Rien N'Était Prévu 1

Nous étions quatre cette nuit-là prêts à satisfaire Léa, ma ravissante épouse jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus de jouir. En plus de moi, il y avait tout d'abord Hugues, mon ami d'enfance, qui était depuis longtemps déjà un des partenaires des jeux coquins de ma femmes. Parce que oui, nous étions depuis le jour de notre rencontre ce qu'on appelle communément un couple libre. Le sexe pour nous n'était qu'une façon de prendre du plaisir, de passer un moment agréable. Nous adorions baiser ensemble, mais l'idée de savoir l'autre en train de s'envoyer en l'air dans d'autres bras nous plaisait énormément et ne créait entre nous aucune forme de jalousie. Ensuite, il y a avait Julio, un Belgo-Mexicain rencontré quelques semaines auparavant lorsqu'à sa demande j'avais tringlé sa douce moitié pendant qu'il nous filmait pour notre plus grande satisfaction à tous les trois. Et enfin, Tom, un Américain ami de Hugues, qui était la définition même d'un vrai mâle. Grand, musclé, le corps, les jambes et les avant-bras couverts de poils sombres, un sexe circoncis, épais, large, long, fièrement dressé, et une paire de grosses couilles pleine à craquer de jus. Dès le moment où nous avons commencé à nous amuser, son physique m'avait impressionné, et je le trouvais terriblement excitant. Être un homme à femmes ne m'a jamais empêché de regarder les mecs, et j'ai depuis longtemps le désir secret de me faire démonter par un de mes pairs.

Hugues dans un grand cri venait de se déverser dans la chatte bouillante de Léa qui pour autant continuait de sucer la bite de Julio ainsi que celle de Tom avec gourmandise. Alors qu'elle refermait doucement le jambes, je les écartais à nouveau et la pénétra de toute ma longueur ce qui la fit pousser un gémissement qui en disait long sur son plaisir. Pendant que je besognais ma femme de toute ma vigueur, et sans avoir rien prémedité, mes lèvres se posèrent sur la tige de Tom ce qui eu l'heur de faire sourire Julio et Léa, alors que le principal intéressé posait sur moi un regard lubrique.

Il sortit sa queue de la bouche de ma femme et força la mienne. Pour la première fois de ma vie, je suçais un homme. Loin de me dégoûter, cette nouvelle sensation me plut tout en me perturbant. Avoir le phantasme de coucher avec un mec était une chose alors que passer à l'action en était une autre. Prétextant l'envie de pisser je quittai la chambre comme un voleur et partis me réfugier sur la terrasse de l'étage inférieu. Alors que je fumais une cigarette en observant distraitement les étoiles, je fus rejoint par Tom qui me demanda si j'avais honte de l'avoir sucé ce qui n'était pas le cas. Tout en me disant que j'aurais dû continuer, sa main se posa sur le bas de mon dos et glissa rapidement sur mes fesses qu'elle commença à caresser doucement. Aussi loin que je puisse m'en souvenir, j'ai toujours aimé qu'on caresse les fesses que j'ai très sensible. Mais cette caresse était différente, virile, puissante, conquérante. Un de ses doigts trouva le chemin de mon sillon et se posa sur mon petit trou vierge jusqu'à alors.
"Ton cul est superbe, me dit-il, et j'adorerais le baiser." Ses mots accompagnaient ses paroles, son doigt tentant de s'immiscer en moi. "Mais je veux que tu me montres que tuen as envie aussi, je ne te forcerai pas." Ne sachant que faire mais prenant soudainement conscience que l'occasion de me faire démonter m'était offerte, de surcroît par un homme qui puait le sexe par tous les pores de sa peau, je me contentai de pousser vers lui mon cul ferme et rebondi. Le message, me semblait-il, était on ne peut plus clair, et Tom le comprit instantanément. Sans ajouter un mot, il s'agenouilla et se mit à me lécher la rondelle. Ce n'était pas la première fois que ça m'arrivait, Léa étant folle de cette caresse, mais c'était la première fois que le but était de me préparer à me faire limer. L'excitation montait en moi, et j'étais impatient que Tom me prenne, tout en étant persuadé que ça ne me plairait pas vraiment. Quelle erreur. Lorsque son gland m'écarta les chaires et malgré une légère douleur, je fus traversé d'une onde de plaisir inconnue.
Doucement, il prenait possession de moi, de mon corps. Sa queue n'en finissait plus de s'enfoncer, jusqu'à ce qu'enfin ses couilles butèrent sur mes fesses. Ses bras m'entourèrent le torse tandis que son bassin se mit en mouvement. La brûlure au fond de mes entrailles me trainsportais vers un monde inconnu. Le vit de mon amant allait et venait à un rythme régulier et j'avais l'impression d'avoir attendu ce moment toute ma vie.
"Ca te plaît ? Tu en veux encore ? Mais oui, tu en veux encore, je le sais !" Et il avait raison, j'en voulais encore, mais il me fut impossible de prononcer le moindre mot. J'étais tout à ce plaisir nouveau, et je ne voulais pas en perdre la moindre seconde. Ses coups de boutoirs me déchiraient le fondement et cette sensation était extraordinaire. Les minutes succédaient aux minutes, j'ignorais depuis combien de temps lui et moi ne faisions qu'un, et je m'en moquais. Sa queue et son gland grossirent encore davantage, signe annonciateur de son éjaculation. Ses mains puissantes s'agrippèrent à mes hanches et dans un cri étouffé il se déversa en moi. Pour la première fois de ma vie, du sperme tiède se répandait dans mes intestins. Il posa son menton sur mon épaule et murmura au creux de mon oreille "Tu es fait pour donner du plaisir aux mecs." avant de me quitter pour rejoindre Léa.
Je restai seul, un peu perdu, à me demander si je n'avais pas rêvé ce que venait d'arriver. Le jus qui déjà s'écoulait de mon trou me ramena à la réalité. Je m'était bel et bien fait mettre et j'avais tout simplement adoré ça.

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