Livreur De Pizzas

Depuis que j’ai seize ans, j’ai trouvé un job de livreur de pizzas et autres spécialités dans un restaurant italien réputé de la ville. Je m’efforce de faire mon travail le mieux possible à chaque période de vacances scolaires et lors des longs weekends.
Mon patron est content de moi et les clients satisfaits de ma rapidité et de ma gentillesse. Contrairement à ce que l’on peut croire, ce ne sont pas uniquement les moins de trente ans qui ainsi, se font livrer de la nourriture à domicile.

Au cours des dernières vacances de Noël, il m’est arrivé une aventure que je vais vous raconter. C’était le dernier soir du premier week-end de l’année nouvelle. Vers 22 heures, le responsable de la pizzéria a reçu la commande d’une pizza aux fruits de mer et d’une portion de lasagnes. Comme l’adresse se trouvait dans mon quartier, c’est à moi que la livraison a été attribuée. Ainsi, je pourrais rentrer directement chez moi en conservant le scooter jusqu’au lendemain, à charge pour moi de le ramener avant 16 heures.
Je connaissais bien cet immeuble cossu et j’étais assez surpris de devoir y effec une livraison. Je sonnai à la porte du hall au nom indiqué. En même temps que l’ouvre porte fonctionnait j’entendis une voix au titre chaud me dire :
• Montez, prenez l’ascenseur de droite et c’est le dernier étage.

Quand la porte palière s’ouvrit, je reconnus une belle femme que j’avais déjà croisée à plusieurs reprises en ville :
• Ah, c’est toi Bertrand ! Entre vite te réchauffer un peu.

Elle fit entrer en ouvrant en grand sa porte restée entrebâillée. Elle vérifia rapidement la livraison. Je n’avais rien à encaisser car le paiement avait été fait par carte bancaire au moment de la commande. Elle me demanda :
• Veux-tu une boisson chaude ? Un chocolat ? Oui ? Je vais en préparer un, tu le boiras pendant que je mangerai la pizza.

Elle me servit près d’elle sur la table basse du salon.

Nous avons commencé à bavarder de choses et d’autres. Mathilde, alors qu’elle semblait prête pour la nuit, n’était visiblement pas pressée de me voir partir et moi je me trouvais bien en sa compagnie.
En plus dans la chaleur douillette de son appartement je me réchauffais doucement.
Elle portait une robe d’hôtesse en satin mordoré qui s’harmonisait bien avec ses cheveux roux. Assise sur le divan, elle ne s’était sans doute pas aperçue que les pans s’étaient ouverts et laissaient voir à moitié ses cuisses fuselées. Mon regard était comme magnétisé, mes yeux revenaient sans cesses entre ses cuisses et mon sexe commençait à se manifester dans mon boxer. Soudain elle éclata de rire en voyant mon trouble grandissant :
• Coquin ! Tu voudrais en voir plus !

En se levant elle fit glisser sa robe. Dessous, elle portait un déshabillé court en dentelle transparente de couleur marron avec des motifs blancs et un string assorti.
Waouh qu’elle était belle dans la maturité de sa quarantaine.
Ma bite s’est brusquement sentie trop à l’étroit.
J’étais surpris de désirer si fortement cette femme, moi, qui jusqu’à présent, n’avais connu que deux étreintes furtives avec des copines de lycée.
Elle s’est approchée de moi, passant ses bras autour de mon cou, elle m’a embrassé, introduisant sa langue dans ma bouche dans un savant baiser. Avec ses mules à talon, elle était aussi grande que moi.
Elle pressait son bassin contre le mien en roulant des hanches. Elle s’étonna soudain :
• Mais il bande ce grand jeune homme !

Elle fit glisser mon blouson et colla son torse contre le mien. Je sentais ses seins opulents contre ma poitrine. M’enhardissant, je remontai mes bras sous son déshabillé en les nouant à hauteur des reins. Dans un souffle elle acquiesça :
• Viens dans la chambre, nous serons mieux !

Avec des gestes lents elle me déshabilla entièrement en multipliant les caresses aux endroits sensibles qu’elle avait su trouver.
Elle se mit à genoux devant moi et engloutit ma bite dans sa bouche. C’était ma première fellation et je trouvais çà bon.
Cela ne dura pas (heureusement car j’allais tout cracher).
Mathilde s’allongea en travers du lit et elle m’attira sur elle entre ses cuisses. Je n’ai jamais su à quel moment elle avait retiré son string. Elle me guida en elle en me disant d’aller doucement, de ne pas me précipiter pour jouir. Je fis de lents mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Je me retenais pour ne pas aller trop vite, c’était tellement bon et là, pas de risque de se faire surprendre. Elle sentait monter mon plaisir et elle m’invita à ne plus me retenir :
• Vas-y, c’est le moment ! Lâche-toi !

Je lâchai ma jouissance et Mathilde jouit instantanément avec moi en plaquant ses mains sur mes fesses pour mieux me sentir en elle. Nous sommes restés ainsi de longues minutes. Je n’avais aucune envie de sortir de sa vulve mais peu à peu mon sexe débandait.

Mathilde me fit basculer sur le côté en me disant qu’elle allait me faire découvrir les corps d’une femme. C’est vrai qu’en dehors de photos vues dans des magasines je ne connaissais de l’anatomie féminine que peu de choses. Je n’avais jamais vu un corps de femme en pleine lumière.
C’est ainsi qu’elle me parla des seins, avec leurs bourgeons turgescents et les aréoles sensibles. Puis, sur le dos, les jambes écartées, elle me fit découvrir sa vulve avec les lèvres grandes et petites, le capuchon du clitoris et surtout le vagin au sein duquel elle guida ma main droite. A quatre pattes, elle me montra son sillon fessier et son anus tout plissé en disant :
• Mets deux doigts dedans ! On peut aussi faire l’amour à une femme en la prenant par ici !

Un peu timidement j’approchai ma main et je glissai deux doigts comme elle me l’avait indiqué. Je fus surpris de la facilité de la pénétration. Mathilde m’expliqua que son ex-mari l’avait convertie à la sodomie et que ses amants en profitaient souvent.

Tout cela m’avait bien excité et ma bite était de nouveau bandée à mort.
Mathilde se mit à genoux sur le lit en disant :
• Viens, je vois que tu en as encore envie.

Les bras allongés de part et d’autre de sa tête, elle avait les fesses à la hauteur de mon sexe, avouant que cette position de levrette était une de ses préférées puisque ses amants pouvaient ainsi choisir par où la prendre !
Elle m’indiqua comment faire et d’une poussée je la pris comme elle le souhaitait pendant qu’elle m’encourageait à bien la baiser à fond.
Ma bite n’avait jamais été à telle fête et je pistonnais son vagin avec fougue, faisant claquer mon pubis contre ses fesses chaque fois que je la prenais, de plus en plus vite, de plus en plus profond.
Je me déversai à nouveau dans cette chatte accueillante, déclenchant la jouissance de ma maitresse une seconde fois.
Nous sommes restés enlacés sur son lit de longues minutes. J’étais si bien que j’y aurais bien passé la nuit. Hélas, vers une heure du matin Mathilde me mit gentiment dehors en me donnant son numéro de téléphone et en disant que je pouvais l’appeler quand je voudrais.
Je pouvais revenir lui faire l’amour. Elle achèverait mon éducation amoureuse.
A peine majeur, c’était le rêve. Avoir une femme avertie pour découvrir les joies du sexe, quel bonheur ! Et j’en ai profité pendant quelques mois…

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