La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1050)

Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1049) -

C’est ainsi que Walter me trouva lorsqu’il vint me chercher…

- Bien la chienne, tu es attendue ! Suis-moi, en quadrupédie obligatoirement, tu t’es assez reposée !

Effectivement, il n’était plus temps de se reposer ! Walter avait retrouvé son rythme normal, c’est-à-dire soutenu. Au chemin que le Majordome nous faisait prendre, je devinais que nous nous dirigions vers la Grande Salle de Réception. Je fus émerveillée, lorsque nous entrâmes, par les magnifiques toilettes que quelques personnes, certainement très importantes, portaient. De vrais costumes de princes et de princesses, comme je les appelais quand j’étais une petite fille. De merveilleuses tenues d’époque ! Le Maître n’était pas encore présent. Une unique cage se trouvait en plein milieu de la salle. Très peu épaisse, la largeur étant égale à la longueur, des crochets étaient installés à l’intérieur. Walter m’y mena. Quelques invités jetèrent un regard à peine intéressé vers nous, et continuèrent leurs conversations.

Le Majordome ouvrit la cage en deux, plaça un tabouret devant, en son centre, et m’ordonna de me mettre debout sur celui-ci, après avoir enlevé la laisse de mon collier. Il me banda les yeux et commença à m’attacher les poignets, puis une par une, il me lia les chevilles à la cage, m’imposant ainsi les cuisses bien écartées à la vue de mes orifices. Je me retrouvais ainsi suspendue les bras et les jambes étirés en forme d’étoile. Il referma alors la cage. Même si je n’avais pas été attachée, je n’aurai pas pu bouger tant l’espace était réduit. Il l’était au point que mon visage était écrasé et serait certainement marqué, heureusement pour moi, le nez avait la place de passer entre deux barreaux. Je ne m’en aperçu qu’au moment où la cage se refermait sur moi mais une étroite ouverture avait été laissée pour que chaque sein puisse se retrouver, en forçant un peu, l’extérieur de celle-ci.

Je ne voyais rien, mais tous mes autres sens étaient en éveil. Je restais ainsi un temps indéfini, sans que personne ne paraisse s’occuper de moi. Mais je ne cherchai même pas à savoir ce qui allait m’arriver. Je me sentais confiante, et je savais de toute manière que ma sécurité ne serait pas mise en danger. Je continuais alors mes réflexions de la journée. Quand soudain, j’entendis toutes les voix ne devenir qu’un murmure avant que le plus grand silence ne se fasse. Je devinais aisément que Monsieur le Marquis d’Evans, Lui-même, venait d’entrer dans la pièce.

- Mes chers amis, Je vous ai convié ce soir en comité restreint car il n’y aura qu’une seule de Mes chiennes qui sera mise à Votre disposition en temps voulu. Elle subira diverses épreuves, que J’aurai choisies pour elle, mais vous pourrez également lui en imposer à Votre tour ! Mais avant, et pendant que le dîner sera disposé dans la Grande Salle à Manger, je Vous invite à l’examiner comme bon vous semblera.

Ce fut alors un défilé des mains baladeuses et inquisitrices qui parcoururent la moindre parcelle de mon corps, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, des doigts s’insinuants entre mes lèvres vaginales, ou plus ou moins profondément dans mon anus. On me faisait ouvrir la bouche pour me faire nettoyer des doigts couverts de ma cyprine qui coulait abondamment sous tant d’attouchements. Mes mamelles de chienne en chaleur étaient travaillées, malaxées, pincées, griffées, claquées, malmenées. Mes tétons furent étirés, vrillés, pincés également. Malgré le peu d’espace dont je disposais, on me fit ouvrir grand la bouche pour l’inspecter également, vérifiant la bonne hygiène de mes dents. Bref, tout mon corps fut minutieusement examiné, du moins autant que cela était possible en étant enfermée ainsi.

- Mes amis, l’on me fait signe que tout est prêt. Marie, ma fidèle cuisinière devrait une fois de plus émerveiller vos papilles. Quant à toi, Ma chienne, je veux absolument que tu restes en chaleur, alors voici de quoi m’en assurer.
Tu as, bien évidemment, l’interdiction formelle de jouir ! (et, baissant la voix et se rapprochant de mon oreille :) Je veux et j’exige que tu gardes pour Moi tes orgasmes et tes cris !

Et je sentis que le Maître poussait quelque chose à l’intérieur de moi. L’effet ne se fit pas attendre, et je reconnus très rapidement la brulure si caractéristique et si excitante du gingembre avec ses puissantes vertus aphrodisiaques. Il en inséra trois morceaux, longs et fins, déposa un baiser sur mes lèvres à travers la grille qui nous séparait et très vite, les voix s’éloignèrent jusqu’à ce que la pièce devint absolument silencieuse. Ses mots résonnaient en moi. J’allais avoir droit à plusieurs orgasmes plus tard, mais provoqués par Lui. Je savais cependant que si je fautais lors de la soirée, je risquai fort d’en être privée ! Sans parler de la sanction à laquelle je devrais m’exposer et sans oublier aussi que si je jouissais sans autorisation donc, ma plus grande punition aurait été la tristesse de Le décevoir…

J’inspirai profondément, la bouche ouverte. Je sentais la chaleur de la racine de gingembre qui me remplissait se diffuser, je commençais à ressentir cet effet particulier qui me donnait une folle envie de me faire prendre comme une chienne en rut ! Et quand je parle de folie, ce n’était pas exagéré ! Je ne pouvais pas bouger et pourtant, je l’aurai pu, j’aurai ondulé du bassin, je me serais frottée à tout ce que j’aurai pu trouver qui aurait pu assouvir le feu qui me tenaillait délicieusement le ventre ! J’aurai pu supplier, mendier pour que le Maître revienne, me prenne et m’ordonne de jouir. N’ayant pas reçu l’autorisation de me faire entendre pour le moment, je n’osais pas gémir, et je serrai les dents et les lèvres pour qu’aucun son n’en franchisse la barrière, ne doutant pas que d’une manière ou d’une autre, je devais être surveillée, soit par une caméra disposée quelque part, soit par un domestique, un soumis ou peut-être même Walter lui-même qui serait resté silencieux dans la pièce qui observerait le moindre de mes faits et gestes.
Je restais donc là, le temps que dura le repas. J’étais dans un état second, totalement incapable d’en estimer la durée ! Je ne retenais qu’une chose : J’étais surexcitée et je voulais être baisée comme une chienne ! Ma cyprine coulait sans retenue …

Puis tout le monde revint dans la pièce. Je pensais qu'enfin ma "douce" allait prendre fin. Sans qu'un mot ne me fut adressé, je fus libérée de la cage et de mes attaches, mais ni du bandeau, ni des morceaux de gingembre. On reposa ma laisse à sa place et on y donna un petit coup sec, m’ordonnant ainsi de reprendre ma place de chienne en quadrupédie. On me guida à travers la pièce puis on me stoppa. J’entendis alors le claquement de doigts caractéristique du Maître, et je me prosternais alors instantanément.

- Ma chienne, le gingembre, sans avoir le droit d’être prise, sans avoir le droit de jouir est déjà une première épreuve tellement tu dois en être fortement excitée par ses effets aphrodisiaques. Je vais te soumettre à une nouvelle épreuve qui me démontrera ta parfaite confiance en Moi, si tel est le cas ! Je fais saisir ta laisse et tu vas me suivre toujours les yeux bandés. Tu ne te poses pas de questions, tu me suis, sans hésitation. Tout est dans la confiance en Moi …

Je fis ce qu’Il exigeait. Il emprunta des couloirs dans tous les sens, je n’arrivai pas à me repérer, je ne savais pas dans quelle partie du Château nous nous trouvions. J’entendais les pas des Invités qui nous suivaient en silence. Nous entamâmes alors ce qui me semblait être la montée de très nombreuses marches d’escaliers comme si on montait tout en haut du donjon jusqu’à sa pointe tuilée. Parfois on s’arrêtait et on me portait pour me faire continuer à monter d’autres marches plus hautes et ceci plusieurs fois. Quand on me portait, je suppose que c’était pour m’éviter les passages trop étroits et abrupts afin de ne pas me blesser aux murs certainement étroits étant aveuglée par le bandeau. Et tout à coup, je sentis l’air frais, comme si nous nous trouvions devant une fenêtre.
Non, une baie vitrée plutôt… Ca y est, j’ai compris c’est la grande fenêtre de la verrière qui est posée sur la pente oblique sous le faîtage tout en haut. Le Maître s’accroupit près de moi, me saisit une main et la fit parcourir le sol. Enfin jusqu’à ce que je ne le sente plus car ensuite il y avait le vide. Il me fit balancer la main, pour bien me montrer qu’il n’y avait rien devant moi. Un jour je lui avais dit, que s’Il me demandait de sauter, je le ferai, car j’avais la plus totale confiance en Lui et que je savais que je ne risquais rien avec Lui. Mon Dieu ! Il m’avait donc prise au sérieux ?

- Ma chienne, je veux que tu te mettes debout. Je vais t’emmener au plus près du bord, je veux que tu y accroches tes orteils. Et quand je te dirais « saute ! » je veux que tu le fasses, que tu te laisses tomber les bras en croix dans le vide, et adviendra ce qui adviendra !

Et le plus grand silence se fit, mis à part quelques murmures qui pariaient que je n’en aurai pas le courage, ou d’autres qui laissaient entendre que Monsieur le Marquis devait avoir perdu la tête. Je fis taire ces voix ! Je ne me concentrai que sur ma foi totale en Lui ! Oui, j’étais absolument sûre qu’il ne me mettra pas, jamais en danger ! Alors je respirai lentement, profondément, et lorsque l’ordre tomba, j’écartais les bras et je me laissais tomber dans le vide sans hésiter une seule seconde…

Qu’est-ce que notre esprit était capable de faire ! Je ne chutais pas de très haut, à peine plus de ma propre hauteur, et de plus, sur un épais matelas moelleux qui amortit ma chute ! Je n’avais pas proféré le moindre cri. Je ne comprenais pas ce qui m’était arrivé, comment j’en étais arrivée à me croire au bord d’un précipice tout en haut du donjon ! Mais à mon grand étonnement et confusion, tous les Invités applaudirent ! Même leurs murmures étaient en fait programmés à l’avance ! Je sentis alors des larmes couler le long de mes joues, sans que je puisse faire quoique ce soit pour les retenir. On me releva, on m’ôta le bandeau, et la première chose que je vis fut le merveilleux regard bleu du Maître qui brillait de fierté autant que son large sourire aimant. Je me laissais alors tomber au sol, et me prosternais.

- Ma chienne, je suis si fier de toi ! Ta confiance en Moi est réellement absolue ! Cela me touche profondément ! Et même si j’en n’ai jamais douté, je voulais te le prouver à toi-même. Car sans confiance, une saine relation D/s ne peut exister ! Maintenant retournons dans la Grande Salle.

Il claqua des doigts et je me redressais en quadrupédie. J’eus droit à une douce caresse sur la tête, puis nous repartîmes. Je m’aperçus sur le chemin que nous n’avions pas été bien loin. Nous étions restés principalement dans le Grand Hall ou divers faux escaliers étaient disséminés et quand on me portait, c’était pour me faire redescendre afin que je remonte d’autres marches encore et ainsi de suite. Etre aveugle, entendre les différents commentaires, avaient modelé mon esprit pour me faire croire que nous étions montés très haut. En fait je n’étais montée que sur une petite estrade, avant de me jeter sur le matelas épais. Et l’air que j’avais senti n’était que celui qui était passé par la porte d’entrée qui avait été grande ouverte. Oui l’esprit avait vraiment quelque chose d’extraordinaire !

- Ma chienne, une des qualités pour être une bonne soumise est la patience et l’endurance. Tu vas donc devoir restée le temps que je le déciderai à genoux, sur un manche à balai, les mains sur la tête. Mais avant, je vais changer les morceaux de gingembre qui doivent avoir perdu de leur effet depuis plus de deux heures que tu les as en toi. Alors, allonge-toi sur le sol, cuisses largement ouvertes vers mes Invités. Exécution !...

(A suivre …)

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