jamais qui on va rencontrer. Nous avons bien fait de faire un teste HIV avant de partir… Si ce que je présents se confirme… j’espère qu’ils sont clean également !
Après avoir enduit le corps de Fabiane de produit anti solaire, c’est sur un dernier baiser langoureux que je la quitte la laissant seule sur un transat au bord de la piscine.
J’ai bien du mal à dissimuler une érection triomphante derrière le minuscule triangle de tissu qui est sensé me servir de cache-sexe mais chemin faisant, je constate que beaucoup d’hommes et de femmes ne le portent pas… Il est simplement noué autour du poignet…
J’en fais autant… Pourquoi se gêner.
Mon érection retombe à moitié mais je perçois des regards appuyés lorsque je croise un couple ou des femmes seules… Depuis toujours mon « service trois pièces » a attiré les regards des filles et de quelques hommes… mais çà, çà ne marche pas !
Quand je passe à côté de trois jeunes filles (elles ont certainement autour de 18 ans), je les vois baisser les yeux vers mon entrejambe et l’une d’elle s’esclaffe :
• V’avez vu le mec comment il est monté !
• Oui, et encore il est au repos !
• Qu’est-ce que çà doit être quand il bande !
Je me retourne et je vois trois « petits culs » bronzés et hilares à quelques mètres… Ces trois coquines semblent se concerter…
Je les interpelle :
• Vous voulez voir Popaul en pleine forme ?
Celle qui semble la plus délurée s’approche et répond :
• Pourquoi pas… Branler un mec pour le faire bander, çà me connait. Venez Sylvie et Caro’, on va trouver un coin discret et je vais m’occuper de Monsieur.
• Ne cherche pas Véro’, je sais où aller ! Jeudi dernier mon voisin de la tente à côté de la notre m’a dépucelé dans un coin à l’abri des regards… on est juste à côté !
Je leur dis :
• Guide-nous, on te suit.
Nous nous enfonçons tous les quatre entre les sapins, suivant une sorte de sentier qui laissait supposer que le lieu était connu pour abriter des étreintes coupables… Arrivé sur place, il y a à peine de quoi étendre une couverture au sol mais c’est bien assez ! Je m’adosse au tronc d’un sapin et je dis à Véro’ :
• Montre-moi ce que tu sais faire !
Effectivement, cette jeune salope sait y faire… Elle commence par me tripoter la bite et les burnes en disant qu’elle n’avait jamais vu de mec rasé comme moi et que c’était vachement excitant.
Ensuite elle engloutit la majeure partie de ma queue pour l’enduire de salive et elle commence à me branler à deux mains en gardant l’extrémité au chaud dans sa bouche. Mon sexe va et vient dans ses paumes dans lesquelles elle crache de temps en temps pour les humidifier… Mon sexe atteint des dimensions peu communes et l’excitation monte encore d’un cran…
Véro’ appelle se copines à la rescousse en leur demandant de cracher dans ses paumes car elle n’a plus de salive… Elles vont même plus loin puisque Caro’ s’agenouille devant moi pour venir me lécher les burnes pendant que Sylvie les triture pour faire rouler les roustons dans leur gaine…
Oulla ! Que c’est bon !
Mon plaisir monte…
• Attention les filles, je vais partir…
Véro dit alors :
• Vas-y… Ne gâche pas la marchandise… lâche toi sur nos jeunes poitrines… On dit que le sperme raffermit les seins !
• Oh, à votre âge, vous avez le temps d’y penser…
Je leur sers une copieuse rasade de sperme pendant qu’elles caressent leur pubis…
Cela faisait longtemps que je n’avais pas été excité à ce point. Généralement je ne m’attaque pas aux minettes car les risques sont trop grands…
Soudain Sylvie se tourne vers moi en me regardant droit dans les yeux, elle dit :
• Caro’ et Véro’ ne sont plus vierges… J’ai trop envie de ton gros machin !
• NON ma belle Sylvie… Tu me flattes en t’offrant ainsi, mais tu es trop jeune pour moi…Le mec qui a dépucelé Caro a dit avoir 20 ans… c’est dans vos âges… ne confonds pas tout…. Il y a une grande différence entre 20 ans et 45 pour moi !
• Dommage ! Je trouverai bien quelqu’un d’ici la fin des vacances pour prendre mon pucelage ! Ce n’est pas le tout, on doit passer à la douche avant de retrouver les parents !
Elles s’éclipsent en riant et je quitte les lieux quelques minutes plus tard.
En moi-même je pensai alors que ces trois jeunettes avaient de l’avenir… Véro’, avec ses 18 ans fraichement fêtés, était déjà une fameuse pipeuse… Je suis sur que si mon sexe n’avait pas été aussi imposant, elle était tout à fait capable de faire une gorge profonde. Quant aux deux autres, elles savaient comment faire monter la sauce…
Je n’en revenais pas de voir combien ces gamines étaient délurées… Je ne pus m’empêcher de penser à notre fille Agnès… À 19 ans… A-t’elle déjà vu le loup ? Il faudra que je demande à Fabiane… Entre mère et fille il y a des secrets qui n’en sont pas…
Lorsque j’arrive près de la piscine inférieure, je vois Fabiane en grande conversation avec deux hommes à peine âgés de 30 ans… Je passe à proximité sans rien dire et la déranger… Je saurai le fin mot de l’histoire dans quelques temps… Moi aussi, j’ai des choses à lui raconter…
En fait, les deux mecs lui proposaient une partie à trois pour le soir même… Pas de chance… nous avions déjà quelque chose de prévu !



Le diner tardif expédié en nous racontant les péripéties de cette fin d’après-midi, nous nous préparons pour rejoindre le bungalow de Lisa et Kurt : douche prolongée prise sagement mais à deux bien sur, rasage du visage et du pubis pour moi, toilette intime approfondie pour Fabiane qui, à ma grande surprise, décide de mettre les cavaliers dorés sur ses lèvres intimes qu’elle farde d’un rouge carmin spécial… Depuis le printemps, elle ne les a guère portés…
Je la taquine un peu en lui disant qu’elle se prépare comme une courtisane qui va rejoindre son Prince…
• Oui… Je veux être à mon avantage… Qui sait ce que ces allemands nous réservent ? On va leur montrer que les français ne sont pas que des « hussards baiseurs » et des « vide couilles » mais qu’ils savent être raffinés. N’as tu pas rasé ton pubis de près pour ce soir ?
• Si bien sur… Même si le rasage n’était pas ancien, je préfère avoir la peau lisse…
• Bon, l’heure approche… Allons-y !
Robe légère en tulle sans rien dessous pour ma femme et large pantalon de toile (sans rien dessous également) et polo pour moi, nous sommes prêts à affronter la fraîcheur du soir.
Moins de cinq minutes plus tard, nous arrivons au bungalow de Lisa et Kurt qui nous accueillent comme des amis de longue date…
Lisa m’offre ses lèvres et je vais flatter un téton qui pointe sous le tissu fin de sa robe pendant que Kurt embrasse Fabiane dans le cou (il me semble qu’il lui murmure quelque chose à l’oreille) en pressant leur bassin l’un contre l’autre…
• Entrez… Nos amis ne vont pas tarder et nous ouvrirons le champagne pour commencer !
• OK… çà marche !
Nous sommes à peine installés dans le coin salon que Karmela et Steve arrivent à leur tour…
Lisa fait les présentations…
Karmela, contrairement à ce que son prénom révèle est une métisse asiatique très jolie et au corps d’un petit tanagra… à peine 1.60 m, elle a des formes menues mais un regard de braise… Steve est ce qu’on peut appeler « un beau gosse ». Visage de jeune premier, cheveux blonds ondulés, sourire éclatant… Je leur donne environ 35 ans… et eux aussi parlent le français.
Steve m’explique que c’est justement pour se perfectionner qu’ils passent leurs vacances en France été comme hiver.
Nous trinquons à notre rencontre et aux vacances…
Karmela est très légèrement vêtue elle aussi… Elle porte un mini short en tissus doré et une sorte de chasuble dont les pans sont retenus par une cordelette nouée… Elle porte des chaussures à plateforme démesurée qui la font paraitre aussi grande que nos deux compagnes. Steve est habillé sensiblement de la même manière que moi… sauf que son pantalon s’arrête à mi mollet.
En bavardant, nous apprenons que nos deux couples d’allemands ne se connaissaient pas avant d’arriver à La Sablière mais qu’ils ont rejoint les lieux le même jour… ce qui les a rapprochés.
Puis la conversation dérive sur la pratique du naturisme qui, malgré un climat peu favorable, a de nombreux adeptes en Allemagne. En effet, nous apprenons que beaucoup de piscines couvertes offrent des créneaux horaires tard le soir pour que les naturistes puissent se retrouver… Cela me semble très bien et avec Fabiane nous leur racontons quelques unes de nos sorties en clubs coquins où pour débuter, nous nous y rendions, justement pour profiter des installations de balnéo et y évoluer nus.
Fabiane confie ainsi qu’elle aimait baiser dans cette ambiance coquine mais que pendant longtemps, elle s’était satisfaite de ne faire l’amour qu’avec moi… et qu’elle n’avait sauté le pas que quelques mois auparavant !
L’ambiance est de plus en plus chaude… Lisa enlace Fabiane et l’embrasse en faisant glisser la robe qui s’affaisse à ses pieds… Les deux femmes se frottent l’une contre l’autre, l’une entièrement nue, l’autre encore habillée… les mains appuyées dans les reins… Karmela s’approche d’elles et se place derrière Lisa pour faire glisser sa robe puis empaumer son opulente poitrine.
La soirée est lancée…et ce sont les filles qui ont pris l’initiative !
Kurt s’intéresse à Karmela qu’il détache du groupe de tribades pour l’amener sur un des fauteuils où il la déshabille et se met nu lui aussi…
De mon côté, je vois que Steve s’intéresse à ma femme… alors, j’entreprends Lisa dont je flatte la généreuse poitrine avant de sucer les tétons qui ont vite fait d’être turgescents…
Cette coquine s’empare de mon sexe déjà bien bandé et commence à le masturber en me disant avec son accent :
• Depuis que je l’ai vu cet après-midi, j’ai envie de l’avoir dans ma chatte et de la sentir gicler tout au fond… Tu peux y aller nous sommes cleans…
• Ok… Nous aussi…
• Prends moi par derrière comme cela tu iras bien au fond !
Cette allemande me faisait furieusement envie depuis qu’elle et son mari avaient partagé notre table… Et là, je n’allais pas me priver de la faire reluire… J’allais (sans prétentions…) lui montrer ce qu’un amant français allait lui faire !

J’ignorais ce qui se passait exactement autour de nous, je n’entendais que les halètements t et les grognements de plaisir…

À genoux sur un fauteuil, Lisa m’offre la vision de ses fesses largement fendues et de son œillet brunâtre qui palpite. Je prends sa taille entre mes mains et j’approche mon vit de sa chatte… Malgré mon envie de la saillir tout de suite, je musarde dans sa fente chaude et humide.
Rejetant sa longue chevelure blonde sur le côté et tournant sa tête vers moi, elle s’exclame !
• Baise-moi vite !
• NON… je vais prendre mon temps…
• Mais non, enfile moi vite… c’est ce que je veux… ton grosse bite dans ma chatte !
• Alors c’est parti pour la cavalcade !
D’une seule poussée je me loge au fond de ce sexe qui n’attend que cela ! Humm ! Que c’est bon !
Malgré ses formes quelque peu opulentes, Lisa réagit aussitôt, elle s’agite sur mon vit, revenant au devant de lui quand je fais mine de sortir, agitant ses fesses quand je suis bien au fond de son vagin qui est de plus en plus humide et chaud…
Je la baise lentement et en profondeur, attentif à la montée de sa jouissance et de la mienne que je freine en pensant à autre chose…
Soudain ma partenaire se tétanise et jouit en poussant un soupir qui vient de loin…
Je la laisse retrouver son calme, ma bite toujours au fond de son sexe…
Je bande encore ferme…
Je couche ma partenaire sur un des tapis et je l’enfile par devant… Ses seins partent un peu sur les côtés mais c’est terriblement excitant… je les vois bouger et les tétons sont de plus en plus sortis…
Je baise Lisa tantôt rapidement, tantôt plus lentement… Elle prononce des mots dans sa langue et en français… Je comprends qu’elle m’encourage… Mais je n’ai pas besoin de cela… Depuis ce midi, je fantasme sur elle et ce n’est pas ce qui s’est passé depuis qui va m’empêcher de cracher mon foutre au fond de sa chatte…
Je vois le plaisir monter dans ses yeux… aussi je l’éperonne en force plusieurs fois et c’est ensemble que nous jouissons…
Je m’écroule sur le buste de Lisa qui me dit à l’oreille combien je l’ai fait jouir…
• Mais t’es bonne… alors c’est facile !
• NON… c’est ton gros bite qui m’a fait du bien !
• Et toi… c’est tes nibards qui m’ont fait fantasmer toute la journée…
• On recommence quand tu veux ! Il parait que je sais faire bien branlette entre…
Nous nous désunissons et regardons ce qui se passe autour de nous…
Kurt est assis dans un fauteuil et Karmela le chevauche en lui tournant le dos… Elle monte et descend sur la bite longue et fine du mari de Lisa…
Quant à ma femme, elle se fait sodomiser par Steve et sa bite courte et trapue…
Waouh… que tout cela est chaud !
Lisa me dit en les regardant tous les quatre :
• Viens piscine… moi aimer bain la nuit !
• Je te suis…
Après une vingtaine de pas nous nous glissons dans l’eau… il n’y a pratiquement pas de différence de température et c’est bien agréable… Nous nageons quelques temps puis Lisa sort et s’assoit sur la margelle, les cuisses écartées… Est-ce une invitation ? Si c’en est une, elle ne se refuse pas !
Restant dans l’eau peu profonde à cet endroit, je pose mes mains sur les genoux de Lisa et j’approche ma bouche de sa chatte, toute juste couverte d’une courte toison blonde… Du bout de ma langue je titille le clitoris encore sous son capuchon et il ne tarde pas à sortir… Ensuite je descends vers l’orée de sa chatte où j’introduis ma langue le plus possible… Humm… elle sent bon avec ce mélange indéfinissable des produits de traitement…
Ma langue va et vient dans cette conque ouverte à l’envie…
Le plaisir de Lisa monte encore… Quelle jouisseuse… Je n’en reviens pas… en moins d’une heure elle va jouir pour la troisième fois… et moi je bande à nouveau comme un taureau en rut !
Au moment où Lisa se lâche, je vois apparaître la fine silhouette de Karmela qui passe une main dans les cheveux de Lisa et va flatter ses seins de l’autre… Seraient-elles bi ?
• Lisa… laisses-en pour les autres… J’ai envie de sentir sa bite en moi aussi ! D’ailleurs, j’ai aussi envie de la bite de Kurt pour être prise en double ! Tu es d’accord ?
• Bien sur… La soirée n’est pas terminée… rentrons au bungalow !
Je sors de l’eau, la bite au vent et, une femme de chaque côté, nous faisons les quelques mètres qui nous séparent de la pièce où l’orgie avait commencé !
Kurt et Steve sont occupés avec Fabiane… Ils ont changé de côté… Steve la baise en levrette pendant que Kurt se fait sucer. Ce dernier nous dit :
• Ah… vous voila ! Fabiane me met en forme et nous allons baiser et sodomiser ma femme tous les deux… Je ne pense pas que tu sois contre !
• NON… certainement pas… la brune après la blonde… GENIAL ! En plus, les métisses ou asiatiques me font très envie… je n’en ai pas encore baisée !
• Tu as eu tort car elles sont très bonnes et très salopes !
• Oh je pense que les trois femmes présentes ce soir sont toutes les trois de jolies salopes…
Kurt dit alors :
• Tu me sembles un peu gros pour son cul alors c’est moi qui vais la prendre par derrière ! Elle est habituée à ma bite.
• Comme tu veux, c’est vrai que si la femme n’a pas l’habitude, un tel gourdin peut lui faire peur…
Sur ces mots, Kurt s’allonge sur un des tapis au milieu de la pièce et masturbe quelques secondes sa bite qui est dressée sur son pubis… Karmela l’enjambe en lui tournant le dos et s’empale lentement sur ce sceptre dressé jusqu’à ce qu’il disparaisse complètement dans son boyau étroit !
Kurt prend les seins de Karmela dans ses mains et la couche sur lui, m’offrant ainsi la vision de sa chatte lisse et de son vit enfoncé au plus profond du cul… Humm ! C’est chaud !
Les autres font le cercle autour de nous…
Après m’être agenouillé entre les cuisses de mes deux compères, je me penche sur le sexe de Karmela et j’ouvre les nymphes qui sont humectées et luisantes.
Je bande comme un taureau et je m’introduis lentement dans ce sexe qui m’attend… Je progresse doucement jusqu’à ce que mes burnes soient au contact du périnée de cette jolie métisse…
• Oh… qu’il est gros… T’es sympa d’être allé doucement !
• Je sais que je suis gros et je ne veux pas te faire du mal… Bien au contraire… Avec ton homme, on va te faire reluire !
• Reluire ?
• Te donner beaucoup de plaisir…
• Ah bon… je ne connaissais pas…
Je tâtonne quelque peu pour trouver le bon angle d’attaque avant de débuter mes va et vient et accorder mes mouvements avec ceux de Steve.
Le sexe de Karmela est étroit et ma bite est bien serrée dans ce fourreau… Cette coquine sait y faire… je sens ses muscle intimes masser ma bite… Humm que c’est bon… Je sens également au travers de la fine paroi le sexe de Steve qui navigue dans le cul de sa femme…
Le reste de la compagnie ne cesse de faire des commentaires sur cette « bête à deux dos » qui s’agite sur le tapis…
• Tu as vu ce qu’elle prend cette salope…çà faisait longtemps qu’elle en avait envie. (Steve dixit…)
• Elle est bien prise… ses deux trous sont occupés…(Lisa…)
• Dommage qu’il n’y ait pas un quatrième homme… je f’rais bien autant… (oh surprise… c’est Fabiane…)
Toujours concentré sur la montée de la jouissance commune, je pense en moi-même que Fabiane ne perd rien pour attendre… Il nous reste pas mal de jours à passer au camping… et puis il y a plus tard…
Ma jouissance est un peu longue à venir… Ce sera la cinquième fois de la journée… mais au moment où Karmela jouit, je me lâche soudain et j’envoie encore quelques belles giclées au fond de sa chatte…
Je n’en peux plus… mais cette métisse, qu’est ce qu’elle est bonne !
Nous basculons sur le côté et Steve et moi, nous sortons des orifices de Karmela… qui s’écroule sur le dos… repue de jouissance et de fatigue peut-être…
Fabiane s’approche de moi et me dit que pour ce soir, elle en a assez… Je suis d’accord avec elle et après avoir pris congé de nos hôtes, nous nous éclipsons rapidement nos vêtements sous le bras…
Aussitôt dans notre lit, nous tombons dans un sommeil profond (et réparateur)… qui nous amène aux heures de la mi journée…
Vers 16 heures nous descendons à la rivière pour nous baigner et bronzer ( ne sommes nous pas venus pour cela ? )… Il y a beaucoup de monde sur le sable laissé par les crues, les adultes profitent du soleil, les ados disputent un match de volley devant un parterre de spectateurs-joueurs qui se relaient, les plus jeunes pataugent dans l’eau fraiche qui s’écoule lentement.
Si ce n’était la tenue de tout ce beau monde, on pourrait se croire dans n’importe quel camping.
Lorsque le soleil décline, nous regagnons notre gîte et après un diner frugal, nous nous mettons sagement au lit

Les jours passent… souvent nous faisons nos séances de bronzette en compagnie de nos amis allemands mais il ne se passe rien de particulier…
Je pense que nous avons épuisé le sujet… sauf Lisa qui, décidément très curieuse, demande à perfectionner son français avec une orientation SEXE.
Je la provoque un peu en lui donnant les divers noms pour la poitrine… mais elle ne semble pas comprendre mes allusions… Pourtant j’ai très envie d’une cravate de notaire entre ses deux beaux seins généreux !
Ce qui arrive l’avant dernier jour de cette semaine… Kurt s’étant absenté du camping pour aller à la ville la plus proche voir un garagiste, elle a prétexté un coup de fatigue pour rester seule dans le bungalow… Pendant que Fabiane se déclare un peu indisposée également, je rejoints la belle allemande pour achever son initiation au « français coquin » comme elle dit.
Elle m’accueille avec un roucoulement très érotique :
• Viens… moooon…. aammoouuur ! Moi envie être baisée ! Godes pas assez bons !
Elle est nue sur le divan et est en train de se goder le minou avec ardeur…
Popaul se dresse instantanément tant cette femme dégage un magnétisme torride ! Je me penche aussitôt sur son sexe où pendant que je lèche les lèvres je fais aller et venir ce succédané de sexe en plastique.
• Moi… envie ton bite dans mon chatte ! Baise-moi vite !
• Ok… pas de vocabulaire aujourd’hui mais de l’action ?
• Ja wohl ! Oouuiiiii ! Mon chatte est prête !
Je me redresse et j’embroche Lisa… Je me fiche brutalement au fond de son sexe en faisant claquer nos pubis l’un contre l’autre. Çà devait faire quelques temps qu’elle jouait avec son gode car son vagin était complètement inondé !
• Schwein… salaud… tu baises comme moi une pute ! Mais t’es bon queue ! Grosse et longue ! Gut !
Je vais et viens dans le sexe de cette chaudasse que je fais reluire une première fois sans éjaculer… Je me réserve pour ce qui me fait fantasmer depuis le premier jour, prendre mon plaisir entre ses seins généreux et cracher mon foutre dessus après m’être branlé entre !
Le samedi, mon épouse étant indisponible pour quelques jours, je décide de profiter des heures fraiches du matin pour aller faire un footing comme je le fais pratiquement toutes les fins de semaine.
Cela me fait du bien… casque sur les oreilles pour la musique, boxer serré pour ne pas être gêné par le ballotement de mon « service trois pièces » je remonte vers les piscines et les hébergements lorsque je croise la jeune Véro’.
• Salut mec… je vois que tu es en forme !
• Seule ?
• Oui, mes copines sont reparties de bonne heure ce matin avec leurs parents !
• Oh tu ne seras pas seule longtemps… Il va y avoir des nouveaux arrivants comme tous les samedis…
Je reluque ses petits seins en forme de demi citron et la fourche de ses jambes couverte par une toison assez clairsemée et je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui s’est passé au début du séjour.
• Dis donc, çà te fait de l’effet de me mater comme tu le fais ! Le paquet que cache ton boxer ne cesse de grossir !
• Tu crois ?
• J’ai bien envie de le reprendre en main !
• Si tu veux… même si j’ai baisé une des allemandes hier après-midi… les burnes doivent être pleines.
• Ok…je vois… tu as planté celle à la grosse poitrine !
• T’as deviné ! On retourne au même endroit ?
• Je te précède pour t’attendre !
J’ai à peine le temps de faire glisser mon boxer dans ce coin discret que je vois arriver Véro’, tout sourire avec un regard plein de lubricité.
• Viens… J’ai apporté une serviette, comme cela on pourra s’allonger !
• Tu ne crois pas que c’est dangereux ?
• NON… je sais que tu ne veux pas baiser une jeunette… Je t’ai vu avec les allemandes… Il te faut des femmes d’expérience !
• Tu as raison… et si je te faisais l’amour, j’aurais la tête ailleurs… je ne pourrais pas m’empêcher de penser à ma fille qui a le même âge que toi !
• Assez parlé… Je vais te branler comme la dernière fois et te sucer pendant que tu me boufferas la chatte…
• Ok… çà marche ! Alors je me couche sur le dos et tu viens en 6 9 sur moi !
• Pas de problème… le programme me convient… Tu dois bien savoir bouffer une chatte !
Je m’allonge sur la serviette et Véro m’enjambe…J’ai une vue directe sur son sexe aux lèvres encore pas très développées et le capuchon de son clitoris… Humm…la minette d’une jeune fille… que c’est joli à voir… Je commence à la caresser du bout des doigts pour ouvrir les lèvres et agacer le clitoris qui ne tarde pas à sortir et à pointer comme pour me narguer…
Si les lèvres intimes de Véro’ sont assez peu développées, il n’en va pas de même pour son bourgeon d’amour… Il a la taille d’une phalange…
Je relève la tête pour aller le gober pendant que cette coquine embouche mon sexe au plus profond de sa gorge pour l’enduire de bave et le ressortant, elle masturbe la base pendant que sa langue s’agite sur le méat et autour du gland…
De mon côté, j’introduis le majeur et l’index de ma main droite dans sa conque qui ne tarde pas à suinter d’une mouille abondante… Mes doigts vont et viennent et font un clapotis des plus obscène qui m’excite et me fait bander encore plus.
Véro’ s’exclame soudain :
• Qu’est-ce que t’es gros ! T’as raison ma connasse n’est pas encore faite pour un tel calibre !
Je ne réponds pas… trop occupé à faire minette à cette coquine ! Sa chatte coule de plus en plus… son nectar s’épaissit et Véro’ s’agite sous les caresses de ma bouche et de mes doigts.
Je vois son sphincter qui palpite lui aussi… le plaisir gagnant tout le bas du corps… et la jouissance ne tarde pas à emporter Véro’ qui se rue sur ma bite comme si elle voulait précipiter mon plaisir qui ne tarde pas…
J’envoie trois giclées au fond de sa gorge puis elle sort mon sexe de sa bouche en continuant à en faire sortir les ultimes goutes…
• Waouh… en plus d’être une bonne branleuse, tu suces comme une catin !
• T’es pas en reste ! On m’a rarement envoyée en l’air avec cette force en me mangeant la chatte !
• Toi aussi t’sais y faire !
Nous restons quelques minutes ensemble…
Véro’ s’est assise sur mes cuisses et me regarde tout en manipulant ma verge et elle me raconte brièvement la découverte de sa sexualité. Fille unique d’une mère célibataire mais vivant avec un compagnon de 12 ans de moins, c’est ce dernier qui l’a déflorée pendant que sa mère était au boulot… Puis elle a fréquenté un garçon de son lycée jusqu’aux vacances de printemps.
Sa mère étant au courant de la situation et ne voulant pas faire courir de risques à sa fille, elle lui a fait prescrire la pilule. Depuis, elle n’a fait l’amour que quelques fois avec des garçons de passage… mais elle se branle souvent car elle a soif de sexe !
Je l’écoute avec attention… N’ai-je pas une fille de son âge… J’espère que Fabiane a fait ce qu’il faut pour la prémunir d’un fâcheux incident ! Si elle a hérité de notre tempérament, elle doit faire attention.
Puis, comme la fois précédente, nous quittons notre abri l’un derrière l’autre et je pars retrouver Fabiane qui m’interpelle :
• Ton footing a été bien long !
• NON… il faut que je te raconte… En chemin, j’ai rencontré la jeune Véro’ dont je t’ai déjà parlé.
• Ne me dis pas que tu l’as sautée !
• NON… elle est bien trop jeune… Ecoute-moi !
Ayant fini mon récit, je pose à Fabiane les questions qui me taraudent l’esprit au sujet d’Agnés...
• Sois rassuré… depuis qu’elle a 16 ans, elle prend la pilule même si au début cela ne lui servait à rien puisqu’elle avait une relation avec une fille de son internat. Par contre, c’est le frère ainé de sa correspondante anglaise qui lui a fait sauter le pas l’an passé au printemps.
• J’espère qu’il a su y faire… tu sais comment la première fois est importante pour la suite…
• Elle ne m’a rien dit sur le sujet… elle m’a simplement confié qu’elle n’était plus vierge ! Nous avons une fille qui est bisexuelle ! Je pense que pour l’instant, ce plus les filles qui l’attirent !
• Tu m’en diras tant ! Et toi… je t’ai vue avec Lisa et Karmela…
• Je dois avouer que cela me tenterait… Faire l’amour avec une femme, ce doit être doux et excitant !
• Alors… Profites-en ! Ce sont les vacances !
• Qui vivra verra…



Notre séjour se poursuit pour la seconde semaine qui est beaucoup plus calme au plan sexuel… Que ce soit lors de la sieste ou le soir, je retrouve Fabiane toujours aussi chaude et assoiffée de sexe… Il y a bien longtemps que nous n’avons pas exploré certaines positions du Kamasutra !



Samedi… Jour des nouveaux arrivants… le bungalow voisin du notre est occupé par deux jeunes femmes d’une trentaine d’années… Deux jolies plantes, élancées, la poitrine menue, brunes de cheveux coupés très courts, de grands yeux et des lèvres fines.
Lorsque je les vois pour la première fois, je suis surpris de les voir se tenir par la main pour déambuler dans les allées du camping. A la piscine, elles ne quittent pas leur bas de maillot… Est-ce qu’elles ne sont pas encore mises aux habitudes du camping ? Seules leurs jolies petites poitrines sont visibles…
C’est à cet instant que je repense à ce que m’a dit Fabiane !
Est-ce l’opportunité qui s’offre à moi… Peut-être que l’une des deux accepterait d’initier ma femme aux plaisirs saphiques ???
Je les invite donc à prendre un pot avant le repas le dimanche soir en guise de bienvenue.


A l’heure dite, Sybille et Andrée arrivent… Champagne et petits en-cas achetés à la superette du camping nous permettront de passer une soirée agréable dans la fraicheur de l’air refroidi par un bref orage tout en bavardant de choses et d’autres… avant de dériver sur le SEXE !
Nos deux hôtes viennent de la région de Lyon et ne se cachent pas pour dire qu’elles filent un parfait amour depuis quelques années.
Nous évoquons notre vie en région parisienne, notre besoin de nous ressourcer et de faire le plein de soleil pour une dernière semaine et d’agrémenter notre séjour de rencontres coquines…
Je sens que cela va être difficile d’amener l’une ou l’autre dans les bras de ma femme…
Cette dernière porte sa robe en dentelle blanche sans rien dessous… on distingue l’aréole des seins et la bande de poils noirs du pubis… Elle est vraiment bandante dans cette robe qui une de ses favorites lorsque nous allons en club. Je porte un pantacourt large sans rien dessous et un marcel blancs qui font ressortir notre bronzage.
Les deux filles portent un mini short en jean et un T-shirt très échancré qui permet de voir des seins menus encore un peu blafards, ce qui contraste avec notre bronzage intégral qu’Andrée nous demande de leur montrer…
Leur faisant face, j’ôte la robe de Fabiane et elle me déshabille à son tour… Nus tous les deux, nous les regardons d’un air interrogatif et sans parler.
Sybille prend la parole :
• Nous allons nous déshabiller à notre tour mais vous allez avoir une surprise… Ne soyez pas choqués ! Nous sommes ainsi et nous nous aimons !
Quelques instants plus tard, nous découvrons qu’Andrée est en réalité « André » qui a fait la mutation transgenre en se faisant poser de petits implants mammaires et Sybille est sa compagne légitime.
Sybille s’approche alors de Fabiane et en l’enlaçant lui dit :
• Puisque tu veux être initiée à une relation saphique, je veux bien être ton initiatrice… Nous ferons l’amour ensemble et ton homme pourra se faire sucer par Andrée ou la baiser par derrière !
• D’accord… Et toi Aurélien ?
• C’est à voir… je n’avais pas envisagé ce cas de figure.
Sybille ajoute en riant :
• Tu sais, depuis un an que nous allons nous aussi dans un club coquin, Andrée a la réputation de sucer divinement et son cul est aussi souple que celui d’une femme… Tu n’as pas à avoir de craintes… La seule chose à prévoir, ce sont les préservatifs !
• On a ce qu’il faut.
• Fabiane, viens me rejoindre sur le divan… et commençons. Une femme s’embrasse un peu comme un homme… de petits baisers qui se développent pour devenir de véritables baisers d’amours pendant lesquels les langues se mélangent, la salive se partage… Montre-moi comment tu ferais…
C’est ainsi que Fabiane découvre peu à peu dans les bras de Sybille les relations entre deux femmes.
• Maintenant, descends sur mes seins, embrasse les et dès que les tétons sont sortis, tu peux les croquer doucement soit avec tes lèvres ou avec les dents… C’est un peu plus hard ! Oui… comme çà… c’est bon… Beaucoup de femmes sont très sensibles des seins et moi, je l’étais déjà avant d’être opérée !
• Oh j’en sais quelque chose… Aurélien arrive à me faire jouir rien qu’en tétant mes seins… mais il faut que je sois particulièrement excitée et en manque. Je sais qu’après il va me faire minette et m’envoyer en l’air !
• Tu vois… ce n’est pas sorcier… Téter et mordiller les seins de sa partenaire comme tu le fais, çà fais partie de la préparation à la suite… D’ailleurs, descends ta main sur ma chatte et tu verras qu’elle est déjà bien humide !
• Oh oui… d’ailleurs je pense que le mienne est dans le même état d’humidité !
Sybille écarte ses cuisses et nous découvrons sa chatte déjà bien ouverte et luisante de mouille.
• Maintenant, nous arrivons aux choses sérieuses. Tu va me faire minette… Comporte-toi comme un homme… tu as une langue et des doigts… Sers–t’en ! Tu sais comment est fait le sexe d’une femme ?
• Evidemment…
• Alors vas-y… Lèche-moi, bouffe-moi la chatte…
Je dois avouer que voir Fabiane agenouillée entre les cuisses ouvertes de Sybille, le fessier levé bien haut, cela m’excite au possible et Andrée n’est pas en reste…
• Dis donc ta femme est sacrément bandante dans cette position ! Laissons les filles s’amuser !
Ma bite est érigée et celle d’Andrée se dresse à moitié sur son pubis… elle n’est pas très volumineuse mais elle doit satisfaire Sybille.
Lorsqu’il/elle se tourne vers moi et se saisit de mon membre, je me laisse faire. Certes, j’ai eu un léger mouvement de recul dû plus à la surprise qu’à cet attouchement.
• Viens laissons les faire… On va s’occuper de nous ! Tu vas me sucer pour m’exciter comme cela mon cul sera plus souple et plus accessible à ta bite de cheval…
• Elle n’est pas trop grosse ?
• Non… je suis habitué aux gros calibres… j’entretiens la souplesse de mon anneau car Sybille aime bien me prendre le cul avec un gode ceinture et elle en a un avec un sexe factice presque aussi volumineux que le tien !
• Waouh ! décidément… vous êtes deux belles coquines… Vous allez vous régaler sur le camping… et en régaler certains, j’en suis sur !
Après un bref temps d’hésitation je prends le sexe d’André(e) dans ma main… il dresse encore puis je me penche sur lui et je l’engloutis dans ma bouche…
Cela me fait tout drôle… J’ai déjà vu des mecs se sucer soit dans des films ou en club mais jamais je n’avais imaginé qu’un jour et à mon âge je sucerais une bite !
Dans ma tête j’imagine ce qu’une femme peut ressentir à sucer ainsi…
Je n’ai jamais posé la question à Fabiane qui depuis que je la connais est une adepte inconditionnelle de la fellation… Pratiquement à chaque fois elle commence par me sucer sans ment me faire gicler !
L’excitation monte, je sens un goût douçâtre dans ma bouche… peut être le pré-sperme… quand André(e) me dit :
• Assez… mettons nous en 6 9 et on va se sucer mutuellement… Pour une première fois, tu es assez doué !
Je m’allonge sur le tapis et André(e) m’enjambe pour se mettre tête-bêche et emboucher aussitôt mon sexe qui n’en peut plus de bander… Voir les deux femmes ensemble se bouffer la chatte et imaginer ce qui va suivre…
Je reprends en bouche le sexe d’André(e) et je le suce à nouveau tout en caressant ses bourses et le périnée jusqu’à ce que je sente mes doigts atteindre son sphincter que je trouve ouvert et humide…
Je suce en 6 9 un « mec avec des seins gonflés artificiellement » pendant qu’il/elle pompe ma bite…
C’est chaud au possible… effectivement « Andrée » a le sphincter d’une souplesse sans pareil et lorsqu’il se met en levrette pour que je le/la prenne, il/elle accepte mon vit surdimensionné sans se plaindre lorsque je le/la sodomise…
Fabiane et Sybille ont eu plusieurs orgasmes et les yeux de ma femme brillent de satisfaction… et André(e) m’a sucé/e jusqu’à ce que je gicle dans sa bouche. Ce/Cette dernière m’a dit en prenant congé que je devrais tenter la sodomie… Il/elle est sur/e que qu’apprécierais…

Ce n’est qu’au milieu de la nuit que Sybille et Andrée nous quittent… Nous sommes repus de caresses, de jouissance…

Fabiane et moi avons encore progressé sur les chemins de la coquinerie…

Elle a beaucoup apprécié la douceur des relations saphiques avec Sybille et moi, je n’aurais jamais imaginé faire un 6 9 avec un « mec à poitrine » et le sodomiser ensuite…

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