Une Chaude Après-Midi D'Hiver.

Depuis quelques années, nous laissons nos s à leurs grands parents respectifs pour passer une semaine aux sports d’hiver dans un appartement que nous possédons avec un couple d’amis dans la station de Val d’Isère.



J’ai rencontré Anne, ma compagne quant elle faisait un stage d’été à l’UNESCO et nous étions restés en contact au cours de sa dernière année d’études.

Avec Ludovic nous avons suivi le même cursus universitaire dans deux établissements de Paris, l’un au nord et l’autre au sud de la capitale. Nous nous étions croisés en terminale dans un grand lycée parisien et retrouvés quelques années plus tard dans un salon professionnel consacré à l’architecture et à l’aménagement d’intérieur.
Il est évident que nous étions heureux de nous retrouver…

Quelques avaient passé… Anne avait été embauchée comme stagiaire à l’UNESCO pour une année et nous nous étions mis en ménage.
Une fin de semaine, j’avais invité Ludovic à diner à la maison pour qu’il fasse connaissance avec ma compagne.
Celle-ci m’a dit que la table serait bancale… qui si je voulais, elle allait inviter sa copine Samantha qui travaillait avec elle.
Mettez face à face deux célibataires du sexe opposé… et Sam déménageait quelques mois plus tard pour s’installer chez Ludovic !

Les deux filles s’étaient connues sur le banc d’une université de l’Est de la France où elles poursuivaient leurs études de « Langues étrangères appliquées ».
Toutes deux titulaires du Master, elles avaient été embauchées comme stagiaires à l’UNESCO pendant un an avant d’être titularisées : Parler couramment l’allemand et le russe avec de bonnes notions d’anglais, çà ouvre bien des portes.



Chaque couple a un que nous confions bien volontiers à nos parents respectifs qui sont aux anges ! À 6 et 4 ans, ils seraient une gêne pour nous… Il y aurait toujours un des adultes « en pénitence » pour s’occuper d’eux…

Désormais nous tournons tous autour des 30 / 35 ans et nous entretenons de parfaites relations d’amitié, avec des goûts semblables.

C’est ainsi que nos situations respectives, très confortables, nous ont permis de faire l’acquisition d’un bel appartement à la montagne...
Nous nous y rendons aussi souvent que possible mais chaque hiver nous y passons une semaine complète pour profiter de la neige et faire un peu la fête.

Pour fêter la moitié du séjour, la veille, nous étions allés diner à l’extérieur et nous avions dansé jusque vers 2 heures du matin. Le lendemain, le réveil a été tardif… vers 11 heures !
Premier coup d’œil au dehors : nous avions ce que les montagnards appellent « le jour blanc ». C’est dire que l’environnement semble couvert d’un voile blanc qui empêche de s’orienter, de skier car c’est trop dangereux… surtout avec les barres rocheuses de la station ! D’ailleurs c’était impossible de quitter la station car toutes les remontées mécaniques étaient à l’arrêt…

D’un commun accord Ludovic et moi nous avons dit aux filles que ce midi, on déjeunait au restaurant…
En nous promenant dans la station, nous avions regardé la carte de plusieurs établissements, jeté un coup d’œil à l’intérieur… Finalement notre choix s’est porté sur « L’ARBRE DE VIE » qui nous semblait correspondre le mieux à nos souhaits…
Nous sommes entrés… le repas succulent a été accompagné de diverses boissons alcoolisées si bien que lorsque nous sommes sortis de table, nous étions tous bien chauds… aussi, les conversations sur le chemin du retour ont peu à peu dérivé vers la gauloiserie !

Nous savions que les filles n’étaient pas des oies blanches avant de nous rencontrer… aussi, nous avons insisté pour qu’elles nous racontent « leur meilleure histoire de sexe »
Elle se sont quelque peu fait prier mais finalement, elles se sont livrées et cela a encore fait monter l’ambiance dans le salon…

Sam nous a raconté comment elle s’était fait prendre en double lors d’une soirée étudiante… un peu par surprise mais qu’elle avait apprécié sentir sa chatte et son cul fouillés par deux bites vigoureuses.

Anne nous a confié qu’elle avait eu une liaison torride avec une copine quand elle était au lycée… Je le savais déjà, mais l’entendre nous raconter les péripéties ne manquaient pas de piquant.

Décidément, Sam qui semblait de plus en plus délurée, a fini par demander à Anne :
• Çà te plairait d’avoir une nouvelle relation avec une fille ?
• Pourquoi pas ?
• çà te tenterait ?
• Moi ? Je ne veux pas mourir idiote… Oui… Bien sur !
• Alors… qu’est-ce que tu attends pour me prendre dans tes bras et m’embrasser comme le ferait un garçon ?
• Et nos mecs ?
• Ils vont regarder… Je ne pense pas qu’ils soient contre le spectacle… On s’occupera d’eux ensuite !
Les deux filles se sont levées et tous en s’embrassant, elles ont commencé à se dévêtir mutuellement… Les gros pulls en laine enlevés, les poitrines se sont révélées, emprisonnées dans des soutifs aux couleurs chatoyantes…genre brassière. Si Anne avait une poitrine plutôt menue, Sam par contre, était généreusement pourvue…
J’en ai fait la réflexion à Ludovic qui m’a répondu un peu fièrement :
• 95 C ou D selon les marques… et sensible avec çà !
• Quelle chance ! Et elle sait s’en servir ?
• Oh oui… Je ne te dis pas combien une cravate de notaire est bonne entre ses seins !
• Ce n’est pas avec les seins d’Anne que je pourrais en faire une… mais ses tétons sont si sensibles que j’arrive parfois à la faire jouir en les suçant et en les croquant !

Pendant ce temps, les pantalons fuseau et les bottines fourrées avaient volé dans un coin du salon… Les deux femmes toujours enlacées se caressaient la poitrine, le creux du dos, les hanches puis elles ont remonté leurs mains dans le dos et ont libéré leurs seins…
Effectivement assez dissemblables mais très agréables à regarder…
Les baisers et les attouchements étaient de plus en plus chauds…

Anne a fait s’allonger Sam sur le tapis devant la fausse cheminée puis elle s’est penchée sur elle… a fait glisser son string avant de prendre un des tétons en bouche pour le faire sortir…
Cette coquine s’était placée de manière à ce que nous ayons une vue sur ses fesses cambrées mais aussi sur ce qu’elle faisait dans le fourche intime de Sam…
Nous pouvions voir sa bouche se coller contre les lèvres de Sam, les ouvrir avec deux doigts et sa langue darder pour débusquer le clitoris…
Sous le plaisir naissant la tête de Sam dodelinait de gauche à droite, sa respiration était saccadée… Pour mieux sentir la caresse sur son pubis, elle a posé une main sur la tête d’Anne en lui disant de continuer, que c’était bon…
Je commençais à me sentir très à l’étroit dans mon boxer et je pense qu’il en était de même pour Ludovic… qui encourageait Anne en la traitant des tous les noms, lui demandant de bien faire jouir sa femme…
C’était chaud…
Soudain Sam a poussé une sorte de rugissement… Elle avait joui sous la bouche de ma femme !
Les deux femmes se sont écroulées brièvement l’une sur l’autre pour reprendre leur souffle

Sam, qui décidément semblait avoir pris la direction des opérations, s’est tournée vers nous en disant :
• J’espère que le spectacle vous a plu ? Alors, maintenant… à poil… qu’on s’occupe de vous deux !
Effectivement, voir Anne bouffer la chatte de Sam nous avait pas mal émoustilés et, personnellement, j’avais un barreau de chair bien dressé dans mon boxer…
En moins d’une minute, Ludovic et moi, nous étions déshabillés… Il ne nous restait plus que le boxer à ôter
Nous étions vautrés dans les deux profonds fauteuils dans lesquels nous étions pour regarder les deux filles qui se sont relevées et dirigées vers nous.

Lorsqu’elles se sont agenouillées devant nous, nous avons eu la surprise de la journée… Anne a fait glisser le boxer de Ludovic et a découvert sa bite qui a jailli comme un ressort.
Waouh… j’en aurais presqu’été jaloux… si Sam n’en avait pas fait autant avec moi !

Puisque les filles semblaient avoir envie de changer de partenaire cet après midi, pourquoi pas ! Je les découvrais libertines…
Avant des les rencontrer, j’étais assez libre… sans véritablement être libertin, il m’arrivait de faire l’étalon lors de soirée privées auxquelles j’étais convié…
Même si du côté sexe, je suis bien monté, je découvrais la queue de Ludovic… Elle devait faire du bien à Sam… Longue, noueuse et grosse, elle surmontait une paire de couilles qui pendaient…
Avant d’emboucher mon vit pour achever de le faire dresser, Sam m’a dit :
• Ta femme m’a envoyé en l’air, maintenant, à ton tour de me monter ce que tu sais faire avec ta bite !
• Ok… Je suis partant… mais le gros sexe de Ludovic ne va pas te manquer ?
• Oh, il me ramone la chatte et le cul assez souvent pour qu’un jour, je change d’engin ! Il va bien baiser ta femme !
• Si vous êtes d’accord… pourquoi pas nous offrir une partie carrée à défaut de ski !
• Mais c’est bien comme cela que c’est parti… D’ailleurs avec Anne, nous nous sommes mis d’accord pour vous faire tomber dans nos filets… du moins… entre nos cuisses !
• Ah… les deux coquines !
• Tu ne crois pas si bien dire… il y a pas de temps que nous avions ce projet… Là, c’est le moment !
• Et Ludovic ?
• Il fantasme sur le petit cul d’Anne depuis pas mal de temps ! Et là, le voir pris dans le fuseau, il ne tient plus…
Pendant tout ce dialogue, Sam masturbait doucement ma queue d’une main et de l’autre elle faisait rouler mes testicules dans les bourses… puis elle a penché sa bouche et a avalé mon sexe jusqu’au plus profond de sa gorge sans presque ralentir…
Après quelques va et vient, elle m’a tendu la main et m’a entrainé sur le tapis où Anne l’avait fait reluire quelques minutes avant.

• Allonge-toi sur le dos… Je vais travailler en premier… après tu me sauteras en levrette !

Dès que j’ai été en position, la bite dressée comme un mat, Sam s’est placée face à moi et s’est laissée descendre sur ma queue qui s’est enfoncée dans un sexe humide te chaud…
J’avais en face de moi sa poitrine fabuleuse qui semblait me narguer… J’ai posé mes mains sur ses globes qui bougeaient au rythme de ses mouvements et j’ai fait rouler les tétons au creux de ma paume…
Cinq minutes après, Sam jouissait et s’écroulait sur moi en disant qu’avoir une queue dans la chatte, c’était bien meilleur que de se la faire bouffer mais que cela lui avait bien plu.
Je n’avais pas encore joui… Il est fréquent que je fasse jouir ma partenaire une première fois avant de l’envoyer au septième ciel si possible en même tems que moi !
Sam s’est dégagée et s’est mise en position, prosternée sur l’assise d’un fauteuil…
J’admirais sa chute de reins, ses fesses dodues et bien fendues avec une raie profonde où son œillet et l’entrée de son vagin palpitaient…
La queue toujours dressée devant mon pubis, je caressais sa fente d’une main, titillant ses orifices d’un doigt inquisiteur.
• Salaud… Tu veux me prendre le cul ! Vas-y… Tiens voila une capote !
Je n’ai jamais su d’où elle avait sorti ce chapelet de préservatifs…
Dès que j’ai été couvert, j’ai huilé ma bite dans sa chatte puis je me suis introduit précautionneusement dans son pertuis serré… qui ne t’était pas tant que çà car Sam est littéralement venue au devant de ma bite jusqu’à ce que mon pubis soit au contact de ses fesses…
Quelle gourmande !
J’ai commencé à la copuler lentement pour qu’elle me sente bien entrer dans son cul puis j’ai accéléré les mouvements alternant avec des arrêts mais là, c’était Sam qui venait au devant de la pénétration en m’encourageant :
• Vas-y…
• Encule-moi à fond…
• Défonce-moi la rondelle…
• Je sens tes couilles contre ma chatte…
• Sens comme je ruissèle…
• C’est boonn !
• Envoie-moi en l’air !
• Fais-moi jouir du cul !
• Après je te boufferai la bite !
J’avoue avoir été surpris par ce langage mais j’étais aussi très excité… d’autant qu’à côté de nous Anne et Ludovic avaient l’air eux aussi de s’en payer une bonne tranche !
Je retenais ma jouissance car je sentais monter celle de Sam qui s’agitait de plus en plus sur ma queue…
Finalement elle s’est empalée à fond, collant ses fesses contre mon pubis, jouissant comme une furie pendant que je me déversais généreusement au fond de la capote.
Ouf… çà avait été intense ! J’étais encore abouté dans le cul de Sam quand Anne et Ludovic ont joui à leur tour à quelques mètres de nous…
Aussitôt après s’être séparés, Anne s’est tournée vers moi en disant :
• J’espère que çà t’a plu ! Maintenant je veux récupérer ce qui est à moi !
• Que veux-tu dire ?
• Sors du cul de Sam et donne-moi ta bite à nettoyer… J’arriverai bien à te soutirer encore quelques gouttes de jus !
• Ok… je suis ton homme !
Je me suis dégagé du cul de Sam, j’ai retiré le préservatif et je me suis assis dans un des fauteuils…
Anne s’est mise à quatre pattes devant moi et a embouché ma bite pour la nettoyer.
• Et bien je vais en faire autant !
Sam s’est allongée sur le dos sur le tapis… Entre les cuisses d’Anne elle a relevé la tête pour venir laper le jus qui en coulait pendant que Ludovic se paluchait…

L’après-midi n’était pas fini…
Les deux femmes nous ont remis en forme et nous avons baisé nos compagnes respectives, côte-à-côte sur le tapis…

Au cours de la soirée, Anne et Sam nous ont avoué qu’elles s’étaient entendues pour s’offrir cette partie à quatre…
Anne sachant que j’avais des habitudes de libertinage, il lui serait facile d’entrainer les autres…
C’était chose faite…

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