Cécile 37 Ans Et Greg 18 Ans

Les jours s’écoulent doucement dans cet hôpital de province, baigné par cette lumière artificielle et cette odeur de propreté qui rassure les gens. Tout ici apparaît superficiel, le personnel qui semble détaché des malades et de leurs problèmes, les lits et meubles semblables, les couleurs usuelles. Pourtant nous sommes dans un service de maladies infantiles et les gens ont bien besoin d'être rassurés. Pas tant les malades d'ailleurs que leurs parents, bien que les maladies soignées dans ce service ne soient pas très graves en général.

C'était le cas de Néo, qui venait pour faire des tests il y a quelques jours. Néo était accompagné de sa mère, grande femme blonde avec les cheveux longs et une frange qui descendait sur ses yeux et qui devait avoir la fonction de la cacher du monde alentour. Lorsque Néo dormait, Cécile – c'était son prénom - traînait son fantôme dans les couloirs de l’hôpital sans échanger un mot avec quiconque. J'avais pourtant remarqué son visage doux et ses yeux clairs qui se terminaient sur deux petites joues rondes et un mince sourire élégant. Elle avait un charme naturel qui ne me laissait pas indifférent.

Je pense qu'à ce stade je dois me présenter. Je me prénomme Greg, j'ai 18 ans depuis quelques semaines et suis étudiant en prépa médecine. Je suis en stage dans un hôpital avec le seul but de définir si ce métier me convient. Comme je ne suis pas encore étudiant en médecine, je n'ai pas le droit de m'occuper des patients et peut seulement regarder, de loin, de très loin. Autant dire que je passe beaucoup de temps dans les couloirs à faire des allées et venues dans cette blouse blanche trop large pour moi. Grand et élancé, pas très musclé, aucune blouse ne me va vraiment. Cette situation ajoutait au fait que je donne l'impression de n'avoir rien à faire dans ce lieu.

Je peux néanmoins attester que porter un blouse fait parfois un médecin, en tous cas aux yeux de bien des gens.

Ils me regardent différemment, comme si j’avais été médecin, Beaucoup me demandent un tas de renseignements auxquels je ne peux répondre et je les renvoi presque illico vers le bureau des infirmières. Ceci avait un petit goût de frustration pour moi car j'aurais réellement aimé les aider. Mais d'un autre coté, tout le monde dans l’hôpital renvoi vers le bureau des infirmières, soit parce qu’ils n'avaient pas le temps de répondre, soit parce-qu’ils n'avaient pas envie. C'est devenu une sorte d'habitude.

En me promenant dans les couloirs j'avais remarqué depuis quelques jours la présence de cette dame effacée, grande et élancée comme je les apprécie. Cécile avait 37 ans et accompagnait son fils hospitalisé. Elle avait également 3 autres s, tous assez jeunes. J'avais lu tout cela dans son dossier car je n'avais pas encore eu le courage d'engager la conversation avec elle. Cécile passait beaucoup de temps dans la salle de jeu avec son fils et, pendant qu'il jouait, elle passait de longs moments les yeux rivés sur son téléphone. Toutefois quand je passais, ce qui m’arrivait souvent compte tenu de mon emploi du temps désertique, j'ai pu remarquer à plusieurs reprises qu'elle levait les yeux de son écran et accompagnait ma silhouette du regard. Sentir ses yeux posés sur moi me rendait très songeur et n'était pas pour me déplaire. A 18 ans à peine passés, je n'avais que peu d'expériences amoureuses et uniquement avec des filles de mon age. Toutefois l'idée d'une aventure avec une femme mariée - cela aussi je l'avais lu dans son dossier - et que j'imaginai d’expérience aiguisait mes sens. En passant, je me demandais combien elle avait pu connaître d'hommes par le passé et si elle serait intéressée par un jeune homme sans le charisme de l'age mais avec la certitude et la fougue de l'enfance qui ne se sont pas encore éteins réellement.

Je prétextais un changement de chambre pour Néo pour entamer la conversation et faire un peu mieux connaissance. J'avais placé un stéthoscope autour de mon cou pour donner l’illusion mais je ne crois pas que cela la trompa.
Toutefois l'idée de jouer ce rôle ajoutait encre du piquant à mes sens qui se trouvaient de plus en plus en émois. Mes mains tremblaient quelque peu et mes regards insistants posés sur le corps magnifique de Cécile trahissait mon envie d'elle. Je crois qu'elle l'avait remarqué et son sourire qui ne quittait pas son visage qui m'observait semblait dire «je t'ai compris». Nous échangeâmes un long moment sur son fils, sa maladie et l’hôpital en général, son travail d'architecte qu'elle avait mis entre parenthèses depuis que son fils était tombé malade. Je lui proposais finalement de l'emmener visiter la nouvelle chambre que les aides soignantes avaient préparé pour Néo et lui proposais de m'accompagner seule en laissant son fils entre les mains de l'animatrice présente dans la salle de jeu à ce moment la. A ma grande surprise mon stratagème fonctionna puisque Cécile accepta sans discuter et pris même les devants en sortant de la salle de jeu en premier. J'en profitait pour poser un regard sur ses fesses minces et musclées emprisonnées dans un jean taille basse très serré. Son pull, également serré, laissait entrevoir la fin de la courbure de son dos.

En entrant dans la chambre, je posais la main sur l'arrière de son épaule pour lui expliquer le fonctionnement des appareils et la vue de la fenêtre sur le parc. Loin de chercher à s'échapper, elle se rapprocha ostensiblement de moi et nos deux corps se touchèrent. Je reçu une décharge de désir si forte que je ne pu me retenir et l'attirait vers moi. Elle tomba dans mes bras et nos lèvres se cherchèrent, puis se touchèrent et nous échangeâmes un long baiser. Sa langue vint à la rencontre de la mienne et nous nous sommes embrassés de plus belle. Nos mains se lièrent puis nos corps s'enlacèrent Mon cœur battait à se fracasser contre ma poitrine et ma main tremblait de plus belle. Je m’enhardis néanmoins et ma main s'égara sous le pull de Cécile. elle vint s'entourer sur son sein, petit mais ferme dont la pointe extrêmement dure trahissaient son excitation.
Mes lèvres parcouraient maintenant son cou et je pouvais sentir son souffle court sur mon oreille. Son parfum m’enivrait et je l'attirai un peu plus contre moi. Mon ventre vint se frotter contre le sien et elle pu ainsi sentir à quel point j'avais envie d'elle. Elle semblait très excitée également. Je descendais ma main vers son ventre et elle écarta légèrement les jambes pour mieux me laisser passer, Je maudit ce jean qui m’empêchait d'avoir un accès direct à son intimité et me contentait de la caresser à travers le tissus épais.

Elle défit alors la boucle de sa ceinture, ouvrit son jean et le descendit en même temps que sa culotte sur ses cuisses. Elle prit ma main et la dirigea vers son sexe. Mes doigts entrèrent en contact avec son intimité et je perçu en même temps la force de son excitation. Elle était trempée et le liquide coulait même le long de ses cuisses. Le contact avec mes doigts la fit littéralement fondre et je recueillais sur ma main son plaisir à l'état pur. Plus tard elle m'avouera n'avoir jamais été aussi excitée auparavant. Elle prit ma main pour faire entrer mes doigts en elle et me guida à l'intérieur. Elle écarta encore les cuisses pour que je puisse passer plus facilement, plus vite. Au comble de l'excitation elle ne tenait plus. Mes doigts fouillaient son intimité depuis quelques secondes quand son corps entier fut pris de spasmes. Elle jouit si fort qu'elle s’écroula un moment sur moi et je du la retenir, presque inconsciente. Enfin elle retira mes mains de son vagin et plongea son regard dans le mien. Elle m'embrassa ensuite avec force et mon excitation redoubla. Elle s'agenouilla devant moi et défit la boucle de ma ceinture avec rapidité et extirpa mon sexe de mon pantalon. Elle le regarda un moment en semblant l'admirer et le caressa entre ses longs doigts fins. Il était tendu, durci à m'en faire mal et j'étais au comble de l'excitation. Cécile déposa quelques baisers dessus avant de l'engloutir en entier dans sa bouche. Elle commença alors un lent mouvement de va et viens légers, chaud, humide, tout en continuant de me caresser de sa main.
Je fermais les yeux et m'abandonnait à cette douceur qui me submergeait entièrement. Je joui rapidement et abondamment. Elle ne fit rien pour se retirer et mon sperme emplit sa bouche délicate. Voulant prolonger ce moment, elle aspira les dernières gouttes restantes et je pu voir en l'admirant ses joues qui se creusaient légèrement sous l'effet de l'aspiration.

Enfin elle se retira et remonta le long de mon corps jusqu'à ce que ne regards se croisent. Elle me sourit ce qui eut pour effet de faire battre à mon cœur encore plus la chamade. Un filet de sperme perlait sur le coin de sa lèvres inférieure. Je le pris de mon doigt pour l'effacer mais elle s'interposa et lécha mon doigt pour récupérer ces ultimes gouttes. Puis elle remonta sa culotte, son pantalon et se réajusta devant moi. Elle me serra fort dans ses bras une dernière fois et glissa dans le creux de mon oreille :
Il y a longtemps que je n'avais pas avalé
Je la serrai contre moi mais elle s'échappa et s’enfuit sans se retourner. Je me réajustai à mon tour et quittait la pièce rapidement. En passant devant la salle de jeu, je la vis à nouveau auprès de son fils en train de jouer avec. Je cherchais son regard mais ne le trouvai pas. Une fois passé devant la salle, elle leva les yeux et regarda ma silhouette s'évaporer au loin dans le couloir. Je ne m'en rendis pas compte et retournai à mon travail virtuel avec mon esprit englué dans ce parfum que je n'oublierai jamais.

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