Collection Escorte. La Jeune Fille De La Fac (1/3)

Je suis en fac à Nanterre, j’habite un petit studio sous les combles, à quelques centaines de mètres, depuis quelques jours dans l’amphithéâtre, j’ai remarqué une petite blonde depuis quelques jours, elle est seule dans son coin semblant être seul sans la moindre amie.
Aujourd’hui quand je rentre, je passe à sa hauteur, tenue stricte de jeune fille sage, devant elle un cahier avec marquer sur une étiquette « Jennifer Durand ».
C’est un renseignement qui peut être utile dans les prochains jours, j’espère bien me rapprocher d’elle.
Une petite fille sage comme elle semble l’être ça plaira à maman qui espère que son fils le plus cher, étant unique, réussira ses études pour devenir avocat dans notre ville à Rennes.

J’ai plus de vingt-trois ans, mais je suis timide, je suis puceau et j’espère franchir le pas le plus tôt possible.
Une idée me vient, la suivre, trouver où elle habite et m’arranger à lui faire croire que la rencontre que je pense faire sera fortuite.
Je suis dix mètres derrière quand je la vois descendre pour prendre la ligne A du RER.
J’ai la chance, il y a peu de monde et je la vois descendre à la gare de Lyon, je la suis et elle entre dans une maison après avoir fait un code pour ouvrir la porte.
Je suis à l’extérieur, il y a des noms avec des boutons d’appel, dix locataires ou propriétaire, une seule Jennifer, mais au lieu de Durand, c’est Martin, c’est étonnant.
En face, il y a un café, je suis attablée depuis une demi-heure quand je la vois ressortir, la petite fille sage est habillée comme une fille de joie avec un maquillage qui souligne son visage.
Talon haut, short plus que cours, il fait chaud, elle a un chemisier blanc qui montre une partie de ses seins, à la fac, ses vêtements cachent ses formes qui sont assez avenantes, elle tire derrière elle, une petite valise à roulette.
Je la suis et la vois entrer dans un hôtel d’une grande chaîne, je vois arriver une voiture bleue décapotable, je le suis, comme si j’étais un client.



• Jennifer est-elle là ?
• Oui, chambre 60, elle vous attend.
• Je vois le gars semblant friqué placer un billet dans la main du réceptionniste.

Je vais pour partir, je viens de découvrir pourquoi Jennifer est une fille voulant rester discrète, c’est une pute qui se fait des clients à deux pas de chez elle.
L’homme arrive aux ascenseurs quand le réceptionniste m’interpelle.

• Monsieur, que désirez-vous ?

Je suis coincé, la seule chose que je trouve à dire, va changer ma vie.

• La jeune femme qui vient d’entrer et rejoindre les chambres avant le monsieur au crâne rasé, elle s’appelle Jennifer.

L’homme me regarde, semblant attendre quelque chose, je vois le billet que celui qui doit être en train de se faire sucer par la petite salope a mis dans sa main.
J’ouvre mon portefeuille, je dispose de 50 €, merde cinq jours sans manger, le billet change de main.

• Oui, c’est Jennifer, elle vient ici régulièrement, pourquoi ?
• J’avais son numéro de téléphone, je devais l’appeler pour venir passer un bon moment avec elle, je l’avais dans un jean et ma mère l’a lavé, le billet était illisible.

La générosité paye.

• Voici sa carte, je les donne à des clients qui cherchent une occasionnelle pour la nuit, il suffit qu’il me demande un oreiller.
• Un oreiller ?
• Dans notre métier, les clients qui veulent une pute sont discrets, s’il nous demande un oreiller dans leur chambre, je leur donne le 06 de la petite, s’ils viennent jusqu’à moi, je leur donne une des cartes qu’elle m’a fournies.
• Merci, je vais pouvoir l’appeler.
• Faites-le, si j’avais les moyens, je me payerais un moment avec elle, voir une nuit, il paraît qu’elle est peu farouche.

Jennifer seulement son prénom, sans adresse que son numéro de portable, je la vois le lendemain, elle est à la bibliothèque de la fac, toujours seule et isolée, je fais son 06.

Je la vois décrocher et regarder si personne ne la remarque.

• Jennifer ?
• Oui, que me voulez-vous ?
• C’est vous qui vous rendez dans des hôtels près de la gare de Lyon ?
• Qui êtes-vous, comment avez-vous eu mon numéro ?

Il faut aller vite pour réfléchir.

• Je suis en ce moment dans ma chambre dans l’hôtel où hier je vous ai vue arriver et demander votre chambre, j’ai compris ce que vous veniez faire, je suis seule pour quelques jours à Paris et j’aurais bien aimé passer la soirée avec vous.
• C’est possible, mais pas ce soir, j’ai déjà un rendez-vous jusqu’à minuit.
• Demain ?
• Oui, si vous êtes encore là, je suis libre, voici mes tarifs.
Un moment, avec pénétration et jusqu’à éjaculation, je prends 500 €.
Attendez, quelqu’un est près de moi.

C’est bien cela, deux jeunes filles viennent de s’asseoir non loin d’elle.

• Attendez, je change de place, vous comprendrez que je cherche à être discrète, j’ai une vie hors des soirées que je passe dans ces hôtels.
Voilà, nous pouvons continuer à parler.

Elle vient de se rasseoir à un autre endroit isolé, je suis derrière un rayon de livre et elle ne peut me voir.

• Donc 500 la passe classique, 1 000 € la soirée, jusqu’à minuit.
1 000 la pénétration simple avec sodomie et 1 500 la sodomie jusqu’à minuit.
J’accepte aussi tout ce qui touche à l’urine, sur moi, 200 € de supplément dans la baignoire, dans ma bouche en avalant toute l’urine pour 500 €.
Enfin, hors de question de pratiquer la scatologie ainsi que le sadomasochisme, si vous recherchez ce genre de fille qui pratique ces spécialités, demandez à Julien à la réception, il vous donnera leur carte.
• Inutile, je suis un homme simple, je suis sûr que nous nous entendrons très bien.
• J’ai oublié de vous signaler, les fellations sont comprises dans toutes les prestations, la capote obligatoire, je les fournis.

500 ou 1 000 pour les classiques ou 1 000 ou 1 500 avec sodomie.
• Je prends là totale à 1 500, ma femme refuse que je la sodomise, j’en ai toujours eu envie.
• Vous serez satisfait, vous savez, j’ai une clientèle fidèle comme l’homme qui était avec moi hier, c’est lui que je vois le plus souvent.
À la réception qui dois-je demander ?
• Antonin, demain à partir de quelles heures ?
• 20 heures, je serai contente de vous rencontrer, bonne soirée à Paris.

Ou je viens de m’embarquer, impossible d’aller à cet hôtel comme je suis, d’autant plus qu’elle passe à peu de mètres de moi, après avoir rangé nos portables, elle me voit.
Si j’ai donné le nom d’Antonin, c’est parce que c’était celui de mon grand-père qui m’est venu naturellement, j’ai souvent entendu mamy dire, quand il tardait à rentrer, c’était parce qu’il était aux putes.
Elle me croise et je me paye le plaisir de lui parler.

• Bonne soirée.
• Vous aussi.

Et elle repart certainement pour se préparer à aller voir son client du soir.
Le lendemain, pas de cours, elle aussi, nous sommes dans le même cursus, je vais à la Poste, je casse mon livret offert par ma grand-mère où je retire 3 000 €, je vais me payer la nuit avec sodomie comme je lui ai dit, je réfléchis, côté vêtements pas de problèmes, j’ai de quoi mettre des effets jamais portés devant elle.
Je regarde un film ou l’acteur va faire un casse et se grime, lunette, moustache et cheveux qu’il teint en poivre et sel, il a environ mon âge et fait vingt ans de plus, c’est comme cela qu’il faut que je sois.
Je fais sur Internet et je trouve, un perruquier non loin de chez moi au je trouve la moustache et la colle, coiffeur, il me place tout, je lui dis que je vais à un bal masqué et que je veux me vieillir.
Je passe à l’hôtel et je réserve une chambre au nom de mon grand-père, un juge pour voir si mon déguisement tient la route, le réceptionniste et le même qui m’a donné la carte de Jennifer, je demande ma clef au nom d’Antonin et je monte sans être reconnu.


On frappe à ma porte, je suis en peignoir fourni par l’hôtel, je me suis lavé cinq fois la queue, j’avais peur qu’elle ne trouve des traces de saleté.

• Entrer, j’avais bien remarqué votre beauté.
• Vous permettez que j’aille me préparer dans la salle de bains, mais avant mon petit cadeau.
• Vous avez raison, voici vos sept billets de 200 et un de 100, j’aurais voulu des billets de 500 à la poste.

J’ai failli lui dire « tu », elle ressort au bout de 10 minutes, je me suis allongé sur le lit mon peignoir ouvert, elle arrive ayant sorti de sa valise une guêpière qui me montre ses seins remontés par l’armature et la chatte dégagée.
Je suis puceau, je dois reconnaître qu’une chatte, surtout épilée, c’est la première fois que j’en voie une en gros plan.
Elle se penche sur moi, me saisit la queue, ma bite est minuscule, elle la met dans sa bouche et je décharge.

• Bien dit donc, tu avais une grosse envie, heureusement que tu as pris là totale jusqu’à minuit, sinon ce serait déjà fini.
• Tu, pardons, vous aviez dit avec pénétration !
• Et ma bouche, si j’ai bien vu, c’est par hasard que tu l’as pénétrée !…

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