Première Soirée Avec Stef Partie 3

Elle nous a demandé comment s'était passée la journée et a fait remarquer à Stef que sa chambre sentait le tabac (et heureusement que cette odeur était là pour masquer l'odeur de sexe qui devait probablement régner dans la pièce). Elle nous a dit qu'elle et son mari allaient bientôt aller au lit et que l'on devait se dépêcher pour aller nous doucher (elle a sans doute pensé qu'on était allés jouer au basket, bien que nos mines rougies étaient dues à une autre activité physique...) avant d'aller nous coucher nous aussi, car il était déjà tard. Vu qu'elle semblait n'avoir rien remarqué de suspect mis à part le tabac qu'elle tolérait, on a vite marqué notre accord, principalement pour qu'elle sorte le plus rapidement possible de la chambre et éviter qu'elle découvre le moindre élément suspect. Lorsqu'elle est sortie, on s'est regardés en souriant, et on a partagé un petit rire discret de soulagement. Il s’est étiré, les reins appuyés sur un coussin au sol, ce qui m’a permis d'admirer la jolie ligne de ses abdominaux qui marquaient un V dirigé vers son entrejambe enfoui dans son pantalon de jogging. Il a soupiré pour marquer sa déception de ne pas avoir pu aller jusqu'au bout. Je lui ai dis qu'il allait falloir terminer ce que sa mère avait interrompu et il m’a dit qu’il pourrait faire ça toute la nuit, bien que j'en doute. J'ai porté le regard sur son entrejambe et il a tiré sur l'élastique de son jogging pour me montrer son gros pénis qui reposait en partie sur sa cuisse, les veines encore gonflées... je me suis mordu la lèvre inconsciemment. Il a relâché l'élastique et a ensuite enchaîné sur le fait que j’avais un joli cul d'actrice porno… selon ses termes résumés « avec la peau douce et des petites fossettes au bas du dos, des fesses fermes et rondes qui se creusent légèrement lorsqu’elles se contractent et qui forment un joli pli là où elles descendent vers les cuisses », et que « sa copine rêverait d’avoir un aussi beau cul ». J'ai rougi comme une gamine et pour illustrer ses propos, il a sorti un magazine de charme de sous son lit pour me montrer une femme dont la belle paire de fesses mises en évidence par sa pose ressemblaient selon lui aux miennes, et qu’il utilisait pour se masturber.

Je lui ai dit que j’ignorais que mon cul lui faisait cet effet, et il m’a dit qu’il n’était pas le seul. Visiblement, d’autres joueurs de son équipe lorgnaient mes fesses quand je venais dans leur vestiaire, les miennes et celles de Johan, un autre joueur de mon équipe qui avait lui aussi un retard de pilosité et des fesses rondes et charnues. Je l'avais déjà noté mais toute mon attention dans les vestiaires étaient consacrée à Stef. "Deux petits culs de femme qui venaient dans leurs douches pour regarder les grosses bites". Là-dessus, amusé, il a sorti un autre magazine dans lequel il avait également marqué une page, lorsqu'il me l'a tendu j'ai compris qu'il y avait repéré une paire de fesses presque identique à celle de Johan. J'ai senti une petite pointe de jalousie en me demandant laquelle il préférait tout en ressentant une grande excitation à l’idée qu’il se masturbait en fantasmant sur nos culs, alors que de mon côté je le faisais en pensant à sa grosse queue. C’est peut-être pour ça que les choses s'étaient déliées si facilement, on concrétisait nos fantasmes respectifs. Il m'a invité à aller me doucher en premier pour que ses parents ne nous ennuient pas, il aurait eu envie de partager la douche mais ça serait trop douteux. Il a ensuite précisé qu'on allait devoir être plus discrets une fois que ses parents seraient couchés.

Je me suis levé pour me rendre dans la salle de bain. Une fois la porte verrouillée, je me suis déshabillé et j'ai tourné le dos au miroir pour faire rebondir mes fesses et constater que Stef n'avait pas tort à leur propos, elles ressemblaient à celles de la photo... et je me suis dis que je pourrais commencer une routine d'exercices légers pour les affiner pour Stef, et aussi pour les mettre en évidence la prochaine fois que je serais dans les vestiaires, pour observer les réactions. Je les ai ensuite écartées pour voir de quoi mon anus avait l'air. Ma raie était brillante de lubrifiant et mon anus était dilaté, il s'ouvrait légèrement lorsque je le détendais.
C'est dans cette position, dos au miroir, les mains écartant mon cul de femme, que j'ai croisé mon propre regard dans le miroir. Une pointe de honte s'est emparée de moi, mêlée à une espèce de panique... mon cœur battait la chamade et je ne savais plus penser correctement. Que diraient les gens s'ils l'apprenaient. Je suis entré dans la cabine de douche pour me laver en repensant à ce que je venais de vivre. Je venais de prendre mon pied à sucer et à me faire enculer par l'énorme queue de Stef et j'avais une envie folle de remettre ça. Ça faisait de moi un homosexuel ? Ça n'avait pas beaucoup d'importance. Malgré moi, j’ai repensé au spectacle hallucinant de son orgasme, son long pénis secoué par ses éjaculations et le sperme chaud qui tombait sur mes cuisses, et j'ai freiné mon envie de me masturber en décidant de garder ça pour tout à l'heure. Ma honte s'est évanouie en laissant place à mon impatience de continuer ce que ses parents avaient interrompu. J'avais envie de sentir à nouveau ses mains masser mes fesses et sa grosse bite aller et venir comme un piston bien huilé dans mon cul bien ouvert. Je mourrais d'envie de le faire jouir. Je suis sorti de la douche et je me suis essuyé, j'ai enfilé mon pantalon de pyjama sans mettre de caleçon et mon t-shirt avant de retourner dans la chambre.

Stef jouait à la console. Il a posé la manette pour se lever et il m'a dit que si je voulais, on pouvait descendre au salon pour regarder un film ou la télé avant de remonter au lit et je lui ai dit que je préférais me coucher tôt pour terminer ce qu'on avait commencé, et pour illustrer mes propos, je lui ai tourné le dos et j'ai laissé glisser mon pantalon pour exposer mes fesses et les faire rebondir avec les mains en le regardant par-dessus mon épaule. Il est resté un instant hypnotisé par le spectacle et il m'a ensuite adressé un regard de prédateur avant de se diriger vers la porte pour aller se doucher en m'indiquant de ne pas bouger. Je suis resté un instant immobile à me demander comment j'avais osé l'exciter de la sorte, comme une allumeuse de film érotique.
.. Mon envie d'être sa "copine" ou encore son esclave sexuel était trop forte... et j'en éprouvais encore un peu de honte. J'ai à nouveau abandonné ces pensées en me rassurant à l'idée que ça allait rester entre nous et que notre complicité était tout aussi importante pour lui. Il n'avait pas non plus intérêt à ce que ça s'ébruite.

J'étais impatient et excité, je ne savais pas où me mettre et j'avais comme des frissons dans le ventre. Vu qu'on allait pouvoir poursuivre nos ébats, j'ai décidé de me préparer et je suis allé chercher le flacon de lubrifiant avant de me placer dans un coin de la chambre hors de vue de la porte... au cas où quelqu'un entrerait. Je me suis lubrifié consciencieusement et rapidement et pour éviter toute irritation, j'ai même placé la pointe du flacon à l'entrée de mon anus pour le presser et expulser un peu de gel à l'intérieur. J'ai alors introduit mon majeur en moi pour répandre le gel convenablement. J'ai souri en constatant la facilité avec laquelle je pouvais introduire mon doigt et j'ai aussitôt eu une érection. J'ai rangé le flacon, j'ai éteint le plafonnier en laissant la lampe de chevet tamisée allumée et je me suis allongé sur le lit pour lire une BD, j'étais nu de la taille au pied mais j'avais gardé mon t-shirt. Allongé sur le vente, j'ai jeté un regard vers l'arrière pour vérifier la vue que j'allais lui offrir, à savoir mon cul bien en évidence, pour qu'il puisse le prendre comme bon lui semble. J'anticipais la situation et je l'imaginais revenir dans la chambre et s'allonger sur moi pour glisser sa grosse queue entre mes fesses. Le temps me paressait s'écouler au ralenti et je n'arrivais pas à détourner mes pensées de mes désirs. J'étais resté sur la même page de la BD depuis que je m'étais couché.

Après quelques un instant, mon cœur s'est arrêté en réalisant que quelqu'un d'autre que Stef pouvait entrer dans la chambre. J'ai tout de suite rangé la BD sur le côté du lit avant de me précipiter pour remettre mon pantalon de pyjama.
Je suis ensuite allé ranger la BD sur l'étagère, un peu désorienté. C'est là qu'il est revenu dans la chambre en souriant, vêtu de son peignoir. Il a dû remarquer mon état et m'a demandé si tout allait bien, je lui ai répondu que oui en me détendant. Il a indiqué que ses parents ne devraient pas tarder à aller se coucher et s'est installé dans le lit, le dos en partie appuyé sur la tête de lit et les jambes étendues et légèrement écartées. Je me laissais gagner par l'excitation en anticipant ce qui allait suivre. Il a ouvert son peignoir pour exposer son énorme paquet. Ses grosses couilles détendues par la douche reposaient lourdement sur la surface de la serviette et sa queue était étendue sur le côté, et reposait en partie sur sa cuisse. Une fois ses parties découvertes, il a murmuré innocemment "tu viens?". Sans répondre, je me suis approché du lit sans prendre la peine d'ôter mon pantalon et je me suis lentement installé sur le ventre entre ses jambes, les yeux rivés sur sa magnifique queue brillante.

Une fois confortablement installé, et sans lui adresser un regard, j'ai commencé par enfouir la tête entre ses jambe pour lécher ses couilles et les aspirer en bouche pour en apprécier le poids. Il a eu un petit hoquet de surprise lors du premier contact et sa queue est entrée lentement en érection en me frôlant la joue et l'oreille jusqu'à être emportée par son propre poids et retomber lourdement sur son ventre. Je prenais mon temps et je continuais à lui lécher les bourses en les gardant quelques secondes en bouche l'une après l'autre, pour les chatouiller avec ma langue et sentir le testicule bouger dans sa bourse. Je me demandais l'effet que ça faisait et si j'allais jamais le savoir, vu que mes parties n'étaient pas suffisamment grosses pour qu'on puisse jouer avec de la sorte. J'ai placé la main gauche sous ses belles couilles pour les presser délicatement, j'adorais la façon dont elles remplissaient ma main. J'ai levé les yeux vers lui pour lui murmurer que ça ne m'étonnait pas qu'il éjacule comme un cheval, avec des couilles aussi grosses.. et je les ai faites rebondir dans ma main pour illustrer mes propos. Il s'est contenté de sourire doucement d'un air complice, les joues rougies par le plaisir, les yeux dans le vague et les bras étendus sur les oreillers. Il me regardait le sucer comme s'il regardait un film. J'ai alors décidé de déguster sa queue, je l'ai saisie de la main droite et j'ai fait courir ma langue depuis ses couilles jusqu'à son gland pour le prendre en bouche et l'enfoncer aussi loin que je pouvais dans ma gorge. Je n'ai pas pu l'enfoncer bien loin sans avoir de réflexe au niveau de la gorge, alors je l'ai gardé dans la chaleur de ma bouche pour chatouiller son frein et les replis de son prépuce avec ma langue. Ma bouche se remplissait de salive. J'ai laissé sortir sa queue tout en la stimulant avec ma langue jusqu'à ce qu'elle sorte de ma bouche. J'ai laissé couler une partie de ma salive sur le tronc et j'ai avalé le reste. Le goût de sa bite propre tout juste sortie de la douche emplissait ma bouche et mes narines. J'ai repris mon souffle un instant en admirant sa bite dressée dont je maintenais la base. J'ai alors murmuré que c'était délicieux, sans savoir si je le disais pour moi-même ou à son attention. Toujours en la tenant par la base, je l'ai faite basculer pour me frapper la joue avec, je l'ai pressée contre mon visage en lui donnant quelques baisers, puis je l'ai utilisée pour tapoter ma langue et mes lèvres... le bruit humide de son gland qui percutait ma bouche avec lourdeur m'a poussé à gémir silencieusement d'envie. Il s'est appuyé sur les coudes sans intervenir et je l'ai à nouveau pris à pleine bouche pour passer les minutes suivantes à le sucer comme si sa queue était une glace délicieuse qu'il fallait savourer lentement. Quel pied... le temps paraissait s'être arrêté. Mais après un moment, des bruits se sont fait entendre dans l'escalier. Il m'a murmuré de venir à côté de lui, et frustré, je me suis redressé en relâchant sa bite épaisse dans un soupir pour la laisser retomber sur son ventre. Je me suis allongé à sa droite et il a tiré le drap et la couverture sur nous pour faire croire qu'on dormait, je suppose... au cas où quelqu'un entrerait. Je me suis frotté le visage sur le drap au cas où, pour enlever la salive étalée sur mon menton et autour de ma bouche.

Il restait immobile et silencieux pendant que ses parents atteignaient leur chambre et qu'ils se préparaient pour la nuit, mais je m'impatientais. J'ai glissé la main sous les draps jusqu'à sentir la chaleur et l'humidité de sa queue qui avait légèrement ramolli. J'ai caressé son tronc en silence jusqu'à ne plus pouvoir me retenir de glisser le pouce dessous pour la serrer dans ma main. Sa respiration s'est accélérée lorsque j'ai commencé à le branler lentement. Après quelques mouvements, il a descendu la couverture à hauteur de sa queue pour la laisser respirer et faciliter mes caresses, le contact du drap sur son gland devait probablement le déranger. Il gardait toutefois le drap et la couverture en main au cas où. Je me suis approché pour me coller à lui, de façon à lui permettre de glisser son bras derrière mon dos et de peloter mes fesses, comme plus tôt dans la journée. Sa main est descendue dans mon dos pour passer sous l'élastique de mon pantalon et saisir ma fesse droite pour ne plus bouger, il se contentait de la malaxer doucement. Plongés dans la faible lumière, on attendait que ses parents décident de se coucher. Sans vraiment réfléchir, alors que je le branlais paresseusement, j'ai commencé à titiller son téton avec la langue. Vu le gémissement silencieux qu'il a émis, j'ai été soulagé de voir que ça lui plaisait. C'est là que ses doigts se sont glissés entre mes fesses. Je l'ai senti sourire lorsqu'il a constaté que j'étais déjà lubrifié et il a aussitôt introduit son majeur dans mon anus. J'ai ressenti une légère irritation mais je l'ai laissé faire et il n'a pas attendu longtemps avant d'insérer son annulaire et de me masturber doucement le cul avec ses deux doigts. L'irritation s'estompait peu à peu, j'ai arrêté de le chatouiller avec ma langue pour poser la tête contre son torse et regarder ma main branler amoureusement sa grosse bite en me retenant d'aller le sucer. Je le branlais lentement, je ne voulais pas le faire jouir trop tôt.

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