Les Jumelles

«  annonce 14444 : Marion et Sandra, 20 ans cherche vieille hommes pour sévices sexuels. Pas de sexe à proprement parlé. Contactez-nous en M.p sur wannonce, jumelle rebelle »

« Michel : Bonjour, Michel, 60 ans, routier.
Les jumelles : poids, taille, pilosité ?
Michel : 170, 95 et très poilu. Et vous ?
Les jumelles : 160, 50, 95C,lisse et poilu.
Michel : ok ! Pas mal les gazelles je suis sur ! »

« Les jumelles : Maintenant qu'on à échanger pendant 7 jours nous voulons te rencontrer ce soir, Tu viendra au 45 du cour Gambetta, Nous avons inscrit jumelle sur la sonnette. On t'attend à 17h pile.
Michel : je serais la !
Les jumelles : tu dois être habillé proprement et plutôt classe. A ce soir, nous serons pas dispo avant car nous avons rencard avec 4 potes pour se faire sauter. »


Marion.

Nous sommes jumelle, on aime voir les hommes fou de nos décors identique et aux mœurs très très légères ! On viens de rentrer d'un gang bang avec quatre beau mâle pour une cession sadique avec un vieux dégueulasse lubrique. On à trouvé le bouffon parfait ! On a même pas pris la peine de nous nettoyer, nos chatte sont dégoulinante de sperme. Nos bouche sont odeur chatte et bite.

Nous sommes petites et menu, rousse, Marion coupé à la garçonne et moi très long, ma chatte et mon cul sont imberbes toujours parfaitement épilés au contraire de ma sœur qui est très touffu. On à des belles poitrines bien rondes et des cul musclés.
Nos 4 tétons et nos chattes sont percés, ma langue pareillement.

La sonnette retenti, nous avons seulement gardé nos culottes pour ne pas perdre trop de semence. On l'attend au pas de la porte. Il apparaît aussi moche qu'on le pensais. Gros, petit, chauve avec un costard trop grand et usé. Ses dents sont jaune. Nous avons pas mal parlé mais jamais on lui a révéler notre programme. Il pense a un banale plan à 3.

Il va déguster !

Je suis la meneuse verbale de notre duo et Sandra la sadique.

« A nos pieds sur les genoux face de pet ! »

Il écarquille les yeux étonné mais le néant sexuel dans lequel il est depuis des années bloque tout esprit de rébellion chez lui. Exactement la réaction escompté. En clair un pur crève la dalle qu'on ne touche pas avec un bâton.

« Sort ta queue et frotte la sur la marche de l'escalier qu'elle soit aussi sale que moche et molle. Ho ! Les testicules aussi on ne va pas se priver. »

on le regarde s’exécuter le surplombant de notre hauteur par famine il est prêt à tout, il le sait, on peux le voir a son regard penaud de sac à puce, il transpire la honte, il se maudit d'être pitoyable au point de laisser deux gamines écrabouiller la dernière once de confiance en lui qu'il a encore. Nous éprouvons pour lui aucune sympathie, empathie, ou tout autre émotions positive. On veux le briser et lui donner une place de bête de compagnie.

« jusqu'à demain 17h tu es notre propriété, tu te nomes sac à foutre et tu n'as plus aucun droit, ni liberté ! Tu me nomme Madame à la parole divine et ma sœur sera Madame au sévices sans limites. Pour nous reconnaître c'est simple j'ai un grain de beauté au dessus du nombril ! Tu as le droit de refuser pour la dernière fois, mais bon vu comme ta bite et poussiéreuse et grise tu n'en aura pas le courage ! Tu seras trop lâche pour te rebeller et demandais le programme prévu sur le chat ! Si je dis vrai contente toi d'un hochement de tête, tu n'as plus le droit de parole ! »

Il hoche la tête, il a des larmes de honte qui coule le longe ses joues écarlate. Je peux voir qu'il se sent merdique. Je sais que nos deux minous mouille très fort.

« Entre dans notre foyer, il sera bientôt ton pire cauchemar demain, tu peux me croire ! »

Je vois ses poils qui dépassent de sa chemise beaucoup trop ouverte se hérissé et son souffle se couper tandis que ses jambes s'agiter pour pénétrer dans notre garçonnière dédié a toutes les formes de déviances sexuelle.
Des années à chercher toujours des nouveautés pour être de vrai chienne. Depuis la perte de notre virginité à 18 ans, que nous avons entièrement programmer depuis notre premier 69 vers l'age de 10 ans, il y a deux maintenant nous nous appliquons à dépassé nos limites chaque jour. Jamais deux fois la même personnes, fille ou garçon. Le calcul est simple nous avons été tringler, battu, humilier et bien d'autre chose par le 730 mecs !
Tout notre promotion d’élève en 2 années de médecine est passé sur nous, certains parents de nos amis que ce soit père ou mère voir leur sœur et même une fois le foyer entier en une nuit sans qu'ils ne se doute.

« On va commencer très fort de suite, tu vas éponger tous le foutre de 4 amis rugbyman, qui coule dans nos minettes ! Sache que nous aimons beaucoup augmenter le plaisir en pissant donc quand tu sens le jet t’éclabousser ton museau, tu colle ta bouche et tu bois ! »

Je lui indique le doigt tendu, ou se mettre dans la pièce, il s’agit d'une sorte de coffre ouvert contre un mur, une des extrémités est couverte d'une assise percé.

« déshabille toi et allonge toi la dedans, la tête sous le couvercle. »

Debout devant le coffre on regard ce corps flasque et répugnant, On crache sur son ventre, son cou, son petit boudin poussiéreux.

« Tu es vraiment vilain ! Tu me dégoûte, ma sœur aussi d'ailleurs, je vois à ses yeux qu'elle a envie de te faire payer l'affront de montrer ce corps affreux. Tu transpire l'abstinence et les soirées branlette dans ton lit pleins de taches de ta pitoyable vie sexuelle passé avec ta main toute cornée. Jamais tu toucheras nos corps comme un homme, tu es juste bon à le nettoyer des ses saletés et obéir à nos idées sacrément sadique ! »

Son visage est caché par notre trône, mais au mouvement de sa poitrine et à ses couinements je devine qu'il pleure, il est toujours trop lâche pour accepter de laisser tomber deux belles nanas qui s'occuper de lui.
.. même ainsi ! Je sais que cette sensation insupportable deviendra bientôt une douloureuse addiction. Il sera plus heureux que jamais d'être la bestiole de deux sœurs.

« Tu pleure sale merde fragile ? Répond comme il faut s'il te plaît ! »

« Oui Madame à parole divine ! »

« Pourtant, nous sommes très gentille pour l'instant ! Sandra va te montrer, ce qui vaux des larmes ! »
Sandra tiens dans la main un cathéter, qu'elle plante sans prévenir dans son téton gauche. Elle la transplanter dans toute sa largeur. Il couine et sanglote.

« Tu as un avant goût, maintenant reprenons ! »

Ma sœur, c'est accroupie, c'est mauvais signe pour lui ! Elle veux faire mal. Elle pince avec ses ongles la mamelle blessé, elle rigole bouche grande ouverte, elle m'excite. Je la laisse s'amuser.

« Sandra, va molester se tétin troué un long moment, jusqu'à ce que la douleur t'oblige a supplier. Je serais si tu supplie trop tôt pour vite te débarrasser ! Joue le jeu ! »

Elle le pince, le tourne dans tous les sens, le tire, plainte ses dents sans retenue, elle pourrait quasiment lui arracher. Il tiens un bon moment, il ne l'accepte pas encore mais si il joue le jeu c'est parce qu'il commence à aimer sa condition.

30 minutes passe, son nibard saigne, il est bleu.

« Mesdames les divinité de la domination, je vous supplie d’arrêter, je vous promet qu'au prochain sévices e pousserais mes limites plus loin. »

On avais pas convenue se surnom mais sa réponse me convient tout de même, Sandra pense la même chose car elle se relève.

J’enlève ma culotte, étale à la vue son fond gluant et je glisse mon bras sous le couvercle de sa boite pour étaler le jus sur son visage. Ma sœur a placé une planche pour tenir ses jambes en angle droit et ses plantes de pieds bien en évidence ! Il va subir, elle est en forme !

On s'avance l'une vers l'autre, et on se roule une grosse galoche ! Nos seins bandent au moindre contact physique entre nous deux.
J'ai de suite envie de la baiser ! Tout ce qu'il va subir on l'a déjà subit et infligé mais jamais tout en même temps, il va repartir dans un sale état !
Je sens mon désir pour elle me donner des crampes à la chatte, je me dégage vite d'elle et je m'installe !

Assis, les jambes de part et d'autre de la boite ma vulve s’écarte aussi et je sens un grosse coulée de gelé masculine très odorante ! Il à des haut-le-cœur je l'entend !

« Si tu oses vomir je peux t'assurer que tu aura pire que de la maltraitance tu seras sommé de partir ! Et je sais que tu n'as pas envie de partir sans être punis par toutes ses années de laideurs que tu as fais subir à la face du monde ! On t'offre la paix intérieur, tu sais enfin qu'elle est ton utilité sur cette terre ! »

Il compris que je me foutais de sa réponse et lèche en étouffant ses bruit gastrique ! Bientôt il en a plus. Il me bouffe le minou avec voracité ! C'est ce moment que je choisis pour pisser, il pose immédiatement sa bouche, j'entends les gorgées qu'il avale dans un claquement de bouche. Je pense qu'il à la bouche aussi pleine qu'un hamster. Ma sœur nous regarde et attend le moment propice pour agir.

« voilà, c'est les dernière gouttes de pipi ! Donne deux coup de langue si tu as aimer mon cochon ! »

Je fixe ma sœur qui inspecte ma réaction à sa réponse avec attention, je l'informe des deux timide coups de langues dans un hochement de tête décoré d'un grand sourire.

Sandra.

Au signale de ma sœur, je frappe un grand coup. Mon esprit est traversé par des images très interdite ou je veux le pénétré avec une corne de bélier trouvé sur une carcasse en randonnée, juste après lui avoir injecté la pisse que j'ai demandé au mec qui m'a baisé juste avant !
Plus je vois la scène dans ma tête plus je tape. Quand je sors la corne il peux retenir le liquide de son cul, je récolte tout dans une bassine, puis je lui fais boire à la paille, un très gros cierge planté dans son cul qui se consume pendant que ma sœur me lèche devant se spectacle ! Tout se mélange je ne sais plus si je tape dans la réalité ou en rêve, je suis en transe. J'entends le porc couiné et ma sœur rire.

Je m'approche de l'oreille de ma frangine et je lui chuchote :

«  relève toi, je veux en faire un bougeoir, je m'en fout pour l'instant qu'il me nettoie ! On le fout au milieu de la pièce et je demande a quelqu'un de venir, c'est une surprise, tu va adorer ! »

D'un signe de tête je lui fais signe d'aller dans notre lit d'amour un petit moment. Je l'accompagne, et je l’amène a s'allonger. Elle a toujours mener la danse et verbaliser les désir que je n'osais prononcé. Aujourd'hui je veux mener un peu le truc. Juste une heure.
Je m'approche de ma belle étendue, j’écarte ses cuisses en m’insérant à genoux.

« Je veux te prouver mon amour, grâce a ta témérité je suis une salope comblée »

J'ai prononcé cette phrase en soulevant rudement son bassin pour le poser sur mes genoux. Elle gémit déjà. L'autre clochard l'a excité sans la faire jouir, seule ensemble on arrive à l'orgasme.
Je matte sa réaction en appuyant au dessus de mon poing pour l’enduire de lub. Je le pose contre son trou du cul et l'enfonce tout en penchant au dessus d'elle.

« Je te met en jambe avant de te laisser ! »

J'enfonce mon membre millimétré par millimètre, il glisse lentement avec une légère résistance, en même temps je lui murmure des cochonnerie.

« Ma belle salope au cul envoûtant, que mon poing est bien dans ton colon. Tu sens mes phalanges dans ton fond, je vais les tourner pour bien l'écartelé ! Je suis fière de commander aujourd'hui ! »

Sans être ma domina ma sœur subissais nos nouvelles déviances et ensuite mes les infligeais. Je m’entraînais ensuite sur nos proie du jour. Prendre le pouvoir sur elle réveilla en moi des pensées nouvelles. Pour la première fois c'est a elle que je voulais faire du mal !
Je ferme les yeux, tout en la fistant de plus en plus sauvagement, dans ma tête je l'avais utiliser comme un cendrier grand ouvert a une soirée mondaine. Sans me rendre compter, ma furie faisant hurler ma sœur de douleur et de plaisir, pas encore habitué et un peux gêné je retirais mon avant bras bien inséré de son cul. Je sors rapidement de la chambre.

« A quatre pattes,sac a puces sur le tapis au milieu. Ta joue plaqué au sol et ton cul bien tendu. »

Je saisie l’énorme bougie que j'avais piqué à l'église, je l'allume, il m'observe. Je me positionne devant sa gueule à terre, je cale mes orteils sur sa joue, je veux qu'il sente une pression, je pose ma poitrine le long de sa cambrure et pose mes coudes sur son arrière train. 

« Tu es puceau du cul gros tas ? »

Il hoche sa tête sous mon pied. Je ricane et plante l'objet huile d'une traite en forçant bien. Il pousse une belle est longue plainte.

J'enfile une robe légère et je sors de l'appart pour rejoindre sur le palier du dessous la surprise. Il s'agit du patron de sac à puce. Hier, je l'ai appelé pour me plaindre d'attouchement de la part de son salarié sur une aire d'autoroute. Je l'ai menacé d'alerter la presse. L'idée que sa boite coule l'a effrayé, je lui ai donc demandé de venir ce soir pour une pipe puis pour que j'ai le droit a ma compensation.

Je descend d'un pas léger les escaliers et j’aperçois un bel homme trentenaire, arrivé a sa hauteur je me met a genoux sors son sexe et le suce avec plaisir. Je suce tellement bien que je le fais jouir dans les 10 minutes. J'avale son fluide et je le fais monter. Quand il entre, il voit de suite la lope, bingo son regard révèle ses déviances enfuis.

La merde s'affole tremble, mais elle ne peux toujours pas avoir le courage de clamer ses droits. Il finit par s'apaiser.

« Baise moi sur la table de suite... Sébastien... c'est ça ? »

Sans réponse, il me tourne, me penche et m'embroche. Mes bruits, font apparaître ma sœur, Seb plus prometteur que jamais est très réceptif.

« je te présente Marion, ma sœur. Marion je te présente Seb son patron.  Laisse moi lippe ton minou joli pendant qu'il me culbute ! »

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