April, En Quête De Sexe 21

Un jeudi soir, je me rendis chez Mme Dufrej, ma prof de maths. Lundi, elle m'avait retenue à la fin de son cours pour me dire, ou plutôt m'ordonner de venir chez elle le jeudi suivant. Je me doutais bien que c'était pour passer un moment intime avec elle, j'étais donc impatiente de la retrouver. J'appréhendais aussi ce qui allait se passer : la dernière fois, elle m'avait complètement dominée. J'avais été surprise qu'elle soit dominante, ça avait joué en sa faveur, j'espérais donc que cette fois-ci j'aurais le dessus. Pour l'occasion, je m'étais habillé très sexy : un micro-short en jean pour le bas ainsi qu'un mini-débardeur bleu ciel pour le haut. Je ne portais pas de sous-vêtements, je me suis dis que de toute façon, je n'allais pas les garder longtemps. Au bout de quelques minutes, j'arrivais devant chez elle : elle possédait une grande maison avec un grand jardin. Je savais qu'elle était mariée - elle portait une alliance pendant les cours -, son mari devait donc faire un travail bien payé. Je me demandais aussi si son époux savait que sa femme le trompait mais je m'ôtais cette question de la tête car, de toute façon, je m'en foutais. Je sonnais donc pour m'annoncer ; j'attendis quelques minutes lorsque la porte s'ouvrit sur Mme Dufrej. Elle portait une robe violette qui la rendait superbe : ses seins étaient bien mis en valeur avec un décolleté généreux et sa robe lui moulait son corps sublime. Son fessier était à croquer dans cette robe, j'espérais avoir un corps comme le sien à son âge. Mme Dufrej me déshabilla du regard et me dit :


- Mmm, tu es très sexy quoique vulgaire aussi. Tu ne peux pas t'habiller plus classe ?


Pour toute réponse, je lançai mon sac à l'intérieur puis je la plaquai contre le mur. Elle poussa un cri de surprise que j'étouffai en l'embrassant vigoureusement. Après avoir bien goûté à sa bouche, je glissai ma main sur sa poitrine opulente que je sortis de sa robe pour mieux la peloter.

Je lui souris et lui dis d'une voix mielleuse :


- Je préfère m'habiller léger, au moins comme ça c'est plus rapide pour me déshabiller.


Elle me sourit puis agrippa mes fesses pour me rapprocher d'elle et elle me répondit :


- Alors qu'est-ce que t'attends pour le faire?


Sur ces mots, je lui souris et reculai de quelques pas. Je pris une pose lascive et commençai à retirer lentement mes habits. J'enlevai sensuellement mon mini-débardeur, dévoilant ma belle poitrine bien ferme sous ses yeux ravageurs. Je mis ensuite dos à elle et me penchai légèrement pour ensuite retirer lentement mon micro-short. Je me penchai maintenant encore plus pour qu'elle ait une belle vue sur mon fessier. Ce qu'elle voyait lui plaisait et elle me le fit savoir en s'approchant et en me claquant les fesses :


- J'aime ton fessier bien rebondi.


Je me redressais et me collai contre elle, ses obus s'écrasant contre mon dos :


- Vous attendez quoi pour vous déshabiller, vous aussi ?
- Pas encore. Je vais d'abord profiter de ton corps, petite coquine.

Je voulus protester, mais elle introduit deux doigts de sa main à droite dans mon sexe et sa main gauche vint caresser mon sein gauche, me faisant gémir de plaisir. Elle me caressa doucement, me faisant soupirer de plaisir. Elle continua à me satisfaire pendant de longues secondes puis elle me dit :


- Va te mettre en levrette sur la table, je vais bien m'occuper de toi.


Je me retournai, face à elle et lui déposai un baiser sur ses douces lèvres :


- Pas encore, j'ai envie de profiter de ton corps.


Sur ces mots, Mme Dufrej me plaqua contre le mur d'en face, me tint à la gorge et me dit d'un sourire mauvais :


- Qui t'as autorisée à me tutoyer ? Je t'ai dit la dernière fois que tu étais ma chienne, tu crois que ça a changé ? Non, alors fais ce que je te dis, point barre.



Cette femme m'impressionnait : elle avait du charisme, elle m'intimidais et ça m'excitais terriblement. Mais cette fois, je n'avais pas l'intention de me laisser faire. Je retroussai donc légèrement sa robe et infiltrai en elle deux de mes doigts ce qui la fit gémir. Je la doigtai vigoureusement, lui faisant pousser de légers soupirs. Je la tins à la gorge comme elle et lui dit :


- Ne crois pas que je vais laisser faire comme la dernière fois. Aujourd'hui, c'est moi qui vais te soumettre.


Elle me regarda et me lança un sourire narquois. Je soutins son regard, chacune de nous se jaugeant du regard. Après quelques secondes passées, à nous affronter ainsi, nous nous embrassâmes sauvagement. Chacune les doigts dans le sexe de l'autre, nous nous embrassions et nous nous doigtions vigoureusement. Nous restâmes ainsi chacune voulant faire jouir l'autre en premier pour ensuite prendre le dessus. Malheureusement pour moi, elle était vraiment très douée et mon corps commençait à trembler. Je sentis mon corps s'emplir d'une grande vague de jouissance et je me doutais que j'allais jouir sous peu. Je tentai de résister, me mordant la lèvre, mais elle m'acheva en un délicieux mouvement de ses doigts qui me jouir en un grand cri de satisfaction. Cette jouissance me sonna à moitié, me faisant retirer mes doigts de sa chatte, incapable de continuer de la masturber. Mme Dufrej profita de mon étourdissement pour me retourner et me plaquer contre le mur. Elle cambra légèrement mes fesses et me rentra maintenant deux doigts comme tout à l'heure sauf que cette fois-ci, elle les rentra dans mon petit trou. Je poussai un cri sous son audace et je ne pus me rebeller pour deux raisons : un, j'étais toujours sonnée par l'orgasme qu'elle m'avait procurée et deux, ses doigts me faisaient un bien fou, elle savait vraiment bien s'y prendre pour me faire monter au septième ciel. Elle continua à me baiser vigoureusement avec ses doigts et elle me tira les cheveux, me forçant à la regarder.
D'un ton moqueur, elle me nargua :


- Alors, ma petite salope ? Je croyais que tu allais te rebeller et me dominer, non ? Parce que là, je te vois plutôt soumise à mes doigts !


Je voulus répondre à cette provocation mais elle m'en empêcha en introduisant en moi un troisième qui me fit crier de satisfaction. Je ne pouvais m'empêcher de pousser de grands gémissements de plaisir et j'essayais tant bien que mal de me rebeller mais à chaque tentative, elle m'en empêchait par un habile mouvement de ses doigts qui me procurait une délicieuse vague de satisfaction. Ce traitement qu'elle me procurait finit par m'avoir et je jouis une seconde fois sous ses doigts experts. Elle retira ses doigts trempés de ma cyprine puis me retourna, face à elle. Elle rentra ses doigts dans ma bouche, m'obligeant à les nettoyer. J'étais légèrement sonnée par ce qu'elle venait de me faire et je ne songeais pas, pour l'instant, à reprendre le dessus alors je suçai ses doigts, les nettoyant consciencieusement. Mme Dufrej retira ses doigts de ma bouche puis elle me dit :


- Allez suis-moi, que je continue ta soumission.


Elle partit donc en direction du couloir. Je la suivis sans protester sachant très bien que j'allais prendre mon pied comme jamais. Elle ouvrit une porte et on entra dans sa chambre : au milieu de cette dernière trônait un beau lit deux places sur lequel il allait se passer des choses pas très catholiques. Mme Dufrej se tourna vers moi puis m'ordonna :


- Allonge-toi sur le lit et plus vite que ça !


Son sourire narquois et le fait qu'elle semblait si sûre d'elle m'excitait mais en même temps, cela m'agaçait. Je décidais donc de la mâter avant qu'elle ne me soumette : je la poussais sur le lit où elle s'étala en poussant un cri de plaisir. Sans lui laisser le temps de réagir, je m'assis sur sa bouche et lui bloquai les bras avec mes jambes, l'empêchant de prendre le dessus. Elle se débattit mais ne put rien faire dans sa situation.
Je profitais donc de ma supériorité pour lui ordonnai :


- Lèche-moi, c'est un ordre.


Au début, elle ne voulut pas m'obéir mais ses bras étaient immobilisés et ma chatte contre sa bouche alors elle finit par commencer à me lécher. Elle tourbillonna sa langue sur moi, me faisant chavirer dès le début. Je me cramponnais à ses cheveux pour ne pas basculer tant le plaisir qu'elle me procurait avec sa langue était fulgurant. Elle me lécha efficacement et me fit atteindre le septième ciel rapidement. Ma tête partit en arrière et je poussai un grand cri de plaisir. Cet orgasme était vraiment puissant et je faillis m'écrouler mais je réussis à me maintenir. Je repris difficilement mon souffle mais Mme Dufrej ne m'en laissa pas le temps : elle reprit ses coups de langues, aussi efficacement voire même plus que le premier cunni. Je gémissais fortement, ma respiration était saccadée et mes bras vacillaient : je manquais de tomber à tout moment sous ses coups de langues. Je savais qu'elle faisait ça pour renverser la situation mais j'étais comme paralysée par ses coups de langues, je ne pouvais donc pas l'empêchais de continuer son cunni. Elle était en dessous de moi mais c'était maintenant elle qui avait la situation en main malgré le fait que je l'immobilisais. Arriva ce qui devait arriver, après quelques minutes d'intense cunni, elle me fit jouir encore une fois. Cette fois je ne pus tenir et je m'écroulai de plaisir, comblée. Mais bien évidemment, ma prof ne comptait pas en rester là : profitant du fait que j'étais étendu sur son lit, sonnée, elle prit dans une commode des menottes et un double gode-ceinture. Incapable de me défendre, elle m'attacha les poignets aux barreaux de son lit puis elle plia mes jambes au dessus de mes épaules pour attacher mes chevilles aux barreaux. J'étais maintenant totalement immobilisée, ma chatte et mon anus étaient à sa portée. Elle se mit debout sur le lit et me fixa dans les yeux :


- Tu vas prendre cher pour avoir voulu te rebeller, petite soumise.


J'étais totalement à sa merci mais je ne voulais pas encore m'avouer vaincu :


- Vous n'avez pas encore gagnée, quand vous me détacherez je vous soumettrai !
- C'est ce qu'on verra.


Sur ce elle enleva sa robe, dévoilant son superbe corps – elle ne portait pas de sous-vêtements - ainsi que son splendide bonnet E, se mit le double gode-ceinture, le présenta à l'entrée de mon cul et le rentra d'un coup. Je me mordis la lèvre pour ne pas laisser échapper un cri qui lui ferait trop plaisir. Ce fut par contre difficile de retenir mes gémissement lorsqu'elle commença de vigoureux va-et-vient. Elle me baisait efficacement, elle était douée, plus douée encore qu'un mec. Je ne pus m'empêcher de laisser échapper quelques gémissements qui sortaient de ma bouche malgré moi. Elle sentit que je tentais de lui résister aussi elle redoubla d'efforts et me baisa encore plus vigoureusement que jamais. Je tentais de me retenir mais je poussais maintenant des cris de plaisir. Je me débattis mais j'étais solidement attachée et ne pus me défaire des menottes. Après quelques minutes, elle me donna un puissant orgasme qui me fit crier. Mais elle ne s'arrêta pas là et continua de me baiser aussi intensément. Elle gémissait elle aussi et elle finit par avoir un orgasme qui la fit un peu plus gémir mais ne la perturba en rien dans ses coups de reins. Sans pitié, elle continua encore et encore et me provoqua deux orgasmes en cinq minutes. J'étais transpirante, à moitié sonnée alors qu'elle gardait la même cadence, ne se fatiguant même pas. Entre deux coups de reins, elle me dit :


- On va passer à la vitesse supérieure.


Sur ces mots elle introduisit trois doigts dans mon sexe mouillé et me doigta au même rythme que ses coups de reins. Cela me fit pousser un long gémissement et je fermai les yeux m'abandonnant au plaisir. Je savourai pleinement ce moment quand je poussai un cri soudain : sans que je m'y attende, Mme Dufrej avait rentré son poing en moi et me fistait la chatte. Elle me limait maintenant mes parois anales avec le gode et mes parois vaginales avec son poing. C'était trop bon et je ne pouvais m'empêcher de crier :


- Oh bordel c'est trooop bon. Aaah oui ! Vous arrêtez pas, continuez !


Et Mme Dufrej ne s'arrêta pas, au contraire : elle continua de plus belle me fistant aussi bien qu'elle me baisait. Elle me fistait encore mieux qu'Hyssan et pourtant j'avais pris un pied terrible avec lui. Mais là j'avais en plus le gode dans mon cul, c'était trop bon, je ne pouvais résister. Je poussais maintenant de grands cris totalement incapable de me retenir. Rien n'arrêtait ma prof, elle était infatigable ! Elle me procura encore trois orgasmes intenses en 10 minutes, 3 orgasmes de folie, les meilleures de ma vie. Mais malgré ça, elle ne s'arrêta pas et continua de plus belle ! Les orgasmes qu'elle me procuraient m'avaient rendue toute faible et je n'en pouvais presque plus :


- Stooop ! S'il vous plaît, c'est troooop ! C'est boon mais vous allez me  !


Pour toute réponse, elle me claqua les fesses et me dit :


- C'est ta punition pour t'être rebellée ! Et appelle-moi maîtresse quand tu t'adresses à moi, compris esclave ?


Mes orgasmes à répétitions m'avaient enlevée toute volonté et je ne pus que me soumettre :


- Ou... Oui Maîtresse !
- Bien. Tu comprends maintenant où est ta place !


Sur ce, elle reprit sa baise infernale me faisant crier encore et encore. Elle me procura encore deux nouveaux orgasmes qui m'achevèrent : je n'avais plus de force, je ne pouvais même plus crier ! Elle eut elle aussi un nouvel orgasme et je sentis enfin qu'elle commençait à fatiguer : ses coups de reins devenaient de plus en plus irrégulier, son poing était moins énergique et elle était en sueur. Malgré sa fatigue, elle ne s'arrêta pas et continua de me baiser intensément. Je ne poussais maintenant plus que des gémissements tant la fatigue me gagner. Après encore quelques minutes de cette diabolique baise, Mme Dufrej me donna deux nouveaux orgasmes qui me firent légèrement crier. Ma prof, elle, eut un nouvel orgasme et elle s'arrêta enfin de me baiser. J'étais au bord de l'évanouissement et je remarquai à peine qu'elle défit mes liens, me libérant. J'avais dit à Mme Dufrej que je la soumettrai quand elle m'aurait détachée mais je n'en avais plus la force : j'étais totalement amorphe, c'était la meilleure baise que j'ai eue de ma vie. Je devais bien le reconnaître : elle m'avait bien soumise. Elle le savait très bien d'ailleurs et elle me nargua : elle prit mon visage dans ses mains et me demanda :


- Alors, qui est la maîtresse entre nous deux ?


Faiblement, je lui répondis :


- C'est vous...


Elle me gifla et me demanda d'un air sévère :


- C'est vous, qui ?
- C'est vous maîtresse.
-Bien. Maintenant, rhabille-toi et va t'en. J'en ai fini avec toi soumise.


Vaincue, je me rhabillai. Ce fut vexée mais comblée de plaisir que je rentrais chez moi encore sonnée par cette baise intense.

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