La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1104)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –

J’étais devenue un animal, un chose, un objet sexuel et si heureuse de l’être !… Il était certainement tard, la nuit était tombée depuis longtemps, j’étais dans mon box, entravée comme une jument… Les bruits de la soirée me parvenaient, les tams-tams résonnaient… L’air commençait à être vif… Je sortis la tête du box et je vis, Anne, comme moi, attendant de s’endormir, certainement.

- C’est la fête, on dirait, dis-je à Anne.
- C’est comme ça tous les soirs, Le Maître festoie, regardant les femelles présentées à ses pieds, qui sont utilisées par les Dominants de la soirée … Ensuite, il en choisit une ou plusieurs pour lui, pour la nuit, et elles ont l’immense chance de pouvoir être dans la couche du Maitre…
- Chut, taisez-vous, quelqu’un approche, dit Mélanie …

Mélanie se retira rapidement de l’ouverture de la porte… Je restais, Anne aussi… J’avais un peu froid… A chaque fois que je remuais, mes chaînes tintaient me rappelant ma condition. Dans la pénombre, un homme approchait à grands pas avec une lampe à pétrole d’une autre époque. Il se dirigeait vers nous. Instinctivement, je reculais, comme pour me cacher dans la sombre ambiance du box. Mais la porte s’ouvrit, l’homme me trouva, tapie au fond, sur la paille… Il posa sa lampe, sans un mot, prit la longe, la détacha de l’anneau fiché dans le mur, et tira dessus pour me faire sortir à quatre pattes… Arrivée dehors, tandis qu’il m’attachait à nouveau à un poteau, il referma la porte du box, et se rendit vers celui d’Anne, qu’il sortit également. Ainsi tenues, toutes deux sommes conduites, à quatre pattes, vers un hangar éclairé dans lequel plusieurs hommes parlaient, de tout, de rien…

- Ah les voilà ! dit l’un d’eux. Jules, amène-les !…

Notre guide (Jules) reprit les deux cordes et nous conduisit vers le groupe d’hommes.

Ils étaient tous d’un âge certain, habillés comme les paysans lozériens, pantalon de jeans épais, bottes crottées, chemise à carreaux au large col et parka militaire… Par la fraîcheur de la nuit et étant nues, nous frissonnions…

- Elles ont froid, les femelles…
- Pas grave, on va les réchauffer, dit en riant grassement un autre… (Me désignant) – Approche, la chienne !

J’arrivais, corde trainant au sol, il la prit, et me conduisit vers un des murs du hangar. D’une poutre, descendait une chaîne se terminant par deux plus courtes avec, en leurs bouts, un collier métallique. L’homme, sans un mot, m’enleva longe et collier de cuir, et le remplaça par celui en métal, tandis qu’au niveau des biceps, il attachait mes bras, dans le dos, en les serrant fortement. Si fortement, que cela tirait mes épaules en arrière, et faisait ressortir mes seins en avant. Aux poignets, une sorte d’attache en bois, qui s’ouvrait en étant articulée, avec deux encoches dans lesquelles il me fit poser mes poignets, puis referma l’attache avec un cadenas. Anne fut amenée elle aussi, placée en face de moi, nos seins se touchaient, mais, elle, au lieu d’avoir les bras derrière le dos, les avait relevés au niveau de sa bouche… Ses poignets étaient entravés de la même façon que moi, l’autre petite chaîne avec un autre collier métallique lui ceintura le cou, et toutes deux fûmes ceinturées, et accolées face à face l’une à l’autre par une corde serrée au maximum. Puis, grâce à un palan manuel, l’homme fit monter la chaîne principale, nous entrainant lentement mais sûrement de plus en plus haut. Nous nous dressions sur nos orteils, tandis, deux autres gars arrivaient armés d’impressionnants fouets. Tandis qu’ils buvaient des bières en riant, échangeant des propos salaces, nous attendions ce qui devait inévitablement arriver. Le froid m’envahissait, nos deux visages ne pouvaient faire autrement que de se regarder, yeux dans les yeux, les crampes n’étaient pas loin, lorsque le premier au bout de vingt ou trente minutes d’attente, s’approcha de nous, faisant claquer son fouet dans l’air.


- Vous avez froid, les femelles ? demanda-t-il en riant
- Oui Monsieur…
- Rassurez-vous, on va vous réchauffer, les chiennes !…

Il prenait sa place, réglant sa distance par rapport à la longueur de son fouet, l’essayant sur nous, mais sans forcer, quand le second arriva et en fit de même, et un troisième, armé lui, d’une longue cravache. Le premier leva son bras et l’abattit sur moi, ce qui me fit me cabrer, entraînant Anne dans mon mouvement, et tandis que je récupérais de ce premier coup, un second donné par l’autre homme, tombait sur Anne… Ensuite, ce fut un déluge de coups de fouets, de plus en plus forts, plus précis, plus durs, donnés alternativement sur nous deux. Anne et moi, bougions comme dans une sorte de danse perverse, seins contre seins, tétons dressés contre tétons dressé, ventre et nos deux sexes collés l’un à l’autre…yeux dans les yeux. Nos cris se mêlaient aux rires des hommes qui frappaient… Celui armé de la cravache, était un peu à l’écart, comme attendant son tour. Il fit son entrée dans le ballet, au bout du très long moment de séance de fouets qui avait labouré nos fesses, dos, reins épaules…

Il se plaça entre les deux fouetteurs, à longueur de sa cravache et une nouvelle danse commença : Un coup de fouet sur mon dos, un autre sur celui d’Anne, et un coup de cravache donné au hasard tombant sur les seins de l’une ou l’autre… Nos cris déchiraient maintenant le silence de la nuit, mais, comme dans une sorte de tempo bien rythmé, les coups se succédaient, ce qui eut pour effet de m’exciter grandement. Je ne pouvais expliquer pourquoi je mouillais à cette situation douloureuse, mais je ne pouvais nier le fait que mon bas-ventre réagissait à l’évidence. Il me semblait que c’était aussi le cas d’Anne qui avait comme des spasmes de plaisir à chaque coup reçu…

- Réchauffées les femelles, cria l’un des fouetteurs tandis qu’il abattait son fouet sur les épaules d’Anne qui laissait échapper des cris de douleurs mélangés à des gémissements d’excitation…

Anne n’eut pas le temps de répondre qu’un terrible coup de cravache l’atteignit sur le téton dressé, tandis que je recevais à mon tour un énième coup sur mon fessier… Je voyais les yeux d’Anne remplis de larmes et d’envie de jouissance, tout comme les miens, et alors que je recevais en même temps, un coup de fouet sur les reins et un coup de cravache sur un sein…

- Aïeee !, criais-je d’un cri si trident

Mais, en même temps, quelque chose s’accentuait en moi par le rythme bien réglé des coups, je m’habituais un peu à la douleur qui continuait à laisser place encore à des sensations en mon bas du ventre, sensations de contractions jouissives qui s’amplifiaient de plus en plus… Mes cris changeaient de plus en plus devenant des gémissements de plaisirs en des :

- Ahhh ! Hummm ! ou des Ohhhh !

Les Dominants s’en rendirent compte et les coups qui m’étaient destinés, devenaient plus forts, tandis qu’Anne, elle, sombrait dans des orgasmes puissants qu’elle ne put contenir… Pantin devenu désarticulé, elle bougeait dans tous les sens criant sa jouissance telle une marionnette au bout de sa chaîne la maintenant par le cou, tandis que les deux hommes poursuivaient leur besogne sur moi.
Les coups portés sur les fesses et les reins continuaient maintenant à m’exciter d’un cran au-dessus et plus ils étaient forts, plus ils me faisaient mouiller… Anne, au bout d’un long moment, arriva à se calmer et se relâchant de ses plaisirs orgasmiques, elle fut détachée, et tomba comme inerte, épuisée de ses jouissances dans les bras d’un gars qui l’allongea sur le sol, le corps terriblement marqué, elle était tout en sueur à se remettre de ses orgasmes explosifs…. Pour le coup, j’étais accessible de dos et de face et les coups de fouet recto-verso se poursuivirent alternant cette fois de coups de cravache sur mes deux seins. Posée sur mes orteils, je dansais, littéralement, je dansais tout en mouillant fortement… L’un des hommes dit alors :

- Laissez-la sur ses orteils jambe droite, mais relevez l’autre jambe le plus haut possible, l’écartant, qu’on s’occupe aussi de sa chatte de salope !

On me plaça alors un anneau métallique à la cheville gauche, et la jambe fut ainsi écartée du corps, et élevée aussi haut que possible, me laissant sur une seule jambe, reposant sur deux orteils… Le porteur de cravache se plaça derrière moi et tandis que les fouets reprenaient leurs frappes, le premier coup de cravache arriva par en dessous, et le bout de la cravache frappa sauvagement mon clitoris… m’arrachant un cri de femelle blessée… Sous la puissance du coup et de la douleur fulgurante reçue, je réussissais à me cambrer en avant, offrant encore mieux mon fessier, et un second coup, encore plus fort, m‘atteignit à nouveau entre les jambes, sur le clitoris encore, m’arrachant cette fois, hurlements et larmes de douleurs extrêmes, ce qui me fit lâcher un flot de cyprine coulant sur ma cuisse causé par cette forte excitation masochiste de la douleur… En effet, le clito touché de façon très violente réagit à sa manière en se raidissant encore plus, ce qui fait que les coups suivants, donnés sur mon ami le clito, me faisaient à la fois, souffrir et m’excitaient encore plus fort !

- Tu aimes dirait-on ! dit un des Dominants en me donnant un magistral coup de fouet en travers du dos…

Tandis que je me tortillais, je répondis…

- Ouiiii !

J’avais répondu sans réfléchir, mais ma réponse étonna cependant les trois hommes qui ralentirent leurs coups, puis :

- Regardez, la salope, elle mouille comme une chienne en chaleurs !, la pute !

Effectivement, cuisses bien écartées ma chatte était ouverte et ne pouvait retenir ma mouille qui coulait encore à gros paquets…

Alors, comme encouragés par ce qu’ils voyaient, ce fut un festival de coups, donnés n’importe comment, donnés en une sorte de danse frénétique et sexuelle… Je ressentais toujours les douleurs des coups, mais ceux-ci étaient remplacés de plus en plus par des envies orgasmiques que je sentais arriver… De temps en temps, le cravacheur revenait devant moi, et s’attaquait à mes seins, qu’il labourait si violemment qu’à chaque coup donné de haut en bas, j’avais la sensation que mon sein visé s’abaissait jusqu’au nombril… Mes yeux à demi clos, bouche ouverte pour chercher de l’air, je ne retenais plus ma salive qui coulait de ma bouche sans que j’ai le réflexe de l’avaler, obnubilée à parer les coups tout en les réclamant pour arriver à jouir tant j’avais maintenant terriblement envie.
..

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!