La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1071)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

Nous arrivâmes enfin dans une pièce, plus petite … et dans laquelle l’ambiance me faisait penser à une salle de « détente ». Plusieurs esclaves femelles s’y trouvaient devisant doucement entre elles. Plusieurs étaient marquées sur le corps... Quand nous entrâmes dans la pièce, la porte s’ouvrant d’un coup de pied rageur de Walter, médusées et ébahies de l’entrée violente du Majordome, les femelles hésitèrent une fraction de seconde, puis toutes ensemble se mirent en levrette, prosternées attendant les ordres.

- Vous allez... (reprenant son souffle, ivre de colère contenue) Vous allez prendre cette femelle, la récurer entièrement, (en insistant fortement) je dis bien récurer, je veux le nettoyage complet... Vous la préparerez pour le retour du Maître et je ne veux plus voir aucune trace de foutre en elle. Comprit cria-t-il !

Ebahie par la soudaineté de l’entrée de Walter, elles répondirent à demi-mots :

- Oui Monsieur Walter, bien sûr Monsieur Walter...

Celui-ci s’en retourna en claquant la porte avec tant de force que personne n’aurait été étonné qu’elle ne cédât sous le coup. Je restais ainsi, debout devant les esclaves apeurées qui se relevaient, je les regardais, tandis que de ma chatte s’écoulait encore le reste du sperme de l’esclave mâle. Virginie (c’était l’une des esclaves présentes) s’approcha de moi, et très doucement me dit gentiment :

- C’est toi l’esclave Isabelle dont tout le monde parle tant depuis un moment ?
- Heu… je ne sais pas mais oui je me nomme Isabelle, en effet.
- Suis-moi ! me dit-elle doucement...

Virginie était une belle esclave, racée. Son corps félin à la musculature fine mais réelle, dégageait une sensualité à fleur de peau, et sa démarche montrait à qui savait lire, qu’elle devait être une parfaite esclave, sachant contenter les plus exigeants.

Quelques anciennes traces de coups, ajoutaient encore à son charme. Elle portait un collier métallique et marqué des Initiales du Maître et une bague ayant sur son socle un anneau dont je ne pus distinguer les marques qui y étaient inscrites.

- Ici, on n’a pas de droit de communiquer entre nous, sauf pour dire : Fais ceci ou cela ou pour expliquer, quand on y est autorisées, comme en ce moment. On est très surveillées, il y des caméras de partout. J’ai ordre de te laver complètement et surtout, intimement, Maître ne doit pas se rendre compte que tu as, à l’évidence, été souillée (disant cela, elle regardait le sperme s’écouler hors de ma chatte). - Allez, viens te couler dans ce bain d’abord !

Un bassin, que dis-je, une petite piscine bouillonnait dans un amas de mousse odoriférant dans laquelle des myriades de bulles semblaient danser. Je gravis les trois marches me permettant de m’y plonger, la température de l’eau qui était à point et m’y coula béatement... La chaleur bienfaisante de l’eau, les sels qui y avaient été ajoutés, la détente que cela me procurait, tout me conduisait à un bien-être total, dans lequel, je m’abandonnais voluptueusement. Une petite musique de chambre arrivait à mes oreilles, pensant à un enregistrement, musique qui participait à ma détente. Subitement la musique s’arrêta et repris, quelques mesures auparavant, une fois, deux fois, trois fois, assez pour me faire lever les paupières disant doucement à Virginie :

- Un problème de sono ?
- Non, ma chère, ils répètent !
- Ils répètent, qui donc « répètent » ?
- Les musiciens, me répondit-elle !
- Des musiciens ? Quels musiciens ? Des jeunes élèves ?...

Virginie ne put s’empêcher d’émettre un rire, vite étouffé entre ses doigts.

- Non ce sont des professionnels qui préparent une soirée comme Le Maître en donne de temps en temps !
- Je ne savais pas qu’Il appréciait autant la musique de chambre, répondis-je.

- Tu sais, le Maître aime toutes les belles choses, les Arts en général comme la peinture par exemple ! Et la musique, entre autre, en fait partie aussi. Mais assez parlé, je vais te laver maintenant.

Derrière moi, ses mains, « armées » d’éponges passaient et repassaient sur mon corps, inspectant chaque millimètre carré de ma peau. J’avoue que les éponges, d’une douceur incroyable, ajoutés aux mains très douces et coquines de Virginie me faisait planer en un monde onirique... Les choses se précisèrent et s’amplifièrent quand elle s’attaqua à mon entre jambe, qu’elle inspecta méticuleusement, les lavant, clitoris, grandes lèvres me demandant ensuite d’ouvrir mon sexe, s’attardant sur les petites lèvres, pour finalement introduire deux doigts, puis trois en ma vulve. Je ne savais pas si elle me lavait ou me caressait mais peut-importe, son « lavage était d’une telle douceur, méticulosité, que je me laissais aller aux délices du toucher des doigts de Virginie qui s’en rendait compte naturellement. Lorsqu’elle ressorti ses doigts, j’avais les yeux fermés et émis un gémissement comme pour dire :

- Non, continue...
- Chuut, ne dis rien... si on t’entendait... Ne bouge pas je reviens pour continuer ton lavage intime.
- Ah !, dis-je étonnée pensant que c’était fini ?

Virginie quitta le bain, et s’en alla vers une armoire... Elle en revint armée d’un bel objet qui me fit ouvrir tout grand, pour le coup, les yeux ! Elle avait dans ses mains, un gode, d’une telle taille et grosseur que j’en fus surprise n’en ayant encore jamais vu ainsi. De plus, tout autour, il avait comme des « plumes » et à sa base, une ouverture une tige filetée.

- Qu’est-ce que c’est dis-je doucement à Virginie ?
- (Toujours très doucement, presque à mon oreille), quelque chose pour te nettoyer complètement l’intérieur. Ecarte bien les cuisses, les jambes et ouvre ton sexe, le plus possible, s’il te plait. Mais avant, sors du bain et rejoins-moi sous la douche !

Je sortis à regret toute mouillée du si délicieux bain de mousse, et rejoignis l’esclave Virginie sous la douche, qui m’arrosa d’eau chaude à souhait.
Face à la belle esclave femelle, j’écartais mes jambes, et ouvris ma chatte...

- Plis un peu sur tes genoux, présente-moi ton « minou », ma belle...

J’obtempérais, tout en voyant l’esclave brancher le gode sur un tuyau et l’essayer à côté de moi. Elle appuya sur un bouton et un jet en forme de pluie en sort sur le « gland empli de petits trous » et sur les côtés...

- Tu es prête, me demande-t-elle ?
- Oui !

Elle introduisit le gode doucement dans ma chatte, mais profondément cependant, fit quelques va-et-vient et bien que sur la défensive, je ne pus résister à la douce sensation qui envahit mon bas-ventre. Subitement, bien enfoncé en moi, l’esclave femelle mit en marche le gode en appuyant sur le bouton libérant l’arrivée de l’eau. Curieuse sensation, pas désagréable, sentant ces jets frapper tout l’intérieur de ma chatte. Autre bouton, les plumes se mirent en marche, raclant doucement l’intérieur mais me donnant de curieuses sensations comme si une multitude de doigts me fouillaient agréablement... Régulièrement le jet d’eau se remettait en marche, me surprenant à chaque fois. L’esclave faisait des allers et venues réguliers ce qui, avec le jet d’eau et le toucher des plumes, commençait de me donner des envies orgiaques. Elle s’en rendit compte naturellement, de son pouce, elle commençait à titiller mon clitoris, ce qui me faisait m’offrir encore mieux pour le « lavage » intime.

- Laisse-toi aller Isabelle, me dit l’esclave, ce que je dois enlever absolument, c’est le foutre que l’autre t’a laissé en toi... Par ailleurs, le Maître m’a autorisée à te faire du bien dès que je t’aurai entre mes mains. Donc ta visite était comme attendue !
(Dans un soupir languissant, je répondis) - Ouiiii, ohhhh que c’est bon ton lavage, je ne connaissais pas cette sensation...

Je m’abandonnais à ce doux nettoyage intime quand la porte s’ouvrit sur Walter et un homme de fort bel aspect, parfaitement bien habillé.
Le Majordome lui donnait du « Monsieur » respectueux par ci, par-là, et semblait être très déférent. Instinctivement je me redressais mais Walter, sur un ton autoritaire dit :

- Ne bouge pas, salope !

Puis à l’esclave Virginie qui s’était inclinée devant les Messieurs :

- Continue ton travail, toi !
- Oui, bien sûr Monsieur.

Virginie reprit donc très vite son gode et se remit à me « laver ». Ce faisant, elle renfonçait plus vigoureusement son objet en moi, ce qui me fit lancer un ‘Ahhh’ sonore d’envies...

- Vous avez là un spécimen, que dis-je, Le spécimen parfait de la chienne idéale. Elle est la dernière trouvaille de Monsieur le Marquis qui, en ce moment, la dresse peu à peu... Mais elle est fougueuse, la salope...

Vous aviez compris de qui, Walter parlait. Le visiteur n’avait d’yeux que pour moi, toujours jambes écartées, cuisses à demi-pliées, tenant ma vulve grande ouverte... De sa canne au pommeau d’or, il me faisait comprendre d’écarter encore plus, ce que je fis, tandis que Virginie continuait son œuvre. Un autre coup de canne à demi rotatif me fit comprendre de tourner sur moi-même, ce qui rendait plus difficile le travail de Virginie mais sans l’arrêter cependant. Tournée, je sentais le regard de « maquignon » de l’homme sur moi… Du bout de sa canne, il descendait le long de ma colonne vertébrale...

- Belle plante assurément, dit enfin le visiteur. Pourrais-je l’essayer ? Le Majordome, prit de court, répondit :
- Ah non, Monsieur, je n’ai pas d’instruction pour cela mais la seule chose que je puisse faire pour vous est de lui ordonner de vous sucer, vous assurant qu’elle a un don en la matière. Le Maître veut la garder pour Lui pour les pénétrations, sauf contre-ordre de Sa part.
- Je comprends, je comprends, répondit le visiteur mais je veux bien en effet que vous me l’envoyiez pour une bonne fellation, je pourrai ainsi la tester, cette belle salope de chienne...
- Bien sûr, Monsieur, je vais ordonner de vous la préparer, si vous voulez me suivre, dans le salon doré...

Avant de partir, le visiteur s’approcha de moi, me prit le visage entre ses doigts, au niveau entre les deux mâchoires, serra très fort, me faisant ouvrir la bouche, tandis que de l’autre main, il se saisit de mon téton gauche dans lequel il enfonçait lentement ses ongles en « raclant » l’intérieur de mes chairs... En même temps, il me fixait intensément, et dans ses yeux gris acier, je sentais tout le sadisme de l’homme... Subitement il lâcha le téton (ce qui me fit très mal) et il me tapotait la joue, toujours en me fixant intensément et dit :

- Oui, Walter, préparez-moi cette petite... oie, je sens qu’elle a du répondant, en effet.
- Bien sûr, Monsieur, lui répondit le Majordome, je peux assurer à Monsieur qu’il ne sera pas déçu.
- J’y compte bien, Walter, j’y compte bien (toujours en me fixant avec une intensité encore augmentée)…

(A suivre …)

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