La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1102)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –

En fait, je me balançais légèrement, mes trois orifices bien ouverts… Un silence s’abattit sur le groupe…

- Ici, dit Abdou, tu vas être dressée à l’obéissance absolue. En disant cela, il abattit son bras et je reçus une volée de fessées …

- Ahhhh criais-je de douleur et d’excitation certaine…

Puis, sans faire attention à mes cris, une autre volée de fessées m’atteignit sur l’autre fesse me donnant l’impression d’avoir la peau du cul en feu, tant elle devait rougir…

- Crie autant que tu veux si ça te soulage car tu n’as pas fini de hurler, crois-moi et personne ne viendra te chercher ici… Et si tout ça te fait mouiller, salope, eh ben tant mieux pour toi …

Les fessées redoublaient d’intensité, les douleurs et l’excitation aussi. J’avais du mal à respirer... Au début je comptais les coups qui claquaient, j’en étais à quarante-neuf sauf erreur, après je n’ai plus pu continuer de compter quand à la place de la main fesseuse, ce fut un fouet aux lanières claquantes qui tombaient encore et encore, sur mes fesses, puis mes cuisses, mes reins, mon dos, mes épaules, mes seins, l’intérieur de mes deux cuisses… tout mon corps y était passé. J’étais labourée…. systématiquement labourée de coups de fouet et plus il me fouettait, plus mon bas-ventre était trempé d’une excitation masochiste évidence… Je pendais lamentablement…A demi consciente, je me suis mise à faire pipi sous moi sans presque m’en rendre compte… Grosse rigolade de la part des gars et…

- Regarde ! Elle pisse mais y-a pas que ça ! Elle mouille aussi, je te dis !

Abdou approcha de moi, s’accroupit près de ma chatte, je sentais sa respiration sur mon clitoris, et dit :

- Mais c’est vrai ça ! Une vraie chienne en chaleur ! ¨Passe-y la main pour voir !

Un des gars passa sa main sur ma vulve et…

- C’est bien de la mouille pas de doute, elle est même trempée…
- Elle aime ça, la salope, reprit Abdou, je m’en doutais.

On va poursuivre alors...

J’entendais qu’il cherchait des choses dans un sac et au bout de quelques secondes, un hurlement de douleurs sortit de ma bouche largement ouverte. Il venait de placer sur mon téton gauche une pince dont les dents métalliques acérées se plantèrent dans la chair tendre du téton. De plus, il écrasait les mâchoires de la pince avec ses doigts enfonçant encore plus les dents dans la chair… Je hurlais de douleur… mais je ne pouvais contrôler ma perte de cyprine qui coulait le long de mes cuisses, sortant de ma chatte écartelée…

- Elle mouille encore plus la chienne !
- Oui c’est une bonne chienne qui aime qu’on la maltraite visiblement, répondit Abdou

Et au même moment, je le sentais tripoter mon autre téton qui durcissait… quand il vint de placer la seconde pince… ce qui me provoqua le même cri de douleur mélangé à une excitation amplifiée dans ma chatte en feu… Mes forces m’abandonnaient lentement… Je tremblais comme une feuille… A nouveau, des coups de cravache cette fois, tombaient sur mes deux seins, avec méthode, d’abord en haut des seins, puis au milieu des coups plus forts qui me donnaient l’impression d’avoir perdu la moitié du sein, puis, au fur et à mesure qu’ils se rapprochaient des aréoles, les coups devenaient carrément terribles, d’autant qu’ils étaient renouvelés au même endroit… Je faillis en jouir par ce sublime mélange ‘‘douleur intense-excitation intense’’… Puis, il y eut une petite pose de quelques minutes, tandis que les gars s’amusaient à donner des pichenettes dans les pinces ravivant mes douleurs… et l’écoulement de ma cyprine sur mes cuisses… Mes tétons raidis, me faisaient souffrir et ça m’excitait encore plus…

Mais Abdou revint et toucha la pince de gauche… subitement… Je crus défaillir tant la douleur fut fulgurante et malgré m’excitation occasionnée, je m’évanouis… Quand je revins à moi, j’étais détachée, allongée à même le sol, le soleil était très haut, il devait être l’après-midi.
A mes côtés, Anne, entravée, me tapotait le visage avec une serviette mouillée. Ma bouche, ma chatte et mon cul avaient été libérées, et je n’avais plus ni écarteurs, ni pinces, seulement des douleurs affreuses au moindre toucher. Mes tétons étaient très extrêmement sensibles.

- Cela fait une demi-heure que tu dors, me dit Anne, j’ai été amenée pour veiller sur toi…

Deux hommes nouveaux arrivaient, assez bien habillés, accompagnés d’Abdou. Sitôt qu’elle les vit, Anne se prosterna tandis que je restais allongée… Les deux hommes, d’un certain âge, détaillèrent les deux femelles… Tandis que le premier défaisait déjà sa braguette, présentant son sexe à Anne… Immédiatement Abdou intervint :

- Non Monsieur, désignant Anne, celle-là est banale, l’autre (me désignant) …. Je vous la conseille. (puis à moi avec un coup de cravache sur mon épaule) - A genoux salope et fait du bien à Monsieur !

L’homme en question avait sorti sa verge, et me la présentait à la bouche. Je le léchais, malgré mon dégout car il ne sentait pas bon, ou plutôt il sentait comme s’il avait déjà juté mais ne s’était pas lavé ensuite…

- Nettoie-moi, dit-il ! Je viens de baiser une de tes sœurs de soumission …

Je passais ma langue sur le gland, autour de lui, nettoyant, léchant, avant de l’avaler plus profondément… Je commençais de le pomper, tandis qu’Abdou, accroupi devant moi, donnait des pichenettes à mon clitoris… qui naturellement réagit rapidement… L’homme que je suçais, semblait aimer ce que je lui faisais, il gémissait, puis, ouvrant subitement plus grand ma bouche, je l’avalais complètement lui arrachant un :

- Ahhhhh, la garce, elle est bonne, Abdou tu as raison… elle… elle… sait… y faire, hummmm !, la salope… ! (L’homme regardait son collègue et le pouce levé en signe de satisfaction…) - C’est la nouvelle ?
- Oui Monsieur, répondit Abdou !
- Vous avez trouvé une bonne suceuse, à ne pas douter, mon ami ! dit l’homme
- Oui Monsieur, regardez comme elle vous suce bien… Et regardez aussi ça !

Il montrait à l’homme comment il faisait avec mon clitoris maintenant bien dressé, commet il me le branlait sans ménagement faisant passer ses doigts à le frotter en de petits cercles et mon clito commençait à avoir faim…

- Elle mouille ! dit celui qui attendait et qui ne perdait rien de la masturbation d’Abdou sur mon ami le clitoris…

Tandis que maintenant je pompais avidement la queue placée sur ma langue…

- Et voilà reprit Abdou, plus je la travaille celle-là plus elle aime ça, la preuve…
- Incroyable, reprit celui qui regardait…

C’est au même moment que celui que je suçais déchargea en ma bouche, au bord du manque d’air, devenu blanc de visage… Tandis que j’avalais son foutre, sa bite ramollissait rapidement, devenue pendante… Mais l’autre compère, excité par ce qu’il avait vu voulait sa part également.
Mais il avait des exigences, le Monsieur… Bien habillé, il ne voulait pas se salir aussi il demanda et obtint qu’on lui apportât une chaise sur laquelle il prit place, sortit sa grosse queue et me fit venir au-dessus de lui, écartant les cuisses.

- Masse-moi de ta chatte, petite salope, ordonna-t-il, et ne va pas trop vite, je te le ferai regretter crois-moi…

Je me posai donc au-dessus de sa tige, lui faisant face mes mains derrière la tête, et commençais de me frotter à elle, lentement, très lentement, je m’enfonçais un peu, ressortait, m’enfonçais à nouveau. Un peu plus, remontais à nouveau, massant ce sexe dur avec ma vulve bien mouillée… Progressivement je m’enfonçais sur elle, mais toujours en la massant, contractant mes muscles intimes, enserrant sa bite comme dans une main… Alors que j’étais aux trois-quarts assise sur la bite raidie, mon col utérin toucha son gland et par des contractions que je savais faire, ne bougeant plus, je faisais bouger mon nez utérin sur le gland comme un doux léchage qu’aurait fait ma propre langue, tandis qu’en même temps, je contractais ma vulve qui serrait la bite…

- Comment fait-elle ça, celle-là ?
- Que fait-elle ? demanda Abdou
- Je ne sais pas, elle me lèche le bout semble-t-il mais elle ne bouge pas pourtant…
- Je vous avais dit, Monsieur, qu’elle était bonne et pas banale…
- Vous savez à quel point on les dresse bien, Monsieur, mais, elle, c’est autre chose, je le sens, il va falloir la tenir fortement la garce, mais elle promet…

Je sentais l’homme, surpris pas loin de venir, aussi je m’enfonçais plus fortement sur lui, remontait à nouveau plus rapidement et me renfonçais d’un coup, jusqu’en bas, lui pressant les couilles… L’homme se laissait faire… gémissant, soufflant lorsque tout d’un coup, il juta dans un long râle… re juta à nouveau… et resta inerte sous moi en coït… Anne n’avait rien fait jusqu’à présent, Abdou me fit me relever, et sitôt debout, le foutre commença de s’écouler…d’un claquement de doigt d’Abdou adressé à Anne :

- Nettoie-là lui ordonna-t-il…

Anne se précipita entre mes jambes que j’écartais, et léchait le foutre qui coulait, tout en me nettoyant de sa petite langue chaude.
Anne était belle, et merveilleuse, sa petite langue, habile, nettoyait consciencieusement, entrait, sortait de ma chatte, léchait mon méat urinaire, les petites et grandes lèvres et le clitoris qu’elle aspirait avec volupté, tant et si bien que maintenant je ne perdais plus de foutre mais de la cyprine tant je me sentais de nouveau bien excitée…

(A suivre …)

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