La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1062)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1060) -

Le Maître s’en rendait compte et me tapotait la main avec tendresse et affection... Enfin, nous arrivions devant l’établissement, Walter conduisait avec flegme et souplesse. Nous sortîmes du véhicule, les portes ouvertes par le Majordome, tandis celui-ci remettait les clefs de la Rolls-Royce au voiturier pour la garer. Il faisait frisquet. Le Noble avait revêtu une tenue de soirée, frac, nœud papillon, à sa main gauche, une canne au pommeau doré marqué de Ses Initiales et sur ses épaules, une sorte de cape noire qui lui donnait une allure de Seigneur sortant de son carrosse. Il me tendit la main comme une sorte d’invite à une danse, je mis la mienne dans sa main, et nous commencions à gravir les marches du luxueux restaurant. Monsieur le Marquis, était lui aussi, connu de la direction de l’établissement mais nous nous n’étions jamais croisés auparavant. Un endroit avait été réservé, un peu à l’écart des autres personnes venues, ce soir-là, dîner. Une fois entrée, je reconnus quelques diplomates, le chef d’Etat-major d’Egypte, croisé plusieurs mois plus tôt lors d’un défilé et qui m’avait fait une cour assidue, il y avait aussi l’attaché de l’ambassade de Norvège, un banquier célèbre dont je préfère taire le nom, un sous-secrétaire d’Etat, etc... Le Maître d’hôtel et le personnel me reconnurent immédiatement et vinrent me saluer tout en regardant ma tenue....

- Bonsoir Madame, quel bonheur de vous retrouver avec Monsieur le Marquis...
- Merci, François, répondit un peu agacé le Châtelain, ce soir, Madame est mienne…
- Bien sûr Monsieur. Puis-je vous conduire à vos places, vos invités vous y attendent déjà !
- Faites donc mon ami, je suis pressé de les retrouver...

Le Noble me tenait toujours par les doigts et c’est ainsi, que précédé du Maître d’hôtel, nous pénétrâmes dans une salle dans laquelle je n’étais encore jamais entrée.

.. Dans ce restaurant tout à la gloire de l’Empire, l’Empereur semblait être physiquement présent, tant tout nous rappelait sa mémoire. La salle réservée se nommait, Impératrice Eugénie...… Alors que nous entrions, le Maître et moi, comme une sorte de couple royal entrant en Cour, pour se diriger vers le trône, les convives se levèrent et le brouhaha qui régnait dans la salle, avant que nous y entrions s’arrêta immédiatement à notre entrée. Les yeux ébahis des Messieurs, bouche bée, n’avaient d’égal que ceux, bien plus acérés des épouses ou de ces Dames. Tous, cependant se levèrent et saluèrent Monsieur le Marquis d’Evans qui, sans s’arrêter, rendait à chacun et chacune poliment son salut, d’un hochement de tête d’une manière très distinguée. Soudain, je ralentis, reconnaissant quelques personnes : le DRH de l’Avenue Daumesnil, Monsieur l’Ambassadeur de France en Allemagne, et le Président Directeur Général de la Maison Dior Paris... Le Noble sentit mon « malaise » mais ses doigts se refermèrent sur les miens, conduisant de ce fait mes pas. Une table en forme de U, se trouvait dans la salle, et sans les avoir comptés, je pense qu’il devait se trouver pas moins d’une vingtaine de couples richement vêtus. Que du beau monde, parmi lesquels, des cinéastes et acteurs, très connus en ce temps. Le Châtelain prit la parole, en ces termes :

- Je vous en prie mes amis, veuillez prendre place. Je vous remercie d’être venus ce soir, car en votre compagnie qui m’est chère, je fête un grand évènement : L’entrée d’une Comtesse à Mon service. La Comtesse ici présente que certains d’entre vous reconnaissent pour l’avoir rencontrée auparavant dans... une autre vie, devient dès ce soir Mon esclave.
- Oh ! dirent certaines Dames...

Tandis que les Messieurs opinaient du chef ! Certains autres me fixaient d’un regard froid... je baissais les yeux... Le Maître poursuivit :

- Vous tous ici présents me connaissaient, comme un amoureux des Arts, de belles choses et des belles femmes.
Je ne pouvais faire autrement que de vous présenter ce soir, la plus belle capture qui m’ait été donnée de faire à ce jour.

J’étais rouge de honte... mais je tenais mon rang, cependant. Tête droite, mais yeux baissés, mon corps visible sous toutes ses formes, (je vous rappelle très excitée et donc avec la vulve très humide) je faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour faire honneur à Monsieur le Marquis. Le collier et la laisse que je portais indiquait clairement ma situation. Les convives éblouis, mirent un moment avant que l’un d’entre eux, ne commence mollement un applaudissement, suivi ensuite de quelques autres et finalement se terminant par la levée de tous les Messieurs applaudissant à tout rompre. Une Dame d’un certain âge, lança :

- Mais qu’a donc cette petite grue, Monsieur le Marquis ? Vous qui en avez connue bien d’autres, pour que nous la fêtions ce soir en grand apparat ?

Immédiatement, des regards de convives se tournèrent vers elle avec des yeux réprobateurs, et la Dame regardait autour d’elle comme pour dire : « Qu’ai-je dit d’anormal ? » Le Noble avait un sourire carnassier et répondit :

- Chère Madame, beaucoup de femelles (oh ce terme en si bonne compagnie) ne sont pas dignes de vivre sous Mon toit. J’en héberge cependant quelques-unes que j’espère dresser assez pour les envoyer ensuite dans les communs de Mon Château. Mais la Comtesse que vous voyez ici, ce soir, aura l’immense privilège de partager dès la nuit prochaine, Ma couche. Je vais, plus encore, dresser la Comtesse ici présente, à devenir la meilleure esclave ayant jamais vécue sous Mon toit. Pour cela, et dès maintenant, je lui ordonne de se dévêtir immédiatement.

Un silence glacial régnait dans la pièce et moi-même ne bougeait pas, comme si j’étais dans un autre monde. Le Châtelain prit la laisse à pleine main, tira dessus, ce qui me fit revenir à la réalité, me fit me lever et s’exclama :

- Petite chienne, déshabilles-toi entièrement et montres ce soir à mes Invités, comment je t’ai dressée en si peu de temps.


Il lâcha la laisse, et me conduisit un peu plus loin, sur une estrade qui dominait l’assemblée. Tous les convives étaient assis mais se tournèrent vers l’estrade. Je défis alors le nœud qui tenait ma robe derrière ma nuque, ce qui fit tomber le haut, dévoilant mes seins, tandis que le lamé glissant sur mes hanches, ma robe se retrouva à mes pieds. Debout devant les Invités, le Châtelain me faisant tourner lentement sur moi-même, des

- Ahhh, Ohhh fusaient alors que Monsieur le Marquis d’un signe de main ramenait le silence.

Tandis que le Maître d’hôtel faisait venir les apéritifs, assortis d’amuse-gueules

- Ma petite chienne, si prometteuse mes amis, recèlent des trésors que je voudrais vous faire partager.

Comme ouvrant un coffret à bijoux, il me fit prendre place dans un splendide fauteuil Louis XVIII, et de sa main me fit m’adosser tandis que mes fesses reposaient sur le rebord.

- Mes amis, vous allez assister à quelque chose d’inoubliable, regardez-bien !
- Petite chienne, montre ton sexe et ta vulve bien mouillée à mes Invités ! Ecarte bien tes cuisses, exposant ainsi ta chatte de bonne salope …

Bien que m’attendant à tout, incrédule je le regardais... Mais ses yeux semblaient vouloir me dire Obéis ou sinon… J’écartais mes jambes, ouvrait mon sexe, duquel coulait de la glaire… Des têtes se tendirent, des yeux s’arrondirent… tandis que mes yeux à moi regardaient le sol. Maintenant, regardez bien la qualité de Ma chienne !

- Fais nous une démonstration de branlage, petite chienne, montre à mes Invités, tes qualités exceptionnelles de jouisseuse…

Le Maître se rassit tandis que les Invités se penchaient de plus en plus, certains mêmes sortants de petites jumelles de théâtre pour mieux voir. Alors que les Invités trinquaient entre eux, je commençais mes caresses clitoridiennes... Un invité, (le DRH) se leva et dit :

- Monsieur le Marquis, me permettez-vous de m’approcher d’elle ?
- Je vous en prie, mon ami, faites donc.


Le DRH se leva, s’approcha de moi ce qui fit se lever d’autres hommes, tandis que je me caressais de plus en plus fortement. Bien préparée dans la Rolls-Royce et excitée encore, je fus très vite assez avancée dans l’excitation, au point que je me mis à filer entre mes cuisses, et de ma bouche commençaient de sortir des Ahhhhh et des Hummm. Mon ventre se creusait, des spasmes m’envahissaient, et c’est alors que ayant perdu de vu le DRH, je retrouvais celui-ci derrière moi, enfin ce sont ses doigts que je retrouvais sur mes tétons. Il les pétrissait fortement, les allongeait en tirant dessus vers l’assemblée et commençait de les vriller, de plus fortement. Le résultat ne se fit pas attendre m’envoyant de très loin et très proche des orgasmes que je retenais encore… Ma vue croisa celle du Noble semblant lui dire

- Maître, s’il vous plait, laissez-moi continuer à aller plus loin.

Ses yeux, à la fois doux mais sévères semblaient ne pas vouloir obtempérer à ma supplique tout en me laissant comprendre qu’Il avait compris. Je poursuivais donc mes caresses qui maintenant devenaient beaucoup plus cadencées, deux de mes doigts ayant trouvé tout naturellement l’entrée de ma grotte…

- Mais, elle se doigte maintenant !, dit l’un des convives…
- Chut répondit, Monsieur le Marquis, laissez-la faire et regardez !

D’un regard, il me fit comprendre de poursuivre, ce que je faisais tant bien que mal, tant j’avais envie. Alors que les verres s’entrechoquaient, j’entendis à mon oreille :

- Vas y petite chienne, fais-moi honneur, jouis !

Je rouvris les yeux et vis le Châtelain qui me regardait droit dans les yeux tandis que mes mains et doigts travaillaient comme des fous, mon sexe ultra trempé. C’est ainsi que mes yeux rivés aux siens, je jouis comme une diablesse dans un bénitier. J’explosais littéralement et recommençais mes caresses tant mon potentiel orgasmique est démesuré. Je jouis, dix fois, cinquante fois, cent fois et à chaque fois, de plus en plus violemment... L’auditoire, ahuri, n’en croyant pas ses yeux, recommença très mollement d’applaudir pour finalement, se lever à nouveau, et cette fois, frapper dans les mains sans retenue aucune. Maître me tendait ses doigts que je saisis, et me redressa sur le rebord du fauteuil, cuisses écartées, vulve entièrement trempée… Il me fit descendre de l’estrade, les convives s’étaient levés, surtout les hommes, s’approchant de moi comme pour me toucher, me sentir se prouvant qu’ils n’avaient pas rêvés. Des questions fusaient adressées à Monsieur le Marquis

- Mais où donc l’avez-vous trouvée cette perle ? …

(A suivre …)

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