Vacances Grecques.

Histoire vraie qu’une amie m’a raconte à son retour.

A la fin du printemps dernier, j’ai passé une semaine de vacances en Grèce. J’étais seule car l’amie qui devait participer au voyage avec moi avait du se décommander au dernier moment. Cela faisait longtemps que nous envisagions ce voyage dans l’île de Crète au sud-est de la péninsule. Nous voulions profiter des plages et visiter les vestiges de la civilisation ancienne.

Après 4 heures de vol et un bref trajet en autocar, notre groupe s’est installé à l’hôtel. Nous étions libres d’organiser notre séjour et les visites que nous souhaitions faire. C’était très intéressant même si chaque excursion était payante. Il suffisait de s’inscrire 48 heures à l’avance. Après la soirée d’accueil et une bonne nuit de repos, j’avais deux jours pour profiter des plages ou de la piscine de l’hôtel.

Petite brune aux cheveux courts, j’ai le visage mince avec de grands yeux marron. Mes seins bien ronds et volumineux (un bon 90 C) et des hanches plutôt étroites me donnent une silhouette agréable à contempler. Je ne compte plus les regards de convoitise et les tentatives d’approche dont je suis l’objet depuis la fin de mon adolescence. A 35 ans, je suis devenue au fil des ans une libertine, fière de l’être, totalement bisexuelle, tantôt dominatrice tantôt soumise aux caprices de mes partenaires homme ou femme.

Après deux jours de farniente au bord de la piscine et sur la plage en compagnie de membres de notre groupe de la région de Lyon, j’avais retenu une place pour l’excursion vers le village de pêcheurs d’Elounda à la pointe est de l’île pour le lendemain. Les excursions se faisaient en minibus climatisés et les groupes se limitaient à une douzaine de personnes. La seconde sortie nous avait conduits dans la ville de Réthymnon avec ses ruelles anciennes étroites au point que les véhicules ne pouvaient y accéder. Le même jour nous avons aussi visité le fort de La Chanée et les arsenaux vénitiens.



Le retour à l’hôtel a été assez tardif et nous étions tous bien fatigués. Personnellement j’avais la tête pleine d’images merveilleuses. Toute la journée, j’avais fait l’objet d’une cour discrète d’un des hommes du groupe. Il était accompagné d’une femme de son âge, je leur donnais un peu plus de 40 ans. Grand brun à la silhouette avantageuse, les épaules larges, j’aurais volontiers cédé à ses avances s’il avait été seul. Je ne savais pas à ce moment qu’il s’agissait d’un couple libertin.

Le lendemain je voulais récupérer un peu et faire quelques achats de souvenirs à rapporter à mon amie et à des connaissances. Lorsque je suis passée devant la réception de l’hôtel, j’ai été interpelée par un chasseur qui m’a dit que j’avais un message. Quand j’ai décacheté l’enveloppe qu’il m’avait remise, j’ai eu la surprise de découvrir une photo de ce couple nu dans une pose érotique. Au dos, quelques lignes d’une écriture fine :
• Nous avons envie de baiser avec toi dans les ruines de Knossos. C’est un fantasme de ma copine ! Nous serons de l’excursion de demain.

Quelle aubaine ! C’était aussi un de mes fantasmes. Je voulais le réaliser avec Karine pendant notre séjour : une bonne baise lesbienne dans les ruines. Là ce serait encore mieux, j’aurais un homme et une femme pour assouvir cette envie.

Le lendemain, je retrouvais André et Véronique qui attendaient notre minibus au bar de l’hôtel. Les présentations faites, je me prénomme Julia, nous avons continué de bavarder comme de vieux amis pendant le court trajet jusqu’aux ruines située non loin d’Héraklion. Après avoir suivi la visite guidée, nous avions près de deux heures avant de rejoindre notre point de rendez vous pour le repas et la suite de la journée. Nous nous sommes esquivés discrètement vers un endroit reculé des ruines que nous avions repèrés.

Dès que nous avons été à l’abri des regards Véronique a pris les choses en mains si on peut dire ! Elle m’a enlacée pour m’embrasser à pleine bouche en passant ses bras autour de mon corps pour plaquer ses mains sur mes fesses.
J’avais vite compris que j’avais à faire à une bisexuelle. Nos langues se livraient à une sorte de duel, mélangeant nos salives à en perdre le souffle. Grande femme brune à la poitrine opulente et bien ferme et aux hanches pleines, ont pouvait dire que c’est une belle femme dans la pleine maturité de son âge.

Un peu plus grande que moi, elle portait un sweet-shirt et une jupe descendant au dessus des genoux. J’étais vêtue d’un chemisier dont les pans étaient noués dans le dos et d’un short court. André, habillé d’une chemisette et d’un pantalon large en toile, s’était placé derrière moi. J’étais prise en sandwich entre mes deux nouveaux amis. Collé contre mes fesses, je sentais sa queue bandée dans ma raie. Par derrière, il avait pris mes seins à pleine main pour le pétrir. Au travers du tissu de mon chemisier et du soutif il avait fait dresser mes tétons et il les pinçait doucement.

Je subissais leur assaut avec délectation. Les baisers de Véronique et les caresses d’André avaient mis le feu à ma libido. Je sentais ma chatte humide et une douce chaleur (qui ne devait rien au soleil) envahissait mon bas ventre. Entre mes fesses, je percevais la bite d’André de plus en plus dure et pressante. Il avait su y faire, j’étais désormais les seins à l’air. Il avait dénoué les pans de mon chemisier et fait sauter l’agrafe de mon soutif.

Quittant mes lèvres, Véronique avait ôté son sweet-shirt et son soutien gorge avant de se pencher sur mes seins et venir mordiller les tétons. Ceux-ci étaient bien sortis tellement j’étais excitée. Ils avaient la taille d’un gros pois chiche. André avait fait glisser mon short jusqu’à mes chevilles. Passant entre mes cuisses, il est venu empaumer ma vulve et a commencé à la masser par-dessus le triangle de mon string. Je ne sentais plus sa bite entre mes fesses, mais je la devinais, toujours aussi raide et impérieuse, dressée et prête à l’estocade. J’étais prête moi aussi.

Je me suis penchée en avant en me maintenant à la taille de Véronique.
Il ne devait attendre que cela, en retirant sa main, André a déplacé le cordon de mon string sur une fesse et d’une longue poussée, il est entré dans ma chatte d’un seul trait. Je n’avais pas vu sa bite, je l’avais simplement perçue entre mes fesses et je ne m’étais pas trompée : il avait une vraie bite de cheval. Passée par l’arrière, sa queue venait buter au fond de mon vagin.

A chaque fois, j’étais parcourue par une décharge électrique qui, partant de mes reins montait jusqu’à ma nuque. Toujours en moi, André m’a guidée vers un gros bloc de pierre sur lequel j’ai appuyé mes bras. Véronique s’est agenouillée devant moi et a achevé de faire glisser mon string qui s’est retrouvé à mes chevilles. Une main passée autour de ma taille et l’autre plongée sous sa jupe, elle est venue me lécher les lèvres et mon bourgeon d’amour alors que la bite de son homme me ramonait la chatte. Waaouuuuh ! J’étais prise de partout et c’était divinement bon.

Avec un tel traitement ma jouissance est montée rapidement. J’ai joui deux fois de suite, inondant à chaque fois la bouche de Véronique de ma cyprine abondante. André s’est libéré à son tour au moment où je finissais de jouir pour la seconde fois. J’ai senti trois ou quatre jets de sperme frapper le fond de mon vagin et se mélanger avec ma mouille. Il est sorti et s’est tourné vers sa compagne. Celle-ci savait ce qu’elle devait faire. Embouchant sa bite, elle a entrepris de la toiletter, suçant le gland entre ses lèvres pulpeuses et léchant la hampe pour la débarrasser des sécrétions qui la souillaient.

Il n’avait presque pas débandé et la fellation de Véronique avait rendu à sa queue toute sa splendeur : Quel beau membre ! 25 cm au moins de longueur pour plus de 5 cm de diamètre avec un gland mafflu gorgé de sang. Il nous a fait placer côte-à-côte, en appui sur le bloc de pierre :
• Nous sommes en Grèce ! Je vais vous baiser comme les grecs anciens !

L’une et l’autre, nous avions compris.
Il allait nous sodomiser. Mais comment nous satisfaire toutes les deux en même temps ? Il avait de la ressource mais à part nous prendre alternativement, je ne voyais pas comment il allait faire. C’est là qu’il a sorti de la poche de son pantalon un magnifique gode en silicone couleur chair, presque identique à sa bite en largeur mais bien plus court. Il l’a tendu à Véronique pour qu’elle l’enduise de salive et il l’a introduit dans mon anneau serré pendant qu’il sodomisait sa copine. Avant de la pénétrer, il avait retiré de son cul un joli Plug en silicone rose et disant que c’était pour conserver son orifice ouvert. André faisait coulisser le gode dans mon cul au même rythme qu’il entrait et sortait du cul de Véronique.

Waaouuuuh ! Que c’était bon ! Dans ma tête, je me faisais tout un cinéma, imaginant qu’un beau grec allait nous surprendre et venir se mêler à notre trio pour que je puisse avoir une vraie bite bien raide dans mon cul de salope. Hélas, pas de surprise ! Je sentais ma jouissance monter peu à peu et Véronique disait : - Vas-y ! Bourre-moi bien ! Çà vient !

Alors que nous jouissions toutes les deux presque en même temps, André a pénétré Véronique plus brutalement en bramant ! Il se lâchait aussi ! Il est sorti rapidement de son cul et se tournant vers moi, il a achevé de se vider sur le bas de mes reins en branlant sa bite pour extraire les dernières gouttes. Nous avions eu toutes les deux notre rasade de sperme. Nous nous sommes rajustés et bras dessous bras dessus, André entre nous deux, nous sommes allés retrouver nos compagnons d’excursion pour la fin de l’après-midi.

De retour à l’hôtel, nous avons dîné tous les trois et nous nous sommes retrouvés dans leur chambre pour d’autres parties de jambes en l’air.

Lorsque j’ai regagné ma chambre vers 5 heures du matin, je n’étais plus très fraîche. J’avais la chatte et le cul pleins de sperme. Quel homme endurant et généreux de ses éjaculations. En plus de l’après-midi, il nous avait encore baisées quatre fois et la dernière fois, pendant qu’il me prenait en levrette, Véronique le sodomisait avec un gode ceinture.

Tous les trois, nous avons pris un pied terrible car je l’ai découvert après, le gode ceinture était double : une bite dans le cul d’André et une autre plus petite et un bourgeon pour satisfaire Véronique. Au cours de la nuit, alors que je l’interrogeais au sujet du gode, Véronique me confia qu’ils l’avaient fait réaliser après avoir fait mouler sa bite dans un sex-shop en Hollande. Ils ne voyageaient jamais sans une partie de leur collection de jouets sexuels.

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