Ma Mère, La Raison De Mon Voyeurisme

Retour en arrière. Pour ceux qui peuvent se demander comment on peut être voyeur et ne pas intervenir en voyant sa femme se faire prendre dans tous les sens par des inconnus, je vais expliquer pourquoi depuis mon adolescence j’ai préféré regarder que choisir l’affrontement. Ado je vivais avec mes parents, Nicole et Pierre et ma sœur Catherine. Mon père, représentant n’était pas souvent à la maison, ma sœur était délurée, plus âgé que moi elle ramenait des copains en l’absence de ma mère. Les flirts gentillets ont vite laissé la place à des parties de baise que je matais à mon aise caché dans le couloir ou par la fenêtre de sa chambre. Je me masturbais en la regardant se faire baiser, tout en faisant attention au retour de ma mère. Ma mère, Nicole était une femme forte, c’est elle qui faisait tourner le ménage, s’occuper de la maison et nous diriger d’une main de fer. Brune aux cheveux long, grande et bien charpentée elle avait des formes que l’on qualifierait de « généreuse », une poitrine toujours prête à déborder de son corsage et des fesses rondes et énormes. L’air toujours très sérieuse elle passait pour une maîtresse femme dans le quartier. Si elle avait eu vent des parties de jambes en l’air de ma sœur ou de mes branlettes dans le couloir, nous aurions passé un sale quart d’heure ! Enfin c’est ce que je pensais jusqu’au jour où je l’ai surprise en fâcheuse position. Ce jour-là je devais me rendre chez un copain et ne revenir que tard dans la journée, manque de chance (ou pas) en arrivant chez lui j’appris qu’il avait dû partir pour je ne sais quelle raison. Je n’avais plus qu’à rentrer chez moi. De retour, il y avait devant la maison une camionnette, oui j’avais oublié la que la baignoire était complétement bouchée et en l’absence de mon père, ma mère avait appelé le plombier. Je rentrais et direction ma chambre, je n’avais pas envie de les voir, ni ma mère avec qui j’avais encore eu des mots avant de partir, ni le plombier que j’avais déjà croisé, un type costaud, un peu rougeaud avec une grande gueule, désagréable.

Peu de temps après je décide d’aller prendre un verre dans la cuisine, apparemment ils sont dans la salle de bain, j’aperçois ma mère, les bras croisés sous sa grosse poitrine ce qui a pour effet de faire gonfler ses seins, comme si c’était la peine, elle porte sa robe à fleurs bleus et attend que le travail avance. Le plombier lui s’affaire sous la baignoire. En sortant de la cuisine, le plombier est debout devant ma mère, c’est bon il a fini, il va pouvoir partir. Mais le dialogue qui débute me pousse à rester dans le couloir.
Le plombier : Bon voilà c’est fait
Ma mère : c’est pas trop tôt
P : ça prend toujours un peu de temps ces choses là, c’était bien bouché
M : on va pouvoir se rafraichir, ça va faire du bien (on était en Juillet)
P : oui c’est vrai, …en plus il doit plus vous en rester beaucoup !
M : de quoi ?
P : des poils de cul ! c’est ça qui bouché la baignoire
M : non mais… ça va pas ?
P : ça va très bien au contraire, je peux vérifier ?
M : non…mais
Ce disant le plombier se rapproche de ma mère et lui pose la main sur la chatte, je suis sûr qu’il va se ramasser une baffe, mais non ! il continue à frotter la paume de sa main au travers du tissu léger de la robe.
P : il y a l’air d’en rester, t’as pas de culotte là-dessous ?
M : non mais arrêtez enfin.
P : quoi ! t’as pourtant l’air d’apprécier, t’es toute mouillée
Ma mère ne dit plus rien, le rouge monte à ses joues.
P : tu vas voir je vais te montrer quelque chose, tu sais comment on m’appelait au régiment : le poney, tu vas voir pourquoi.
Il se recule, ma mère qui aurait dû le chasser, la femme droite et rigide que je connaissais ne disait rien devant ce type qui sortait son sexe devant elle !
P : Alors tu comprends pourquoi le poney ?
M : c’est pas possible !
P : et encore elle est pas en pleine action.
Effectivement je n’avais jamais vu une queue aussi grosse, elle lui descendait presque au genou et il commençait à se branler devant ma mère qui n’en revenait pas non plus.

P : c’est pas ton mari qui en a une comme ça, hein, allez tourne toi je sais que tu en crèves d’envie !
Docilement Nicole se tourne et se penche en avant les deux mains en appui sur la baignoire, le plombier tout en continuant à se caresser, relève la robe et pour la première fois de ma vie je vois le cul de ma mère, un beau gros cul blanc et rond. Il se place derrière elle et frotte sa bite de poney le long de la raie de ma mère. Nicole écarte les cuisses naturellement, il descend sa queue entre les cuisses et s’enfonce dans le ventre de ma mère qui ne peut s’empêcher de crier en recevant le morceau. Le plombier commence à s’activer tandis que les doigts de ma mère agrippent la baignoire.
P : Putain t’es large toi, tu vas tout prendre.
M : non tu vas me déchirer !
P : mouillée comme tu es ça m’étonnerait !
Au fur et à mesure de cette levrette le cul de ma mère devient de plus en plus rouge, les allers-retours de cette bite géante font jouir ma génitrice. Voir ma mère se faire baiser comme une pute par ce mec m’excite, je bande et me caresse à travers mon jeans. Ses seins sous les coups du plombier sont sortis de la robe qui ressemble maintenant à un torchon, quand le plombier s’en aperçoit il éclate de rire.
P : ben dis donc en voilà une belle paire de mamelle ! tourne-toi et à genoux maintenant ! une belle branlette espagnole pour te finir ça va être bon !
Ma mère se fait insulter par ce type mais elle joui sous ses coups de bite et lui obéi sans discuter !
La queue du plombier prend place entre les nichons, il joue avec les loches de ma mère les faisant monter et descendre le long de sa queue.
P : tu vas voir, on faisait des paris à l’armée, un plein verre de foutre que j’arrivais à remplir, tu vas être gâter ma grosse !
La bite glisse entre les nichons de ma mère jusqu’à sa bouche, au moment où le plombier lui dit d’ouvrir la bouche pour la remplir, j’éjacule dans mon pantalon et lui dans la bouche de ma mère.

Il avait raison il y a de quoi remplir plus d’un verre, la bouche de Nicole déborde, le sperme coule sur ses seins et ses cuisses. Le plombier a joui dans un grand râle et maintenant il se rhabille, ma mère se lave dans le lavabo et je me retire discrètement dans ma chambre.
Depuis ce jour je n’ai jamais joui autant qu’en voyant les femmes que j’aime se faire baiser. (Sauf peut-être en me faisant baiser moi-même mais ça c’est autre chose…)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!