La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1100)

Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1093) -

… Puis plus doucement encore vers son mont de vénus, déjà tout humide… Après des jours et des nuits de mille bonheurs D/s et ayant trouvé l'amour et un épanouissement merveilleux comme invitée permanente et plus encore comme soumise dans les bras du fantôme du Château, Carole décida de retourner un beau matin à Villefranche-sur-Saône afin d’y récupérer quelques affaires. Là, elle se rendit dans son modeste et tout petit appartement, qui après tous ses jours passés dans le vaste Château, lui semblait si médiocre. Elle se demanda, scrutant l'unique pièce quoi emporter et garder. Au final, elle ne rassembla que quelques affaires pouvant tenir dans un seul grand sac de sport. Quelques photos encadrées d'elle et de sa sœur avec ses parents, malheureusement décédée dans un stupide accident quand elle avait 16 ans. Sa sœur plus âgée n'ayant voulu la prendre en charge, Carole, majeure légalement, avait réussi à obtenir une émancipation de ses droits, lui permettant de ne pas se retrouver dans un foyer d'accueil ou un pensionnat. Elle avait réussi ainsi à vivre, précairement certes, mais comme elle l'entendait. Le revers à la médaille c'est qu'elle avait dû quitter le lycée pour trouver un emploi de serveuse dans un snack bar. Ce qui ne l'empêcha pas, malgré l'éreintement de ses journées, de suivre des cours du soir...

C'est d'ailleurs lors d'un de c'est fameuse cour qu'elle fit la connaissance de Jack, un beau jeune homme, bien élever en apparence, issu d'une haute famille. Elle éprouva presque aussitôt un béguin pour lui. Seulement, Jack avait déjà une copine du nom de Sandra. Cela ne l'empêcha pas de se rapprocher de Jack, comme de Sandra, devenant, le croyait-elle, leur amie. Ils avaient eu une forte influence envers elle pour en faire petit à petit leur soumise, leur chose… Elle ne se souvient plus trop comment elle en est arrivée à accepter de les suivre un soir jusqu'au Château.

Voulant oublier cette nuit horrible où elle fut prise sauvagement par le jeune homme, tout en étant amenée à lécher la vulve de Sandra en même temps. Même si c'est événement lui avait permis de rencontrer un fantomatique Marquis d'Évans d’une autre époque datant de plusieurs siècles.

Ses modestes affaires bien rangées dans le sac, elle appela un brocanteur à qui elle vendit, sans chercher à marchander tous ses meubles. Réglant en liquide par la suite ses derniers mois de loyer en retard, rendant les clefs de l'appartement à son propriétaire pas plus soucieux que ça de la voir partir et elle s’en retourna de suite direction le Château. Sandra, l'aperçu sur son scooter, toute joyeuse de quitter la ville, et décida de la suivre. Une fois Carole arrivée près du Château, Sandra se cacha aux abords de la propriété et observa de loin Carole stopper son scooter près du perron de l'entrée, avant de disparaître derrière la massive porte, non sans l'avoir cru entendre crier :

- Je suis de retour, Maître.

Intriguée par l'arrivée et l'entrée dans le Château de Carole, Sandra se faufila discrètement jusqu'aux immenses et hautes fenêtres vitrée donnant sur la salle à manger du rez-de-chaussée. Et avec stupéfaction et effroi, elle découvrit une vaste pièce luxueuse et très bien entretenue, où tout brillait de mille éclats, aux riche décor somptueux d’un autre siècle, aux merveilleuses tentures de velours bordeaux ouvertes aux fenêtres, aux lustres flamboyants, aux tableaux muraux magnifiques de grands peintres, tout cela à la place de cette pièce poussiéreuse, aux murs décrépis plein de bric et de broc qui avait été le théâtre de leur ébat lors de sa précédente visite. Comme par magie, il semblait que le luxueux décor de jadis était réapparu de ladite pièce…

Mais ce qui ébahit encore plus Sandra, c'est de voir dans la lumière de cette immense pièce, Carole, entièrement nue, allongée sur une table ronde, cuisses écartées. Son cou fermé par un collier, ses poignets et chevilles par des bracelets mais qui la laissaient libre de mouvements.
Les yeux bandés d'un foulard de soie noire, elle était en train de se caresser les seins d'une main et de l'autre sa chatte. Son corps luisant de l'enfièvrement de son excitation sous les flammes dansantes du haut feu brûlant dans l'immense âtre de la cheminée sculptée. Devant laquelle se trouvait une chaise vite, sauf que lugubrement le feu projetait au sol, l'ombre d'une personne assise là. Seulement, Sandra d'où elle observait ne le vit sans quoi elle aurait certainement fui à nouveau de peur, au lieu de s'introduire d'un pas feutrés dans le Château. Sandra se glissa à pas de loup, tel un fantôme, ignorante être épiée par un vrai fantôme, dans la pièce où se trouvait Carole en plein spectacle masturbatoire. Carole en proie au plaisir qu'elle s'offrait de ses mains, n'entendit pas Sandra s'avancer dans la pièce et venir prendre place sur la chaise, la croyant vite...

Carole gémissait de plus en plus, bien en mal à retenir l'explosion de sa jouissance. Elle attendait pour cela la permission du Maître, le Marquis fantôme, par le tintement de la cloche. Mais l'arrivée impromptue de Sandra, retarda atrocement pour Carole cette permission tant attendue. Notre Fantomatique Marquis, se contentant d'observer pour le moment le formidable spectacle, attendant de voir quelle initiative l'intruse allait prendre, comme Sandra qui semblait envoûtée par celui-ci. Sandra, en effet, était hypnotisée par le spectacle et semblait avoir occulté le fait que la pièce était devenue une pièce de vie et non une salle abandonnée aux toiles d’araignées par le temps. Un seul mot de Sandra et tout s'arrêteraient. Mais heureusement, obnubilée, excitée par la scène, elle garda le silence, les yeux fixés sur le corps chaud de Carole tandis que quittant son siège, elle s'avança, son bas-ventre humide, près de la soumise excitée. Elle attrapait ses mains et les plaça de part et d'autre de son corps sur la table. Carole, yeux toujours bandés, pensant qu'il s'agissait du Maître, se laissa faire.
C'est alors que Sandra se m'y à la caresser elle-même de ses mains et de sa bouche de petits baisers, prenant ensuite entre ses lèvres, son téton droit qu'elle suçota tout en martyrisant de ses doigts le téton gauche de Carole, qui en gémit de plaisir. Sandra porta ensuite son attention, vers son sexe dégoulinant de cyprine à l'odeur fort de sueur et de plaisir mélangés. Elle darda sa langue et se mit à fouiller les replis de la chatte de la jeune femme qui se cambra aussitôt s'offrant davantage à cette langue experte.

- Je n'en peux plus... je viens...aaahhh !, cria brusquement Carole en proie à un orgasme fulgurant et grandiose.
- Oui, jouit ma belle... jouis pour moi... l'encouragea Sandra à haute voix.

Carole, prit dans l'orgasme ne réalisa pas sur l'instant, qu'une femme venait de lui parler. Il lui fallut de nombreuses minutes pour redescendre des cieux du plaisir et reprendre ses esprits.

- Ton expérience avec Jack et moi a réveillé, me semble-t-il, en toi une nature des plus pervers que je ne te pensais pas capable d'avoir, déclara Sandra.

À sa voix, Carole, se redressa brusquement sur la table en retirant au plus vite son bandeau, mortifiée d'apercevoir devant elle Sandra, lui demandant ce qu'elle faisait là.

- Tout simplement, je viens d'offrir un orgasme divin à la salope que tu es !, répondis, Sandra avec un petit sourire malicieux.

- C'était-toi ?, et non pas... ? s'étonna Carole, avant de s'arrêter net dans sa phrase.
- Non pas qui ? Je croyais que tu étais toute seul ici ?" s'étonna à son tour Sandra.
- Oui, heu… je suis seul... enfin, non... enfin... mais que diable es-tu venu faire ici !?, répondit Carole, se reprenant aussi sec en se relevant, interrogeant furieusement Sandra…

(A suivre …)

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