La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1504)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1503) -

Mais elle tient bon, restant en position d’attente, cherchant à honorer la marque du Maître... Alors qu’elle réfléchit à son comportement qui l’a mené ici, la porte du cabanon s’ouvre, une main se saisit de la dragonne de la laisse, et la mène en dehors sans lui adresser aucun mot. On la fait monter dans le coffre d’une voiture, il se referme et la voiture prend la route, sans qu’elle sache où on l’emmène. Le véhicule s’arrête enfin au bout d’une allée de cailloux, le coffre s’ouvre et on l’a fait descendre, la menant à quatre pattes jusqu’à un sol froid, sur une dalle en béton.

- Ah enfin, je l’attendais, comment s’est-elle comportée ?, interroge une voix qu’elle reconnaît immédiatement comme étant celle du Majordome du Maître.
- Parfaitement Monsieur, elle n’a opposé aucune résistance et n’a émis aucun son, répond le serviteur chargé de la mener jusqu’à Walter.
- Parfait, je prends le relais, tu peux disposer, ordonne Walter.

Le serviteur s’éloigne et le Majordome traîne la jeune femme à sa suite, tirant sur la laisse pour la diriger. Il s’arrête enfin après quelques minutes et lui retire son bandeau, restant debout face à elle. Il observe son corps largement marqué par la récente sanction du Commandant, il est presque désolé pour elle, mais elle est une des favorites de Monsieur le Marquis d’Evans et donc il sait qu’elle se doit d’être irréprochable. Malgré les yeux baissés, elle reconnaît le Chenil du Château et comprend qu’elle va y passer la nuit.

- Bonjour soumise Keira MDE, dit-il d’un ton dominant.
- Bonjour Monsieur Walter, répond-t-elle le plus humblement possible.
- Tu te doutes que ta présence ici est la volonté du Maître. Tu te doutes également que c’est en réponse à ton comportement d’hier et aux conséquences que cela implique ?, assure-t-Il.
- Oui Monsieur Walter.


- Je suis chargé de t’expliquer ce que Le Maître a décidé pour toi, alors écoute avec une grande attention. Tu vas passer toutes tes nuits de repos ici, tu en sortiras seulement pour te rendre à la caserne, travailler et effec la sanction décidée par Monsieur Le Commandant. En dehors de cela, tu passeras tout ton temps en ce lieu, ici au Chenil, restant nue, parée de ton collier et de ta ceinture de chasteté. Tu resteras dans cette grande cage choisie par Monsieur Le Marquis, avec seulement de l’eau et la nourriture qu’Il voudra bien t’octroyer, à même le sol. Une seule couverture contre la fraicheur de la nuit t’est octroyée et aucun autre élément de confort ne te sera autorisé. Cette punition se terminera lorsque tu auras terminé la sanction disciplinaire que tu dois effec. Il en a décidé ainsi. Le Maître veut que cela t’aide à ta repentance et à réfléchir sur ton comportement. D’ici-là, tu n’auras aucun contact avec les personnes de notre monde en dehors de moi-même, et surtout pas Celui de Monsieur le Marquis, bien évidemment, tu ne Le mérites pas pour le moment. Mais également celui de Monsieur Le Commandant non plus. Les seuls contacts autorisés avec lui devant être strictement professionnels. En dehors de ce soir où tu as déjà reçu une sanction, chaque soir tu seras flagellée avant de rentrer dans ta cage de ce Chenil. As-tu bien tout compris ?, interroge-t-il d’une voix stricte.

- Oui Monsieur Walter.
- Ah j’oubliais, tes jours de garde à la caserne, tes douches devront être prises froides et tes nuits devront se faire au sol, au pied de ton lit, avec seulement une couverture. Monsieur le Marquis te fait confiance pour respecter ces règles qui ne pourront être vérifiées, les chambres de la caserne n’ayant bien évidemment aucune caméra de surveillance. Chaque matin tu devras faire un mail au Maître relatant tes journées, ton état d’esprit et tout ce qui te paraîtra important de Lui faire savoir. N’attend aucune réponse de sa part, Il ne t’adressera de nouveau la parole que lorsque tu te seras entièrement rachetée à Ses yeux et à ceux de Monsieur Le Commandant.
Suis-je bien clair ?
- Parfaitement clair, Monsieur Walter.
- Bien, maintenant tu dois faire silence, termine-t-il en la faisant entrer dans la cage, détachant sa laisse. Et essaye de te reposer, je viendrai te chercher demain matin pour te conduire à la caserne.

Vanessa se love à même le sol attrapant l’unique couverture qu’elle a droit, tentant de chercher du repos dans la fraicheur de la nuit pour assumer les prochains jours qui l’attendent. Mais ce n’est pas si facile, elle pense à toutes les conséquences qu’impliquent son manque de contrôle. Elle ne sera pas aux pieds du Noble avant un long moment, ce fait l’attriste, d’autant plus que Le Maître se prive de sa présence en décidant cette sanction. Elle n’aura pas non plus la chance de partager des moments agréables avec son compagnon. La jeune femme se demande comment elle va supporter d’être si près de lui sans pouvoir vivre leur amour, sans compter que cette sanction va également toucher Laurent, il va devoir se priver d’elle et s’en tenir aux décisions de son ami. Malgré sa force de caractère et sa volonté à se racheter, des larmes perlent aux coins de ses yeux... Après de longues heures, exténuée par la fatigue, réchauffée du froid par l’unique couverture, elle finit par tomber dans un sommeil profond...

Au petit matin, Vanessa est réveillée par la fraîcheur matinale, la couverture tombée durant son sommeil sur le côté. Se recouvrant et tentant de se rendormir, la porte du Chenil s’ouvre. C’est dans un bond spontané et réactif qu’elle se prosterne devant le Majordome qui s’approche. Walter ouvre la cage, la fait sortir d’un claquement de doigts et pose devant elle une gamelle d’une pâtée bouillie très nutritive, bien calorique qu’elle s’empresse de terminer, tout en frissonnant à cause de la basse température matinale. Il lui retire ensuite la ceinture de chasteté et son collier, avant de lui donner l’ordre de le suivre, la menant dehors jusqu’au pied d’un arbre. Vanessa comprend, s’y accroupi et laisse échapper son urine avant de se replacer à quatre pattes à ses côtés.
Il la mène jusqu’à une pièce carrelée où se trouve un jet d’eau, sans ordre elle comprend qu’elle doit se placer en son centre, il se saisit du tuyau, l’asperge d’une eau froide presque glaciale, lui jette un savon, qu’elle prend pour se savonner rapidement avant qu’il ne la rince à nouveau de la même manière, au jet. Il coupe l’eau, lui tend une serviette pour qu’elle se sèche, puis lui désigne une caisse sur laquelle son uniforme l’attend.
- Habille-toi rapidement et rejoins-moi dehors.

Vanessa s’exécute sans un mot et retrouve Walter dehors. Il l’attend au volant d’une des voitures de service du Domaine, il lui désigne la place passager et la conduit jusqu’à la caserne. Avant de la laisser descendre, il lui donne les dernières directives.

- Je le rappelle, aucun contact avec Monsieur Le Commandant, ni même Carole, en dehors du cadre strictement professionnel. Je viendrai te chercher à la fin de ta journée à 17h, je t’attendrai sur le parking, annonce-t-il d’un ton très détaché.
- Merci Monsieur Walter, est-il possible que je pousse ma journée de travail jusqu’à 19h pour avancer plus rapidement dans mes tâches ?, ose-t-elle demander, souhaitant expédier au plus vite cette mauvaise période qui l’attend.
- Je vais me renseigner, je te tiendrai informée par sms, aller file.
- Bien Monsieur Walter, merci, bonne journée, dit-elle rejoignant directement le bureau du capitaine.

La jeune femme frappe et entre sur ordre, se plaçant face à son bureau au garde-à-vous, devant l’homme qui jubile à l’avance de pouvoir diriger la femme qui lui a manqué de respect.

- Bonjour Mon capitaine, dit-elle dans un ton parfaitement respectueux.
- Sergent, à l’heure, c’est une bonne chose, nous allons pouvoir se mettre au travail, mais avant, apportez-moi mon café, exige-t-il d’un ton vainqueur.

Vanessa n’est pas là pour servir le café, mais sait qu’il va chercher par tous les moyens à lui faire perdre son calme.
Aussi elle acquiesce de la tête et sort du bureau, serrant les dents pour accepter de jouer à la secrétaire soumise avec cet homme qu’elle n’apprécie pas vraiment. Elle file dans la salle de repos, se saisit d’une tasse pour la remplir de café et s’apprête à repartir alors que Laurent arrive pour prendre son café. Immédiatement elle baisse la tête pour éviter de croiser son regard, il la regarde d’un air inquiet, s’assurant qu’elle aille bien.

- Bonjour Sergent, comment allez-vous ce matin ?
- Bien mon Commandant, merci de vous en soucier.
- Parfait, je vous laisse retourner à vos occupations, il s’agirait de ne pas perdre de temps, lui répond-t-il d’un ton qu’il se force à paraître détaché.

Vanessa rejoint le capitaine, lui sert son café, puis se place au poste de travail qu’il lui désigne, devant un ordinateur et un classeur entier de fiches de protocoles.

- Je vous laisse travailler, si vous avez des questions, j’y répondrais sans aucun souci. Vous devrez à chaque fin de journée, me transmettre votre travail. Prenez le temps qu’il vous faudra, je ne suis pas pressé, termine-t-il d’un ton lui faisant comprendre qu’il fera tout pour faire durer les choses.

La jeune femme ne répond rien, elle se presse de se mettre au travail prenant la première fiche du classeur pour étudier ce qu’elle doit y changer. La journée se passe entre son travail assidu et les diverses petites tâches que lui impose le capitaine qui profite de la déranger à chaque fois qu’il a besoin de quelque chose. Vanessa reste cependant très calme et très respectueuse, prenant sur elle pour accepter les ordres de cet homme, se concentrant sur la volonté de plaire au Châtelain et au Commandant. Elle raccourcit au maximum sa pause déjeuner pour retourner à son travail rapidement. Dans la journée Laurent se présente dans le bureau du Capitaine, aussitôt Vanessa se met au garde-à-vous.

- Mon Commandant, que puis-je pour vous ? demande le Capitaine en se levant pour l’accueillir.
- Capitaine, le sergent fera ses journées auprès de votre secrétariat de 9h à 19h, si vous souhaitez rester plus longtemps, aucun souci, je prendrais en compte vos heures supplémentaires. Dans le cas contraire, elle vous présentera son travail du soir, le lendemain matin, j’espère que cela vous convient, termine-t-il d’un ton lui faisant comprendre qu’il n’a pas le choix.
- Aucun souci, j’aviserai au jour le jour.
- Parfait, bonne journée, termine Laurent en tournant les talons.

Vanessa comprend que sa demande de finir à 19h auprès du Majordome du Maître a été acceptée, elle remercie intérieurement Laurent et Le Maître tout en reprenant son travail. Le soir venu, elle présente son travail au capitaine qui a décidé de rester pour garder un œil sur elle. Il scrute chaque détail pour lui imposer un maximum de correction à apporter, elle acquiesce en restant très respectueuse, puis il la congédie avec quelques minutes de retard. La jeune femme se presse de rejoindre le parking où Walter l’attend au volant d’une voiture de service. Elle prend la place passager et baisse immédiatement la tête.

- Bonsoir soumise Keira MDE, ta journée s’est-elle bien passée ?
- Bonsoir Monsieur Walter, oui parfaitement bien, merci de vous en soucier. Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour le retard, j’ai été retenue.
- Excuses acceptées, aucune faute de ta part concernant les règles établies ?
- Non Monsieur Walter.
- Parfait, et aucun abus de pouvoir de la part de ce … (2 secondes de silence)… capitaine ?

Vanessa s’étonne de la demande, mais se doute qu’elle vient de Laurent, qui veut s’assurer que le capitaine ne dépasse pas certaines limites. De plus, le petit silence du Majordome entre ‘de ce’… et ‘… capitaine’ est volontaire afin de faire comprendre à Vanessa que personne n’apprécie ce gradé car visiblement Walter avait envie de dire ‘‘… de la part de ce mauvais capitaine ?

- Rien de bien important, Monsieur Walter.
- Parfait, si c’est le cas au cours de ton séjour au Chenil, tu devras m’en faire part immédiatement le soir même, est-ce compris ?
- Oui Monsieur Walter, merci d’être là, répond-t-elle heureuse de savoir que malgré ses fautes on veille sur sa sécurité.

Le Majordome sourit en prenant la route jusqu’aux portes du Chenil, là il lui exige de laisser son uniforme dans la voiture et de rejoindre la direction de sa cage à quatre pattes, ce qu’elle fait immédiatement. Il lui remet son collier mais pas la ceinture de chasteté, puis lui ordonne de se mettre à quatre pattes devant ladite porte grillagée, tout en décrochant la cravache qu’Il porte à sa ceinture. Elle obéit promptement, se cambrant en levrette au maximum pour offrir son cul nu au Majordome. Sans un mot, il cravache avec régularité le fessier de la jeune femme. Après vingt coups qu’elle compte haut et fort distinctement, il s’arrête, la contourne, se place devant elle et lui tend son téléphone portable devant ses yeux et lui montre un sms qu’il a reçu du Châtelain en lui disant :

- Tient regarde ce sms que j’ai reçu tantôt en allant te chercher à la caserne, de la part du Maître :

Vanessa en prend connaissance :

« Walter, quand tu auras cravaché soumise Keira MDE des 20 coups requis, et avant de lui remettre sa ceinture de chasteté pour la nuit, tu pourras la prendre si tu en as envie, mais bien entendu, elle n’a surtout pas d’autorisation à la jouissance. Je veux que tu profites de son corps au cul rougi sans qu’elle n’ait nullement droit au plaisir orgasmique tant qu’elle est en punition »

- Alors, je ne vais pas me gêner ! Ton cul de chienne bien relevé, là bien offert en levrette à la cravache, m’a déjà bien excité. Tu n’as même pas besoin de me sucer, tu n’as qu’à remarquer la bosse dans mon pantalon. Alors ne bouge pas ton cul bien exposé à mon regard, maintenant qu’il est rougi de ma cravache, je vais le posséder, dit-il d’un air gourmand…

Walter retourne derrière elle. Vanessa entend que le Majordome baisse son pantalon… Et c’est sans attendre qu’elle sent le gland gonflé de la verge de Walter se frotter contre son anus. Puis un liquide coule le long de sa raie anale, elle comprend qu’il s’agit d’un lubrifiant. Le gland se retire pour laisser place à un doigt que le Majordome utilise pour faire pénétrer le lubrifiant dans son fondement et le faire manœuvrer en de lents va-et-vient, ce qui a pour effet de dilater le cul de Vanessa et de l’exciter. Au bout de quelques minutes, un deuxième doigt lubrifié vient compléter la manouvre, puis c’est le sexe du Majordome qui vient prendre place dans l’anus dilaté. La saillie est virile, car c’est d’un coup profond et puissant qu’elle se sent possédée, prise à la hussarde et cette pénétration sans autre préambule lui démontre qu’elle est utilisée juste pour le plaisir du Dominant et surtout pas pour le sien. Vanessa se faire alors enculer comme un pantin désarticulé, cambrant encore plus son fessier afin de favoriser au mieux cet assaut animal. Walter lâche des ‘han’ à chaque coup de reins désormais cadencé, le passage étant fait, il la sodomise tout en lui masturbant le clitoris avec perversité d’une main passée par-dessous elle.

soumise Keira MDE sait qu’elle n’a pas droit à l’orgasme et que la masturbation de Walter est volontaire comme pour la mettre à l’épreuve à ne pas jouir sous ses doigts branlant son clitoris et sa grosse queue la prenant bestialement. La saillie s’accélère, le souffle de Walter aussi, quand au bout de longues minutes, alors que Vanessa se retient comme elle peut à ne pas lâcher un orgasme interdit, le Majordome déverse un flot saccadé de sperme tout au fond du cul de la belle tout en laissant exprimer son éjaculation par des longs râles de plaisirs de mâle en rut… Ensuite, il reste accolé en elle un long moment immobile dans un coït anal profond, mais Walter continue à lui masturber le clitoris. Au moment où la jeune femme ne pouvant plus se retenir et où elle allait jouir, poussée à la faute par les doigts baladeurs de Walter sur son sexe trempé, le Majordome s’arrête, justement à ce moment précis, afin de calmer la forte montée d’excitation de la soumise pour ne pas qu’elle jouisse, juste à la limite de l’orgasme... Quand enfin, il se retire de son cul, il la contourne à nouveau pour se placer de nouveau devant elle. Vanessa lui nettoie la verge comme il l’exige puis il lui remets la ceinture de chasteté et la fait entrer dans la cage et, place une gamelle de nourriture à côté de la gamelle d’eau. Elle se nourrit et se love au sol sous sa couverture, cherchant au plus vite le repos pour assumer la journée du lendemain…

Les jours passent ainsi, Vanessa n’ayant comme contact que le Majordome du Maître et ses collègues à la caserne. Elle s’attache à effec au plus vite son travail entre ceux auprès du capitaine, ses jours de repos et ceux assurant ses jours de garde en respectant les règles qui lui sont imposées. Son cœur se serre à chaque fois qu’elle croise Laurent dans les couloirs, ne pouvant que le saluer, sans un mot ou un regard tendre, mais elle respecte la décision du Maître avec la plus grande attention, ce qui plaît au Commandant malgré son envie de la prendre dans ses bras… Un soir au réfectoire, le Commandant vient saluer les hommes avant de partir, sans plus de considérations pour Vanessa. Personne ne le remarque, sauf Manu, un de ses collègues un peu plus proche d’elle.

- Vanessa, ça va ?
- Oui, pourquoi me le demandes-tu, répond-t-elle souriante.
- Parce que tu sais parfaitement utiliser ce sourire comme façade, parce qu’il n’y a aucun doute que tu aimes profondément notre Commandant, et parce qu’habituellement vous trouvez toujours un moyen de passer quelques minutes ensemble. Je ne veux pas être indiscret, mais vous êtes fâchés ?, répond-t-il plus inquiet que curieux.
- Merci de t’en inquiéter, mais tout va bien, nous avons simplement convenu que pour un certain temps, il serait plus opportun de mettre de la distance au travail, le temps d'apaiser le capitaine, sourit-elle.
- Je comprends, en tout cas, si tu as besoin, on est là.

Vanessa lui sourit amicalement pour toute réponse appréciant de remarquer que son collègue et ami se soucie d’elle. La jeune femme parle de ses ressentis dans ses mails au Noble, mais toujours en insistant sur le fait qu’elle comprend cette sanction et l’accepte pleinement, Le remerciant de parfaire ainsi son éducation. Monsieur Le Marquis prend chaque jour connaissance de ses écrits, satisfait de l’application qu’elle y met, malgré la difficulté qu’elle éprouve à n’avoir aucun contact avec les deux hommes à qui il lui plaît le plus de s’offrir…

(A suivre …)

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