Une Démarche Surprenante 01 - La Métamorphose

Une démarche surprenante 01 - LA MÉTAMORPHOSE


Il y a certains jours où je me révolte, réalisant que malgré le désir cérébral persistant qui m’exhorte à vouloir faire l'amour avec Angel, je ne peux malheureusement plus l'honorer comme jadis. Je sens bien que son humeur s'en ressent et qu'elle a certainement encore envie d'être embrassée, caressée, léchée et surtout prise par une bonne verge.


Malheureusement l'âge, l'embonpoint et surtout les médicaments contre la tension, m'ont enlevé, non seulement une érection suffisante pour pouvoir assurer une copulation normale avec ma femme, mais, ce qui est plus grave, c'est que je n'ai plus aucune envie physique, n'ayant aucune volonté pour la caresser ou lui faire un subtil et interminable cunnilingus, une pratique dont elle raffole habituellement.


Il faut dire que mon épouse vient tout juste de passer la cinquantaine. Seul son visage peut témoigner de son âge, car elle a conservé pratiquement intact son corps de jeune femme. Elle pèse cinquante-quatre kg pour un mètre soixante-huit, ses seins, qui étaient très petits et attachés très hauts lorsqu'elle avait dix-sept ans, sont au demeurant toujours rigides et bien fermes. Bien qu'ils soient encore superbes, ils sont devenus maintenant beaucoup plus proéminents et lourds, ce qui ajoute à son charme naturel. Elle taille un 95c ce qui, sous un pull-over moulant, rappelle la « Sophia Loren » des années soixante. Son ventre s’est un peu arrondi, mais ses cuisses et ses jambes sont parfaites ; d'ailleurs beaucoup d'hommes se retournent dans la rue en voyant sa silhouette élancée et racée. Ses cheveux coupés mi-court sont de couleur auburn, elle a de jolis yeux verts, identiques aux miens.


Je ne suis malheureusement pas logé à la même enseigne, car à cinquante-cinq ans et bien que faisant la même taille que mon épouse, je pèse un peu plus de quatre-vingts kg, et je traîne des problèmes de tension qui rendent mes érections parfois défaillantes depuis quelques années.




En désespoir de cause je me décide à me confier à son amie intime, la sympathique et pulpeuse Katte, avec laquelle elle déjeune presque chaque semaine. C'est certainement la seule femme avec qui elle se découvre de réelles affinités et qui lui rend bien son affection. Il est vrai que je ne m'impose pas dans leur relation, refusant d'aller déjeuner avec elles chaque fois qu'elles me le demandent, ne voulant surtout pas troubler leur tête-à-tête. Quelquefois Angel invite son amie pour dîner à la maison ; ce sont les seules occasions où je la vois, car quoiqu'elle soit d'une compagnie très agréable, je me tiens prudemment à distance.


Angel est encore très jalouse, surtout des femmes amies de notre connaissance, particulièrement avec celles avec qui je pourrais avoir une certaine complicité. J'ai connu cela tout au long de notre vie maritale et, même si la plupart du temps, il n'y a aucune raison valable, elle se méfie, ce qui complique ses rapports d'amitié avec les femmes de notre entourage.


Sa meilleure amie Katte est attachée de presse chez un grand couturier parisien. C'est une femme de quarante-trois ans, très plaisante et rigolote, elle est bien ronde de partout, aussi bien du visage que de tout son corps, avec des cuisses et des jambes un peu fortes. Les rides, du fait de sa rondeur sans doute, n'ont aucune prise sur elle. Elle s'habille étrangement avec des jupes trop courtes pour sa petite taille, car elle mesure tout juste un peu plus d'un mètre soixante.


Cependant, elle n'a aucun complexe des bourrelets qui garnissent ses hanches, ni de son ventre bien rebondi, alors que ses seins débordent largement de ses corsages ou remplissent lourdement ses pull-overs moulants. En fait, elle a tout d'une des femmes peintes par Rubens et ses appas semblent bien prometteurs. Elle ne nous cache aucunement ses aventures ni le nombre de ses amants, parmi lesquels se trouve d'ailleurs un jeune homme de plus de vingt ans son cadet, qu'elle a connu lorsqu'il avait dix-huit ans.



Curieusement je n'ai aucune attirance physique pour les charmes de notre amie, bien que je la trouve très sympathique et que je sois très heureux que mon épouse se soit trouvée une amie intime avec qui elle s'entend si bien.


Je ne sais si je fais une grosse bêtise, et j'en ai fait quelques-unes dans ma vie, mais un certain jour je ne peux me retenir de téléphoner à Katte.


• Bonjour, c'est Franck. Tu vas bien ?


Elle me demande naturellement des nouvelles d'Angel. J'en profite pour lui confier que j'ai justement besoin de lui parler de son amie et que je voudrais la voir confidentiellement dans les jours qui viennent. Bien sûr, je la laisse libre d'en parler par la suite à mon épouse, mais jusqu'à notre conversation, je lui demande d'être discrète. Elle paraît assez intriguée, mais elle m'assure de son silence tout en me proposant de venir chez elle le surlendemain vers quinze heures.


Le jour dit, je me présente devant son domicile, un superbe appartement de plain-pied dans un immeuble moderne en bordure de Seine à Saint-Cloud. Comme toujours Katte est habillée très court, ses collants noirs en lycra soulignant ses fortes cuisses sous une jupe en lainage jaune orangée. Elle porte au-dessus un petit sweet légèrement décolleté qui laisse apercevoir le volume imposant de ses seins trop comprimés.


Nous nous installons face à face dans de profonds fauteuils, puis elle m'offre un café et des chocolats. Enfin elle me demande ce qui m'amène. Je reste un moment silencieux, puis je me décide à lui faire part de mes tourments.


• Katte, je vais te confier quelles sont mes préoccupations sur l'avenir intime de notre couple. - Tu es certainement la meilleure amie d'Angel. - D'ailleurs je peux t'affirmer qu'elle n'a jamais eu une amitié féminine aussi proche. - C'est au demeurant pour cette raison que je reste éloigné de votre relation, ne voulant pas m'immiscer dans vos conversations personnelles et dans votre complicité.
- Je suis certain qu'elle t'a fait nombre de confidences sur toute notre vie, sur les difficultés que nous avons surmontées aussi bien matérielles que sentimentales. - Crois bien que je n'en suis aucunement contrarié, au contraire c'est ce qui m'autorise à venir te parler du malaise qui s'est installé dans notre couple et pour lequel je voudrais trouver une solution. - Tu sais sans doute que depuis quelques années je suis devenu presque impuissant et que je ne peux plus faire l'amour à Angel. - Remarque, elle est tranquille de cette façon, je suis dans l'impossibilité de la tromper, elle qui est si jalouse. - Mais je peux t'assurer que cette situation me sape le moral et me détruit peu à peu. - J'étais plutôt porté sur la chose comme on dit, mais bien sûr je n'ai plus d’érection suffisante pour baiser et surtout je n'éprouve plus de désir. - Il est certain que les médicaments qui régulent ma tension depuis quatre ans n'ont rien arrangé, mais j'avoue que je suis très inquiet pour Angel. - Je sens bien que l'amour physique lui manque et que nos relations vont s'en trouver à la longue de plus en plus difficiles.


Katte me regarde gravement, écoutant mes épanchements avec une grande attention. Je ne me suis pas trompé en venant la voir, elle n'est pas indifférente à notre problème et peut-être sera-t-elle d'un bon conseil. À ce moment, elle me dit.


• Je ne veux rien te cacher Franck. - Il est certain que ta charmante petite épouse m'a fait quelques confidences et qu'elle regrette que tu ne lui fasses plus l'amour. - Sans vouloir aborder les détails de votre vie amoureuse qu'elle a pu me confier, il me semble pourtant que tu es assez habile de tes mains et de ta bouche. - Je suis presque certaine que tu la contenterais par ce moyen tu ne crois pas ?


Je réalise qu'en effet, mon épouse a révélé à son amie tout ou partie de nos ébats sexuels. Cela me soulage dans un certain sens et me donne le courage d'aller plus loin.


• Je sais, mais j'ai même perdu l'envie de la caresser et qui plus est, d'embrasser toutes les parties de son corps que j'adorais pourtant mignoter lorsque nous faisions l'amour.
- Katte, je sais que c'est très délicat de te demander ça, mais je souhaite qu'Angel puisse à nouveau faire l'amour avec un homme qui pourra la rendre heureuse. - Je préfère provoquer cette situation avant qu'elle ne prenne un amant en se cachant et que notre couple se détériore. - Je te demande de lui parler de mon idée, car je n'ai pas le courage de discuter et de raisonner sur ce sujet avec elle.


• Dis-donc, tu es gonflé. - Tu me vois aborder Angel en lui disant : « Tu sais ma chérie - Tu devrais prendre un amant - C'est ton mari qui me l'a demandé. - Il voudrait que tu fasses l'amour devant lui avec un autre homme ». - Car c'est bien ce que tu veux n'est ce pas ?


• C'est vrai, mais il n'y a que toi Katte à qui je peux demander cela et puis tu es certainement la seule qu'Angel écoutera. - Je sais qu'elle t'aime beaucoup et qu'elle admire ta liberté sexuelle et la décontraction dont tu sais faire preuve envers tes amants. - Peut-être pourras-tu aussi dénicher un homme qui trouvera mon épouse à son goût et qui voudra la baiser devant moi. - Tu as raison, c'est ce que je désire inconsciemment, car j'espère certainement dans mon subconscient que je vais de nouveau bander pour pouvoir enfin la pénétrer véritablement et non plus seulement dans mes songes.


• Eh ! Bien. - Quelle déclaration d'intention. - Je crois que c'est la première fois que j'entends un homme qui souhaite que la meilleure amie de sa femme lui procure un mâle pour la dévergonder. - Enfin je veux bien essayer. - Mais mon cher Franck, il va falloir me donner un gage en échange. - Ta merveilleuse petite femme m'a tout de même confié les prouesses dont tu étais capable avec tes doigts et ta langue. - Tu vas me prouver immédiatement que ta réputation n'est pas surfaite.


Ce disant, Katte se retrousse sans vergogne devant moi, faisant rouler son collant à ses pieds, elle s'en débarrasse en moins de deux ; puis elle fait glisser sa culotte le long de ses cuisses et de ses jambes, enfin, elle se releve du fauteuil où elle était assise, et vient m'enjamber, puis, retroussant sa jupe courte, elle se dispose devant mon visage. Je ne peux qu'admirer son ventre très rebondi au bas duquel je distingue une fente minuscule, à peine entouré d'un fin duvet, car il est indéniable qu’elle s’épile intimement. Je n'en reviens pas de l'audace dont elle fait preuve…


À suivre…

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