La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1101)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1098) –

En effet, je ne pouvais pas nier que la situation me faisait mouiller d’être traitée comme un animal … comme une esclave … Me voilà donc dans un box, comme dans une écurie, sauf que j’avais la place de la jument. Au cou le collier, et du collier, une longe qui me tenait attachée à un anneau fiché dans le mur. Nue, crasseuse, les cheveux collés au visage, mes trous de salope se vidant de tout le foutre reçu… J’entendais des bruits provenant des autres box. M’approchant de la porte qui m’arrivait à hauteur de poitrine, je penchais la tête en dehors, et vis, à ma droite la tête d’une autre femelle, et à gauche aussi. Poliment je dis timidement :

- Bonjour !
- Bonjour me répondirent les deux autres femmes souriantes en me regardant…
- Que fait-on ici demandais-je naïvement ?
- Tu demandes ce qu’on fait ici ? Tu n’as rien vu alors ? Ou tu le fais exprès…
- Je m’appelle Anne, j’ai 30 ans.
- Et moi c’est Mélanie, dit l’autre, moi j’ai 52 ans… et toi ?
- Moi, c’est Isabelle et j’ai 21 ans, dis-je.

Les deux femmes, d’âge différents étaient belles… Mélanie surtout qui avait de la classe… Elle me dit :

- Ici on est dressées à servir les hommes, tu vois ce que je veux dire… Mais on ne se plaint pas, même s’ils sont rudes, car c’est notre choix de vivre ainsi en esclave et heureuse de l’être…

Elle montre ses épaules bien marquées, et elle dit :

- C’est le prix à payer quand on n’obéit pas ou mal… mais tu apprendras…
- Et ces cris, là à l’instant, que j’entends, ajoutais-je ?
- Education ma belle, de temps en temps, celle qui ne semble plus assez efficace est reprise en mains et ça donne ce que tu entends. Crois-moi, avec eux, il vaut mieux marcher droit.
- Mais en même temps, si tu files doux, si tu es très obéissante, tu y trouveras ton bonheur d’être traitée comme une esclave…

A ce moment, un jeune, 20/22 ans peut-être, vient vers mon box.

Blondinet, dans un autre endroit, il m’aurait plu avec ses épaules de déménageur, et son visage de poupin…beau gosse !

- C’est pour toi ma belle me dit Mélanie.

Effectivement le jeune me dit sur un ton qu’il voulait autoritaire…

- Tu pues ! Je vais te conduire à la douche, ça te fera du bien tu verras…
- La douche reprit doucement Mélanie mettant ses mains sur sa bouche, tu vas voir ce qu’est la douche… Au fait, le gamin s’appelle Michel, mais…

Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase car Michel la fixait… alors elle se tut et baissa la tête… Le jeune, ouvrit la porte, me fit reculer, me regarda attentivement en se pinçant fortement un téton, défit la longe de l’anneau, la prit en main et me tira dehors… à quatre pattes. En partant, je regardais Mélanie et Anne qui me faisait un petit signe de main, très discret… Je suivais Michel, habillé comme à la campagne, des bottes sales en caoutchouc, sur un jean pas moins sale, un tee-shirt… et une carrure de catcheur… Moi, pieds nus, sale, puant le foutre et la transpiration, une douche me fera du bien, me disais-je…

- Reste ici, commanda Michel.

Arrivée à l’extérieur, je restais sur place sous un arbre. Il revint avec une corde qu’il lança au-dessus d’une grosse branche et m’ordonna :

- Lève les bras (ce que je fis immédiatement)

Je m’étais relevée. Il noua mes poignets et tira sur la corde me faisant me soulever sur la pointe des pieds tant elle était tendue. Il avait aussi une barre en bois qu’il plaça entre mes chevilles ce qui me faisait reposer de tout mon poids sur la pointe du gros orteil seulement… J’avais les jambes très écartées. Michel prit le tuyau jaune qui trainait par terre à côté duquel se trouvaient un seau rempli de mousse et un balai brosse… Il ouvrit l’arrivée d’eau et m’aspergea copieusement d’eau glacée… Se qui me fit tressaillir, trembler subitement …

- Ah ! c’est froid dis-je !
- Ferme ton bec, ma belle ! répondit Michel, ici les femelles se taisent…

Arrosée à souhait, Michel coupa l’eau, se saisit du balai brosse et commença un récurage de mon corps, sans ménagement, comme si c’était naturel.
Les seins, les tétons, le ventre, les fesses, les jambes, tout y passa, sans oublier la chatte sur laquelle il s’étendit longuement… Pour l’anus ce fut pire, un collège passant pas loin arriva et Michel lui dit :

- Ecarte-lui le cul, à cette salope, que je le lave !

Mes fesses très écartées, du foutre coulait encore, tant mon anus était encore ouvert. Michel arrosa, brossa, rinça puis introduisit le tuyau dans l’anus et injecta l’eau glacée…

- Ah ! criais-je, surprise et incommodée…
- J’ai dit de la fermer, chienne, hurla Michel m’envoyant une puissante paire de fessées …

Puis ils partirent, me laissant ainsi attachée. Une heure plus tard, le groupe des deux gars revint, accompagné cette fois d’un troisième que Michel nommait Ahmed. Celui-ci, torse nu était véritablement un athlète à la musculature inouïe… Arrivés à ma hauteur, il s’approcha de moi et dit aux autres :

- C’est la nouvelle d’hier soir, je la reconnais… ah, c’est bonne la salope, je l’ai tirée hier soir dans tous les sens, si vous aviez vu… Jamais vu une femelle comme ça et en plus, elle aime…

Les deux autres gars me dévisageaient… tandis qu’Ahmed ajoutait…

- Le Maître a fouillé ses affaires et a confisqué son sac. Il a trouvé ses papiers d’identité et vous savez quoi…
- Ben non !
- Cette salope est une Comtesse !
- Une quoi ? reprirent les autres ?
- Une Comtesse ! Tu sais pas ce que c’est une Comtesse ? Une belle dame de la haute, voilà !
- Oh merde ! dirent les deux jeunes… On a une Comtesse chez nous…
- Ouais mes amis, j’en ferai bien ma chose privée mais je crois que le Patron a des vues sur elle… C’est comme ça, les meilleurs morceaux c’est pour lui, à chaque fois…

Ainsi petit à petit, j’emmagasinais des informations. Alors que j’avais séché quelque peu, me réchauffant au soleil de septembre… Un autre homme arriva, noir de peau, à l’aspect pas commode du tout, venant dans notre direction.
Les trois gars faisaient mine de s’en aller mais…

- Restez ici, les toubab dit-il d’une voix tonitruante !

C’est ainsi que les Noirs d’Afrique nomment les hommes blancs. Je me rendis compte que les trois gars, soit le craignaient ou en tous cas lui manifestaient de la déférence polie. Le Noir qui répondait au doux nom d’Abdou s’approcha de moi, mains posées sur ses hanches. Ses bras, tatoués, ressemblaient plus à des troncs d’arbres qu’à des bras humains… les miens à côté des siens ressemblaient à de fines allumettes… Ses cuisses devaient faire le triple, voire plus que les miennes… il faisait le tour de mon corps toujours suspendu, se saisit de l’un de mes seins qu’il broya dans sa main… puis, de l’autre, planta ses doigts entre les deux mâchoires me forçant à ouvrir la bouche…

- Sorts ta langue de pute cria-t-il ! (J’obéis)… - Pas mal, belles dents !

Il cessa ses attouchements, remit ses mains sur ses hanches, me fixait intensément, je le regardais, fière, quand… Une, deux trois, quatre gifles me dévissèrent la tête tant la paume de ses mains était large et la puissance qu’il avait mise dans ses gestes… Entre ses dents, comme s’il sifflait :

- Baisse les yeux, ma salope, sinon…

Il repartit sans un mot de plus laissant les trois gars regarder mes joues très marquées… On y voyait la marque des doigts… Abdou revint tantôt avec un sac, les autres hommes étaient restés sur place et se parlaient entre eux. Abdou en sortit un foulard et trois appareils que je ne vis pas très bien. Il plaça un foulard sur mes yeux et le serra très fort. Puis :

- Ouvre ta gueule, salope !

Tandis que j’ouvrais la bouche, il y introduisit un appareil écarteur, c’était métallique, froid, ça prenait mes mâchoires et mes joues et il vissa, vissa, l’appareil s’ouvrait entraînant ma bouche dans une ouverture qui au début me faisait mal aux articulations de la mâchoire, je geignais, ne pouvant pas parler, il vissait encore, j’avais la bouche comme démantibulée et très grande ouverte.
Je bavais, tant je ne pouvais avaler à ma guise. Puis, il tira sur la barre d’écartement, appela un des gars, lui demandant de la tenir levée. Dans cette pose, j’étais un peu allongée les cuisses écartées et il introduisit dans ma chatte un écarteur, assez profondément. Là aussi, il vissait, vissait, vissait encore et au fur et à mesure, mon ouverture vaginale s’ouvrait démesurément jusqu’à la douleur mais qui me faisait mouiller grandement, je dois bien l’avouer. Il fit relâcher le gars qui tenait la barre entre ses mains et en fit de même dans l’autre sens, lui présentant mes fesses. Il demanda à un autre gars d’écarter mes fesses et fit de même qu’avec ma bouche et mon vagin, m’ouvrant le cul bien écarté jusqu’à la douleur. Enfin, reposée sur mes orteils, il retendit la corde encore plus, me faisant effleurer le sol cette fois. En fait, je me balançais légèrement, mes trois orifices bien ouverts…

(A suivre …)

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