La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1041)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite) -

Mais voici comment mon sort d’esclave se vit scellé définitivement, comment cela se passa, cette nuit-là : … La Rolls-Royce s’arrêta un instant devant la demeure de ce Marquis. Un grand portail en fer forgé en fermait l’entrée. Deux lions en statues de pierre, dressés sur leurs pattes arrière et qui avaient l’air de s’affronter, trônaient sur le haut de chaque épais pilier du portail. Un appel de phares en permit l’ouverture automatique, et la voiture avança lentement, les pneus crissant sur les gravillons de l’allée centrale entourée de belles pelouses impeccablement entretenues et décorées de multiples statues antiques... Etonnement, j’étais calme bien que mon cœur se soit brusquement accéléré. La Rolls noire arriva au bout de cette longue allée et s’arrêta devant des escaliers conduisant au perron d’un impressionnant Château. Walter, le chauffeur descendit, m’ouvrit la portière, et me dit poliment :

- Veuillez sortir Madame, vous êtes arrivée.

J’étais vêtue d’une robe longue fendue asses haut jambe gauche, portant des chaussures de style Salomé, qui vont si bien à mes pieds de danseuse. Le haut de ma robe ne cachait pratiquement rien de ma poitrine, et à mon habitude, j’étais nue sous la robe. En sortant, étant donné la hauteur des talons, je dus écarter fortement les jambes, et le Majordome regardait sans vergogne, mon entre cuisses, sous le feu des projecteurs inondant de lumière l’entrée de l’imposante demeure. En un instant il referma la portière et remonta en voiture. La porte d’entrée s’ouvrit et une femme d’une allure sévère, stricte, âgée peut-être de 40 ans, m’accueillit, m’invitant à entrer et à la suivre. Elle portait la tenue traditionnelle du personnel féminin de maison : Coiffe dans les cheveux, jupe stricte et noire, ballerines, petit tablier blanc. Elle me précédait dans un grand vestibule, orné d’imposants tableaux anciens représentant des scènes de guerre lors de batailles royales.

Nul doute qu’ils feraient envie à plus d’un conservateur de musée. Des magnifique meubles travaillés trônaient aussi, ils étaient tous d’une autre époque, celle des rois allant du Louis XIV à du Louis XVI. L’ambiance était cossue, de bon ton, tout sentait le propre, le « rangé » l’ordre impeccable. Aucune poussière, tous brillait d’un éclat évident. Après avoir gravi de larges escaliers, sorte « escaliers d’honneur », nous entrâmes dans une grande pièce située à l’étage où la gouvernante me dit :

- Madame, veuillez patienter ici le temps que j’annonce votre arrivée à Monsieur le Marquis et qu’Il consente à vous recevoir.

Le terme « consente » me fit tiquer. Qu’il consente ?! Mais vraiment pour qui se prend-il ? Immédiatement après cette remarque personnelle, je me remémorais la même remarque que je m’étais faite 8 jours plus tôt à la soirée du vernissage. Et la réponse, je l’avais eue que je le veuille ou pas. Néanmoins, je décidais que la seconde fois, je ne me ferai pas avoir aussi facilement. Je déambulais dans la vaste pièce faisant semblant d’être sereine, mais en admirant les somptueux meubles de bois rares, ainsi que les somptueuses tentures de velours lorsque. Je restais admirative aussi devant un magnifique tableau qui devait faire environ 2 mètres de haut sur autant de large et qui trônait au-dessus d’une large cheminée dans un imposant cadre verni. La toile représentait un portait. Je crus reconnaitre Monsieur le Marquis. Mais le visage me paraissait plus effilé. Et visiblement, il était coiffé différemment. Je compris vite qu’il s’agissait d’un aïeul du Noble. En effet, en m’approchant, je pus lire sur un petit écriteau posé en dessous du tableau : ‘Marquis Charles-Edouard d’Evans – 1785 –’ Ce qui m’impressionnait chez cet ancêtre de Monsieur le Marquis, s’était son regard sévère, pénétrant comme s’il lisait dans nos pensées et qu’avait très bien su retranscrire l’artiste peintre de l’époque. Un regard Dominant, fort, profond, un regard qu’on n’oublie pas, un regard que je retrouvais chez le Marquis actuel … Je vis aussi dans un coin, trônant sur un buffet de chêne massif, un magnifique olisbos, de belle taille, en ivoire je pense, bien sculpté et qui était véritablement représentatif du membre masculin.
Ne sachant pourquoi, je n’arrivais pas à détacher mes yeux de l’objet. Je tendis même doucement et lentement la main, pour le caresser quand subitement, venant de je ne sais où, une voix masculine et forte retentit :

- Madame, Monsieur le Marquis va vous recevoir dans un instant.

Dire que j’ai sursauté à cette voix est faible, surprise alors que je caressais ce sexe érigé honteusement et de plus, ne sachant pas d’où provenait la voix. Me retournant prestement, je vis celui qui venait de parler, c’était un homme de haute stature, très bien habillé, venu de nulle part aussi, et placé dans l’entrebâillement d’une porte dérobée dans le décor des murs. Son air était comme absent.

- Bien, mer… merci Mo… Monsieur, balbutiai-je.

L’homme se retira aussi silencieusement qu’il était apparu. Cela faisait près de trente minutes que je faisais les cents pas, lorsque à nouveau, tandis que j’admirais un autre superbe tableau montrant Monsieur le Marquis avec à ses pieds, une femme soumise et nue, très belle, prosternée et portant un simple collier à son cou, quand tout d’un coup :

- Vous êtes venue donc !

Le son de cette voix me fit sursauter tant je la reconnaissais. Une voix fait d’un sulfureux mélange paradoxal de jovialité et de fermeté. Je me retournai, fis face tentant de reprendre mes forces pour entamer le « combat ». C’était Lui, il était là, en travers de la porte dérobée. Il était d’une incroyable beauté tant par son charisme que dans sa tenue parfaite. Son sourire était détendu, calme serein, ses mains tendues vers moi comme une invite à le rejoindre, à me rapprocher de Lui. La vue de cet homme, dans l’anfractuosité de la porte, devinant derrière lui une autre très belle pièce, le ton chaleureux de sa voix, ses mains tendues vers moi de façon innocente, amicale me firent baisser ma garde et m’approcher lentement de Lui. Plus de dix mètres nous séparaient, et alors que j’avançais de ma démarche chaloupée, féline mais innée de mannequin défilant, il me dit :

- Votre démarche Madame, est celle d’une diva du spectacle, votre déhanché si merveilleux, votre pas découvrant votre jambe si finement musclée avec une cuisse digne de figurer sur l’un de mes tableaux.
Vos Salomé, Madame vous vont à merveille découvrant votre coup de pied et la cambrure de vôtre voûte plantaire. Décidément, je vous retrouve telle qu’en vous-même, vous fûtes !

Ah ce subjonctif, mode que j’adore tant, preuve à mes oreilles d’une éducation sérieuse et raffinée. Avec un sourire franc, il continua :

- Accepteriez-vous, Madame, de retourner au bout de la pièce, rien que pour vous faire revenir et admirer votre démarche, la souplesse féline de votre corps, votre grâce naturelle démontre à l’envie votre naissance.

Comme je restais ébahie, médusée, il ajouta avec un bon sourire aimable :

- S’il vous plait !

Retrouvant un brin de superbe et de façon professionnelle, je revins au début opposé de l’endroit où se situait le Châtelain, et, avec un sourire cette fois-ci, refit à nouveau la démarche, accentuant légèrement mon chaloupé. Je m’approchais de Lui avec des yeux de chatte, gardant quand même mes griffes en éveil au cas où.

- Pardonnez-moi, Madame, seriez-vous bien née ? Noble même peut-être ?
- Me redressant fièrement : Noble assurément comme Vous, Monsieur le Marquis et portant blason, de la Cour mes ancêtres étaient et j’entends poursuivre ce rang.
- Parfait Madame, parfait, assurément.

Comment avait-il deviné, mais qui donc est cet homme ? Arrivée à la porte où il se trouvait, il s’esquiva puis m’offrant sa main, à la manière d’un Seigneur de la Cour, m’invitant avec tact et délicatesse à y poser la mienne, il me fit entrer dans une autre pièce, plus vaste encore, plus richement décorée. J’avançais à ses côtés comme une princesse avec la main dans celle de son Seigneur. De larges fauteuils de cuir ancien étaient disposés en face d’un formidable bureau Louis XVI et nos mains se levaient pour enjamber les dossiers. Dans cette pièce aussi, il y avait une immense cheminée, mais celle-ci était dotée d’un feu d’enfer qui irradiait toute la pièce d’une lumière orangée, les flammes faisant crépiter une énorme bûche de bois dans l’imposant foyer.
La pièce était aussi ornée d’un volumineux lustre en cristal duquel une lumière diaphane tombait ajoutant aux ombres des multiples pièces de collection posées sur des meubles très anciens. La chaleur du feu était douce et rassurante. Je me détendais lentement. Cette pièce respirait le calme, la sérénité, et l’attitude polie, galante du Maître des lieux y participaient également.

- Veuillez prendre place s’il vous plait, me dit-il en me montrant un fauteuil sur lequel trois femmes de ma corpulence auraient pu s’asseoir.

Tandis que je m’installais, me tournant le dos, il me dit :

- Malgré l’heure tardive, puis-je vous offrir un digestif ?

Je n’avais même pas mangé, refusant sa proposition.

- Champagne alors ! dit-il
- Je veux bien, oui champagne en effet, ajoutais-je à demi-mot.

J’entendis un bouchon « sauter » délicatement comme cela doit se faire et il revint me tendant une flute de cristal ciselé dans laquelle, des myriades de bulles pétillaient.

- A votre santé, à votre nouvelle vie, à votre réussite !

Nouvelle vie ? Quelle vie, de quelle vie parle-t-il revenant subitement à la réalité !

- Buvez Madame, dit-il, le champagne désinhibe ! Vous êtes à l’heure, c’est bien, j’aime la ponctualité et donc les gens à l’heure.

Je portais la flute à mes lèvres.

- Ainsi donc, vous avez accepté ma proposition.
- Euh non Monsieur, je n’ai rien accepté du tout, je suis juste venue
- A l’heure dite me semble-t-il, je me trompe ?
- Oui, euh, non, enfin je ne sais pas
- Je vous avais dit que vous aviez jusqu’à deux heures ce matin pour accepter par votre venue ma proposition ou ne pas venir signifiant par-là votre refus. Ai-je raison ou tort Madame ?
- Oui, c’est vrai, vous l’aviez dit
- Et vous êtes présente, bien là !
- Oui c’est vrai aussi… mais…
- Mais quoi, Madame, seriez-vous de ces girouettes qui tournent au gré des vents ?
- (Piquée au vif) Non Monsieur je ne crois pas
- C’est donc que par votre présence vous me manifestez votre accord. Je vais donc commencer dès maintenant votre première leçon. Vous êtes avachie dans le fauteuil, certes trop vaste pour vous mais veuillez-vous asseoir sur le bord du fauteuil, votre dos, droit et non adossé, ventre rentré, reins creusés, seins offerts à la vue comme il sied à l’esclave, la chienne que vous êtes en train de devenir.

Tandis que je l’écoutais énoncer ses ordres et que je ne bougeais pas, il me prit délicatement des mains la flute de champagne, la posa sur un guéridon au plateau marbré, et deux paires de gifles m’arrivèrent en plein visage, me faisant tomber du fauteuil au sol. Tandis que je tentais de me relever, le souffle coupé, son pied se posa sur ma nuque, me forçant à rester dans la position.

- Ecoute moi bien, dit-il, tu n’es pas sotte au point de faire semblant de ne pas avoir compris de quoi je parlais l’autre nuit. Tu as bien vu comment je me suis comporté avec toi l’autre fois ! Donc je considère que tu es d’accord et ta venue libre en est la preuve.

Son pied se retira et ses doigts se saisirent de mon sein afin de le dévoiler et ils attrapèrent mon téton droit, qu’il serrât fortement me faisant douloureusement me remettre debout en tirant dessus sans ménagement. Une fois debout :

- Retire ta robe toi-même que je t’admire à nouveau ! Chienne !

Eberluée à nouveau, apeurée aussi car je constatais amèrement que je m’étais encore faite avoir, je ne réagis pas. Mais paradoxalement, je me surpris de constater que mon bas-ventre réagissait, je commençais à me sentir humide malgré moi, malgré cette situation qui involontairement m’excitait… Il passait et repassait autour de moi quand, placé derrière moi, un sifflement se fit entendre et avant que je n’identifie l’origine du bruit, une brûlure intense apparut aux creux de mes reins me faisant me cabrer.

- J’ai dit ajouta-t-il, ne me fais pas répéter, je te l’ai dit déjà !

Prestement, je retirai la robe fourreau la laissant tomber à terre. De son pied, il la repoussa plus loin

- Mains derrière la nuque, bouche entrouverte, tête droite, reins creusés, ventre rentré, seins offerts, jambes écartées

Le Noble vient se mettre devant moi, sa main me prenant le menton et les joues et me tenant fermement, droit dans les yeux, il me lança :

- Tu es fière je vois, tu as de la prestance, mais je te dresserai à Me servir, entends-tu ? Je sais que tu faites pour être esclave, que c’est ta destinée, c’est ainsi et quoi que tu fasses, tu ne pourras jamais te détourner de cette évidente réalité…

Ses yeux étaient devenus durs, le ton froid, glacial et je résistais encore, le toisant n’abandonnant pas aussi facilement la partie. S’il voulait me soumettre, il lui faudra y mettre le prix, me disais-je.

- J’aime ce que tu te dis en ce moment par ton regard, tes yeux parlent pour toi. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire disait notre ami Monsieur de Corneille.

Puis, avec un sourire radouci à nouveau, me caressant le visage avec douceur :

- Eh oui ma belle chienne en devenir, je lis en toi comme dans un livre ouvert. Tu es fière, c’est parfait, tu résistes, c’est encore mieux et tu me prouves que tu es effectivement bien née.
- Ouvre la bouche

Il approcha alors ses lèvres et déposa sur les miennes un baiser voluptueux, sa langue cherchant la mienne, et me voilà me laissant fouiller activement, sans retenue. Les ordres fusaient et étaient immédiatement exécutés par moi. Je ne sais quelle force me poussait à obéir si promptement mais je m’exécutais autant par l’excitation qui montait en moi que par je ne sais quoi qui m’encourageait à l’obéissance. Il posa la cravache que je ne quittais plus des yeux, s’approcha de moi, me caressa les seins que j’avais menus, mais bien galbés, effleurant mes tétons, les pressant légèrement ce qui, immédiatement me fit ressentir encore plus à mon bas du ventre cette fameuse « boule » si connue des jouisseuses. Il passa le bout de sa langue sur chacune de mes aréoles, puis prit en bouche le téton gauche, l’aspira, le mordilla tendrement puis plus fortement, tandis que sa main gauche caressait mes reins et mes fesses et que la droite, descendait le long de mon ventre, plus bas encore, encore plus bas arrivant au nez clitoridien déjà turgescent. Mes aisselles, mon pubis, mon sexe, entièrement épilé, tout était lisse comme la glace. De toute façon, blanche de peau et blonde de surcroît, ma pilosité n’a jamais été drue, tout au plus quelques petits poils de blonde.

- J’aime la qualité de ta peau, j’aime ton odeur de salope.
- Oh ! Que c’est bon m’entendis-je dire doucement, Monsieur, s’il vous plait…

Ignorant mes prières, les doigts de sa main droite se saisirent alors de mon clitoris déjà fort en ébullition et commencèrent de le masturber sur toute sa longueur, je me dandinais avec volupté (je suis très sensuelle et « démarre » au quart de tour quand on sait travailler mon clito) Alors que j’avançais très vite vers l’explosion orgasmique, il abandonna mon clitoris et deux de ses doigts pénétrèrent sans précaution dans mon antre en feu déjà fort trempée. …

(A suivre …)

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