Jeanne Au Restaurant

Jeanne au restaurant

Je m’appelle Jeanne ; 40 ans, célibataire, 65 kg 1,70 m 80 C, cheveux roux, chef de rayon dans une grande librairie de Paris.

En vacances chez ma mère à Bordeaux je vais souvent dans un petit restaurant derrière la place des Quinconces

Aujourd’hui, attablée en train de lire ma revue hebdomadaire, je remarque en face de moi un couple dont la femme très élégante, habillée très court avec un corsage blanc laissant deviner une poitrine généreuse, consulte la carte des desserts.

Se tournant dans ma direction la dame dévoile de splendides jambes au galbe parfait gainées de bas ou de collants noirs.
Un regard furtif dans ma direction lui indique que mes yeux sont fixés sur ses jambes.
Sans me regarder, elle croise puis décroise en promenant sa main sur le bas de sa jupe comme pour une caresse. Ces mouvements font remonter légèrement cette jupe déjà très courte jusqu’à découvrir la dentelle du haut de ses bas et la légère attache d’un supposé porte -jarretelles.
Ce manège m’excite, je me sens mouiller mais néanmoins détourne mon regard.

La dame se lève indiquant à son mari qu’elle sort quelques instants fumer une cigarette.
Passant à mes côtés, elle me lance un regard appuyé.
Curieuse, je me lève à mon tour et sors sur ses traces sur le trottoir.
J’allume également une cigarette et c’est elle qui engage la conversation.

« Vous venez souvent dans ce petit restaurant ? »
« Oui quand je suis en vacances, l’ambiance est sympathique et la cuisine à mon goût »
« J’ai remarqué que vous regardiez mes jambes avec insistance »
« C’est plutôt vous qui me les montriez !»
« Je voulais voire votre réaction »
« He bien vous voyez, je suis sorti derrière vous car vous m’aviez excitée. J’avais également flashé sur votre corsage et de près je devine une poitrine agressive »
« Si vous voulez la voire, venez prendre un café vers 15h, voici mon adresse.

Mon mari sera au bureau, nous pourrons bavarder tranquillement de nos fantasmes »

Nous rentrons chacune à nos places comme si de rien n’était.

Un peu sonnée de la rapidité de la prise de contact, je consulte sa carte « Virginie Morange attachée de presse » suivi de son adresse son numéro de tel et son email.
Mes pensées vagabondent en imaginant la séance de découverte qui m’attends. J’ai une envie folle de me masturber mais je crains d’attirer les regards.
Le couple se lève, prend congé du serveur et se retire sans que « Virginie » ne détourne se regard vers moi. « Discrétion ! »

Il est 15 h, je sonne à l’interphone :
« C’est Jeanne du restaurant »
« Montez ! 8ème étage, l’ascenseur ouvre directement dans l’appartement, je vous ouvre »

A l’ouverture de la porte, Virginie est là, debout, drapée dans une longue nuisette violette transparente qui laisse entrevoir sa poitrine sans soutien-gorge, ses belles jambes longues, toujours gainées de noir et son porte jarretelles violet. Apparemment elle n’a pas de culotte et je distingue une touffe abondante dans son entrecuisses.

« Je me suis mise à l’aise, c’est plus sympa pour discuter »

Mon cœur bat très fort, je ne sais quoi répondre et je n’ai pas le temps car Virginie me prend par les épaules et plaque sa bouche contre la mienne. Je sens sa langue qui essaie de se frayer un chemin entre mes dents, je ne résiste pas et nos langues s’enlacent fougueusement.
Je sens mon string s’humidifier et entreprends de de lui caresser le bas du dos quand elle se dégage en me proposant de passer au salon.

« Café ou thé ? Jeanne m’avez-vous dit ? Peut-être pourrions-nous nous tutoyer ?»
« Bien volontiers, je préfère un thé »

En attendant, je prends place sur un fauteuil profond qui met mes jambes légèrement en hauteur et retrousse ma jupe jusqu’en haut de mes bas.

La pièce est richement décorée de tableaux suggestifs, de dries, de grandes potiches chargées de fleurs et feuillage, de coussins jetés à terre.
Une grande table basse en marbre rose sépare les fauteuils du canapé de velours noir. Le tout baigné dans une lumière diffuse s’échappant de quatre splendides lampes Tiffany Une légère musique aux accents orientaux ajoute une note envoutante à cet univers

Virginie réapparaît avec le service à thé, le pose délicatement sur la table et en se penchant, dévoile la naissance de ses seins. Superbe ! Mon regard est figé. Elle s’en aperçoit et m’adresse un délicat sourire.
« Plus tard, parlons un peu de nous »me lance-t-elle. »

En s’assoyant en face de moi dans le canapé, les pans de sa nuisette s’ouvrent en dégageant ses jambes légèrement écartées et me confirment une abondante toison autour de sa chatte.

« Alors, mademoiselle, les femmes vous excitent ? »
« Tu peux dire « madame » j’ai 40 ans. Je gère ma libido par la masturbation, j’adore me branler en regardant des films pornos, principalement de lesbiennes qui se gouinent et j’utilise toutes sortes de sextoys et d’objets de la vie courante. Je n’ai eu que de rares expériences avec des femmes mais au restaurant, tu m’as passablement excitée. »

« C’est ce que je cherchais quand j’ai vu ton regard sur mes jambes. »
« Donc toi tu aimes les femmes, tu les provoques et tu baises avec elles »
« Oui qu’elles soient belles comme toi ou moches pourvu qu’elles aient un corps désirable. Je suis plutôt dominatrice mais j’aime qu’elles aient aussi des idées »

Virginie se lève s’approche de moi, écarte son déshabillé et me présente un corps de rêve.

« Tu voulais voir mes seins, caresse-les, suce les mamelons, branle-les. »

Super excitée, je me lève me frotte contre elle et dévore des mamelons avec fougue, je sens ma chatte se vider dans mon string et mon liquide coule le long de mes cuisses. Une main de virginie remonte ma jupe et fouille mon entrejambes.

« Tu mouilles comme une salope. Déshabille-toi, donne-moi ton string trempé que je l’enfile.
J’adore me branler avec les petites culotes des autres et viens que je te suce »

La table débarrassée, je m’installe sur le dos. Le marbre est froid mais c’est bon !

« Oui, suce-moi et pénètre-moi avec tes doigts, j’ai envie que tu me baises »

Un doigt, puis deux, trois et la main entière de Virginie me fouille le con.

« Arrête je vais jouir ! »
« Non. Jouis et envoie-moi ton jus, j’en ai envie »

L’orgasme est à son paroxysme j’éclate dans une jouissance bruyante, je crie de plaisir et un flot de cyprine jaillit dans la bouche de Virginie.

« N’avale pas, je veux voir le goût de ma mouille passée dans ta bouche »

Nos bouches se joignent et les échanges me font jouir une deuxième fois.
Virginie me badigeonne la figure de salive et de jus et me nettoie avec sa langue.

« Virginie, j’aimerais que tu te branles devant moi jusqu’à l’orgasme. Tu n’as pas joui toi »
« Tu ne t’en n’ais pas aperçu mais j’ai joui trois fois en silence. Regarde ma chatte en est encore mouillée »

Ces paroles m’excitent tellement que je la prends par les anches et frotte mon nez et ma bouche sur ma culotte qu’elle avait enfilée ; Je découvre cette forêt de poils effectivement trempe. J’atteins son clito et l’aspire pour mieux le sucer ce qui déclenche à nouveau chez elle un orgasme ponctué de jets de cyprine.
Je me délecte de ce nectar.
Soudain le téléphone retenti et casse nos ardeurs.

« Je sais qui c’est, je rappellerai plus tard »
« C’était bon ! tu as apprécié Jeanne ? »
« Oh oui mais j’aurais voulu continuer Virginie »
« Moi aussi. Je voudrais m’occuper de ton cul, la prochaine fois, je te baiserai avec mon gode ceinture »
« Rien que d’y penser, tu me fais mouiller à nouveau. Mais redonne-moi mon string »
« Non je le garde, je me branlerai avec en souvenir »
« OK mais alors donne m’en un à toi »
« Tiens, prends celui qui est sur la petite table là »
« Laisse-moi essuyer ta mouille avec pour mon souvenir à moi »

Cela dit, je passe le string et me rhabille.


Nous nous quittons., un baiser sur le front et une caresse au niveau de nos chattes.

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