Partie Carrée.

Après de brillantes études universitaires et un diplôme de commerce international validé par un stage d'une dizaine de mois aux Etats-Unis, je n'avais trouvé que des emplois précaires.
Pendant une année j'avais galéré jusqu'à la réussite à un concours de la fonction publique.
Intégrée au Ministère des affaires étrangères, je n'avais que quelques mois dans un poste intéressant lorsque j'ai été envoyée après volontariat en Afrique du sud pour compléter l'équipe de l'attaché commercial de notre ambassade dans ce pays qui émerge dans la cour des grands. Je n'avais aucune attache, je pouvais donc partir facilement.

Cinq ans plus tard, je revenais à Paris où je retrouvais un poste tout aussi intéressant mais qui me faisait voyager fréquemment. Munie d'un bon pactole accumulé pendant les années passées en Afrique du Sud, d'un bon salaire et d'un crédit, j'avais fait l'acquisition d'un bel appartement dans un immeuble récent du XIXème arrondissement. A 35 ans, provinciale montée à Paris pour mes études, je m'y installais véritablement.

Grande blonde longiligne de par mes origines scandinaves déjà lointaines, j'ai une silhouette qui attire les regards. Mes cheveux blonds cendrés qui tombent sur mes épaules encadrent un visage à l'ovale allongé éclairé par des yeux d'un bleu profond, un nez légèrement retroussé et des lèvres bien dessinées me rendent, parait-il, particulièrement séduisante. Des seins menus, des hanches à peine plus larges et une taille mince et des jambes très longues, voila quelle est mon allure générale.

Depuis quelques mois, j'ai un amant régulier qui aimerait bien s'incruster un peu plus dans ma vie. Professeur de sports dans un lycée proche des Buttes Chaumont, il est également âgé de 35 ans. Evidemment sportif à la carrure de rugbyman, nous nous sommes rencontrés un samedi quand je faisais mon footing hebdomadaire.
Divorcé et père de jumeaux d'une dizaine d'années, il était avec ses s.

Après cette rencontre fortuite, nous avons sympathisé et nous nous sommes revus à plusieurs reprises.
Fred, amateur de bons mots avec un humour décapant mais très subtil, partage la garde des ses s avec son ex femme. Sans qu'il me fasse trop ostensiblement la cour, j'ai fini par succomber à son charme et à son charisme.
J'ai découvert un amant endurant et inventif qui sait me conduire à des jouissances extrêmes. Je suis cependant farouchement opposée à une quelconque cohabitation : je suis trop jalouse de mon indépendance.




Quelques semaines après mon retour à Paris, j'ai eu la surprise de rencontrer une camarade qui avait suivi le même cursus que moi et qui avait fait son stage au Canada. Nous nous sommes revues à plusieurs reprises pour déjeuner ou diner ensemble.
Un soir où nous avions quelque peu abusé des cocktails, nous nous sommes livrées à des confidences sur notre vie amoureuse. J'ai alors découvert qu'elle était comme moi ! Elle aimait autant les garçons que les filles !!! Comment l'aurais-je deviné ? Nous n'étions pas intimes au moment de nos études.
Ce weekend là, nous étions libres toutes les deux. Je n'ai eu aucune difficulté à l'entrainer chez moi pour des étreintes saphiques qui, le samedi soir arrivant, nous laissèrent ivres de plaisirs mais épuisées des jouissances partagées. Le samedi soir et la nuit suivante ont été plus calmes. Nous avons regardé des photos ramenées des Etats-Unis et d'Afrique du sud. Nous étions blotties l'une contre l'autre, nues sous la couette et nous échangions des caresses légères.

Parmi les photos il y en avait que Fred avait faites. Un soir où nous étions particulièrement chauds, nous avions fait une série de photos coquines dont plusieurs ont attiré l'attention de Virginie. Sur deux d'entre elles, Fred était nu, le sexe triomphant, sur une autre je lui faisais une fellation appliquée et baveuse (merci le retardateur de l'appareil photo). Soudain Virginie me dit :
- Waouh ! Quelle belle bite il a, je me la ferais bien si tu me la laissais pour une soirée.
En échange, je t'offre celle de Jeremy, mon copain canadien."

Une partie carrée, je n'étais pas contre. Ce ne serait pas la première fois où je partagerais un amant avec une bonne copine. Le tout est qu'il n'y ait pas de cachoteries et de secret. Une partie à quatre n'était pas pour me déplaire et je savais que Fred serait partant également.

J'avais parlé avec Fred de cette soirée que je projetais. Virginie en avait fait autant avec Jeremy. Nous étions d'accord tous les quatre. Cela devait se dérouler un samedi soir quelques semaines plus tard, après un diner chez moi. Je ne suis pas une cuisinière très douée aussi avais-je commandé l'essentiel du repas auprès d'un traiteur.




Livrée vers 18 heures 30, j'avais le temps de finir la préparation avant l'arrivée de mes trois complices. Virginie et Jeremy avaient fait livrer des fleurs avec une carte portant le simple mot : MERCI ! Lors de l'arrivée simultanée de Fred puis de Virginie et son copain, nous avons échangé quelques menus cadeaux qui nous ont tout de suite mis dans l'ambiance.

Jeremy, certainement avec la complicité de Virginie m'avait acheté un ensemble coquin, soutien gorge avec les bonnets percés et un string en dentelle assorti. De mon côté, j'avais acheté le matin même au sex-shop proche de mon domicile deux dildos, un gode à deux têtes et un chapelet de boules japonaises. Cela promettait d'être chaud.

Après l'apéritif (Champagne), le repas dont nous avons dégusté les plats avec fébrilité a été l'occasion pour les deux hommes de faire connaissance. Jeremy, avec un accent inimitable, a tout de suite détendu l'atmosphère en plaisantant avec Fred. Ces deux coquins étaient déjà branchés sexe : Jeremy nous a fait une traduction des expressions diverses en français du Québec ! C'était parfois assez savoureux.

Le repas terminé, j'ai débarrassé rapidement la table en déposant dans la cuisine à l'américaine tout ce qui n'avait plus besoin de rester dans la salle à manger.
Je rangeais des restes dans le réfrigérateur quand Fred est venu me rejoindre. J'étais courbée en avant. Il s'est collé contre mes fesses, m'a redressée en fermant la porte du réfrigérateur et a pris mes seins dans ses mains. Collé à moi, je sentais son sexe en une érection déjà bien prometteuse entre mes fesses. Puis il m'a retournée face aux deux autres convives en descendant ses mains sur mes hanches puis, par dessus ma robe, il a commencé à masser mon pubis.

Virginie et Jeremy nous regardaient et échangeaient de temps à autres des petits baisers. Fred a dénoué les cordons de ma robe et en abaissant le devant il a découvert ma poitrine nue… mes seins étaient libres. J'étais excitée et mes tétons étaient déjà sortis. Virginie s'est levée et elle est venue nous rejoindre. Elle a rapidement agacé de sa bouche mes deux tétons et elle a fait glisser ma robe qui est tombée à mes pieds.

J'étais nue. Pas de string. Cela m'avait semblé inutile lorsque je m'étais habillée pour la soirée, enfilant simplement cette robe souple au travers de laquelle on distinguait mes tétons pointés. Elle s'est agenouillée devant moi et a embrassé ma chatte, dardant sa langue le plus loin possible. En se relevant elle m'a fait pivoter pour être face à elle et Fred était à ma droite. D'une main elle continuait à masser ma chatte et de l'autre elle a dégrafé le pantalon de Fred.

Ce coquin ne portait pas de slip non plus et il bandait fort. Nous nous sommes agenouillées devant ce sceptre de chair et nous avons commencé une fellation partagée. Quand l'une avait le gland dans la bouche, l'autre léchait la hampe et massait les bourses imberbes.
Au bout de quelques minutes, je me suis relevée et je suis allée rejoindre Jeremy. En le faisant pivoter sur sa chaise, je me suis mise à genoux devant lui, j'ai fait glisser le zip du pantalon et je suis allée cueillir dans son boxer, une bite longue et relativement fine :
• Pas mal non plus ta bite !

J'allais me régaler.
Du coin de l'œil, je voyais Fred et Virginie. Ce dernier avait remonté sa robe fluide et découvert les globes fessiers. Il avait glissé une main dans la fente et l'autre était dans la fourche de Virginie. Bientôt ils furent nus tous les deux.

Je n'avais pas perdu mon temps, Jeremy était tout aussi nu et j'avais sa bite dans la bouche pour une gorge profonde qu'il semblait apprécier car il était de plus en plus raide. Prenant mes tétons entre ses doigts, il m'a relevée et m'a fait basculer sur la table. D'un geste doux et ferme à la fois, il a ouvert le compas de mes jambes et il est venu sucer mon clitoris en glissant deux doigts dans ma fente.

Allongée sur le dos, il a replié mes jambes en les appuyant contre son torse. Il n'a pas eu besoin de guider son sceptre pour entrer dans ma chatte. D'une seule poussée, il est venu coller son bassin contre le mien et j'ai senti l'extrémité de sa queue buter au tout au fond de moi. Les va-et-vient lents et profonds de cette queue longue et fine m'excitaient encore plus. J'étais inondée de cyprine tellement c'était bon.

Fred et Virginie se sont rapprochés de nous. Elle s'est mise en levrette dans un des fauteuils du salon et Fred, tout en tenant un des ses seins à pleine main, a guidé sa bite de l'autre entre les fesses de la belle pour prendre sa chatte. J'entendais le claquement contre son cul à chaque fois que Fred l'embrochait vigoureusement et elle appréciait :
• Waouh ! Je suis bien remplie ! Vas-y baise moi fort ! Ta grosse bite me remplit bien !

Fred a accéléré ses mouvements, tel que je le connaissais, il devait sortir à chaque fois de sa chatte pour mieux la reprendre ensuite. Nous entendions le plaisir de Virginie monter. Je n'étais pas en reste. Jeremy m'avait fait changer de position. J'étais désormais allongée à plat ventre sur la table, le bassin au niveau du bord et j'étais également prise en levrette.

Chaque fois que Jeremy arrivait au fond de ma chatte, j'étais comme parcourue d'une décharge électrique qui montait le long de mes reins. J'avais rarement ressenti une telle sensation. En même temps qu'il me possédait ainsi, Jeremy venait chatouiller mon petit trou plissé d'un doigt inquisiteur. Il ne me pénétrait pas mais cette caresse me faisait mouiller encore plus. Je sentais ma cyprine qui débordait et coulait le long de mes cuisses. Il allait déclencher ma fontaine : Cela n'a pas manqué !

Au moment où il arrosait copieusement le fond de ma chatte de fortes giclées de sperme, j'ai éclaté instantanément en déversant trois ou quatre jets de liquide qui sont allés mouiller les poils pubiens de Jeremy. Fred et Virginie ont joui à leur tour. Elle a manifesté bruyamment son plaisir par deux fois, jouissant à nouveau quand Fred s'est vidé en elle.

La soirée était bien lancée. Nous avons changé de partenaire pour faire la toilette des deux queues qui nous avaient si bien fait jouir. Mais l'une comme l'autre, nous n'étions pas rassasiées. Côte-à-côte nous avons entrepris sur chacun une belle fellation qui a rapidement porté ses fruits. En embrassant amoureusement Virginie, je lui ai glissé une confidence à l'oreille :
• J'ai envie que Jeremy me sodomise. J’ai envie de sa queue longue et fine… J'ai déjà injecté du lubrifiant comme cela je suis prête. Fais en autant si tu veux te faire enculer car toi, tu vas la sentir passer !

Je me suis mise à nouveau en levrette sur un des fauteuils :
- Encule-moi Jeremy ! Je suis prête !
- Ok ma belle ! Puisque c’est ce que tu veux, allons-y !

Virginie a pris la même position et Fred est venu la prendre à nouveau. Il a commencé par la chatte avant de placer son gland devant l'anneau plissé. Je voyais à l'expression du visage de Virginie que l'introduction ne devait pas se faire sans mal malgré le gel que j’avais passé à Fred. Elle avait la bouche ouverte comme si elle cherchait de l'air et je voyais son ventre se comprimer et se relâcher.

Tout doucement Fred est arrivé à buter contre ses fesses. Il est resté ainsi plusieurs minutes pour qu'elle s'habitue à sa présence puis il a commencé à la sodomiser lentement puis de plus en plus vite, faisant claquer son bassin contre les globes fessiers de Virginie :
• Aie ! Aie ! Aïe ! Qu'est ce qu'il me met ! Mais c'eeeessssst booon !

Jeremy prenait son temps avec moi. Il faisait monter mon plaisir puis le laissait retomber pour mieux revenir ensuite en traitant de tous les noms avec son accent du Québec :
• Salope ! Garce ! Sale catin… tu aimes te faire prendre le cul, alors tu vas en avoir !

J'ai joui une première fois mais il n'a pas déculé. Il a repris ses mouvements de va-et-vient jusqu'à ce que je parte une seconde fois. C'est là qu'il s'est vidé au fond de mes entrailles. Comme s'il attendait un signal, Fred s’est lâché à son tour, déclenchant un orgasme puissant et sonore chez Virginie qui n'en pouvait plus de bramer son plaisir.

Après un peu de répit, la soirée a continué sur mon grand lit dans la chambre jusqu'à ce que, épuisés et repus de jouissances nous nous endormions tous les quatre, bras et jambes emmêlés.

De l'avis de tous, la soirée avait été une réussite.

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