La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1088)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode 1086) -

J’ai pu voir la fierté du Maître dans ses yeux, buvant littéralement mes paroles, et appréciant le respect de ses amis, vis-à-vis de la femelle que je suis… Le lendemain et vue que la visite médicale obligatoire était passée, visite qui conditionne l’acquisition par Monsieur le Marquis de toutes personnes Lui appartenant, le Noble recevait le gynécologue pour avoir ses conclusions et recommandations éventuelles. C’est le récit du rapport du médecin que je vous relate ici. Le rendez-vous était pris entre le Châtelain et le gynécologue. Celui-ci arriva à l’heure dite, Maître étant la ponctualité personnifiée, il ne supporte pas les retards intempestifs, fussent-ils, ceux de nos chers médecins, habitués à ces écarts. Le gynéco le savait bien et se garda d’arriver en retard. Moi, j’avais été envoyée dans une salle de ‘‘travail’’ dans laquelle je participais à des séances de dressage. Walter annonça la présence du médecin que Monsieur le Marquis reçut immédiatement.

- Mon bon et très cher ami, comment allez-vous, ce matin ?
- Parfaitement bien, Monsieur le Marquis, répondit le gynécologue, toujours heureux de revoir le Noble qui faisait partie de ses relations les plus proches.
- Je brûle de connaître votre rapport concernant Ma dernière acquisition que j’ai faite, en la personne de Ma future esclave Isabelle, Comtesse de son état.
- Ah ? Elle est Comtesse ? Je ne le savais pas, dit le médecin !
- Et oui, mon ami, C’est la toute première fois que j’ai en Ma possession une femelle de sa qualité et j’espère que vous ne contredirez pas mes souhaits à son égard. Venons-en au fait !

Depuis son interphone, le Noble signifiait qu’Il ne voulait pas être dérangé, sous aucun prétexte. Le médecin, très bel homme, âgé d’une soixante d’années, résidait en vallée de Chevreuse et avait une clientèle assez huppée.

Il était le représentant local du Conseil de l’Ordre et jouissait d’une notoriété au sein de sa profession. Cet homme, de par sa profession, était un passionné de la Femme en général, et avait fait des recherches personnelles sur l’anatomie, la physiologie et la psychologie féminine, il était donc, dans ses approches de la question, particulièrement érudit, pertinent en la matière. Vis-à-vis du Maître des lieux, il avait la charge de surveiller la santé de l’ensemble des femelles esclaves ou soumises, du Cheptel du Châtelain. Ses avis avaient, dans ce cas, force de ‘Loi’.

- Alors, mon ami, dit le Maître, que pensez-vous de Ma dernière trouvaille ?
- Que du bien mon ami, que du bien, répondit le médecin, mais plus encore, je vais vous expliquer.

Il avait amené avec lui un petit pc avec les enregistrements faits au cours de la visite médicale, pour étayer ses propos. Maître n’était pas homme à se contenter des dires, et bien que non spécialiste en matière de gynécologie, il s’intéressait de près et voulait comprendre.

- Vous avez, en la personne de l’esclave Isabelle, une véritable exception, reprit le médecin. J’exerce la profession que vous savez depuis de nombreuses années, je pense pouvoir dire que je connais bien la Femme en général, son anatomie sur le bout des ongles, son fonctionnement, ses pathologies, ses réactions. Mais je puis vous dire, ce matin, sans exagération, que vous avez trouvé, mon ami, une véritable exception. Je vais vous expliquer pourquoi ! Avant de poursuivre je dois vous dire que je suis très intéressé par cette esclave sur laquelle, je souhaiterais procéder à d’autres recherches de façon à parfaire mes connaissances. Sur le plan anatomique, c’est une esclave admirablement proportionnée, avec une masse musculaire ferme, sans amas graisseux. Sa constitution est saine et robuste ! Sa morphologie est longiligne, svelte donc, sa fragilité serait nerveuse au sens où elle est têtue, très imbue de sa prestance, il ne doit pas être aisé de la dresser, croyez-moi ! Sa santé : Je n’ai rien décelé de problèmes de santé actuels, ni même de pathologies cachées.
Je vais vous détailler son anatomie de femelle : Seins, vagin, utérus, col utérin, anus, ovaire.

Monsieur le Marquis était dans son fauteuil et écoutait religieusement les propos du spécialiste, lui accordant une confiance totale depuis le temps qu’il le connaissait. De plus, le médecin était souvent invité lors des soirées D/s données en la Demeure du Maître, soirées privées au cours desquelles, les esclaves femelles servaient beaucoup. Le spécialiste détaillait l‘ensemble de l’anatomie de la future esclave, et ses propos étaient visiblement flatteurs :

- Elle serait à coup sûr, malgré la petitesse de sa poitrine, une bonne nourrice, seins toniques et fermes, avec une grande quantité de glandes mammaires propices à une forte lactation en cas de fécondation. Son anus est très souple, étonnement souple et surtout profond, pouvant « avaler » de gros sexes et longs de surcroît. Sa vulve est harmonieuse, au repos, tout est enfermé dans les grandes lèvres qui ne laissent rien dépasser ce qui donne une image parfaite de son intimité féminine. Son clitoris, petit mais très réceptif, se montre extrêmement réactif au toucher et se dresse très vite lors de caresses, démontrant une très forte propension à la jouissance clitoridienne. Sa vulve, très souple elle aussi, pouvant elle aussi ‘avaler’ gros, se referme très rapidement par la suite, démontrant une souplesse rare. La vulve est abondamment pourvue de glandes destinées à la lubrification de la région vulvaire, signe d’une forte jouisseuse au potentiel rare. Son utérus est, lui aussi de belle taille et nettement au-dessus de la norme, signe également que la femelle pourrait porter très facilement en cas de fécondation. Son bassin, très large, quoiqu’avec une taille très fine, ne rencontrerait aucun problème lors d’accouchement, la pelvimétrie pratiquée le démontrant…

Le gynécologue poursuivait sa description sans états d’âme, comme disséquant les capacités physiologiques de l’esclave s’agissant d’une jument :

- Je reviens surtout, poursuivit le spécialiste à sa phénoménale capacité orgasmique de grande jouisseuse, qu’à ce jour, je n’ai encore jamais rencontrée chez mes patientes.
Mon ami, dit-il, votre trouvaille est une jouisseuse née à n’en pas douter. Elle a, non seulement le mental pour mais surtout, la force physique et nerveuse pour y parvenir. Il me suffit de voir la quantité phénoménale d’orgasmes se déversant sur elle pour pouvoir vous dire, cher ami, qu’à ce jour, je n’ai encore jamais vu de femme aussi bien dotée en la matière. J’en veux pour preuve…

Il argumentait ses propos en faisant regarder Maître, sur l’écran du pc, des courbes sur des tableaux de comparaison. Monsieur le Marquis écoutait, mais semblait un peu dépassé par cette avalanche de constats, de preuves académiques, de démonstrations physiologiques, certes passionnantes mais non concrètes à ses yeux de profane.

- Pour faire plus court, mon ami, reprit le Noble vos conclusions ?
- Exceptionnelle, d’une rare constitution, bâtie pour le plaisir à coup sûr mais pas que. Je sais que je vous abreuve de propos indigestes pour un profane, mais je tiens à ce que les choses soient claires entre nous. Je vous fais un rapport très détaillé de Votre perle, car c’en est bien une, assurément, mais pas que…
- Que ne m’avez-vous pas encore dit, cher ami ?
- J’ai vu, lors de la visite et au cours de laquelle, elle a été utilisée par Walter et moi-même, j’avais posé sur son corps en des endroits judicieux, des capteurs me montrant le fonctionnement intime de son sexe, ovaires, lors des rapports. Et ce que j’y ai trouvé, par la suite, analysant les envois de ces capteurs, confirment ma conclusion : Votre esclave est une exception dans la mesure où en plus des avantages que la Nature lui a donnés et dont je viens de vous parler, elle est dotée également de ce que nous appelons les muscles intimes, de muscles particulièrement développés, muscles qui participent très activement aux plaisirs sexuels de la femme mais également aux plaisirs qu’elle donne aux partenaires masculins… Pour résumer mon propos, vous avez en la personne de l’esclave Isabelle, une exceptionnelle femelle.


Monsieur le Marquis et le médecin se regardaient sans mots dire. Un silence s’abattit dans le bureau, que le gynécologue semblait ne pas vouloir interrompre.

- Pourrais-je connaître les capacités réelles de l’esclave ? reprit le Châtelain. Je veux dire, si je la faisais prendre par autant de mâles que je veux, au bout de combien de temps pourrais-je la faire céder ? Et donc, ai-je la possibilité de la faire céder ? Si je tournais ma question autrement je dirais, si je la fais exciter clitoridiennement parlant de façon continue, ai-je la possibilité de la faire craquer à ma guise ?

Le médecin réfléchit et répondit :

- Oui je le pense bien sûr, mais au bout de combien de temps, je ne le sais pas, car de par sa constitution musculaire intime, elle sait parfaitement se contrôler… cependant, je pense, en effet qu’au bout d’un laps de temps que je ne peux définir, elle finirait par craquer en effet, tant elle est jouisseuse… C’est à voir !
- De combien de temps disposez-vous mon ami, en ce moment pour la tester ?
- Mon cabinet est fermé pour toute la journée, Monsieur le Marquis, et je suis intéressé de poursuivre des expériences sur elle, je vous l’ai dit. Vous pensez à quoi en ce moment ?

Maître ne répondit pas mais appela son Majordome depuis son interphone.

- Walter, je t’attends dans mon bureau immédiatement.
- Oui, Monsieur le Marquis, j’arrive tout de suite, répondit Walter.

Rapidement, celui-ci frappa à la porte et le Noble le fit entrer. Après avoir salué le gynécologue, Maître dit :

- Que fait l’esclave Isabelle en ce moment ?

- Elle est en séance de dressage avec Marie, Monsieur le Marquis !

- Amène la moi immédiatement et avec elle, prend dix esclaves mâles que tu garderas dans la pièce voisine.
- Bien sûr Monsieur le Marquis !

Le Majordome sortit rapidement, retrouva Isabelle en train d’être travaillée, utilisée par Marie qui n’avait pas de chance pour la seconde fois, Walter venant enlever Isabelle alors que Marie était sur le point de jouir de la langue de l’esclave. C’est donc en râlant que la cuisinière renvoya Isabelle pour que cette dernière suive Walter. L’esclave était nue, sans chaussures et portait sur les fesses, quelques zébrures datant de quelques jours. Le Majordome marchait vite, Isabelle suivait…

- Reste ici, lui ordonna Walter

Puis il entra dans une autre salle où l’on entendait derrière la porte, des sifflements de cravache, des cris d’envies… Il en ressortit quelques minutes plus tard accompagné de dix esclaves mâles, visiblement les mieux montés au niveau de leurs parties génitales… Le groupe reprit sa marche, se dirigeant vers le bureau du Maître. Derrière la porte du bureau, le Majordome regroupa les mâles et les envoya dans une salle attenante au bureau, tandis qu’il frappait à la porte.

- Entrez, dit le Maître.

Walter entra et présenta l’esclave…

- Merci Walter, tu peux disposer.
- Bien Monsieur le Marquis.

Et le Majordome quitta la pièce. Dans un réflexe de courtoisie le gynécologue se leva pour saluer la femelle que j’étais mais Maître intervint immédiatement :

- Ne bougez pas mon ami, ce n’est pas à vous de vous lever !

Surpris de la réaction du Noble, le médecin resta un moment en appui sur les bras du fauteuil et se rassit, tandis que je saluais à la fois Maître et son Invité, d’une révérence. Le gynécologue n’arrivait pas à détacher les yeux de l’esclave que je suis… et Maître dut s’y reprendre à deux fois pour le faire revenir dans le concret.

- Mon ami, dit-il s’adressant au médecin, je fais venir Ma petite chienne pour que vous puissiez évaluer sa résistance à la jouissance, je veux savoir ses limites !
- Je serai intéressé également comme médecin de les connaître moi aussi et vous remercie de me permettre de la tester. Comment allons-nous procéder Monsieur le Marquis, demanda le spécialiste ?
- De la façon la plus naturelle qui soit, mon ami, en la donnant à Mes mâles ! Si vous avez des dispositions techniques à prendre, c’est le moment !
- En effet, répondit le médecin tout heureux de poursuivre sa recherche.
- Toi, Ma petite chienne, tu vas te mettre ici !

Maître me désigna un endroit de son bureau, me fit me mettre à quatre pattes, les cuisses bien écartées, mes orifices offerts bien exposés aux regards et les yeux bandés.

- Voilà, elle est à vous, poursuivit Maître à l’adresse du gynécologue...

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!