Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L'Épouse Hypersexuelle (35) : Loin De Hassan, Proche De Philippe.

En un peu plus d'un an, j'avais, de façon spectaculaire, complètement inversé la situation.

Fin 2010, Philippe était encore mon mari et j'avais rencontré Hassan, qui était devenu mon amant. Un an après, j'étais divorcée de Philippe, je venais d'épouser Hassan et j'avais un amant depuis la soirée même de mon mariage : Philippe !

Beaucoup me blâmeront en disant que je ne sais pas ce que je veux. Ils ajouteront qu'en égoïste, je n'ai pas supporté de perdre Philippe au profit de ma rivale Flavienne et donc que j'ai tout fait pour remettre la main sur lui.

Je reconnais que le fait que Flavienne m'avait « volé » Philippe m'avait profondément vexé et donc que le reconquérir était un point d'honneur pour moi.

Mais je ne suis pas la seule responsable de cette situation très particulière. Philippe, de son côté, vite déçu par Flavienne, a tout fait également pour revenir en arrière. Il faut dire que l'homme qui m'a draguée et baisée le jour même de mon mariage avec Hassan était très différent du Philippe que j'avais connu près de 12 ans auparavant, qui était réservé et complexé.

Pour parvenir à ses fins, Philippe s'est affirmé et c'est en mâle qu'il m'avait reconquis.

La victime dans tout cela est évidemment Hassan. Je me suis particulièrement mal comportée avec lui, je le reconnais. Il faut dire que son intransigeance et sa brutalité n'ont pas facilité les choses.
Il avait refusé fermement le trio, que je souhaitais, et qui aurait tout réglé. Il pensait que ses performances sexuelles, en effet hors du commun, suffiraient à me « calmer ». Mais surtout, il voulait construire un modèle de couple qui ne correspondait absolument pas à la femme que je suis. Il voulait faire de la volcanique Olga une épouse et une mère de famille classique, avec l'ambition affichée de me mettre enceinte aussi souvent que possible. Cela s'accompagnait aussi d'un enfermement de fait et l'obligation de m'adapter à un mode de vie, à des tenues vestimentaires et, à terme, à une religion qui ne sont pas dans ma nature.

Sans parler des manières d'Hassan qui avaient changé, de son caractère autoritaire, de son machisme, de sa jalousie maladive.
J'ai docilement accepté de me soumettre à tout cela jusqu'au mariage. Pourquoi ? Parce que, d'une part, je vivais ça comme une punition pour mon mode de vie antérieur et mes fautes, au premier rang desquels je plaçais le fait d'avoir perdu l'homme de ma vie. Et ensuite parce que je ne voyais pas d'autre perspective.


NUIT DE NOCES, NUIT DE RUPTURE

La nuit de noces a marqué la vraie rupture avec Hassan.

Pour dire la vérité, j'aurais voulu, dès ce soir-là, quitter le domicile conjugal et suivre Philippe. Celui-ci m'en a dissuadé. Il m'a expliqué qu'un tel comportement aurait certainement pour conséquence que la garde de ma seconde fille soit entièrement attribuée à son père. Il fallait donc que je patiente. Il ajouta, avec un sourire pervers : « en outre, ça m'excite beaucoup de faire cocu ce macho ! »

Je devais admettre qu'il avait raison et qu'il fallait laisser un peu de temps.

Je sortais seulement d'un divorce, en entamer immédiatement un autre aurait eu des conséquences désastreuses.

Au bout du repas de noces, c'est donc Hassan que j'ai dû suivre. J'en avais les larmes aux yeux, car c'est Philippe que je voulais accompagner, car je savais que j'étais à lui et seulement à lui.

J'avais pu trouver quelques instants dans un endroit discret pour dire au revoir à mon homme. Nous avons échangé de longs baisers passionnés, je pleurais, il essayait de me calmer. Pire, il m'encourageait à baiser avec Hassan.

- Chéri, l'idée qu'il va me sauter dessus m'est insupportable, c'est de toi et seulement de toi que j'ai envie désormais.

- Mon Olga, n'éveille pas ses soupçons. Hassan est un bon baiseur, tu me l'as toujours dit. Alors, profites-en bien, envoies toi en l'air. Je sais que tu ne l'aimes plus et que tu es à nouveau à moi, seulement à moi.


- Tu sais, mon chéri, je prends à nouveau en cachette la pilule. Il n'est pas question que cet homme me fasse d'autres s. Le prochain, ce sera toi qui me le feras, car tu es mon vrai mari, Philippe.

- Ma chérie, mon plus cher désir est de vivre avec toi. Mais je veux que, de ton côté, ce soit murement réfléchi. Que ce ne soit pas sur un coup de tête.

- Si je comprends bien, tu me livres à lui. Tu cours le risque qu'il sache me reconquérir, tu le sais. Aucun homme ne me donne plus de plaisir qu'Hassan, même toi, même si c'est toi que j'aime.

- Et bien je cours ce risque. Pour le moment tu seras ma maîtresse. Ca me plait ce rôle d'amant, que tu viennes me rejoindre, que tu deviennes ma putain.

- Mais chéri, il va m'enfermer. Comment ferons-nous ?

- Ne t'inquiète pas, tu trouveras de bonnes raisons pour sortir. Christine m'a déjà promis de nous aider. Elle va s'occuper d'Hassan. Manifestement, elle lui a tapé dans l'oeil. Cette coquine fera ça pour nous et pour son propre plaisir.

- Mon Dieu, l'idée de vivre avec lui m'est désormais insupportable !

- Nous verrons si, malgré ton hypersexualité, tu es capable de donner la priorité à tes sentiments plutôt qu'à tes instincts. A ton coeur plutôt qu'à ton cul. Ce qui ne doit pas t'empêcher de prendre ton pied pendant qu'il te baise. Pense à moi, au moment où tu me rejoindras.

- En quelque sorte tu me mets à l'épreuve ! Tu veux éprouver la force de mes sentiments pour toi.

- Oui et quand j'estimerai que nous serons prêts, tu le quitteras et nous vivrons à nouveau ensemble.

- Comme avant ?

- Oui et non. Oui, car je t'aime trop et j'aime trop te voir jouir pour être ton seul amant. Non, car désormais, Olga, il n'y aura plus de Rachid ou de Hassan entre nous.

- J'accepte tout, pourvu que tu me pardonnes ce que j'ai fait et que je puisse vivre avec toi.

- Bientôt chérie.
Vas le rejoindre, il doit trouver que nos adieux sont particulièrement longs. Il nous jette des regards suspicieux.

C'est donc Hassan que je me suis vu contrainte, devenue Madame Z., de suivre. Hassan était en colère. Il serrait avec violence mes poignets.

- Enfin ! sache que tu n'auras plus jamais l'occasion d'avoir de tels apartés avec ce type ! C'est à cause de lui, de ses fantasmes et de ses vices que tu étais devenue une putain. C'est fini ça, tu es à moi désormais et seulement à moi. Tu es désormais Madame Z, une mère de famille respectable.

- Mais Hassan, nous parlions de Lucie, tu sais bien que la petite a été malade cette semaine. Arrête cette jalousie et calme-toi, tu me fais mal !


Devant les derniers invités encore présents, dont Philippe, Hassan affirmait ses droits :

- Mes amis, vous voyez cette magnifique femme, elle est à moi et désormais à personne d'autre.

Il me faisait sentir contre moi sa formidable érection. C'était incroyable : pour la première fois, ça ne provoquait chez moi aucune excitation. Il se mit à m'embrasser fougueusement, à se serrer contre moi pour que je sente son désir, et à me caresser. Ses mains étaient sur mes fesses. Ses amis l'encourageaient, avec des commentaires qui prouvaient que pour eux je n'étais que la putain, la kahba. Hassan sentait bien que quelque chose n'était pas normal, car je répondais à son baiser, mais avec beaucoup de retenue.

Même Philippe jouait le jeu et encourageait Hassan :

- Elle est en effet à toi désormais, Hassan ! Rends-la heureuse ! Fais la bien jouir !

- Tu peux compter sur moi, je vais la faire couiner de plaisir et je peux te dire que, dès ce soir, elle attendra mon second .

Pendant le chemin du retour à la maison, pour éviter qu'il ne vienne, avec ses doigts, explorer ma chatte ou mon anus qui étaient encore remplis de la semence de Philippe, je pris soin de tailler une pipe à Hassan.
Il me repoussa avant de jouir, disant qu'il se réservait pour me baiser.

Lorsque nous sommes arrivés chez nous, il manifesta son impatience. Je réussis à le repousser :

- Un instant chéri, j'ai besoin de prendre une douche avant que tu m'honores !

- Mais ma chérie, j'aime te prendre quand tu es trempée et je sais bien que tu attends ce moment-là depuis le début de la soirée. Laisse-moi fouiller ta chatoune, tu dois être trempée et béante ! J'aime quand tu es ainsi, ton odeur de femelle en chaleur.

Je suis devenue pâle. S'il faisait ça, il verrait que la chatte de son épouse était pleine de sperme, la semence d'un autre.

- Chéri, s'il te plait, il faisait vraiment très chaud dans cette salle, j'ai beaucoup transpiré ! J'ai besoin d'une douche, c'est une question d'hygiène.

- Je t'accompagne sous la douche, j'ai trop envie de te baiser, ma salope !

- Hassan, c'est notre nuit de noces, en tant que mari et femme. Je veux du classique, dans notre lit conjugal ! Laisse-moi quelques minutes pour me préparer.

Il fit la moue, mais finit par me laisser aller prendre ma douche. Je pris mon temps, celui de me laver intensément, car je pensais que, dans quelques instants j'allais être souillée par un homme que je n'aimais plus mais que je détestais peu à peu désormais. Pour me donner du courage, je me masturbais, en pensant à celui qui occupait désormais toutes mes pensées.

Hassan m'attendait sur le lit, nu. Il avait, comme à son habitude, une formidable érection. Je m'allongeais également sur le lit, le plus loin possible de lui.

Hassan se rapprocha, et constata que je répondais mollement à ses sollicitations et son désir. C'était bien la première fois dans ma vie d'hypersexuelle que je montais froide envers un homme comme celui-là, qui pourtant était un amant hors pair.

Je tournais la bouche pour fuir ses baisers, je refusais de lui faire une fellation ou de le toucher, je ne réagissais pas à ses caresses.

- Qu'est-ce qui se passe Olga, tu n'as plus envie de moi ? Aujourd'hui tu as librement choisi de devenir Mme Hassan Z. Tu as choisi librement !

- Fais ce que tu as à faire, qu'on en finisse. Il n'y a pas besoin de préliminaires. Je suis désormais ton épouse, je dois faire mon devoir conjugal, je le ferai ! Alors, vas-y, qu'est-ce que tu attends, prends-moi !

- Ah c'est comme ça ! Attends un instant, petite allumeuse, sale garce, je vais te faire gueuler de plaisir.

Il me pénétra alors sans autre forme de procès et s'enfonça jusqu'à la garde. Je n'étais pas lubrifiée, je n'étais pas excitée, je ne mouillais pas. Je n'étais pas préparée du tout, je me sentais comme un animal qui allait être saillie par un mâle.

Bien qu'habituée à être prise par des queues de la taille de celle d'Hassan ou même plus conséquentes, pour la première fois depuis longtemps, je ne ressentais pas de plaisir, au contraire. Je me laissais faire, mais j'avais mal, le sentiment d'être prise de force. Il s'en rendait compte et il était furieux :

- Tu vas jouir enfin, salope ? Une putain comme toi, quand elle se prend une queue comme la mienne, elle grimpe aux rideaux. C'est ce que tu as toujours fait avec moi, non ?

- Je suis ton épouse, tu peux me posséder. Je n'ai pas l'obligation de jouir. Allez, vide-toi en moi, qu'on en finisse !

- Ah, c'est ça ! Puisque tu te comportes ainsi, je vais te traiter comme la putain et le vide-couilles que tu es et ce sera comme ça tant que tu ne reviendras pas à un comportement normal ! Tourne-toi ! Puisque tu ne veux pas jouir, tu vas gueuler, mais d'une autre façon !

- Non, Hassan, pas par-là s'il te plait. Je ne suis pas excitée, pas prête. Avec ton calibre, tu vas me faire très mal !

- Je vais me gêner ! Prends-ça ! Tu ne pourras pas t'assoir avant un moment !

- Ahhhhhh!

J'étais habituée à me faire sodomiser, et j'aime ça, mais jamais ça ne m'avait fait aussi mal. Je criais, je pleurais, pas de plaisir, mais de douleur. J'avais l'impression d'être transpercée. J'essayais de penser que, quelques heures plus tôt, Philippe, mon chéri, m'avait fait beaucoup jouir en passant par cette même voie étroite.

Hassan se déchainait sur mon anus. Il me faisait payer mon comportement.

- Tu as mal, petite putain ? Je vais te casser le cul !

- Oui, tu me déchires, arrête, je n'en peux plus.

- Tu n'as qu'à te branler le clito, ça te soulagera ! C'est bon de te forcer ainsi. Tu es bien serrée. Tu es bonne !

Hassan mit fin au supplice, car il voulait se vider dans ma chatte. Hassan s'est mis à me besogner comme il savait faire, à me pilonner. Je me concentrais, pour faire en sorte d'être ailleurs. Il possédait mon corps, pas mon âme. Je tournais mon visage, refusant absolument de lui donner mes lèvres. Me couvrant d'insultes, il me baisait avec une violence inouïe, il ne se serait pas comporté autrement s'il m'avait .
Je retenais mes gémissements, même si mon corps par moment me trahissait. Je maudissais cette jouissance qui venait contre ma volonté.

Je poussais un léger cri de plaisir au moment où Hassan se vidait en moi. Je refusais à nouveau qu'il m'embrasse et ne pus m'empêcher de dire, dans un état second, mais avec la volonté de le provoquer : « Philippe, je t'aime ».

La réaction fut violente. La gifle partit instantanément : « salope ! »

Hassan se leva et alla finir la nuit dans la chambre d'ami. Dès ce soir-là, notre mariage était de fait terminé.

Désormais, Hassan se comportait envers moi avec une grande brutalité. Il n'y avait plus entre nous la moindre tendresse. Quand il s'adressait à moi, c'était pour me faire des reproches sur la tenue de la maison, sur mes talents de cuisinière, sur les soins apportées à "sa" fille. Il veillait à m'humilier particulièrement devant ses amis et devant sa famille, enocuragé par Kamel et surtout par Hassna qui lui recommandait de me punir "comme elle mérite".

J'avais toujours malheureusement droit à nos relations quotidiennes fréquentes, dès qu'il avait envie de se vider les couilles. Ce qui avait été pour moi un immense plaisir était devenu un chemin de croix. Le mâle se contentait de me saillir, attentif à son seul plaisir. Cela se passait quand il avait envie.

- Descends ta culotte et penche toi sur la table, je vais te la mettre.

J'obéissais, en espérant que ça se finisse le plus tôt possible. La douleur que me provoquaient ces étreintes brutales, presque bestiales, me permettaient de contrôler la montée du plaisir qui venait malgré moi. Il me fallait quelquefois me mordre au sang pour éviter l'orgasme, car je ne voulais à aucun prix lui donner cette satisfaction.

Le pire c'était les sodomies, qui étaient particulièrement douloureuses.

Hassna nous surpris un jour en plein coit. Hassan s'excuse...auprès d'elle pour le spectacle. Elle lui répondit:

- Ne t'excuse pas mon cousin, tu es chez toi et c'est ta femme. Vas-y, continue, ne la ménage surtout pas, c'est comme ça que tu dois traiter cette prostituée!

On me dira que j'aurais pu et dû quitter rapidement le domicile conjugal avec mes filles. J'étais résolue et impatiente de quitter Hassan, mais seulement quand Philippe aurait estimé que j'aurais choisi en connaissance de cause. Je comprenais que Philippe m'imposait cette épreuve, en prolongeant ma cohabitation avec Hassan. Je l'acceptais parce, comme je l'ai déjà dit, cela me semblait être une juste punition pour mon comportement passé.

Tout avait en effet complétement changé dans ma vie depuis « mes retrouvailles » avec Philippe, en clair depuis que nous étions redevenus amants. Le coup de foudre que j'avais ressenti pour Philippe le soir du mariage avec Hassan ne retombait pas. J'aurais aimé être en permanence avec Philippe, et, à chacune de nos rencontres, il m'apportait à la fois le plaisir et la tendresse.

Nous devions trouver des trésors d'imagination pour ces moments d'intimité. J'avais mes deux s en bas âge dont je devais m'occuper, ainsi que mon foyer où j'étais au service de « mon seigneur et maître ». Et lorsqu'Hassan était absent, j'étais sous la surveillance de l'un de ses proches, notamment de son infâme cerbère Hassna.

J'avais pu desserrer l'étreinte grâce à Christine (qui, à ma demande, était devenue la maîtresse d'Hassan, mais ça désormais je m'enfichais, au contraire ça me servait) et une autre amie, Christelle, que j'avais connue au centre social du quartier.

Avec Philippe, on se voyait donc le plus souvent possible et nous avions réussi à faire en sorte que le mari trompé n'en sache rien. Tous les endroits étaient propices pour nos étreintes : chez lui, à l'hôtel près de son bureau, à son bureau, dans sa voiture, dans des parkings. Nous avions souvent peu de temps, ces moments étaient intenses et torrides.
Nous savions qu'il faudrait de toute façon crever l'abcès et que ce ne serait pas facile, tant Hassan avait investi dans la construction de son couple. Mais, dans un premier temps, Philippe savourait cette situation où il était l'amant de son ex-femme.


J'ai dit que Philippe avait beaucoup changé. Il y avait un point où il n'avait pas changé et ne changerait jamais, c'est qu'il était resté profondément candauliste.

RENOUER AVEC LE CANDAULISME

Je me souviens de la première fois où, depuis nos retrouvailles, où Philippe me partagea avec d'autres hommes. Il me montrait ainsi que le candaulisme que nous pratiquerions désormais était différent, il y jouerait un rôle majeur, sans qu'il soit besoin d'avoir recours à un Rachid pour organiser mes plaisirs ? Nos plaisirs. C'est Philippe et lui seul qui voulait désormais s'en occuper. J'étais à lui, plus à Hassan.
Nous étions un jeudi soir, aux alentours de 22 heures. Les s étaient couchés et nous regardions la télévision, Hassan et moi, quand le téléphone a sonné. Je suis allée décrocher le combiné.

- Allô !

- Ça tombe très bien que ce soit toi qui décroche ma petite salope, je voulais te parler.

C'était Philippe. Cela faisait quinze jours que je n'avais pas fait l'amour avec lui. Quinze jours sans nouvelles de lui d'ailleurs. Entendre sa voix et les mots qu'il m'adressait m'ont rendue toute fébrile. J'étais tellement heureuse de l'entendre.

- Hassan est près de toi, me dit Philippe.

- Oui, il est là, tu veux lui parler ?

En disant cela je n'avais qu'une envie, qu'il me dise non. Hassan me regardait et son regard m'interrogeait sur mon interlocuteur.

- Je vais lui parler ensuite, me répondit Philippe, mais d'abord c'est à toi que je veux parler. Réponds à mes questions par oui ou par non pour ne pas attirer son attention. D'accord ?

- Oui, je suis d'accord, lui dis-je en évitant les yeux de mon mari.

- La liberté que tu avais auparavant te manque, n'est-ce pas ?

- Oui

- En fait tu es en manque d'autres bites, petite salope, ta chatte ne doit plus en pouvoir, je ne me trompe pas ?

- Non, tu as raison.

- Eh bien je vais remédier à ton manque de queues, viens samedi à vingt heures chez moi, débrouille-toi comme tu veux pour te libérer de ton mari, mais sois là sans faute. Habille-toi d'une robe courte, mi-cuisses. Je t'attendrai pour m'occuper de tous tes orifices. Tu es partante, ma salope ?

- Oui, bien sûr.

- Passe-moi ton mari et à samedi.

- Hassan, c'est Philippe pour toi, lançai-je à mon mari.

J'étais troublée et terriblement excitée. Je n'avais qu'une envie, que le temps passe vite et qu'il soit rapidement samedi soir. Pendant qu'Hassan et Philippe discutaient, je filai aux toilettes pour essuyer mon entrecuisse. Comme d'habitude, les propos de Philippe avaient eu leur effet et ma culotte était trempée. J'en profitai pour me caresser légèrement le clito en imaginant que c'était la langue de Philippe qui me léchait.
Le samedi arriva enfin. J'avais raconté à mon mari que je devais passer la soirée chez mon amie Christelle qui avait besoin de discuter avec moi. Hassan avait fini par relâcher un peu la bride et avait confiance en Christelle, à tort. Hassan était désormais habitué à ce genre de soirée entre Christelle et moi. Bien entendu, comme chaque fois, il n'y avait pas de soirée prévue avec mon amie, celle-ci me couvrait.

Je m'étais préparée de façon à plaire à Philippe, pour qu'il soit content de moi. J'avais mis une petite robe, très sexy, assez courte, qui mettait en valeur mes jambes et mes petits seins. La veille, j'avais passé une heure chez l'esthéticienne pour être appétissante. J'avais le sexe épilé. Il ne restait qu'un filet de poils pubiens. Lorsque je suis allée souhaiter une bonne soirée à Hassan, qui devait garder les filles, il m'a regardée attentivement de la tête aux pieds, m'a attirée vers lui et a passé sa main entre mes cuisses.

- Eh bien, que fais-tu là ' lui dis-je gênée.

- Si je ne te connaissais pas aussi bien, me dit-il avec un ton rempli de reproches, je penserais que tu vas rejoindre un homme dans cette tenue. Tu es habillée comme si tu allais chasser le mâle. Alors je vérifiais si tu n'avais pas oublié de mettre une culotte?

- Mais tu es fou, bébé, lui répondis-je, je t'aime, j'ai changé et je serais incapable de te tromper (en disant ces mots, je ne pensais qu'à une chose, à la surprise que Philippe avait préparé pour moi).


- Je suis désolé Olga, mais des fois je ne comprends pas la façon dont tu t'habilles pour aller chez ta copine. Tu dis que tu m'aimes, mais ton comportement depuis notre mariage est vraiment étrange.

Suite à cet échange, et pour la première fois depuis notre mariage, j'ai embrassé amoureusement Hassan et je suis allée prendre ma voiture pour rejoindre mon ex-mari, devenu mon amant, chez lui. J'étais dans un état d'excitation très avancé. Je ne pensais qu'au moment où Philippe allait ouvrir la porte et me serrer contre lui. Avant de démarrer et de prendre la route, je choisis d'enlever ma culotte. Pour deux raisons. La première c'est parce que je savais que j'allais mouiller abondamment et que si Hassan se doutait de quelque chose, il pourrait avoir l'idée de vérifier l'état de ma culotte. La seconde raison, c'est que Philippe adorait que je me promène sans rien sous mes jupes et robes. Il aimait savoir que ma chatte était disponible aux regards et aux touchers. Je dois dire que je suis habituée à ne plus rien porter sous mes jupes et robes.
Je suis arrivée chez Philippe vers vingt heures quinze. Je sonnai à l'interphone et montai par l'ascenseur. Arrivée sur le palier, je n'en pouvais vraiment plus. Tous mes sens avaient envie de Philippe. Je sentais déjà ma chatte ruisseler de ma mouille. Lorsque Philippe a ouvert la porte je me suis jetée à son cou et je l'ai embrassé passionnément. Philippe était élégant. Il avait enlevé sa veste et avait une cravate. Il me souleva et me porta vers le salon, sa main ostensiblement porté sur mes fesses. Il avait une vue imprenable sur mon décolleté. Cette entrée en matière avait accru mon excitation.
Mais grande fut ma surprise quand, après cette embrassade, il m'a dit en me posant au sol pour me laisser voir le salon :

- Je n'ai pas besoin de te présenter Pierre et Olivier.

En effet. Pierre avait été le témoin de Philippe à notre (premier) mariage et aussi l'auteur de mon premier adultère, auquel j'avais fini par céder, tant Philippe m'y avait poussé (voir récit n°5). Je ne l'avais pas revu depuis. Quant à Olivier, il était un ex-collègue de Philippe et, avec son complice Serge, un des ordonnateurs de mes débauches au cours de la « période Rachid »
Je devais être rouge écarlate. J'avais embrassé à pleine bouche Philippe devant eux. Ils savaient donc que j'étais devenue la maîtresse de mon ex-mari et devaient se douter que j'étais retombée dans mon hypersexualité.

- Ravi de te revoir Olga. Hassan n'est pas avec toi, demanda Pierre, qui connaissait mon nouveau mari

Je répondis, très mal à l'aise :

- Non, il n'a pas pu se libérer, il fallait s'organiser pour la garde des filles.

- Eh bien, ce n'est pas pour nous déplaire, charmante Olga !

Je sentais une immense chaleur sur mes joues. Il me draguait ouvertement. Je ne pouvais rien dire sous peine qu'il raconte à Hassan ce qu'il avait vu entre Philippe et moi. Je ne pensais qu'à une chose, qu'Olivier et Pierre s'en aillent très vite après le repas et que Philippe me donne tout le plaisir qu'il m'avait promis. Naïvement, je n'imaginais pas encore ce que Philippe avait manigancé. Pourtant, le connaissant, j'aurais dû me douter qu'il voulait faire coup double : renouer le couple entre candaulisme et hypersexualité.

Nous avons pris l'apéritif dans le coin salon. J'étais assise sur le canapé avec Philippe à côté de moi. Pierre et Olivier étaient dans les fauteuils en face de nous. Je regrettais d'avoir ôté ma culotte. Ma robe remontait plus haut que mi-cuisses, et je serrais les jambes au maximum pour que ces deux hommes n'aient pas une vue imprenable sur mon intimité. Je n'osais pas bouger. Je voyais bien qu'Olivier avait les yeux fixés sur mes cuisses et était à l'affût de tous mes mouvements. L'apéro n'en finissait pas. Je me sentis enfin soulagée quand Philippe lança :

- Eh bien, passons à table.

Et au moment où je me levais, il me dit dans l'oreille :

- Petite salope, je suis certain que ta chatte est prête à se faire baiser.

Immédiatement je sentis couler entre mes cuisses ma liqueur. Je lui répondis :

- Oh oui je n'attends que ça, je n'en peux plus.

Pendant le repas Philippe, qui était assis à côté de moi, a posé la main sur l'intérieur de ma cuisse. Il l'a remontée doucement jusqu'à mon sexe et l'a effleuré avec ses doigts. Ce simple contact furtif, que j'espérais depuis si longtemps, m'a arraché un soupir non contrôlé. Ce que venait de me faire Philippe, bien que dissimulé par la table, ne faisait aucun doute dans l'esprit des autres hommes. Pour preuve Pierre, pourtant discret depuis le début de la soirée a lancé :

- Eh bien Olga, tu es toujours aussi' sensible, si j'ose dire.

Je baissai les yeux et j'étais à la fois couverte de honte et excitée.

A part cet épisode, le repas s'est très bien passé, je commençais à me décontracter, l'alcool aidant. Et les plaisanteries fusaient. Bien sûr, je sentais qu'Olivier me regardait de façon vicieuse et qu'il me draguait sans prendre de gants, mais je trouvais finalement ça plutôt drôle et je le laissais faire en lui envoyant quelques sourires aguicheurs.


Après le repas, nous avons repris les places que nous avions durant l'apéritif. Je pensais qu'Olivier et Pierre allaient bientôt partir et que j'allais enfin avoir ce que j'étais venue chercher : de la tendresse et du sexe.

Au bout de quelques instants, Philippe s'est collé à moi et m'a embrassé dans le cou. De nouveau la situation me gênait, mais Philippe n'en resta pas là. Il se mit assis sur un fauteuil puis me fit signe de venir, face à lui, sur ses genoux. Il m'a pris la bouche et m'a donné un baiser long et passionné. Il était très excité et il a commencé à me caresser la cuisse. Je sentais que sa main essayait d'écarter mes cuisses et qu'il voulait me caresser la chatte. Je maintenais mes cuisses le plus serré possible pour ne pas m'exhiber devant Olivier et Pierre, mais je voyais bien ce que souhaitait Philippe.
Je n'osais ouvrir les yeux. Soudain, j'ai senti quelqu'un s'approcher. Philippe forçait de plus en plus pour écarter mes jambes et une seconde main est venue se poser sur mon autre cuisse pour l'aider. C'était celle d'Olivier. Petit à petit je cédais et laissais mes cuisses s'ouvrir.

- Oh la cochonne, cria Pierre, elle n'a pas mis de culotte ! Quelle belle chatte !

- Et trempée comme jamais, lança Philippe pendant que ses doigts caressaient l'entrée de mon vagin. Ça doit être parce qu'elle est excitée par votre présence. Vous allez voir comme elle aime toujours la queue, vous allez vous régaler.

Je me risquai à ouvrir les yeux et découvris Pierre debout devant moi, en train de se masturber. Je fixais cette bite dure et tendue devant moi. Je bougeais le bassin sous les caresses de Philippe. Mon excitation était terrible. J'ai tourné la tête et j'ai vu Olivier, lui aussi la queue dure et raide en train de se branler. Au moment où je regardais son sexe, sa main a remplacé celle de Philippe et il a commencé à me caresser la chatte.

J'attrapai à pleine main la bite d'Olivier et je le branlai. Je gémissais, j'étais définitivement retombée dans l'hypersexualité. Le couple classique, même avec un mari aussi performant qu'Hassan, ce n'était pas pour moi.

Et une fois encore, c'est Philippe qui était à l'origine de tout, comme lorsque, près de 5 ans auparavant, il avait mis Rachid sur mon chemin (voir récits n°9 et n°10)

Je me donnais à ces trois hommes, j'avais envie d'eux, de leurs queues, de leurs doigts, de leurs langues. Olivier était certainement le plus excité de la bande, il m'a pris la bouche et me l'a mangée comme rarement on me l'avait fait. C'est à ce moment que j'ai senti une langue, celle de Pierre me lécher le clito.

Je me faisais lécher, j'embrassais alternativement Olivier et Philippe en les branlant. J'ai joui immédiatement :

- Ouiii, que c'est bon ce que vous me faites, encore, encore'

- Salope, me dit Olivier maintenant debout sur le canapé, suce ma bite, vas-y caresse moi les couilles aussi.

Mes amants se sont relayés pour me lécher et se faire sucer. Ils savaient que j?adore sucer des sexes bien raides). Il m'en fallait encore davantage, j'étais excitée comme jamais je n'aurais cru que c'était possible. J'ai joui avec les langues de chacun d'eux. Je hurlais de plaisir. Les trois hommes me disaient des mots crus qui me rendaient folle.

- J'ai très envie que vous me baisiez maintenant, j'ai envie que vous me défonciez la chatte, de vous sentir en moi, dis-je en leur lançant un regard de cochonne.

- Mais bien sûr qu'on va te baiser sale pute, me répondit Pierre, on va même te sodomiser chacun à notre tour et ensuite, un par un on crachera en toi. Chacun dans un de tes orifices, chiennasse! Choisis pour chacun de nous.

Je m'empressai de répondre à cette demande :

- Pierre, je veux que tu jouisses dans ma bouche, j'ai envie de t'avaler, Philippe sera évidemment le premier dans ma chatte, humm et toi Olivier, je te veux dans mon anus.

Un par un, ils m'ont baisée. Le plus vigoureux se révéla être Olivier. Il m'a limé la chatte avec force, très longtemps, ses coups de bite puissants m'ont fait jouir. C'est le seul à m'avoir fait jouir avec sa queue.

Ensuite, ils ont pris possession de mon cul. Je m'offrais à quatre pattes et pendant qu'un de mes hommes me sodomisait un autre présentait sa queue pour que je le suce. Je prenais mon pied. Je n'arrivais pas à m'arrêter, je voulais encore de la queue. Ils étaient trois, mais ils auraient pu être dix, ça ne m'aurait absolument pas gênée. Dans un premier temps, Olivier et Pierre avaient mis un préservatif. Au bout d'un très long moment, Philippe a dit :

- Laissez tomber les capotes, les gars, j'ai confiance en vous. Je veux qu'elle se fasse remplir. Maintenant on va cracher salope, tu vas te faire remplir, et tu rentreras chez toi avec notre foutre dans tous tes trous.

- Oh oui, répondis-je, j'en ai envie, j'aime tellement le jus d'homme, je suis à vous, vous me donnez tant de plaisir avec vos queues bien dures ! Allez-y, je prends la pilule en cachette de mon mari cocu, remplissez-moi !

Philippe m'a baisée en me criant tous les mots crus qu'il sait que j'aime entendre. Pendant qu'il me limait, je suçais tour à tour Olivier et Pierre. Philippe a joui fort en me hurlant que j'étais sa femme, sa putain. Il voulait que je divorce et que nous nous remariions. Cette fois, disait-il, il n'y aurait pas besoin d'un Rachid. C'est lui, et lui seul, qui serait désormais l'ordonnateur de mes plaisirs.

- Oui Philippe, je suis ton épouse et ta putain, je ferai tout ce que tu veux que je fasse.

Lorsqu'il est sorti de ma chatte, je me suis mise à quatre pattes pour offrir mon anus à Olivier. Compte tenu de sa petite taille, il s'est positionné debout derrière moi, a présenté son gland à l'entrée de mon anus et m'a pénétrée brutalement, m'arrachant un cri mêlé de désir et de douleur. Pendant qu'il me sodomisait, je m'enfonçais deux doigts dans le vagin pour recueillir le sperme de Philippe. Je léchais mes doigts.

- Vas y, Olivier, encule-moi fort, prends-moi bien mon petit cul, et toi Pierre, donne-moi ta bite que je te la suce'

J'étais en transe. Pierre a joui rapidement au fond de ma gorge. Il a craché une grande quantité de sperme, j'ai tout avalé. Olivier a mis longtemps avant de se lâcher en moi. J'ai été très proche d'une nouvelle jouissance. En jouissant il m'a dit :

- Salope t'es bonne de partout, tu m'as fait jouir fort, t'es une vraie cochonne de femme mariée. Tu ne peux pas t'empêcher de tromper tes maris !

Lorsque nous avons retrouvé nos esprits, je me suis habillée, et je les ai tous les trois embrassé passionnément. Olivier en a profité pour me doigter la chatte, ce qui m'a immédiatement fait ruisseler. Philippe m'a dit qu'il me contacterait prochainement, dès qu'il aurait envie de se vider les couilles ou dès qu'un de ses amis en aurait envie. Je suis rentrée chez moi à quatre heures du matin. Hassan dormait profondément. Je me suis glissée dans le lit sans un bruit. Je sentais le sperme. J'aime tellement ça que je poussais jusque-là la provocation, sans penser à sa réaction s'il se rendait compte que j'étais pleine de la semence d'autres hommes avec qui je l'avais trompé.

Cette soirée fut en tout cas décisive.

Philippe m'avait permis comprendre que c'est cette vie-là dont j'avais besoin et donc le type de couple candauliste que je formais avec lui et non pas le couple classique que voulait construire Hassan de gré ou de force, où certes il avait la conviction, grâce à ses performances, de m'offrir tout le plaisir dont j'avais besoin. Je n'étais pas faite pour le mode de vie qu'Hassan voulait m'imposer, marqué par les grossesses à répétition et un quasi-enfermement.
Je serai éternellement reconnaissante à Philippe, qui, à deux occasions, m'a fait découvrir ma véritable nature et m'a apporté la liberté. Je savais que mon couple avec Hassan vivait ses derniers moments.

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