La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1053)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1052) –

- Je vous satisferai en tous points, Monsieur le Marquis, dit Walter…

Tandis qu’au téléphone, la secrétaire de l’agence me répondait sur un ton très étonné :

- Tu démissionnes vraiment Isabelle, que se passe-t-il ? Tu as signé un contrat plus avantageux avec une autre agence ?
- Non, ce n’est rien de tout ça, Nadine.
- Tu es fatiguée, tu veux des vacances ?
- Pas du tout, je vais très bien mais…

Le Maître me prenant délicatement le combiné des mains :

- Bonjour Mademoiselle, votre « star » vous a donné sa démission, veuillez l’enregistrer sans question. Si sa démission posait à votre Société des pertes financières ce que je comprends et admets, je vous dédommagerais largement. Bonsoir Mademoiselle !

Et il raccrocha. Nadine devait se poser mille eu une question et ma démission ne manquerait pas de poser de réels problèmes de logistique, mon emploi du temps étant fixé depuis bien longtemps à l’avance. Ma démission allait assurément coûter fort cher à Monsieur le Marquis d’Evans, même si j’ai vite compris que l’argent était loin d’être un souci pour Lui...

- A partir de maintenant, tu es à Moi, tu vas vivre ici, et tu vas entamer ton éducation quand je l’aurai décidé. Des questions ?
- Non Monsieur le Marquis, vaincue, mais encore définitivement abattue!
- A la bonne heure ! J’aime mieux ça ! (Puis il ordonna à Walter) - Walter, Conduit la chienne à la niche qui lui est réservée !
- Bien Monsieur le Marquis ! (Walter s’adressant à moi,) - Suis-moi, chienne !

Nous allions sortir du luxueux bureau et pour cela Walter me fit passer devant, moi en quadrupédie et lui sur mes talons, quand le Noble lança :

- Une seconde …!
(Je m’arrêtais, Walter également) - Oui, Monsieur le Marquis ! Avez-vous omis quelque chose ?
- Non, mon bon Walter, non !
- Toi, Ma chienne, revient vers le bureau !

Ne comprenant pas ce qui se passait, je revins néanmoins et me mis à hauteur des fauteuils placés devant le bureau.

Je me tenais, droite, reins creusés et seins offerts.

- Retourne vers la porte !
- Bien, Maître.

Je sentais son regard dans mon dos tandis que le Majordome ne semblait pas comprendre. Alors que j’arrivais pratiquement à la porte d’entrée du bureau :

- Dis donc, tu m’as dit être mannequin, ce que je crois, mais ta démarche m’interpelle. Aurais-tu fait de la danse par hasard ?
- Oui Maître.
- Ne me mens pas petite chienne. Je veux et j’exige de ta part franchise et honnêteté. Si tu me mentais, sache que la punition que je t’infligerai serait terrible.
- (Baissant les yeux) je me mens pas Maître.
- Où as-tu appris à danser, dis-moi tout !
- J’ai été inscrite à l’Ecole des Petits Rats de l’Opéra de Paris, j’avais huit ans. J’ai suivi la scolarité de cette école. A l’âge de 18 ans, alors que j’avais de réelles capacités de danseuses, je devais participer avec d’autres élèves à un recrutement de Monsieur Maurice Béjart en Allemagne. L’audition se passait à Berlin. Je m’y rendais, avec mon père qui conduisait la voiture. Un accident avec cette voiture m’y fin à ma carrière, je me suis retrouvée blessée à hauteur du genou, et cette blessure mis définitivement fin à la danse.
- Merci de cette précision. As-tu d’autre qualité cachée ? Tu ne dois rien me taire, tu le sais !
- Oui, Maître. J’ai fait aussi de la musique, Maître.
- De la musique ! Sois plus précise.
- Oui, j’ai aussi fait de la musique pendant ma scolarité à l’Opéra.
- Et où donc ?
- Au Conservatoire National de Musique à Paris, Maître !
- La Musique, c’est vaste, petite salope !
- J’ai fait du piano, Maître !
- Du piano, tiens donc !
- Cette petite oie est étonnante Walter, vraiment étonnante, ne trouves-tu pas !… (s’adressant à moi) - Tu me dis jouer du piano ? Alors parfait, passons au salon ! Voilà quelque chose qui me plait, oui … Et tu t’apercevras très vite pourquoi !

Je ne savais pas pourquoi le fait que je sache jouer du piano lui plaisait tant et pourquoi j’allais très vite m’en apercevoir ! Que manigançait-il ? En tout cas, il avait l’air ravi en arborant un large sourire …Le Majordome m’entraîna vers une pièce inconnue encore.
Nous arrivions au dit salon, vaste pièce, avec des tables, des chaises aux dossiers hauts, des meubles anciens et aux murs des superbes tableaux. La salle était vaste et on devait danser à coup sûr dans cette pièce. Au centre de la pièce trônait un magnifique piano à queue Gaveau, tandis que dans le fond de la pièce, se trouvait une épinette. Les touches blanches du piano à queue étaient en ivoire, les noires en ébène, un piano certainement datant de plusieurs siècles et d’une valeur inestimable, à n’en pas douter... Alors que j’ouvris la queue du piano, y installant la béquille, je remarquai à l’intérieur une petite tirette en bois, reliée à un câble, laquelle n’avait pas à exister sur un tel piano, j’en fis la remarque au Maître qui regarda Walter d’un air entendu et dis :

- Tu as vu cela comment, chienne ?
- L’habitude Maître, l’habitude (moqueuse encore une fois), je connais parfaitement les instruments de musique et ce piano de grande valeur ne possède pas de tirette à cet endroit-ci, tout simplement…

Oui, ce piano était vraiment très beau. Le meuble était travaillé, marqueté, ciselé de feuilles d’acanthe et d’un verni de toute beauté. De même que le tabouret l’accompagnant qui, selon moi était de style Louis XVI. Ce tabouret était en noyer, mouluré et sculpté de fleurettes et de cœurs de bonne facture étant marqueté aussi et joliment verni avec les pieds pleins donc sans espaces vides entre eux, formant ainsi comme un petit caisson de rangement sous l’assise, caisson magnifiquement décoré. Tandis que je prenais place sur le dit tabouret, je tapotais quelques touches, pour en extraire le son… m’adressant mentalement à l’instrument je lui disais « Montre-moi ce que tu as dans le ventre, piano, pour que je puisse te faire donner le meilleur de toi-même ».

- Il n’est pas très juste, Maître, il aurait besoin d’être accordé.
(Celui-ci, vexé, regardant le Majordome) - Tu feras venir l’accordeur au plus vite, Walter !
- Oui Monsieur le Marquis !

Assise, je proposais au Noble, toujours insolente sur mon ton :

- Maître, connaissez-Vous la Sonate au Clair de Lune de Ludwig Van Beethoven ? (qui ne connait pas !)
- Naturellement !

J’entamais donc le premier mouvement de la sonate que je connais par cœur.
Au fur et à mesure des mesures, je voyais les visages de ces Messieurs s’allonger, semblant apprécier ce qu’ils entendaient et voyaient, la pianiste, nue devant le clavier, assise ce qui faisait ressortir mes fesses musclées, mes seins suivant les mouvements de mes bras et mains, crinière au vent, avouez que ce n’est pas commun de jouer nue au piano !… Arrivée au terme du troisième mouvement, Presto Agitato en ut dièse mineur, quelle ne fut pas ma surprise par ce qui allait suivre ! En effet, le Maître me stoppa net par ses applaudissements nourris et par ces mots :

- Bravo, je te félicite tu excelles au piano … Maintenant tu vas continuer mais avant, tu vas bien écarter tes cuisses et jambes de chaque côté du tabouret afin de bien offrir tes orifices… Et surtout l’un de tes deux trous auquel tu ne pourras pas te soustraire, salope !…

Je ne comprenais rien à ce que voulais dire ou faire le Châtelain. Mais bon, bien assise sur ce magnifique tabouret, je ne craignais pas grand-chose à jouer du piano ainsi et donc c’est sans aucune appréhension que j’obtempérais, par excitation je l’avoue à m’exhiber de cette façon. Je passais donc mes genoux et chevilles de chaque côté du siège, écartant ainsi mes cuisses. Mais ce que je n’avais pas remarqué, c’est le mécanisme placé sous ce luxueux tabouret d’époque, mécanisme dissimulé dans le caisson de rangement sous l’assise et relié par-dessous aux touches du piano. Le Maître s’approcha de celui-ci et actionnant la petite tirette dissimilée dans le piano, celle que j’avais remarqué tantôt et qui n’avait pas sa place à cet endroit. Il me lança avec fierté :

- Vois-tu Ma chienne, ce piano a une particularité. Il appartenait à l’un de mes aïeux, le Marquis Charles-Edouard Evans en 1784 (voir les Origines de la Saga) qui fit installer cette particularité un peu spéciale et qui fonctionne encore très bien de nos jours… On peut jouer de ce piano de deux manières. D’abord comme celle que tu viens brillamment d’exécuter pour le plus grand plaisir de nos oreilles… Mais aussi et après avoir actionné cette petite tirette laquelle tu as su nous la faire remarquer tout à l’heure.
Tu vas voir et ressentir surtout cette deuxième façon de jouer de ce magnifique piano à queue avec donc cette particularité que tu ne seras pas prête d’oublier !… Oui piano à queue ! … ce piano va donc prendre toute sa signification de cette juste appellation … piano à queue !…

Je ne comprenais absolument rien à quoi et où il voulait en venir, quand il rajouta :

- Appuis sur la première touche du clavier, sur ta gauche …

J’obtempérai sans savoir ce qu’il voulait dire par ‘cette juste appellation du piano à queue’ sauf comprendre le véritable sens de cette appellation connue pour ce genre d’instrument de musique. Le fait d’appuyer sur la touche du ‘do’ enclencha, en plus de la sonorité entendue de la note, l’ouverture d’une trappe savamment dissimulée sur l’assise du tabouret, ce qui me donna la sensation d’avoir les fesses dans le vide du caisson. Surprise, et encouragée par le Maître à jouer la gamme, je tapais sur le ‘ré’, mi, sol, etc… ce qui fit monter du caisson et au rythme de la musique un plug vertical (en bois dur) mécanique préalablement graissé et fonctionnant donc au rythme des touches du piano sur lesquelles il était relié. Je compris aussi tôt le sens qu’avait donné Monsieur le Marquis à ‘piano à queue’ ou ‘piano à plug’ !

- Ecarte bien les fesses, salope et laisse-toi empaler par ce plug graisseux qui va t’enculer, aller et venir en toi au rythme de la musique. Sache l’honneur que tu as car cette ingénieuse invention a été imaginée par le célèbre Marquis de Sade lors de son séjour au Château de 1784 à 1785 et fut utilisé sur plusieurs esclaves (voir les Origines de la Saga) …

J’allais me lever, un peu par crainte, quand Walter m’appuya fortement sur mes épaules afin de m’obliger à m’asseoir ce qui me fit m’empaler sur le plug qui était en position haute. Le Maître m’ordonna de rejouer le troisième mouvement, Presto Agitato en ut dièse mineur. J’obéissais car je l’avoue je mouillais fortement d’excitation face à cette perverse situation. Au début je jouais trop doucement afin de laisser le plug en bois d’époque bien prendre sa place dans mon fondement, mais le Majordome me fouettait le dos à l’aide d’un petit fouet afin de me faire activer car le Noble voulait entendre le bon tempo. Jamais je n’avais joué aussi mal ce magnifique morceau étant très perturbée par la sodomie imposée pour laquelle le plug montait et descendait dans mon cul calé sur le même tempo orchestré par les touches du clavier… Au bout d’un moment et alors que le plug me provoquait de sublimes sensations, l’envie de jouir se faisait forte et je l’exprimais par une augmentation de ma respirations et mes grimaces de plaisirs qui avaient succédé aux grimaces de douleurs anales… Je commençais à avoir envie de jouer plus vite afin d’augmenter les allers-retours du phallus factice quand le Maître constatant que je commençais à prendre mon pied, lança un ordre laconique :

- Ca suffit !

J’arrêtais donc de jouer ce qui stoppa le plug dans la position, une nouvelle fois haute, et donc il ne bougeait plus profondément planté dans mon cul.

- Ca suffit, aller assez joué, Tu es une bonne pianiste, il n’y a pas en douter … Je te félicite… Même si pour mes oreilles, j’ai sans conteste préféré ta première façon de jouer … La deuxième a été, disons… plus profonde … avec des notes… beaucoup plus saccadées par moment ! … Walter, ramène Ma chienne au Chenil, dit-il, équipe-là de son collier et tiens-là fermement en laisse.
- Bien sûr Monsieur le Marquis.

Tandis que Walter allait prendre laisse et collier, le Maître toujours assis:

- Désempale toi et à quatre pattes, comme il sied à une chienne, pianiste, danseuse, et je ne sais quoi encore…

Le Majordome s'exécuta, place le collier à mon cou, y fixa la laisse qu'il prit en main, tira dessus pour me faire lever du tabouret. Le plug me quitta ainsi, montrant fièrement sa virilité verticale au-dessus de l’assise. D'un claquement de doigts, il me fit signe de me mettre à quatre pattes, et me voilà sortant du salon, laissant le Maître, toujours assis regardant fixement son beau piano et visiblement il était dans ses pensées qui je le suppose étaient tournées sur son aïeul de 1784 ! … Arrivés sur la pelouse du parc, je m'accroupis et me vida longuement de mes urines. Une véritable marre qui fit tremper mes genoux… Au moment de me relever légèrement, Walter me dit avec perversité :

- Tu ne t’égouttes pas, salope de chienne ? Crois-tu possible que tu ne gouttes sur les tapis du Maître, allons, presse…

Me voilà secouant mon arrière train pour faire tomber les dernières gouttes de mon urine…

(A suivre …)

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