L'Amour Au Boulot - Partie 2.

Depuis plusieurs semaines, Véronique, une jeune stagiaire effectue un stage de trois mois dans le cadre de son B.T.S. et elle passe d’un service à l’autre. En l’absence du D.R.H., je l’avais reçue lors de son entretien initial et je l’avais croisée à plusieurs reprises au détour d’un couloir ou d’un trajet en ascenseur. Nous échangions quelques mots dans un salut poli et nous en restions là.

Autant je suis brune, autant Véronique est blonde comme les blés. Aussi grande que moi, elle a un visage fin encadré par des cheveux coupés en carré court, des yeux gris foncés, un nez droit et mince et une petite bouche à peine fardée. Sa silhouette mince avec une poitrine très menue et une taille étroite lui donnent une allure androgyne.

Lundi passé, je m’apprête à quitter le bureau en fin de journée lorsque le téléphone sonne. C’est un cadre en déplacement à l’étranger qui cherche à joindre son patron. Tout le monde est déjà parti et il se rabat sur moi pour traiter son problème. La porte du bureau est entrouverte et je vois le minois de la stagiaire s’y encadrer. Ne sachant pas ce qu’elle veut et toujours occupée avec mon correspondant, je lui fais signe d’entrer. Là, elle me fait comprendre par gestes qu’elle souhaite utiliser mon cabinet de toilette. Quand je termine ma communication, je repense soudain qu’un de mes jouets est resté sur le lave mains. Au même moment Véronique sort du cabinet de toilette en tenant mon Plug entre ses doigts et me dit d’un air moqueur :
• Oh ! Madame Durant ! Quelle surprise ! Seriez-vous une coquine sous vos airs sérieux ?

En quelques secondes je me sens pâlir puis rougir surtout quand elle s’approche de moi et m’attire dans ses bras pour m’enlacer et chercher mes lèvres. Je suis tellement surprise que je ne résiste pas à cet assaut et à la main qui part explorer le devant de ma poitrine pour débusquer un sein dans mon soutien gorge. Je suis complètement désemparée ! Je suis sans réaction quand la jeune stagiaire déboutonne ma veste et mon corsage et fait sauter l’agrafe de mon soutif pour venir cueillir un de mes tétons entre ses lèvres.



Je devrais la repousser, fuir, mais je suis sans volonté. Maintenant j’ai chaud, je sens mon sexe envahi par une douce chaleur et comme une sorte de poids dans mon ventre qui l’habite lorsque je vais jouir. Comment à bientôt 39 ans, femme comblée par un amant doué, je peux commencer à éprouver du plaisir pour la première fois sous les caresses d’une autre femme qui s’enhardit de plus en plus au point que mon buste est nu. Ma veste, mon chemisier, mon soutien gorge, tout n’est qu’un tas de chiffons à nos pieds.

Je réagis de plus en plus faiblement ! Je me laisse faire ! Cette coquine va me conduire sur les chemins d’une relation saphique… Mais elle n’oublie pas que nous pouvons être surprises aussi va t’elle verrouiller la porte du bureau. Avant de me reprendre dans ses bras, elle ôte son sweatshirt et je découvre sa poitrine si menue qu’elle ressemble plus à celle d’une adolescente qu’à celle d’une jeune femme de 21 ans. Elle ne porte même pas de soutient gorge ! Véronique se colle à moi, se frotte contre moi, ses petits seins tout juste à la même hauteur que les miens les font rouler pendant que nous échangeons des baisers à en perdre le souffle. Entre mes cuisses qui s’ouvrent, une main indiscrète remonte sous ma jupe et vient masser mon Mont de Vénus et ma chatte ruissèle de plus en plus.

Véronique me repousse de telle sorte que mes fesses se collent contre le plan de travail de mon bureau puis elle s’agenouille devant moi, remonte ma jupe au dessus de la taille, fait glisser mon string totalement humide et pose ses lèvres sur mon clitoris tout bandé. Elle le prend dans sa bouche, le mordille, le suce avant de descendre plus bas et d’ouvrir ma fente avec sa langue pour la darder ensuite à l’entrée de ma vulve.

Waouh ! Que c’est bon ! Je n’aurais jamais imaginé que de recevoir un cunnilingus de la part d’une femme, c’était presque meilleur que la même caresse prodiguée par un homme. Etait-ce quelque part le fait de braver les convenances ? En tout cas j’apprécie au point qu’une vague de plaisir déferle en moi pendant que mon amante lape la cyprine qui coule entre mes lèvres intimes.
Certainement pour me déculpabiliser, Véronique me dit doucement :
• N’ayez pas honte ! Depuis notre entretien, j’ai envie de vous, de vous faire l’amour. Je n’ai jamais connu d’homme mais, sans me vanter, j’ai déjà connu pas mal de femmes de tous âges auxquelles j’ai donné beaucoup de plaisir. Certaines me l’ont rendu.

Je ne sais pas trop comment accueillir cet aveu mais je relève Véronique pour la prendre dans mes bras et l’embrasser, un peu comme une jeune amie que je consolerais. Je retrouve sur ses lèvres mon odeur et le goût de ma cyprine que j’ai découvert lorsqu’après avoir fait l’amour avec Jean-Louis, il m’arrive de le prendre en bouche pour qu’il bande à nouveau pour me baiser une seconde fois. Devant cet aveu, je lui dis :
• Je n’en doute pas ! Si tu veux, je vais te rendre ta caresse mais je ne sais pas comment faire ! Tu va me guider ?

Le visage de Véronique s’illumine d’un grand sourire quand susurre :
• Oh oui ! J’ai envie de ta langue sur ma chatte ! Je suis déjà bien mouillée !



Quelques jours après, je m’étonne encore de la facilité avec laquelle Véronique m’a entrainée dans les plaisirs saphiques. Nous achevons de nous déshabiller mutuellement en échangeant baisers et caresses et lorsque nous sommes nues toutes les deux, Véronique s’allonge sur le dos en travers de mon bureau, cuisses ouvertes, les jambes pendant et le sexe offert à ma bouche avide :
• Viens, pose tes lèvres sur mon sexe et joue avec ta langue comme si tu te faisais du bien avec un doigt…… Fais courir la pointe jusqu’au clitoris et suce le comme si tu suçais un bonbon…... Ensuite tu feras des allers-retours entre mes lèvres jusqu’à l’entrée de ma chatte.

Comment puis-je obéir ainsi à cette jeune femme alors que j’ai un poste à responsabilité dans la Société ? Est-ce que Jean-Louis a ouvert à ce point les vannes de ma libido pour que je me livre ainsi sans pudeur aux caresses d’une autre femme à laquelle je vais les rendre ? Serai-je désormais aussi soumise aux caprices de mn corps ? En tout cas, je suis tellement excitée que je ne réfléchis plus, je me concentre sur ce que je fais à Véronique et je suis sans rechigner les ordres qu’elle me donne emplissant mes narines de son odeur un peu épicée.


Quand je lève les yeux, je vois son ventre plat qui palpite, elle a les mains posées sur ses seins et les passe doucement pour faire rouler les tétons dans sa paume. Son souffle se précipite au fur et à mesure que ma caresse intime fait monter son plaisir. Sa tête va de gauche à droite et inversement. Véronique m’encourage :
• C’est bien ! C’est bon ! Tu va me faire jouir !

Et effectivement ma caresse porte ses fruits. Véronique pousse un feulement rauque puis une série de cris aigus quand elle jouit, enserrant ma tête entre ses cuisses. Je me relève pour m’asseoir dans mon fauteuil pour réfléchir, récupérer un peu de mes émotions et Véronique vient se mettre en travers de mes cuisses et m’embrasse à nouveau à bouche que veux-tu :
• Tu vois, ce n’est pas difficile ! Dès la première fois tu m’as fait grimper aux rideaux !...... Es-tu bien sûre que ce soit la première fois que tu donnes du plaisir à une autre femme ?...... Ou alors, tu as l’habitude de te masturber !

Dans un souffle, je concède :
• Oh oui, cela m’arrive, d’ailleurs j’ai ce qu’il faut, caché au fond d’un tiroir.

Véronique me demande de lui montrer mes jouets. Et là, sans aucune pudeur ni réserve, je sors les deux godes. Le premier est en plastique un peu rigide dont l’extrémité est pourvue d’un beau gland tout rond. Lorsque Jean-Louis et moi nous l’avons choisi dans un sex-shop, nous l’avons sélectionné parce qu’il ressemble beaucoup à sa queue. Le second est un peu plus long et plus fin avec un gland pointu qui s’évase doucement jusqu’au bourrelet. J’explique à mon amante comment le choix s’est fait, expliquant que le second tout comme le Plug sont destinés à assouplir les muscles de mon anneau serré pour que Jean-Louis arrive à me sodomiser.

Ce soir-là Véronique et moi, nous quittons la Société avec beaucoup de retard sur un horaire habituel. Nous avons fait l’amour en 6 9, vautrées sur la moquette, Véronique au dessus de moi.
Le plaisir m’a terrassé une seconde fois quand je sentais sa langue parcourir ma vulve et un de mes godes aller et venir dans ma chatte… alors que mes mains posées sur ses fesses, je léchais ses orifices, passant de l’entrée de sa vulve et celle de son anus.

Bien plus tard dans la soirée quand je me couche près de Jean-Louis et qu’il me demande comment s’est passée ma journée, je lui raconte ce que j’ai vécu avec Véronique. Je constate alors que l’un et l’autre, nous sommes excités à cette évocation. J’ai dans mon ventre cette boule lourde et chaude que je connais bien désormais quand l’envie de faire l’amour me prend et le sexe de Jean-Louis est dressé comme un pic, dur comme du bois et suintant… Lorsque cet estoc me pénètre, je m’ouvre à lui mais dans ma tête, je ce cesse de penser à Véronique.


Troisième partie.

Les jours passent… Au moins une fois par semaine je fais l’amour avec Véronique et cette relation saphique a achevé de me libérer sexuellement. J’ai de plus en plus envie de ses caresses sur tout mon corps, de ses longues jambes qui s’emmêlent avec les miennes lorsque dans la position du papillon nous frottons nos vulves l’une contre l’autre, mélangeant nos sucs intimes qui coulent abondamment le long du gode à double tête que Véronique a apporté.
Mes parties de baise avec Jean-Louis n’en sont pas moins torrides, on dirait que le désir l’une de l’autre est exacerbé lorsque je sors des bras de mon amante, que déjà satisfaite émotionnellement, je souhaite une étreinte virile pour combler mon corps de cette jouissance divine.

Véronique devient aussi une sorte de confidente, jeune sœur que je n’ai pas eue, à laquelle je me confie dans des échanges des plus intimes. Quand elle m’explique comment elle s’est tournée vers les amours saphiques à la suite d’une agression sexuelle quand elle est entrée au Lycée, je lui raconte mes sorties en clubs libertins avec Jean-Louis, comment j’accepte désormais de me livrer totalement sur la piste de danse en balançant au rythme de la musique ma poitrine opulente et mes fesses bien rondes. Je lui confie aussi comment j’accepte les caresses des autres partenaires qui désormais peuvent pénétrer mes orifices de leurs doigts…mais pas de leur sexe ! C’est réservé à Jean-Louis !

Ce dernier est de plus en plus curieux de ma relation avec Véronique au point qu’il m’incite à nous filmer lors de notre prochaine rencontre qui doit être la dernière au sein de la Société : le stage est terminé à la fin de la semaine.
Ce soir-là, j’attends avec impatience l’arrivée de Véronique dans mon bureau. Sciemment, j’ai laissé mon ordinateur et ma caméra de visioconférence en marche. J’explique à Véronique que je veux, si elle y consent, conserver un petit film d’une de nos séances saphiques pour le regarder avec mon compagnon :
• Oh oui ! Quelle bonne idée !

Ce que je ne lui dit pas, c’est qu’en plus d’enregistrer, l’ordinateur va envoyer les images sur celui de Jean-Louis !

Nous nous prenons dans les bras et commençons à échanger force baisers, de plus en plus chauds. Nos mains partent une nouvelle fois à la découverte du corps d’autre pour le dénuder. Véronique se presse contre moi, insinue une cuisse entre les miennes, frotte son pubis contre le mien qui déjà laisse suinter sa cyprine. Nos mains plaquées sur les fesses de l’autre pressent nos corps l’un contre l’autre : nous ne faisons plus qu’un tant nos membres sont emmêlés.

Je pousse doucement Véronique sur un des fauteuils qui font face au bureau, je l’oblige à s’agenouiller sur l’assise, les bras posés sur le haut du dossier. Ainsi placée en levrette, de trois quarts par rapport à la caméra, Jean-Louis ne perdra rien du spectacle que je vais lui offrir quand je vais lécher les orifices offerts à ma convoitise, les pénétrer de ma langue et de mes doigts... En quelques semaines, je suis devenue bisexuelle, aimant faire l’amour aussi bien avec Jean-Louis que Véronique qui se pâme sous mes attouchements et mes baisers.

Puis c’est au tour de Véronique de me faire l’amour. Dans la même position, elle s’agenouille derrière moi, pose ses mains sur les fesses qu’elle écarte pour faire saillir la rosette plissée de mon anus et y darder sa langue pointue. Quand ma rondelle est bien humidifiée, elle y glisse mon gode fin qui pénètre jusqu’à la garde et elle vient par en dessous laper ma fente complètement inondée avant de sucer mon clitoris ce qui a le don de me faire partir dans les transes de la jouissance en quelques minutes. Nous terminons sur la moquette dans un 6 9 échevelé où c’est à celle qui dominera l’autre. Pour la dernière fois, Véronique et moi, nous faisons l’amour dans mon bureau, mais là, la caméra ne peut pas nous enregistrer.

Avant son départ, je remets à Véronique une copie de l’enregistrement avec une carte dans laquelle je la remercie de m’avoir fait découvrir tout cela ! Jamais je n’ai pu pénétrer la chatte de Véronique autrement qu’avec un doigt ou deux, arrêtée à chaque fois par son hymen encore intact. J’aurais bien aimé… voir un sexe mâle y entrer et lui faire goûter une autre sorte de jouissance.




Quelques mois ont passé quand en fin de semaine je reçois un appel téléphonique de Véronique. Elle m’annonce qu’elle est reçue à son B.T.S. et qu’elle me remercie de l’appréciation que j’avais apportée à son rapport de stage.

Nous bavardons longuement, reparlant de cette période et des personnes qu’elle avait côtoyées dans l’entreprise. Elle évoque nos étreintes saphiques en me disant que depuis, elle n’a plus rencontré une femme qui ait su si bien la comprendre et ne pas porter de jugement sur son orientation sexuelle. Elle m’explique comment de temps à autres elle regarde le DVD de notre dernière rencontre mais que depuis quelques temps, elle m’envie de pouvoir faire l’amour avec un homme. Je lui dis alors :
• Véronique, je vais te confier quelque chose. Si tu ne m’avais pas appelé, tu n’en n’aurais jamais rien su !

Elle m’interroge :
• Su quoi ?

Sans ambages, je lui avoue que lors de notre dernière séance, j’ai enregistré une partie de nos ébats mais que j’envoyais en même temps les images à mon compagnon Jean-Louis. Véronique, intriguée me demande :
• Et alors ? Qu’a-t-il dit ?
• Qu’il aimerait bien être le premier homme à te baiser !

Nous continuons ainsi notre bavardage pendant quelques minutes jusqu’à ce que Véronique me propose d’allumer ma caméra de visioconférence et de me brancher sur son ordinateur. Lorsqu’elle apparait à l’écran, elle est nue sur son lit les cuisses écartées et elle caresse sa chatte en introduisant deux doigts à l’intérieur. J’ai aussitôt une bouffée de désir pour ce corps androgyne aux hanches étroites et à la poitrine menue, ce corps auquel j’ai découvert que je pouvais lui donner beaucoup de plaisir… et en recevoir.

Je remonte ma jupe autour de ma taille, je pose mes cuisses ouvertes sur les accoudoirs de mon fauteuil et les pieds sur le plan de travail de mon bureau. C’est l’été ! Il fait chaud ! Aujourd’hui je ne porte pas de string ! Véronique peut voir ma vulve en gros plan sur son écran. D’une main j’ouvre mes lèvres intimes et je glisse plusieurs doigts de l’autre dans mon orifice.

Je suis devenue une vraie salope, avide de sexe et de jouissance au point de me masturber au moins une fois par jour et de porter un Plug dans mon anneau plissé le plus souvent possible. Entre mon amant Jean-Louis et Véronique, j’ai découvert à près de 40 ans les plaisirs du sexe et du libertinage ! Et je ne m’en prive pas ! Je n’aurais jamais imaginé lorsque fortuitement j’ai rencontré Jean-Louis que je deviendrais libertine et que j’entretiendrais pendant plusieurs semaines une liaison saphique avec une femme beaucoup plus jeune que moi… Et en remontant un peu dans le temps, me livrer aux regards d’hommes et de femmes dans des clubs libertins. Les caresses auxquelles je me livre et les souvenirs qui tournent dans ma tête me chauffent tellement que je jouis quasiment en même temps que Véro’ que je vois se tordre de plaisir sur son lit
.
La semaine suivante, j’appelle Véro’ chez elle pour l’inviter à diner le samedi. Je serai seule avec Jean-Louis à qui je n’ai pas caché notre séance de masturbation. Il a semblé très intéressé par les propos de mon « amie » et disant que si elle avait envie de goûter au sexe d’un homme, il était disposé à cela. Quant à moi, je n’étais pas contre à condition que j’assiste…

Le samedi soir arrive ! Je prépare un diner léger à base d’aliments choisis avec un vin rosé de Provence. Pour l’accueil de Véro’, il y a une bouteille de champagne au frais. Au niveau des vêtements, j’enfile une jupe longue qui arrive à mi mollets en tissu fluide, s’ouvrant sur le devant par une rangée de bouton et un chemisier en voile assorti qui laisse voir en transparence mes seins opulents. Je ne mets ni soutif, ni bas, ni string ! Ma vulve est totalement accessible et pour une fois, je n’ai laissé qu’une fine bande de poils sur mon pubis. Jean-Louis s’apprête également pour cette soirée qui sera peut être spéciale : Pantalon et polo en lin blanc avec un string. Je sais que ce coquin s’est rasé les bourses et la base de sa queue…

Quand j’ouvre la porte à Véro’, j’ai une surprise, elle a laissé pousser ses cheveux qui désormais lui arrivent presque à la moitié du dos. Toujours à peine maquillée, elle porte un sweatshirt très largement décolleté à manches courtes et une minijupe plissée et des bottes à hauts talons arrivant sous le genou. Je la complimente sur son allure et je la guide jusqu’au salon où l’attend Jean-Louis.

Pour prendre le dessert et le digestif, nous revenons au salon où nous prenons place tous les trois dans le canapé d’angle. Nous sommes un peu euphoriques et Jean-Louis n’arrête pas de faire des plaisanteries à double sens avec bien évidemment une connotation sexuelle et l’une et l’autre nous entrons dans son jeu.

Çà de vient de plus en plus chaud. Je m’allonge quelque peu sur le genoux de Jean-Louis pour aller caresser les genoux et les cuisses de Véro’. Sciemment je pose une main au niveau de l’entrejambes de mon amant et je découvre qu’il bande comme un taureau. Je me redresse et saisissant la main de Véro’, je la pose là où se trouvait la mienne :
• Sens comme ce coquin bande ! Il s’est bien excité avec ces histoires !

Aussitôt Véro’ pose sa main droite sur le pubis de Jean-Louis et dit :
• Oh oui, je sens !...Et elle est grosse !
• Et bien, vas la chercher, tu la verras de plus près !

Timidement Véro’ fait glisser le zip du pantalon et dégrafe la ceinture pour faire apparaitre le sexe masculin qui l’intrigue tant. Elle palpe doucement ce barreau de chair bandée qui ne tient même plus dans le string. Pour qu’elle soit plus à l’aise, j’aide Jean-Louis à ôter ses vêtements pour qu’elle découvre un corps d’homme bien balancé. C’est vrai que sans être maigre, Jean-Louis possède un corps d’athlète aux muscles finement dessinés. C’est le MALE dans la plénitude de la quarantaine, sur de lui et de son charme.

Dès que Jean-Louis est nu, je glisse sur la moquette et je prends son sexe dans une main et j’attire Véro’ à genoux près de moi pour qu’elle ait ce pieu de chair à la bonne hauteur :
• Prends-le en main ! Tu verras, il est doux et dur à la fois !

Timidement, Véro’ avoue :
• Je n’ose pas, c’est la première fois !

Je lui dis de ne rien craindre, que Jean-Louis n’attend que çà ! En disant ces mots, je fais glisser la minijupe et le sweatshirt de Véro’ par-dessus ses épaules. Elle ne porte plus qu’un joli tanga de dentelle blanche et ses bottes. J’ôte également mes vêtements et je me colle derrière elle, ses petites fesses contre mon pubis et mes seins pressés contre ses omoplates. Je souffle à son oreille :
• Prends-le dans ta main. Entoure le de tes doigts et fais des mouvements de va et vient ! C’est comme çà qu’on masturbe un homme ou qu’il se masturbe lui-même !
• Il est chaud et gros ! Je n’en avais vu qu’en photo, c’est doux à caresser.
• Oui ! Tu verras, bientôt un fluide va pointer dans le méat ! çà signifiera que Jean-Louis est bien excité. Pour faire jaillir le sperme, c’est un peu plus long !

Pendant ce temps je laisse courir mes mains sur le corps de mon amante, je suis la courbe de ses hanches, je remonte vers ses seins que je masse dans la paume de mes mains, je redescends ensuite jusqu’à son pubis que je découvre bien humide : l’excitation gagne cette jeune coquine. Quant à moi, ma chatte ruissèle littéralement. J’ajoute :
• Maintenant, je vais te montrer comment on peut faire plaisir à un homme ! Je vais prendre sa bite dans ma bouche pour la sucer, comme quand nous nous suçons mutuellement ! Je t’expliquerai ensuite et tu en feras autant !
• Oh oui, fais moi tout découvrir ! J’ai envie de faire l’amour avec un homme et ce sera le tien qui aura ma virginité !

Je prends le sexe de Jean-Louis jusqu’au fond de ma bouche, je creuse les joues pour l’aspirer puis je joue sur le gland et le frein avec la pointe de ma langue :
• Vas-y, fais la même chose, je vais te guider !

Il ne faut pas longtemps à Véronique pour comprendre et faire ce que je lui indique. Elle s’y prend si bien malgré l’étroitesse de sa bouche par rapport au diamètre de la queue de Jean-Louis que ce dernier la repousse soudain en disant :
• Attention, je vais gicler ! Recule-toi !

Et là, quelques beaux jets bien drus vont s’écraser sur la poitrine de Véro’, maculant ses seins de traces blanchâtres que je m’empresse d’aller lécher en même temps que les tétons qui sont bien sortis…

Cette nuit là, Véronique devient une femme à part entière, découvrant enfin le plaisir de se livrer totalement à un homme. Jean-Louis la dépucelle dans la traditionnelle position du missionnaire et après un temps de repos, il la prend en levrette pendant que toutes les deux, nous sommes en 6 9. Mon copain ne me baisera pas ce soir là, je me fais plaisir en utilisant un gode ventouse fixé sur la table de salon. Le lendemain matin, je suis baisée comme une reine sous les regards de Véro’ qui a partagé notre lit.

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