La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1081)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

… tantôt ma fesse droite, tantôt la gauche… A ce rythme mon fessier fut rapidement en feu, tandis que la tige énorme du Majordome continuait son rôle de piston que rien ne semblait pouvoir arrêter. Par moment, ses coups de reins étaient si violents qu’ils me faisaient avaler plus profond le sexe du gynécologue déjà bien enfoncé dans ma gorge… La séance durait me semble-t-il, déjà près de 25 minutes sans que les deux mâles n’aient éjaculé mais que les deux battoires de Walter, poursuivaient de rythmer ses aller/retours. Je sentais mon clitoris vibrer comme jamais ! Je suais à grosses gouttes, les ongles du gynécologue enfoncés dans mes tétons qu’il faisait rouler maintenant, les vrillant avec sadisme tout en les étirant vers lui. Je compris qu’il m’étirait à lui pour me faire sucer son propre sexe et ensuite c’était Walter qui m’attirait à lui comme dans une sorte de balançoire perverse.

Je commençais de sentir le gland violacé de Walter grossir encore, tandis que celui du gynécologue était trempé de liquide pré spermatique et gorgé d’excitation quand enfin les deux mâles jouirent en moi en même temps, le Majordome dans le fond de mon cul, ses poils pubiens collés à mes fesses, dans de longs râles de mâle en rut tandis que le gynécologue jutait directement dans le fond de ma gorge manquant de me faire rendre. Les jets de spermes se succédaient par saccades accompagnés également de râles de plaisirs jouissifs Remplie ainsi, par devant et derrière, les deux mâles ne bougeaient plus, le gynéco posant sa main sur ma nuque, plaquait ma bouche complètement sur sa verge que je sentais encore dur, tandis que Walter s’agrippant à ma taille me tenait enfoncée sur lui jusqu’au fond en coït profond. Le gynécologue enfin me lâchât, « reprenant » son sexe, tandis que Walter se retirait doucement de mes entrailles mais sans sortir cependant.



- Etonnante votre dernière trouvaille ! dit le gynécologue. En effet, elle a une manière de pomper les queues que je ne connaissais pas, a-t-elle toujours fonctionné ainsi ?
- Pour autant que je m’en souvienne, oui en effet ! répondit Walter, mais regardez plutôt, je vais la reprendre à nouveau et elle va « repartir », regardez !

Le Majordome, qui n’était pas sorti de mon cul, se renfonçait à nouveau en mes fesses, lentement mais très profondément, les écartant de ses mains puissantes pour y plonger le plus possible. De nouveaux coups de reins, très forts le faisaient presque ressortir et s’enfoncer totalement en moi, me labourant l’intérieur du cul… Je me remettais à mouiller comme une véritable salope, insatiable, avec un clitoris démesuré, vibrant comme exigeant lui aussi sa part de sensations. Le gynécologue, revenu aux côtés de Walter qui, agrippés à mes flans, me pistonnait tant et tant, regardait la scène avec des yeux de professionnel, prenait des notes sur une sorte de calepin, s’en alla et revint avec une sorte de vibro posé sur un petit trépied monté sur des roulettes, qu’il glissa entre mes cuisses au niveau de mon clitoris. Il en régla la hauteur de façon à ce que l’outil effleure mon clito, tandis que le Majordome poursuivait son puissant pilonnage à l’intérieur de mon ventre.

Le « travail » de Walter, ajouté à sa première intervention, me faisait ressembler à une chienne en rut, et les préparatifs du médecin, ajoutaient à mes excitations que j’avais de plus en plus de mal à contenir. Indépendamment du Majordome, le gynécologue poursuivait son action, collant sur mes reins des pastilles autocollantes, ainsi que sur mes ovaires, pastilles reliées à des fils allant jusqu’à un ordinateur…. Pour autant que je le puisse, je suivais les préparatifs du médecin, sous les assauts maintenant devenus plus violents du Majordome. Le médecin mit en marque son ordi, et immédiatement, le vibro calé sur mon clito m’envoya une telle décharge de vibrations que :

- Ahhh, hurlais-je de douleurs et de plaisirs mélangés ressentant les décharges électriques envoyées dans les fils branchés sur mon corps…

J’étais à la fois surprise mais surtout subissait un excitant « massage » d’une telle intensité que je faillis tous lâcher en une seconde.
Le médecin régla son ordi, les vibrations se firent en alternance, plus douces (c’est un euphémisme) et subitement plus violentes. Je regardais mon bas-ventre et quand les vibrations étaient extrêmes, je ne voyais plus mon clitoris tant il vibrait… à une vitesse folle. J’étais en sueur, mes cheveux collés à mon visage ruisselant, mes fesses brûlantes, mon ventre ressemblant à un champ de bataille pilonné par l’artillerie de Walter, mes genoux me faisaient mal, mes seins ballottant en tous sens comme les pis d’une femelle déchaînée, je roucoulais d’envies, devenue animale, je bavais de la chatte et de la bouche, je me trémoussais moi-même comme en redemandant encore plus, mais je ne craquais cependant pas encore… Les capteurs envoyaient à l’ordi du médecin des informations qui semblaient l’intéresser au plus haut point. Assis devant sa machine, il enregistrait mes réactions corporelles et dit :

- Ah oui, je comprends mieux maintenant à qui nous avons à faire avec cette femelle incroyablement réceptive aux envies et diverses excitations sexuelles qu’elle perçoit !

Le Majordome, lancé à fond, était concentré sur ses envies et je le sentais avec joie sur le point de me remplir à nouveau. Cette sensation de recevoir encore son foutre, me remplissant ajouta encore à mon excitation, j’aimais devenir cette citerne à sperme, ce vide-couilles recevant les orgasmes des mâles… Pour la énième fois, je me sentais devenir animale, femelle au sens réel du terme, uniquement préoccupée par être excitée et remplie de semence. C’est à ce moment précis, que l’ordi envoya au vibro une telle sollicitation que, surprise, je craquais complètement, remuant tellement que je faillis expulser Walter pourtant bien au fond de moi, littéralement soulevée de la table par mes propres tremblements de femelle explosant sous les orgasmes qui maintenant, tombaient sur moi en des vagues régulières de décharges électriques savoureuses me foudroyant d’orgasmes successifs incontrôlables et si puissants, si explosifs et à chaque fois plus puissants que le précédent.
Je jouissais en « non-stop », de l’ensemble de mon corps.

Mon anus, mes fesses, mon clito, mes seins, tout en moi explosait en même temps. Je soufflais, je bavais, je remuais telle une damnée possédée par le démon du rut, je n’étais plus moi-même, tandis que le Majordome, dans un grognement sonore juta à nouveau en moi en plusieurs jets que je sentis parfaitement. Ses grognements de bêtes ajoutés à ses saccades de sperme, finirent de me rendre folle, tandis que mon clitoris, devenu « invisible » par les extraordinaires vibrations imposées par l’ordi, explosait lui aussi en des myriades d’étoiles. Je fermais les yeux ne voyant plus rien, l’ensemble de mon corps semblait exploser, littéralement, je ne m’appartenais plus, seule ma chatte, inondée mais non visitée se rappelait à moi en me lançant des réclamations excitantes de mon bas-ventre, insupportables, tant mon sexe était en demande lui aussi de se faire prendre tellement il était affamé ....

- Vous devriez la prendre par le vagin, lança le gynéco à Walter sur un ton de professionnel averti de la chose féminine.
- Ah ! répondit Walter qui sortant de mon cul sans aucun ménagement, plongea ensuite, tout aussi gourmand dans ma chatte en fusion…
- Ohhh, hurlais-je comme découvrant pour la première fois la sensation d’être prise, possédée, baisée profondément, avec pour résultat immédiat une baisse de la demande du bas-ventre.
- Continuez mon ami, lança le médecin au Majordome, qui, entre-temps avait repris de la vigueur.

Le Majordome était de ces hommes, taillés comme des troncs d’arbres centenaires, à la musculature puissante, au sexe d’une raideur et endurance exceptionnelle, semblant ne jamais pouvoir s’arrêter de pistonner et de fournir sa semence. Ses coups de reins étaient ravageurs et son contrôle d’éjaculation, extrême. Il avait le sens inné, de la femme, savait comment l’amener à l’extrême de sa résistance de femelle. Aussi, quand le médecin lui conseilla de poursuivre, ce fut sans aucune difficulté pour lui qu’il repartit au « combat » comme s’il n’avait encore rien fait auparavant.
Brave guerrier que Walter qui se mit, avec sa science innée d’homme simple, à me pistonner la chatte comme il l’avait fait avec mon cul. Je criais comme une démente, je me débattais, mais ses mains puissantes me tenaient comme dans un étau. Je ne pouvais me soustraire à ses coups de reins puissants et tant jouissifs ni n’en avais envie, en plus. Tout mon bas-ventre vaginal semblait sur le point d’être « satellisé » vibrant si intensément que même mon utérus participait à cette danse infernal.

- Tout à fait exceptionnel, lança le médecin, j’enregistre des fréquences orgasmiques encore jamais vues chez une femelle. C’est prodigieux !

Tandis que le Majordome en bon soldat du sexe poursuivait inlassablement son œuvre, le gynéco se leva d’un bond, vient devant ma bouche, (je le vis à peine), défit sa braguette, en sortit à nouveau son sexe si long et raide qu’il plaça sa main derrière ma nuque, et avec une autorité très forte, s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge sans aucune précaution. Il me faisait avancer et m’enfoncer sur sa verge redevenue raide, me contrôlant complètement. Je ne pouvais que le pomper violemment tandis que Walter poursuivait ses pilonnages et que mon clitoris pour la énième fois, se retrouvait dans d’autres galaxies ! Le résultat fut dantesque : Au moment où le médecin jutait dans ma gorge manquant m’, le Majordome en fit de même dans ma chatte, et que mon clitoris explosait en une myriade d’étoiles, tous les trois au même moment, « explosions » en des rugissements de bêtes assoiffées de sexe, de jouissances d’une violence telle que les capteurs se virent décollés de ma peau en sueur, stoppant net les enregistrements.

Le gynéco le vit mais ne réagit pas, lui-même satellisé comme ne s’appartenant plus. Nous restâmes ainsi tous les trois, plusieurs minutes, sans bouger, comme espérant immortaliser cette séance inoubliable pour chacun de nous trois. Lentement, comme à regret, le médecin se retira de ma bouche, Walter en fit de même de ma chatte, et moi, à regret, laissait sortir de mon corps ce qui m’avait fait découvrir ce que je devais admettre maintenant : J’étais une bête de sexe, aux capacités orgasmiques hors normes, une sorte de chienne en chaleur constamment en rut avec une soif insatiable de sexe. Sortis de mon corps, tandis que je restais à quatre pattes sur la table, comme attendant une suite possible, les deux hommes se concertaient comme si je n’étais pas présente devant eux.

- Alors qu’en pensez-vous, toubib, lança Walter refermant sa braguette ?
- Je dois dire que je suis époustouflé, (lança le médecin, se passant la main dans ses cheveux coupés en brosse, regardant les enregistrements de son ordinateur) je suis scotché par les capacités de la trouvaille de mon ami Monsieur le Marquis. Je n’ai encore jamais vu de femelle avec ce potentiel orgasmique… Il faudra creuser ses capacités assurément.

On parlait derrière moi, tandis que j’étais prise encore de soubresauts, encore dans mon monde orgasmique…

- Vous pouvez la reprendre, dit le gynéco je vais téléphoner à Monsieur le Marquis.

Le Majordome reprit la laisse, en donna un coup sec ce qui me fit revenir sur terre, descendre de la table, tentant de retrouver mon équilibre, tant mes jambes tremblaient encore …

(A suivre …)

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