Le Défi

Je suis Frédéric, quarante cinq ans, brun, yeux marrons, un mètre soixante cinq et une dizaine de kilos en trop au niveau de mon ventre. Je suis marié à Alexandra depuis vingt ans et ont à deux grandes filles de seize et vingt ans. Alexandra est une très jolie femme du même âge que moi, un mètre soixante cinq elle aussi, une superbe silhouette, un très beau cul qu’elle met très souvent en valeur dans sa façon de s’habiller. Elle ne le voit pas tout le temps, mais je la déshabille très souvent du regard. Nous faisons très régulièrement l’amour et pour casser la routine, nous nous lançons des petits défis sexuel chacun notre tour. Il n’y a rien à gagner, c’est juste pour nous amuser. Et je vais raconter l’histoire d’un défi qu’elle m’a lancée.
Après avoir été voir le film cinquante nuances de Grey, ma chérie ma donné comme défi que je sois durant une soirée, son maître dominant et elle, ma soumise. Pour moi, ce n’est pas un défi facile, car je ne suis pas du tout dominant. Je dirais même que je suis plutôt réservé et que je préfèrerais être soumis plutôt que dominant. Mais je vais essayer de jouer ce rôle, après tout, on veut s’amuser tous les deux.
Quelque semaines plus tard, pendant le repas du dimanche soir, nos deux filles nous ont informé que le samedi soir prochain, elles étaient de soirée toutes les deux et quelles ne passeraient pas la nuit à la maison. Ça sera le meilleur moment pour mettre mon défi en pratique, il me reste six jours pour trouver comment et quoi faire. Et le lundi matin, j’avais une idée. Jouer un rôle. J’ai envoyé un SMS à ma femme qui disait :
Bonjour Alexandra, je suis un homme dominant et votre mari m’a contacté pour que vous soyez ma soumise samedi soir prochain. Si vous êtes d’accord, nous passerons une bonne soirée rien que nous deux, ou vous me devrez une obéissance totale. Si vous êtes intéressé, j’attends votre réponse. Si vous avez le moindre doute, la moindre hésitation, effacé ce message et oublié moi.


Voilà, la partie est lancée et je suis plutôt fier de mon idée et du message que je viens de lui envoyer. Jouer le rôle d’un dominant sera sûrement plus simple pour moi que d‘être le mari dominant. J’espère qu’elle va jouer le jeu et qu’elle va me répondre. Lorsque j’entends la sonnette qui m’indique que j’ai reçu un message, je me jette sur mon téléphone. C’est bien elle qui me répond :
-Bonjour, je pourrais être intéressée mais qu’entendez vous par je vous dois une obéissance totale ? Vous comptez m’offrir à d’autres hommes ? J’ai vu que dans la soumission, ça se pratiquait.
-Vous avez l’air de savoir ce qu’est la soumission. Donc, vous devez savoir que vous me devez le respect. Un bonjour monsieur était le bienvenu. Obéissance totale veut dire ce que ça veut dire. Vous ferez tout ce que je vous ordonnerez de faire. Et non, je ne vous offrirais pas à d’autres hommes pour cette première soirée. Vous serez à moi.
-Je suis d’accord monsieur, pour être votre soumise samedi soir.
-Bien Alexandra, je passerais vers dix neuf heures vous cherchez pour aller dîner au restaurant. Nous irons ensuite boire un verre dans un bar branché du centre ville et nous finirons la soirée chez moi. Je veux pour cette soirée, que vous soyez habillée avec un joli décolleté, mettant en valeur votre poitrine, une jupe ou robe arrivant au plus long à mi cuisses, des chaussures à talons de dix centimètres minimum, une paire de bas fantaisie et un ensemble coordonné de sous vêtements trois pièces ( culotte, soutien gorge et porte jarretelle ) Bien entendu, vous serez intégralement épilée.
-Monsieur, je ne pensais pas que nous allions sortir. J’aimerais sortir dans une tenue ou je serais plus à l’aise et m’habiller comme vous le souhaitez une fois arrivé chez vous.
-Je vous ai communiqué la tenue que je souhaite vous voir porter samedi soir. J’espère en être fier et voir des regards ce tourner sur vous. Vous avez cinq jours pour choisir vos vêtements.
Ne me décevez pas.
-S’il vous plaît, monsieur, je ne serez pas à l’aise dans une telle tenue. J’aimerais m’habiller à ma façon, je suis sur que ça vous plaira comme même.
-Alexandra, ça commence très mal. Vous me devez une obéissance totale. Je vous ai communiqué ce que je souhaite, il n’y a pas à discuter. La conversation est clause. A samedi dix neuf heures.
-A samedi monsieur.
C’est très compliqué ce que je demande à ma femme. Je sais qu’elle ne porte jamais de bas lorsque l’on sort. Et encore moins des bas fantaisie. Elle n’aime pas sentir les regards ce tourner sur elle. Mais c’est elle qui m’a lancée ce défi, c’est elle qui souhaite être ma soumise. Alors oui, elle pensait être ma soumise juste à la maison, mais c’est moins marrant. J’espère qu’elle va jouer le jeu. En tous les cas, on est lundi, il ne faut pas que je perdent du temps pour commander quelques petits accessoires coquin si je veux les recevoir pour samedi. Je vais sur un sexe shop en ligne et commence ma recherche. Après quelques minutes, j’ai commandé un masque, pour lui bander les yeux, une paire de menottes, un stimulateur clitoridien et un plug anal. Arrivé chez moi le soir, j’ai bricolé deux barres qui empêcheront à ma femme de resserrer ses jambes et ses bras avec un tube en métal léger, des mousquetons et des colliers de serrage en plastique d’électricien style colson. Voilà, avec tout ça, je pense que j’aurais de quoi jouer mon rôle de dominateur. Lorsque ma femme est rentré à son tour à la maison le soir, nous n’avons pas parlé de notre future soirée. Je m’attendais à ce qu’elle essaie de négocier la tenue, mais pas du tout. Nous en avons d’ailleurs pas parlé de toute la semaine. Le samedi après-midi, je suis allé rendre visite à mes parents et je me suis préparé chez eux, prétextant vouloir faire une surprise à Alex. J’ai l’image du dominateur étant une personne plutôt aisé financièrement et de la haute société, je l’imagine plutôt très bien habillé. J’ai donc décidé de mettre un costume composé d’une veste et d’un pantalon anthracite, une chemise blanche, une cravate bleu plutôt foncée et une paire de chaussures noire.
Dans cette tenue, que je n’ai pas l’habitude de porter, je ressemble à un PDG d’une grosse société. Je pense que ça sera parfait pour cette soirée. J’arrive chez moi vers dix neuf heures dix, mais comme je suis censé être une autre personne, je ne rentre pas dans la maison. Je frappe à la porte. Alex m’ouvre et je reste presque bouche bé de voir ma femme dans cette tenue. Elle a vraiment jouée le jeu et elle est magnifique. Elle est habillée d’une robe sexy moulante noire. Cette robe lui arrive à mi cuisses et propose un super décolleté profond en voile noir transparent. Elle a sur les épaules, une petite veste en cuir noire. Ses jambes sont habillées d’une paire de bas ( enfin, J’espère que c’est pas des collants ) noire transparent, avec un effet résille et des motifs laçage qui remontent jusqu’au creux des genoux. Elle porte des escarpins noir à talons hauts qui respecte les dix centimètres minimum que j’avais demandé. C’est ma femme et elle est vraiment très jolie. Enfin, pour ce soir, ce n’est pas ma femme, c’est ma soumise et elle a respectée la tenue vestimentaire que je lui avais réclamé.
« -Bonsoir Alexandra.
-Bonsoir monsieur.
-Vous êtes magnifique dans cette tenue.
-Merci monsieur.
-Vous êtes prête ?
-Oui monsieur.
-Très bien. Alors on y va. »
Nous voilà parti en voiture en direction du restaurant ou j’ai prévu de passer la soirée. C’est un restaurant un peu plus haute gamme que les restos ou on a l’habitude d’aller. Lorsque l’on arrive, on nous installe à une table. Je suis très satisfait, car il n’y a pas beaucoup de monde et surtout, on est pas entassé les uns contre les autres, tous dans le même coin. Vu ce que j’ai prévu, j’invite ma soumise à s’installer dos à la pièce de façon à ce que moi, j’ai une vue sur toute la salle. On nous apporte la carte des plats et je commande du champagne pour commencer. Le serveur s’éloigne et je demande à Alex d’aller au toilette pour enlever sa culotte. Elle hésite mais je lui rappelle qui est le maître et qu’elle doit obéir à mes demandes.
Elle ce lève et je la regarde filer aux toilettes. Elle est somptueuse dans cette tenue. J’adore. Lorsqu’elle reviens, je la vois pas trop à l’aise, elle regarde à droite, à gauche pour vérifier si on la regarde. Comme si quelqu’un savait qu’elle n’avait pas de culotte. Elle se rassoit à notre table, je lui tend ma main et lui réclame qu’elle me donne sa culotte. Encore une fois, elle hésite. Ce n’est pas possible, elle ne va pas hésiter à toutes mes demandes.
« -Écoutez Alexandra, je vous demande d’aller enlever votre culotte, vous allez l’enlever. Sans réfléchir. Je vous demande de me donner votre culotte, vous me la donnez. Il n’y a pas d’hésitation à avoir. Les règles sont très claire. Ok ?
-Oui, monsieur me dit elle un peu honteuse, en me donnant sa culotte.
-Merci Alexandra. »
Je porte sa culotte à mon nez pour y sentir son délicieux parfum. Elle devient toute rouge. Lorsque le serveur revient avec notre champagne, et pour prendre nos commandes, j’ai toujours sa culotte dans la main au niveau de mon nez. Alexandra est encore plus rouge que tout à l’heure. Moi qui suis plutôt réservé habituellement, elle ne s’attendait pas à ça. On passe notre commande et le serveur repart vers les cuisines.
« -Maintenant Alexandra, je voudrais que vous vous masturbiez.
-Je ne peux pas faire ça, monsieur.
-Vous discutez encore mes ordres... Bien sûr que vous pouvez vous masturbez. Et vous allez le faire.
-Mais il y a du monde, monsieur.
-Non, les gens sont loin et ils ne font pas attention à nous. En plus, vous tournez le dos à la salle et avec la table et la nappe, vous serez caché. Personne ne verra quelque chose. Donc, et sa m’embête de me répéter, masturbez vous. »
Sans rien dire, elle passe une main sous la table et commence à ce masturber. Au bout de quelques instants, sa respiration s’accélère. Je la regarde dans les yeux, elle se donne du plaisir et elle aime ça. La situation doit l’exciter. Moi, en tout cas, ça m’excite énormément.
« -Tant que je ne vous le dit pas, vous ne vous arrêtez pas, même si le serveur arrive. Il ne verra rien avec la nappe. Au contraire, si vous sursautez ou vous arrêtez brusquement lorsqu’il arrive, il ce rendra compte de quelque chose.
-Oui monsieur,» me dit elle dans un souffle de plaisir.
Elle ne conteste pas, ne me demande même pas de la faire arrêter avant que le serveur n’arrive, elle ce masturbe et il n’y a plus que ça qui compte. Je suis vraiment content que ma femme joue le jeu comme ça, je n’aurais jamais imaginé qu’elle fasse la moitié de ce que je lui demande de faire. Elle ferme les yeux, ce mordille la lèvre inférieure, elle essaie de se maîtriser pour ne pas jouir ici, dans cette salle de restaurant. Le serveur arrive avec nos plats, elle ouvre ses yeux et rougie de plus belle, mais elle continue de se caresser comme je lui avais demandé. Le serveur repart. Il ne c’est rendu compte de rien. Je laisse Alexandra continuer encore sa masturbation une ou deux minutes et lui demande :
« -Vous voulez continuer de vous masturber ?
-Non monsieur.
-Vous ne souhaitez pas vous faire jouir ?
-Si monsieur, mais pas ici. Ni maintenant.
-D’accord. Vous pouvez vous arrêtez.
-Merci monsieur.
-Vous avez mouillé sur vos doigts. Nettoyé moi ça avec votre langue. »
Sans me répondre, elle porte ses doigts à sa bouche, se les lèche, gourmande, en me regardant droit dans les yeux. Elle m’excite énormément dans sa façon de ce lécher et dans son regard.
« -C’est bon Alexandra ? Vous vous régalez ?
-Oui monsieur, c’est délicieux. »
Je décide de passer le repas tranquillement, de ne plus lui donner des choses à faire. On verra ça pour plus tard. Le dîner ce passe très bien. On ne connaissait pas ce restaurant et c’est plutôt une bonne surprise. Tout est vraiment très bon. Un groupe de quatre hommes est arrivé pendant notre repas. Et ils ont tendance à regarder souvent dans notre direction. Ou plutôt dans la direction de ma femme. Il me vient alors une nouvelle idée :
« -Alexandra, vous avez l’air d’attirer le regards de ces quatre jeunes hommes à trois tables derrière nous. Ce qui est dommage, c’est qu’ils ne vous voient pas beaucoup. Et ils n’ont pas vu non plus, votre superbe tenue. Vous allez vous lever, passer devant eux en les regardant pour aller au toilette afin qu’ils puissent se régaler de vous voir, qu’ils aient un bon sujet de conversation, qu’ils fantasme de vous baiser et surtout, qu’ils m’envie d’être avec vous. »
A nouveau, « oui monsieur » sans broncher et elle s’exécute. Incroyable comment réagit ma chérie ce soir. Pour le moment, je ne sais pas trop si ça lui plaît ou pas, mais elle fait tout ce que je lui demande. Elle passe devant la table des quatre hommes en les regardant. Comme je m’y attendais, ils la déshabillent du regard. Ils la suivent des yeux jusqu’à ce qu’elle disparaisse derrière la porte des toilettes. Elle a vraiment fait l’effet que j’avais imaginé. Lorsqu’elle reviens, les quatre hommes ne la quittent pas des yeux, tel des gosses envieux dans les rayons de jouets avant Noël. Arrivé au niveau de leur table, je la vois tourner la tête dans leur direction et leur faire un sourire. Je me surprend à sourire moi aussi, de la voir aussi décontractée. Les pauvres hommes, ils doivent s’imaginer plein de choses. Quand elle reprend sa place à notre table, je lui demande :
« -Ça vous amuse Alexandra, d’aguicher ces pauvres hommes ?
-C’est vous monsieur, qui me l’avait demandé.
-Et ce sourire que vous leur avez fait ?
-J’ai pensé que ça vous plairait, monsieur.
-En effet…. Et vous Alexandra, ça vous plaît que des hommes ont envie de vous ?
-C’est plutôt flatteur monsieur.
-Je comprends. Aller, on s’en va avant que l’un d’entre eux ne décide de venir nous parler. »
On ce lève et on ce dirige vers la sortie. En passant à côté de leur table, j’ai la petite culotte d’Alexandra bien visible dans ma main, afin qu’ils comprennent qu’elle ne porte rien sous sa robe. Voilà, ils ont de quoi avoir un bon sujet de conversation pour le reste de leur repas et pourquoi pas, une belle image pour ce masturber, une fois rentré chez eux.
On poursuit notre petite soirée, dans un bar sympa du centre ville. Il est blindé de monde et je décide de ne pas mettre ma femme à l’épreuve ici. Déjà, parce que je ne suis pas un dominant et que je n’ai pas d’idée sur quoi lui faire, faire. Et ensuite, parce que c’est ma femme et que je n’ai pas ment envie de la soumettre devant plein de monde. Alors, on profite de ce moment pour parler. Je lui demande si elle a aimé ce début de soirée, être obligé de faire ce que je lui ai demandé. Elle me répond qu’elle aime cette soirée, que certaines choses l’on gêné et d’autres non. Je lui demande de préciser. Elle me dit que ça tenue la rend mal à l’aise. Elle sait qu’on la regarde et ça la dérange. Elle était également mal à l’aise quand elle ce masturbait pendant que le serveur était présent. Elle me précise que d’être sans culotte ne la dérange pas puisque personne ne le sait. Je lui apprend que les quatre hommes du restaurant le savent puisque en partant, j’avais son sous vêtements à la main et bien en vu. Elle devient toute rouge. J’éclate de rire. Après une petite heure dans ce bar, il est temps de rentrer, j’ai envie de me retrouver seul avec elle. Pour le jeu, on est censé aller chez moi pour finir la soirée. Arrivé à la maison, je l’invite à s’installer sur le canapé. Je met de la musique et j’ouvre une bouteille de champagne. Je m’installe moi aussi sur le canapé, on trinque et on boit une gorgée. Mais j’ai trop envie d’elle, elle m’a vraiment excité ce soir. Alors, je décide qu’il faut poursuivre tout de suite le défi.
« -Alexandra, je voudrais que vous dansiez pour moi. »
Elle ce lève, ce place au milieu de la pièce et commence à danser. Elle est magnifique dans cette tenue, c’est jambes sont mises en valeur avec ses talons hauts. Ma femme n’aime pas danser, mais ce soir, elle n’est pas ma femme. Ce soir, elle est ma soumise et elle joue parfaitement son rôle. Elle danse pour moi et c’est joli à voir. Je profite un peu de la situation et je laisse durer le plaisir durant quelques chansons. Puis, je lui demande de me faire un striptease. C’est pareil, elle ne m’a jamais fait de striptease, elle a toujours refusée de m’en faire car elle n’aime pas ça. Mais pas ce soir. Doucement, sensuellement, elle commence par retirer sa veste en cuir. Elle me la lance et continue de danser. Elle prend tout son temps, pour mon plus grand bonheur. Elle est aguicheuse dans sa façon de danser, elle joue la salope. J’adore ça. Elle poursuit en faisant tomber sa robe très lentement ce retrouvant ainsi, en soutien gorge noir, porte jarretelle coordonné, bas et chaussures. Sa culotte étant toujours dans ma poche, elle me dévoile une épilation intégrale de son pubis. C’est magnifique de la voir se mouvoir dans cette toute petite tenue. J’en ai plein les yeux. Elle dégrafe son soutien gorge, le maintien en place sur sa poitrine avec une main. Puis elle le baisse, me dévoilant ses seins. Ses tétons pointent de désir, j’ai envie de les mordiller, de les gober. Je lui demande de continuer sa danse très sexy mais de garder ce qu’il lui reste de vêtements. De mon côté, j’ai une belle érection coincé dans mon pantalon. Il va falloir arranger ça tout de suite.
«-A présent, met toi à quatre pattes… » Elle s’exécute…
«-Vient ici, mais soit féline dans ta démarche… » En me regardant dans les yeux, elle ce rapproche lentement, dans un magnifique déhanché jusqu’à ce placer entre mes jambes. Je déboutonne mon pantalon, sort ma bite de mon boxer et lui demande de me sucer. Elle att ma queue dans sa main, lèche ma hampe en partant des couilles jusqu’à mon gland et l’introduit dans sa bouche. Elle l’aspire, le caresse avec sa langue. Hummm, c’est trop bon et sa soulage après avoir joué toute la soirée et qu’elle m’ai excitée autant. Elle me masturbe en même temps qu’elle joue avec sa bouche sur mon gland. Je la laisse me sucer quelques minutes comme elle me suce habituellement. C’est exquis mais je vais profiter qu’elle ne me refuse rien ce soir, pour lui en réclamer plus que d’habitude.
«-Prend moi entièrement dans ta bouche Alexandra. Je veux que tu me bouffe la queue jusqu’aux couilles. Avale moi tout ça. »
Elle englouti ma bite dans sa bouche mais ne la prend pas entièrement. Je l’att par les cheveux et appui sur sa tête pour la forcer à aller plus loin. Elle l’a presque entièrement dans sa bouche lorsque je relâche la pression derrière sa tête pour qu’elle reprenne de l’air. Je la force de nouveau, en appuyant derrière sa tête, à prendre ma queue entièrement dans sa bouche. C’est vraiment trop bon. Cette fois, elle arrive à me la prendre jusqu’aux couilles. Je la laisse comme ça quelques secondes et je relâche sa tête avant de recommencer l’opération. Je la félicite à ma façon :
«- C’est bien, tu vois que tu peux prendre une bite entièrement dans la bouche. Maintenant, à chaque fois que tu me suce, tu me fais une gorge profonde. Allez, continue. »
Elle reprend sa fellation et avale toute ma queue à chaque va et vient. Elle s’applique à me donner un maximum de plaisir et elle y arrive à merveille. Je la laisse s’occuper de mon sexe un bon moment, profitant au maximum de la caresse buccale, mais je l’arrête à contre cœur, pour ne pas jouir trop rapidement. Je me lève du canapé et lui dit :
« -Suis moi dans ma chambre, à quatre pattes, comme une chienne. »
Arrivé dans la chambre, j’att le masque que j’avais laissé à porté de main. Je reste debout, elle ce place à genoux devant moi. Je lui met le masque sur les yeux et je vais chercher tout le matériel que j’avais acheté dans la semaine. Je récupère la paire de menottes et lui attache les poignés derrière le dos. Je me replace devant Alexandra et introduit ma queue dans sa bouche. Je lui att la tête et commence un lent va et vient, lui fourrant ma bite en entière dans le fond de la gorge à chaque fois. Je garde ce rythme quelques instants avant d’accélérer la cadence et finir par une véritable baise buccale. Encore une fois, je ne fais jamais ça habituellement mais ce soir, je ne suis pas son mari, elle n’est pas ma femme. On joue tous les deux un rôle et je veux en profiter pour faire des choses inhabituelles. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je lui demande de ce mettre debout. Je lui enlève les menottes et lui ordonne de s’allonger en travers sur le lit, la tête en arrière dans le vide. Une fois en place, je lui met les colliers de serrage en plastique sur les deux chevilles. Je prends une des barres que j’ai bricolé dans la semaine, attache une extrémité à un collier et l’autre extrémité à l’autre cheville. Elle est à ma merci, les jambes écartés. Je lui pli les genoux pour ramener ses deux chevilles vers ses fesses. Je passe un collier de serrage à un poigné et le relie à une cheville. Je fais la même chose avec son deuxième poigné. Je branche le stimulateur clitoridien sur une prise de courant, retourne vers le visage de ma soumise et introduit de nouveau, ma queue dans sa bouche. Je reprends mes vas et vient assez vigoureux et met le stimulateur en marche. Lorsque je le place sur son clitoris, sa réaction est instantanée. Elle manque s’, elle essaie de resserrer ses jambes, en vain, ce tend, ce crispe. Les vibrations puissantes de l’appareil sur sa chatte lui font monter le plaisir très rapidement. Je continue mes vas et vient dans sa bouche, pendant que je la masturbe avec le stimulateur. Le supplice ne dure pas longtemps avant qu’elle soit balayé par un orgasme puissant qui l’oblige à rejeter ma bite de sa bouche. Je frotte mon sexe sur son visage le temps qu’elle reprenne son souffle, puis je lui demande de me reprendre en bouche. C’est reparti pour un nouveau round. Je reprends mes vas et vient et replace la machine infernal qui vibre entre ses cuisses. Ça a vraiment l’air très puissant car de nouveau, elle se tend et se crispe instantanément. Elle essaie de rejeter ma queue pour respirer, mais je ne la laisse pas faire et continue de lui pilonner la bouche. La situation est trop excitante et je ralenti ma baise buccale pour ne pas jouir trop rapidement. Je me retire et me réintroduit dans sa bouche de temps en temps. J’appui assez fortement sur son clitoris avec le stimulateur pour accen la masturbation et je ressent sa jouissance monter de plus en plus. Elle ne devrait plus tenir très longtemps. Je décide de stopper mes vas et vient, mais de laisser ma queue entièrement dans sa bouche juste avant qu’elle n’expose dans un nouvel orgasme très puissant. Je vois bien qu’elle voudrais resserrer ses cuisses pour repousser le stimulateur, mais elle ne peut pas et je continue la masturbation jusqu’à ce que son orgasme soit passé. Sa respiration est très rapide, elle souffle fort. Je la laisse reprendre ses esprits juste le temps de l’installer un peu mieux sur le lit, car avoir la tête en arrière et dans le vide, ne doit pas être vraiment confortable. Je lui détache les poignés des chevilles, mais les rattache à la deuxième barre que j’avais fabriqué et les place au dessus de sa tête. J’att la barre qui lui tient les jambes écartées, la soulève et me place à genoux entre ses cuisses. Elle a les jambes en l’air et ça m’offre une très belle vue sur sa chatte complètement offertes et trempée. Je passe deux doigts sur sa vulve et son anus. Je la caresse quelques secondes et en profite pour lubrifier son petit trou avec la cyprine. J’att le plug anal et le lubrifie à son tour, sur son sexe trempé avant de l’introduire dans son anus. Elle pousse un petit cri de surprise au moment du passage. Puis je pointe mon gland sur sa chatte et la pénètre entièrement. Je débute mes vas et vient assez vigoureusement. Je ressens sur mon sexe le plug anal. C’est pas du tout désagréable. Je lui masturbe le clitoris pendant la pénétration. Elle gémis assez fort sous mes coups de queue, elle a le sexe trempé, qui dégouline de cyprine. J’accélère la cadence et elle crie encore plus fort. Je place le stimulateur sur son clitoris et le met en marche. Elle essaie de ce dégager tellement c’est puissant, elle n’y arrive pas. C’est vraiment excitant de la prendre dans ces conditions de maître, dominante, ou elle est entravée et ne contrôle rien. C’est tellement excitant que je suis obligé au bout de trois, quatre minutes, de me retirer pour ne pas jouir. En gardant le stimulateur sur son clitoris, j’introduit deux doigts dans son vagin et la masturbe énergiquement, lui stimule le point G. Elle hurle son plaisir et explose rapidement dans un orgasme très puissant. Je continue de la masturber pendant son orgasme, même si ça paraît être à la limite du supportable pour elle, tellement c’est très fort. Une fois sa jouissance redescendu, je lui retire le plug anal et introduit ma queue entièrement dans son petit cul. Je reste au fond quelques secondes sans bouger, pour qu’elle s’habitue à mon sexe, puis je commence mes vas et vient. C’est tout serré sur ma bite, c’est trop bon. Elle a repris ces gémissements qu’elle amplifie lorsque je commence à lui caresser son clitoris. J’accélère la cadence de ma pénétration et de la masturbation. Après plusieurs minutes de cette baise intense, je sent que je vais jouir. Je me retire de son anus, le pénètre de nouveau et reprend mes vas et vient quelques secondes. Puis, je me retire une nouvelle fois et m’approche de son visage pour y déverser ma jouissance. Plusieurs jets de sperme épais s’écrase sur ses joues, ses lèvres, son nez. Une grosse quantité de foutre lui recouvre le visage. J’adore.
Je fini par la libérer de ces entraves, on reste allongé l’un à côté de l’autre quelques minutes sans rien ce dire, puis elle me dit merci, que c’était trop bon et qu’il faudra renouveler l’expérience avant de filer à la douche.
Oh que oui, c’était trop bon, super excitant. Je t’aime ma chérie.

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